Terrorisme en 1979
Apparence
Chronologies
1976 1977 1978 1979 1980 1981 1982 Décennies du terrorisme : 1940 1950 1960 1970 1980 1990 2000 |
1976 1977 1978 1979 1980 1981 1982 Décennies : 1940 1950 1960 1970 1980 1990 2000 Siècles : XVIIIe XIXe XXe XXIe XXIIe Millénaires : -Ier Ier IIe IIIe |
Événements
[modifier | modifier le code]Janvier
[modifier | modifier le code]- France : attentat à la bombe de l’ARB contre la ligne à haute tension partant de la centrale de Brennilis[1].
Mai
[modifier | modifier le code]- , France : Jean-Marc Rouillan et Nathalie Ménigon, membres du groupe Action directe, mitraillent le siège du CNPF à Paris[2],[3].
Juin
[modifier | modifier le code], Espagne : attentat à la bombe d'ETA contre le chantier de la centrale nucléaire de Lemóniz[4].
Juillet
[modifier | modifier le code]- , Espagne : trois bombes d'ETA explosent à Madrid, dans deux gares et à l'aéroport, faisant sept morts et plus de cent blessés[réf. souhaitée].
Août
[modifier | modifier le code]- , Irlande du Nord : dix-huit soldats britanniques sont tués par une bombe de l'IRA provisoire à Warrenpoint[réf. souhaitée].
Septembre
[modifier | modifier le code]- :
- explosion d'une bombe d'Action directe au ministère du Travail[2].
- explosion d'une bombe d'Action directe au ministère de la Santé[2].
- :
- : attentat d'Action directe contre le bâtiment de la Délégation des entreprises pour l'emploi[3].
Novembre
[modifier | modifier le code]- : le terroriste technophobe Ted Kaczynski envoie un colis piégé, via la poste aérienne, qui manque de désintégrer le Boeing 727-223 du vol 444 d'American Airlines entre Chicago et Washington.
- - , Arabie saoudite : la prise de la Grande Mosquée de la Mecque (mosquée Al-Masjid al-Haram) par deux cents fondamentalistes islamistes fait trois cent quatre morts (cent soixante-dix-sept terroristes et cent vingt-sept membres des forces de sécurité) et six cents blessés[réf. souhaitée].
Décembre
[modifier | modifier le code]- , France : le quotidien Le Figaro publie une retranscription de l'entretien accordé par le terroriste Carlos au journal Al Watan El Arabi, dans lequel il revendique l'attentat à la grenade dans la galerie marchande du drugstore Publicis de Saint-Germain-des-Prés à Paris, qui a fait deux morts et trente-quatre blessés le 15 septembre 1974[5].
Références
[modifier | modifier le code]- Chronologie indicative des attentats du FLB.
- Action directe, Textes de prison, 208 p. (www.juanasensio.com/media/00/01/594303545.pdf), p. 3-4
- Philippe Chassaigne, Les années 1970 : Fin d'un monde et origine de notre modernité, Paris, Armand Colin, coll. « collection U », , 400 p. (ISBN 978-2-200-24903-8, lire en ligne)
- « Viaje a la central dormida de Lemóniz », El Mundo, 26 février 2006.
- Jean-Marc Leclerc et Paule Gonzales, « Carlos renvoyé aux assises pour l'attentat, en 1974, du Drugstore Publicis », sur lefigaro.fr, Le Figaro, (consulté le ) [fac simile en fin d'article]