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Saint-Barthélemy-de-Vals

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Saint-Barthélemy-de-Vals
Saint-Barthélemy-de-Vals
Image illustrative de l’article Saint-Barthélemy-de-Vals
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Communauté de communes Porte de DrômArdèche
Maire
Mandat
Ludwig Montagne
2020-2026
Code postal 26240
Code commune 26295
Démographie
Population
municipale
1 847 hab. (2021 en évolution de −1,39 % par rapport à 2015)
Densité 91 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 10′ 12″ nord, 4° 52′ 21″ est
Altitude Min. 138 m
Max. 355 m
Superficie 20,27 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Vallier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Vallier (Drôme)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Barthélemy-de-Vals
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Saint-Barthélemy-de-Vals
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Saint-Barthélemy-de-Vals
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Saint-Barthélemy-de-Vals
Liens
Site web www.saint-barthelemy-de-vals.fr

Saint-Barthélemy-de-Vals [sɛ̃ baʁtelemi də vals] est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Situation et description

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Saint-Barthélemy-de-Vals.

La commune de Saint-Barthélemy-de-Vals se situe dans la Drôme des Collines, et plus précisément dans la vallée de la Galaure.
Le village se situe à 6 km à l'est de Saint-Vallier (chef-lieu du canton), à 30 km environ au nord de Valence et à 70 km au sud de Lyon.

Communes limitrophes

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Relief et géologie

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Hydrographie

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En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 903 mm, avec 7,9 jours de précipitations en janvier et 5,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 860,4 mm[3],[4]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[5].

Statistiques 1991-2020 et records ST-BARTHELEMY-V_SAPC (26) - alt : 203m, lat : 45°10'25"N, lon : 4°54'08"E
Records établis sur la période du 01-01-1961 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,6 0,6 3,1 5,9 9,9 13,2 14,5 14,1 10,9 8,3 4,1 1,3 7,2
Température moyenne (°C) 4 5 8,7 12 16,2 19,9 21,8 21,5 17,4 13,3 7,9 4,7 12,7
Température maximale moyenne (°C) 7,5 9,3 14,4 18,1 22,4 26,6 29,1 28,8 23,8 18,3 11,8 8 18,2
Record de froid (°C)
date du record
−23,8
06.01.1971
−16
05.02.1963
−11,9
02.03.05
−5,9
08.04.21
−2,4
02.05.1962
2,5
01.06.1986
2,8
06.07.1965
2,2
30.08.1986
−0,4
29.09.1972
−5,7
31.10.1997
−11,2
28.11.1985
−17,4
28.12.1962
−23,8
1971
Record de chaleur (°C)
date du record
19,2
10.01.15
21,9
23.02.20
25,9
25.03.1994
29,6
24.04.07
35,2
24.05.09
39,8
27.06.19
40,5
24.07.19
42,5
22.08.23
34,8
01.09.1961
30
05.10.1966
24,3
02.11.1970
19,3
16.12.1989
42,5
2023
Précipitations (mm) 53,3 41,4 49,8 69,6 79,6 65,1 60,3 62,2 100,6 120,9 105,7 51,9 860,4
Source : « Fiche 26295001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Voies de communication et transports

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L'autoroute A7 (Route européenne 15) traverse le territoire de la commune selon un axe nord-sud. Le péage le plus proche est situé sur la commune voisine de Mercurol

Au , Saint-Barthélemy-de-Vals est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[6]. Elle est située hors unité urbaine[7]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Vallier, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[7]. Cette aire, qui regroupe 9 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8],[9].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (64,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (35,8 %), forêts (32,7 %), terres arables (24,9 %), zones urbanisées (3,5 %), prairies (3,1 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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Hameaux et lieux-dits

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Projets d'aménagement

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Risques naturels et technologiques

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Risques sismiques

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Autres risques

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Attestations

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Dictionnaire topographique du département de la Drôme[11] :

  • 958 : locus Sancti Bartholemei (cartulaire de Saint-Chaffre, 15).
  • 1179 : mention de l'église du prieuré : ecclesia Sancti Bartholomei (cartulaire de Saint-Chaffre, 33).
  • XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus Sancti Bartholomei de Marnas (pouillé de Vienne).
  • 1555 : Sainct Bartholomieu (terrier de Diane de Poitiers).
  • 1788 : Saint Barthélemy de Val (Alman. du Dauphiné).
  • 1891 : Saint-Barthélemy-de-Vals, commune du canton de Saint-Vallier.

Étymologie

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Préhistoire

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Le site des Roches qui dansent a pu être considéré par certains comme un cromlech mais il s'agit en fait d'une formation naturelle.

Le site de la chapelle Notre-Dame-de-Vals, juchée sur son piton rocheux qui domine la Galaure, a été occupé dès l'âge de bronze[réf. nécessaire].

Protohistoire

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Fin XIXe siècle, des sépultures celtiques ont été découvertes sur le site des Roches qui dansent[réf. nécessaire].

Antiquité : les Gallo-romains

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Le général Quintius Fabius Maximus a livré bataille contre les Gaulois (vers Douévas)[réf. nécessaire].

Du Moyen Âge à la Révolution

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La seigneurie :

Vers 1355-1375, la chapelle est érigée en guise de protection contre les épidémies de peste[réf. nécessaire]

XVe siècle : séjour du futur roi Louis XI au château[réf. nécessaire].

XVe siècle : un péage est mentionné à Villeneuve (supprimé au XVIIIe siècle)[12].

Pendant les guerres de Religion, le château et la chapelle sont dégradés[réf. nécessaire].

1586 : Jean de la Croix-Chevrière achète le château[réf. nécessaire]
C’est aussi à cette époque que le seigneur de Saint-Vallier fait construire une maison et un hospice dans l'enceinte du château[réf. nécessaire].
Jusqu’à la fin du XVIIe, la chapelle continue d’attirer des pèlerins qui y montent plusieurs fois l'an[réf. nécessaire].

1780 : ouverture de la route de la Galaure en 1780 qui sort le lieu de son isolement[réf. nécessaire].

Avant 1790, Saint-Barthélemy-de-Vals était une paroisse de la communauté de Vals et du diocèse de Vienne, dont l'église était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoît et de la dépendance de l'abbaye de Saint-Chaffre-le-Monestier. Ce prieuré, fondé en 1058 au lieu-dit de Marnas par les comtes de Valentinois, fut ensuite transféré à Saint-Barthélemy. Le prieur était collateur et décimateur dans la paroisse.
Le territoire fait partie du mandement de Vals (voir le château de Vals, commune de Saint-Uze)[11].

De la Révolution à nos jours

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Le comité révolutionnaire de Saint-Vallier déclare que la place forte est un lieu de réunion de fanatiques et qu'il convient de considérer la chapelle comme un bien national et que son toit doit être brûlé.
Jean de la Croix-Chevrière, ne pouvant prouver son statut de propriétaire, perd ses biens[réf. nécessaire].

En 1790, la paroisse devint une commune du canton de Saint-Vallier[11].

En 1893, la commune voit l'arrivée de la voie de chemin de fer reliant Saint-Vallier au Grand-Serre. Un tunnel de 43 m est percé dans le piton rocheux et une station est créée, celle de la « roche taillée ». Un pont est ensuite construit au-dessus de la Galaure[réf. nécessaire].

Politique et administration

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Tendance politique et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1871   ?    
1874   ?    
1878   ?    
1884   ?    
1888   ?    
1892   ?    
1896   ?    
1900   ?    
1904   ?    
1908   ?    
1912   ?    
1919   ?    
1925   ?    
1929   ?    
1935   ?    
1945   ?    
1947   ?    
1953   ?    
1959   ?    
1965   ?    
1971   ?    
1977   Frédéric Duclaux    
1983 1989 Jeanine Bathendier DVG  
1989 1995 Bernard Guimbaud PS  
1995 2001 Bernard Guimbaud   maire sortant
2001 mars 2006 Jean Lopez PS  
mars 2006
(statut ?)
2008 Maryse Albert    
2008 2014 Pierre Montagne DVG retraité
2014 2020 Pierre Montagne   maire sortant
2020 En cours
(au 28 décembre 2020)
Ludwig Montagne[13][source insuffisante]    

Rattachements administratifs et électoraux

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Politique environnementale

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Finances locales

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[15].

En 2021, la commune comptait 1 847 habitants[Note 2], en évolution de −1,39 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7017047538051 0431 1181 2521 3211 352
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3861 4151 4281 4551 5181 4861 5451 5711 546
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5131 3721 3131 1481 1371 1311 1161 0511 078
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 1321 1531 1641 3651 6371 6251 7091 7481 881
2014 2019 2021 - - - - - -
1 8581 8581 847------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[17].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements

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Enseignement

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La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Manifestations culturelles et festivités

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  • Fête patronale : le dimanche avant le [12].
  • Fête communale : le premier dimanche de septembre[12].
Le lac des Vernets de Galaure.

La population de la commune a accès à plusieurs médias :

Un pèlerinage à la chapelle Notre-Dame-de-Vals et un office ont lieu tous les [réf. nécessaire].

Agriculture

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En 1992 : céréales, vignes, vergers, bovins, caprins[12].

La commune abrite le siège social de Bartel (maroquinerie) qui a réalisé 42 millions de chiffre d'affaires en 2019 et emploie 330 salariés[18].

Revenus de la population et fiscalité

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Ruines du château médiéval des dauphins sur un pic isolé[12].
  • Chapelle Notre-Dame-de-Vals (agrandie au XVIe siècle)[12].
  • Rochain : ancienne maison forte construite au XVe siècle[réf. nécessaire].
  • Château de Marnas et sa chapelle[12] (propriété privée).
  • Hospice de Rochetaillé[12].
  • Chapelle de Villeneuve (propriété privée)[réf. nécessaire].
  • Fontaine[12].
  • Deux lavoirs : un dans le village (en bon état) et un autre au quartier de Villeneuve (qui doit être restauré)[réf. nécessaire].
  • Église Saint-Barthélemy de Saint-Barthélemy-de-Vals, du village (XIXe siècle)[12].
  • Les gorges de Rochetaillée ont été creusées de main d'homme[12].
  • Ancienne usine à Villeneuve dont il ne reste que la cheminée (ancienne briqueterie ou tuilerie)[réf. nécessaire].
  • Ancienne usine de la vallée de la Galaure qui produisait initialement des fours industriels et qui aujourd'hui abrite en grande partie des bureaux[réf. nécessaire].

Patrimoine culturel

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Patrimoine naturel

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  • Le site des Roches qui dansent (classé) est un chaos naturel. Il est aussi appelé sur certaines cartes Cromlech de la Roche-qui-danse[12].
Il est situé au quartier de Douévas, au débouché oriental du ruisseau de Ponsas, au sud de la commune.
La légende locale raconte que durant la nuit de Noël les pierres dansaient. Cette légende viendrait de l'existence sur le site d'une pierre branlante. Le site serait le lieu de refuge des fées. Certains y ont imaginé des cérémonies druidiques[réf. nécessaire].
  • Le marais des Vernets est géré par le CREN qui désire le classer en espace Naturel[réf. nécessaire].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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Saint-Barthélemy-de-Vals possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Joseph Bordas, Notice sur Saint-Barthélemy-de-Vals et les Roches qui dansent de Douévas, 1895, 18 pages[19],[20].

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Station Météo-France « Saint-Barthélemy-V_sapc » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Barthélemy-V_sapc » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  6. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  7. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Vallier », sur insee.fr (consulté le ).
  9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  11. a b et c J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 331.
  12. a b c d e f g h i j k l m n et o Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Saint-Barthélemy-de-Vals.
  13. « Annuaire des Communes de la Drôme », sur Association des Maires et Présidents de… (consulté le ).
  14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  18. « bartel : identité et bilans », sur verif.com (consulté le ).
  19. Joseph Auteur du texte Bordas, Notice sur Saint-Barthélemy-de-Vals et les Roches qui dansent de Douévas / par Joseph Bordas,..., (lire en ligne)
  20. « Notice sur Saint-Barthélemy-de-Vals et les Roches qui dansent de Douévas », sur Babelio (consulté le ).