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Pollution par le plastique

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Déchets plastiques au jardin botanique de Bogor en Indonésie (2018).

La pollution par le plastique (ou « pollution plastique ») est la pollution, directe et indirecte, causée par la dispersion et l'accumulation dans l'environnement de déchets composés de matière plastique. Elle est aussi due aux produits de dégradation (micro- puis nanoplastiques, pigments, plastifiants et autres additifs) dispersés dans l'environnement au fur et à mesure que le plastique se dégrade. Ces particules minuscules sont ingérées par de nombreux organismes, perturbant les écosystèmes et remontant la chaîne alimentaire, jusqu'à l'homme.

En dépit d'efforts et de progrès locaux visant à réduire la consommation de plastique, à nettoyer les milieux, à encourager le recyclage, cette pollution est devenue un problème environnemental majeur, les sols, les sédiments, les cours d'eau et tous les écosystèmes terrestres étant déjà diversement affectés. Elle ne cesse de s'aggraver, on estime que 24 à 35 millions de tonnes de déchets plastiques s'ajoutent chaque année au stock dans le milieu aquatique. Elle a fait l'objet d'un premier traité international : le traité d'Ottawa.

Les conséquences de cette pollution sont multiples. Elles concernent notamment :

  • la biodiversité : la vie sauvage, ses habitats et les organismes vivants, les animaux marins étant particulièrement touchés. Les animaux le sont par l'ingestion de plastiques, par l'enchevêtrement dans les déchet et par l'exposition à des milliers de produits chimiques (colorants, plastifiants, métaux et autres additifs) libérés par les plastiques lors de leur vieillissement, de leur usures et dégradation ou par leur combustion. Secondairement, les êtres humains sont aussi touchés[1] ;
  • la santé humaine, animale et écosystémique : les microplastiques, omniprésents dans notre vie quotidienne et dans l’environnement, pénètrent les organismes et ont des effets encore mal connus sur la santé. La plupart de ces composés interfèrent négativement avec la physiologie des êtres vivants, perturbant notamment divers mécanismes hormonaux. Micro- et nanoplastiques sont de plus en plus présents dans les organismes et leurs organes, et jusque dans le placenta humain ;
  • les collectivités et l'économie, en raison notamment des coûts de gestion et de recyclage ou élimination des déchets plastiques, des coûts de restauration des écosystèmes et des impacts sur le tourisme et la pêche. Le système mondial de gestion de la production, utilisation, recyclage et élimination des matières plastique est défaillant. L'Industrie du plastique ne recycle qu'une faible part du plastique déjà produit ;
  • le climat : le plastique contribue au dérèglement climatique, par les gaz à effet de serre émis durant son cycle de vie.

Les causes de cette pollution sont liées à la production massive de plastique, à son faible taux de recyclage effectif par l'industrie du plastique et à une gestion inadéquate des déchets. Les plastiques à usage unique, comme les sacs et les bouteilles, l'usure des pneus et des peintures routières sont particulièrement problématiques.

La pollution par le plastique est corrélée au fait que les plastiques sont massivement produits (essentiellement à partir de dérivés pétroliers), sont appréciés pour leur faible coût, leur durabilité et la variété des usages que l'on peut en faire. Cela a entraîné leur utilisation massive et souvent sous forme jetable, voire conçus pour être rapidement obsolescents. Leur durabilité en fait cependant des matériaux très persistants dans l'environnement, se fragmentant progressivement en microplastiques et nanoplastiques. D'infimes particules de plastiques sont désormais omniprésentes dans les océans et jusque dans les nappes et la plupart des organismes. Elle est également due à la faible dégradabilité des plastiques.

État des lieux

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Statistiques

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La masse des déchets plastiques progresse de plus de 3 % par an depuis 2010 et atteint à l'échelle mondiale 310 Mt (millions de tonnes) en 2016. La production de plastique, estimée à 396 Mt en 2016 dans un rapport du WWF, pourrait dépasser 550 Mt dans 30 ans. Or un bon tiers de ces déchets plastiques, soit une centaine de millions de tonnes par an, échappe à tout traitement (mise en décharge, incinération, recyclage) et part se perdre dans la nature. Les neuf dixièmes vont se répandre et s'accumuler dans les écosystèmes terrestres, le reste finit dans les océans à raison de plus de 9 millions de tonnes par an. Le WWF prévoit que la pollution plastique cumulée des océans pourrait atteindre 300 Mt d'ici à 2030, sur la base des prévisions actuelles ; les mers du globe porteront alors le même poids de déchets que de poissons. Selon une récente étude de la Banque mondiale, l'est de l'Asie et des pays du Pacifique est plus pollué, avec 57 Mt (millions de tonnes), que l'Europe et l'Asie centrale (45 Mt) et l'Amérique du Nord (35 Mt). À elle seule, la mer Méditerranée reçoit chaque année quelque 600 000 tonnes de plastiques sur les 24 Mt de déchets produits par ses 22 pays riverains. Le WWF a recensé plus de 270 espèces victimes d'enchevêtrement et plus de 240 victimes d'absorption de plastique. Les émissions de dioxyde de carbone résultant de l'incinération des déchets plastiques (15 % des déchets produits) ou de leur déversement à ciel ouvert (14 %) pourraient tripler d'ici à 2030 et atteindre annuellement 350 millions de tonnes[2].

Dans l'année 2017, la Chine, l'Indonésie, les Philippines, la Thaïlande et le Viêt Nam rejettent plus de déchets plastiques dans la mer que tous les autres pays du monde réunis[3] : ces cinq pays d'Asie sont à l'origine de 80 % des déchets plastiques rejetés en mer (4 Mt par an). Mais il faut souligner que le continent asiatique accueille les ordures d'une vingtaine de pays développés. Par exemple, l'Union Européenne exporte la moitié de ces déchets plastiques dont 85 % prennent la direction de la Chine qui absorbe à elle seule 56 % des déchets plastiques de la planète ; et quand la Chine décide au début de l'année 2018 de ne plus être la poubelle du monde, les exportations des déchets sont « réorientées » en partie vers les pays d'Asie du Sud-Est ; les États-Unis exportent eux-aussi massivement leurs déchets plastiques[4]... C'est pourquoi les fleuves Yangzi Jiang, Indus, Jaune, Hai He, Gange, Perles, Amour et le Mékong fournissent, avec le Nil et le Niger, 95% des plastiques qui envahissent les océans[5],[6].

Selon un rapport de l'ONU, en seulement 65 ans, l'homme a produit 9 milliards de tonnes de plastique. Depuis 1945, la production mondiale de plastique n'a cessé d'augmenter, atteignant 359 millions de tonnes en 2018[7]. Cette valeur monte à 438 millions de tonnes si l'on prend en compte les plastiques utilisés dans les textiles et le caoutchouc synthétique, et elle est en forte croissance, poussée par le secteur de l'emballage, qui dépense un tiers des plastiques au niveau mondial, plastiques qui deviennent donc des déchets en même pas un an d'usage[8]. Chaque seconde, 100 tonnes de déchets (sur les 4 milliards produites annuellement) finissent dans les mers et les océans[9], une grande partie de cette contamination du milieu marin par les plastiques (plus de 8 millions de tonnes[10] de déchets plastiques déversées annuellement dans les océans)[11].

Selon les opérations de nettoyage menées chaque année par Break Free From Plastic, organisation internationale qui réunit 1 700 mouvements de la société civile, les trois plus grand pollueurs de plastique de la planète en 2018 sont Coca-Cola, PepsiCo et Nestlé[12] « qui représentent à eux seuls près de 45 % des déchets retrouvés dans les opérations de ramassage de l'ONG[13] ». Au risque d'être accusées de greenwashing, les multinationales multiplient les promesses de réduction de l'impact environnemental de leurs emballages en plastique[14].

Une étude internationale publiée en septembre 2020 dans la revue Science par une équipe de chercheurs internationaux estime qu'entre 24 et 35 millions de tonnes de déchets plastiques pénètrent chaque année dans le milieu aquatique[15].

Le rapport « Mare Plasticum : The Mediterranean » publié en par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) évalue à environ 229 000 tonnes la masse de déchets plastiques déversés chaque année dans la Méditerranée, masse qui pourrait doubler d'ici à 2040 si aucune mesure ambitieuse n'est rapidement prise. L'Égypte rejette à elle seule 74 000 tonnes de déchets plastiques par an, suivie par l'Italie (34 000 tonnes) et la Turquie (24 000 tonnes). Par tête d'habitant, le Monténégro apparaît comme le plus polluant (8 kilos par habitant et par an), devant la Bosnie-Herzégovine et la Macédoine (3 kilos)[16].

En mai 2021, un rapport publié par la fondation australienne Minderoo estime que vingt entreprises produisent 55 % des plastiques à usage unique dans le monde. 19 % de ces déchets auraient été rejetés dans l’environnement[17].

Modes de nuisances

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Les organismes vivants, en particulier les animaux marins, peuvent être endommagés soit par des effets mécaniques, tels que l'enchevêtrement dans des objets en plastique, des problèmes liés à l'ingestion de déchets plastiques, soit par l'exposition à des produits chimiques contenus dans les plastiques qui interfèrent avec leur physiologie[18].

La pollution plastique est due à la faible dégradabilité des plastiques[19].

Les microplastiques ont un comportement spécial, en particulier ils peuvent faire de façon naturelle le tour du monde très rapidement : emportés du sol ou des océans par les vents, ils vont jusque dans la troposphère, et voyagent alors comme s'ils étaient sur des autoroutes à toutes destinations, et arrivent dans des lieux qui pourraient être sans polluants, comme les hautes montagnes ou l’Antarctique. Certaines de ces particules de plastique, d'une taille de l'ordre du micron, pourraient être respirées. Ils se retrouvent par exemple aux sommets des Pyrénées, venant de l'Afrique du Nord, passant au-dessus de la mer Méditerranée, mais pouvant tout aussi bien transiter par l'Amérique du Nord pour arriver au même endroit. Les quantités relevées au pic du Midi d'Ossau sont sans risques pour la santé, mais, leur origine locale étant exclue, elles prouvent qu'il n'y a pas de zones préservées. Elles prouvent aussi qu'il n'y a pas de stockage naturel de ces particules quelque part sur la planète : la pollution plastique ne se résorbe pas. Il ne sert à rien d'envoyer ces déchets à l'étranger, espérant ne plus les voir : ils reviennent[20],[21].

Lutte contre la pollution par les plastiques

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Diverses initiatives ont été prises pour réduire cette pollution en amont, par un meilleur tri et une meilleure récupération des déchets, et parfois par une réduction de la consommation du plastique accompagnant la promotion du recyclage du plastique[22].

Des jeunes du Sénégal créent un déguisement entièrement composé de sachets en plastique pour sensibiliser les populations.

Des ONG dénoncent également l'usage abusif et croissant de microplastiques et microbilles de plastique dans les produits cosmétiques et de soins, et demandent aux décideurs et aux fabricants de bannir les microbilles de plastique de leurs produits.

En 2013, plusieurs États des États-Unis (notamment des États riverains des Grands Lacs) ont commencé à légiférer pour interdire ces produits[23], avec une interdiction effective avant fin 2016 pour les États de New-York et de Californie (avec un délai d'un an supplémentaire si le produit cosmétique est aussi reconnu comme médicament par la Food and Drug Administration).

Pour éviter la pollution plastique, certains pays comme le Rwanda ont adopté une nouvelle politique. En effet, dans ce pays, utiliser du plastique est passible d’une peine de 6 mois à 1 an d’emprisonnement et au Kenya de 4 ans. Il existe des contrôles dans les commerces où le moindre morceau de plastique détecté peut faire fermer le commerce. Le Rwanda a également pris comme mesure de sensibiliser les enfants à l’école sur les conséquences de la pollution plastique pour l'environnement et l’importance de recycler. Cette sensibilisation est également présente dans le cadre politique. À la suite de cela, beaucoup de personnes nettoient d’elles-mêmes la rue[24].

Une étude commandée par le Sénat à l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques, dite Opecst, montre que la situation en France en 2020 est mauvaise. Le modèle reposant sur le recyclage est un échec. Le recyclage n'est pas rentable. Le taux de plastique recyclé est en France en 2018 de 24,2 %, taux qualifié de médiocre par cet organisme. De nombreux plastiques ne sont pas recyclables, et divers plastiques fabriqués dans le passé contiennent des substances devenues interdites. Les politiques de réduction de la consommation de plastiques sont trop limitées ; l'interdiction des sacs à usage unique, à partir de 2016, même suivie en 2022 de l'interdiction de l'emballage des fruits et légumes, est complètement insuffisante. La solution, selon cet organisme, est de revoir nos modes de production et de consommation, et surtout de surconsommation[8],[25].

L'Union européenne institue une taxe, appliquée à partir du , sur le poids des déchets d'emballages plastiques non recyclés, avec un taux de 80 centimes d'euro par kilogramme. La France, pénalisée par son taux de recyclage médiocre, pourrait devoir verser 1,3 à 1,4 milliard d'euros par an pour s'en acquitter ; l'État pourrait décider d'en répercuter le coût sur les éco-organismes, sur les collectivités locales ou sur les distributeurs et fabricants[26].

En 2022, des négociations démarrent dans le cadre de l'ONU, afin d'aboutir à un traité international contre la pollution plastique[27]. La deuxième session d'un cycle qui doit en compter cinq se tient à Paris du 29 mai au 2 juin au siège de l'Unesco : les 175 pays présents décident qu'une première version du futur traité serait rédigée d'ici à la prochaine session de discussions, prévue pour novembre 2023 à Nairobi au Kenya. Plusieurs pays, gros consommateurs et producteurs de pétrole ou de plastiques (pays du Golfe et notamment Arabie saoudite, Chine, Brésil, Inde), refusent que le texte puisse être adopté à une majorité des deux tiers. Les pays les plus ambitieux prônent une action volontariste sur la production, et les autres estiment que s'attaquer aux déchets suffira. La Coalition pour une haute ambition menée par la Norvège et le Rwanda, comptant 53 pays, dont l'Union Européenne, a rallié cinq nouveaux membres, dont le Japon[28].

Par ailleurs, la pêche est une contributrice majeure de la pollution par le plastique plastique des océans. Plus des trois quarts des débris flottants du vortex de déchets du Pacifique nord proviennent d'activités de pêche[29].

Typologie de pollutions par le plastique

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Pollution plastique sur des plantes.

La pollution plastique est constituée :

  • d'amoncellement de (macro-)déchets, avec notamment une accumulation de déchets en mer (portés par le vent, la pluie et les cours d'eau), la pollution de l'eau par les déchets et fragments ou microparticules de plastiques ;
  • des microplastiques issus de la dégradation d'éléments plus gros sous l'effet des éléments (eau, soleil, usure, etc.) remontant la chaine alimentaire ;
  • de l'arrivée dans les cours d'eau puis en mer de microbilles de plastique issues de produits cosmétiques et de produits de soins du corps en contenant (plus de six cents produits différents rien qu'aux États-Unis[30]).

La directive (UE) 2019/904 du 5 juin 2019 vise « la réduction de l'incidence de certains produits en plastique sur l'environnement ».

En France, la loi no 2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire doit contribuer à mieux recycler le plastique[31].


Notes et références

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(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Plastic pollution » (voir la liste des auteurs).
  1. (en) « Plastic pollution », Encyclopædia Britannica.
  2. Plastique : une pollution qui vire au désastre écologique, Les Échos, 12 juin 2019
  3. (en) Hannah Leung, « Five Asian Countries Dump More Plastic Into Oceans Than Anyone Else Combined: How You Can Help », Forbes,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « China, Indonesia, Philippines, Thailand, and Vietnam are dumping more plastic into oceans than the rest of the world combined, according to a 2017 report by Ocean Conservancy »

    .
  4. Fabrice Barbian, « L'Asie du Sud-Est, poubelle des plastiques européens », Gavroche Thaïlande, no 289,‎ , p. 50 et 51 (lire en ligne [PDF]).
  5. (en) Christian Schmidt, Tobias Krauth et Stephan Wagner, « Export of Plastic Debris by Rivers into the Sea », Environmental Science & Technology, vol. 51, no 21,‎ , p. 12246–12253 (PMID 29019247, DOI 10.1021/acs.est.7b02368, Bibcode 2017EnST...5112246S) :

    « The 10 top-ranked rivers transport 88–95% of the global load into the sea »

    .
  6. (en) Harald Franzen, « Almost all plastic in the ocean comes from just 10 rivers », Deutsche Welle,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « It turns out that about 90 percent of all the plastic that reaches the world's oceans gets flushed through just 10 rivers: The Yangtze, the Indus, Yellow River, Hai River, the Nile, the Ganges, Pearl River, Amur River, the Niger, and the Mekong (in that order). »

  7. « Production of plastics worldwide from 1950 to 2018 », sur statista.com (consulté le ).
  8. a et b « Plastique : les dangers d’une pollution incontrôlée », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  9. Roselyne Messal, « Les déchets plastique dans les océans », sur futura-sciences.com, .
  10. Entre 4.8 et 12.7 millions de tonnes de déchets, selon les marges d'erreur importantes. Cf (en) Jennifer A. Brandon, William Jones & Mark D. Ohman, « Multidecadal increase in plastic particles in coastal ocean sediments », Science Advances, vol. 5, no 9,‎ (DOI 10.1126/sciadv.aax0587).
  11. Marion Durand, « La quantité de plastique dans les océans a explosé depuis 1945 », sur huffingtonpost.fr, .
  12. « Pollution: la célèbre boîte en plastique jaune de Nesquik, c'est fini », sur ladepeche.fr, .
  13. « Nestlé La fameuse boîte jaune Nesquik va disparaître », sur lavoixdunord.fr, .
  14. « Plastique: Le groupe Unilever (Knorr, Lipton, Magnum, Dove...) va changer ses emballages », sur lavoixdunord.fr, .
  15. (en) « Predicting the Future of Plastic Pollution and Why Cleanup is Part of the Solution », sur theoceancleanup.com, .
  16. Un rapport pointe l'inflation galopante des plastiques en mer Méditerranée, Les Échos, 28 octobre 2020.
  17. Reporterre, « 20 entreprises produisent 55 % des déchets plastiques du monde », sur Reporterre, le quotidien de l'écologie (consulté le ).
  18. « Le plastique colonise les océans », sur sciencesetavenir.fr (consulté le ).
  19. (en) Ronald E. Hester et R. M. Harrison (éditeurs), Marine Pollution and Human Health, Royal Society of Chemistry, , 168 p. (ISBN 978-1-84973-240-6 et 1-84973-240-X, lire en ligne), p. 84-85.
  20. Le Monde avec AFP, « Des microplastiques venus des océans détectés dans l’air au-dessus des Pyrénées », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès libre).
  21. « Des chercheurs grenoblois ont contribué à révéler la présence de microplastiques dans l’air à haute altitude », sur Place Gre'net, (consulté le ).
  22. (en) Bonnie Malkin, « Australian town bans bottled water », The Daily Telegraph, .
  23. Governor Quinn Signs Bill to Ban Microbeads, Protect Illinois Waterways, Illinois Government News Network, 8 juin 2014.
  24. Kimiko de Freytas – Tamura (New York Times), « « Au pays du plastique illégal » », We Demain,‎ , p. 60-63.
  25. « Pollution plastique : une bombe à retardement ? », sur www.senat.fr (consulté le ).
  26. Plastique : la nouvelle taxe européenne va coûter cher à la France, Les Échos, 23 juillet 2020.
  27. Stéphane Mandard, « Début des négociations intergouvernementales sur le traité international contre la pollution plastique », sur Le Monde, (consulté le ).
  28. Pollution plastique : l'ONU franchit une étape importante vers un traité contraignant, Les Échos, 4 juin 2023.
  29. (en) Hannah Ritchie, « Most plastic in the Great Pacific Garbage Patch comes from the fishing industry », sur Our World in Data, (consulté le ).
  30. Becker, L. C., Bergfeld, W. F., Belsito, D. V., Hill, R. A., Klaassen, C. D., Liebler, D. C., … et Andersen, F. A. (2014), « Safety assessment of modified terephthalate polymers as used in cosmetics », International Journal of Toxicology, 33 (3 suppl), 36S-47S
  31. Loïc Peyen, « Pollution plastique », sur Revue juridique de l’environnement (ISSN 0397-0299, consulté le ).

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Bibliographie et sources en ligne

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  • Éric Fottorino, Patric Deixonne, Gilles Bœuf et al., « (divers articles) », Le 1, no 13 « Alerte - Le plastique serial killer des océans  »,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  • Nathalie Gontard, chercheuse en sciences de l'aliment et de l'emballage et avec Hélène Seingier, Plastique: Le grand emballement, Stock, , 265 p., 22 cm (ISBN 978-2-234-08848-1, SUDOC 249728648).
  • Florian Delorme reçoit Pascale Fabre, physico-chimiste, directrice de recherche au CNRS, Laboratoire Charles Coulomb, directrice du GDR « Polymère et Océans » et Ika Paul-Pont, chargée de recherche CNRS en écotoxicologie marine au Laboratoire LEMAR de l’Université de Brest, « [Série « Océans : un monde à protéger »] : Épisode 3/4 : Plastique : le grand naufrage », sur France Culture : Cultures Monde, (consulté le ).

Articles connexes

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Liens externes

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