Tornavara
Apparence
Tornavara
Réalisation | Jean Dréville |
---|---|
Scénario |
André Legrand d'après le roman de Lucien Mauvault |
Musique | Adolphe Borchard |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production | Nova Films |
Pays de production | France |
Genre | Film dramatique |
Durée | 99 minutes (1 h 39) |
Sortie | 1943 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Tornavara est un film français réalisé par Jean Dréville, sorti en 1943.
Synopsis
[modifier | modifier le code]Tornavara est un village perdu de Laponie. Gérard vient à l'aide de son ami Anders, en conflit avec son père, Sigurd, un riche propriétaire de mines d'or. Anders aime Florence, épouse de Sigurd. Lors d'une révolte des mineurs, Sigurd tue le meneur et blesse son propre fils, ignorant que Gérard vient de racheter la mine. Sigurd meurt de froid dans une tempête de neige laissant Gérard et Florence qui décident alors de quitter Tornavara[1].
Fiche technique
[modifier | modifier le code]- Titre : Tornavara
- Réalisation : Jean Dréville, assisté de Stany Cordier
- Scénario : André Legrand, d'après l'œuvre éponyme de Lucien Mauvault
- Dialogues : Charles Exbrayat et André Legrand
- Photographie : André Thomas
- Montage : Pierre Gérau
- Musique : Adolphe Borchard
- Décors : Lucien Aguettand
- Son : Maurice Carrouet
- Société de production : Nova Films
- Pays d'origine : France
- Format : Noir et blanc — 35 mm — 1,37:1 — Son : Mono
- Genre : Film dramatique
- Durée : 99 minutes (1 h 39)
- Dates de sortie :
- France :
Distribution
[modifier | modifier le code]- Pierre Renoir : Sigurd Framrus
- Mila Parély : Florence
- Jean Chevrier : Gérard Morhange
- Jean Servais : Anders
- Alexandre Rignault : Le pasteur
- Léonce Corne : Bélaï
- René Blancard : Gourier
- Elisa Ruis : Netochka
- Albert Malbert : Olaf
- Georges Douking : Gregor
À noter
[modifier | modifier le code]- Le film est tourné du au dans les Pyrénées-Orientales, principalement à Mont-Louis et au lac des Bouillouses[1].
- La fin originale du film n'ayant pas été appréciée par le public, on aurait fait appel à un jeune écrivain, Jean-Paul Sartre, pour écrire une fin plus optimiste et qui est également tournée. Sartre travaillait alors pour Pathé-Consortium, société distributrice du film[1].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Jean-Noël Grando, 100 ans de cinéma en Pyrénées-Orientales : Histoires et secrets de tournages, Perpignan, Mare nostrum, , 197 p. (ISBN 978-2-908476-96-5, BNF 42318117)
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jean-Noël Grando, 100 ans de cinéma en Pyrénées-Orientales : Histoires et secrets de tournages, Perpignan, Mare nostrum, , 197 p. (ISBN 978-2-908476-96-5, BNF 42318117), p.14-19
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Centre national du cinéma et de l'image animée
- Ciné-Ressources
- Unifrance
- (en) AllMovie
- (en) IMDb
- (de) OFDb
- (mul) The Movie Database
- Fiche du film sur le site de la Fondation JérômeSeydoux
Catégories :
- Film français sorti en 1943
- Film dramatique français
- Film réalisé par Jean Dréville
- Film avec une musique composée par Adolphe Borchard
- Adaptation d'un roman français au cinéma
- Film se déroulant en Finlande
- Film tourné dans les Pyrénées-Orientales
- Film français en noir et blanc
- Film en français
- Film tourné en 1943