Saint-Barthélemy-de-Vals
Saint-Barthélemy-de-Vals | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Valence | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Porte de DrômArdèche | ||||
Maire Mandat |
Ludwig Montagne 2020-2026 |
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Code postal | 26240 | ||||
Code commune | 26295 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 847 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 91 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 10′ 12″ nord, 4° 52′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 138 m Max. 355 m |
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Superficie | 20,27 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Saint-Vallier (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Vallier (Drôme) | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | www.saint-barthelemy-de-vals.fr | ||||
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Saint-Barthélemy-de-Vals [sɛ̃ baʁtelemi də vals] est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation et description
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Barthélemy-de-Vals se situe dans la Drôme des Collines, et plus précisément dans la vallée de la Galaure.
Le village se situe à 6 km à l'est de Saint-Vallier (chef-lieu du canton), à 30 km environ au nord de Valence et à 70 km au sud de Lyon.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Laveyron | Saint-Uze | Saint-Jean-de-Galaure | ||
Saint-Vallier Ponsas |
N | Claveyson Bren | ||
O Saint-Barthélemy-de-Vals E | ||||
S | ||||
Érôme | Chantemerle-les-Blés | Marsaz |
Relief et géologie
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 903 mm, avec 7,9 jours de précipitations en janvier et 5,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 860,4 mm[3],[4]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[5].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,6 | 0,6 | 3,1 | 5,9 | 9,9 | 13,2 | 14,5 | 14,1 | 10,9 | 8,3 | 4,1 | 1,3 | 7,2 |
Température moyenne (°C) | 4 | 5 | 8,7 | 12 | 16,2 | 19,9 | 21,8 | 21,5 | 17,4 | 13,3 | 7,9 | 4,7 | 12,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,5 | 9,3 | 14,4 | 18,1 | 22,4 | 26,6 | 29,1 | 28,8 | 23,8 | 18,3 | 11,8 | 8 | 18,2 |
Record de froid (°C) date du record |
−23,8 06.01.1971 |
−16 05.02.1963 |
−11,9 02.03.05 |
−5,9 08.04.21 |
−2,4 02.05.1962 |
2,5 01.06.1986 |
2,8 06.07.1965 |
2,2 30.08.1986 |
−0,4 29.09.1972 |
−5,7 31.10.1997 |
−11,2 28.11.1985 |
−17,4 28.12.1962 |
−23,8 1971 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19,2 10.01.15 |
21,9 23.02.20 |
25,9 25.03.1994 |
29,6 24.04.07 |
35,2 24.05.09 |
39,8 27.06.19 |
40,5 24.07.19 |
42,5 22.08.23 |
34,8 01.09.1961 |
30 05.10.1966 |
24,3 02.11.1970 |
19,3 16.12.1989 |
42,5 2023 |
Précipitations (mm) | 53,3 | 41,4 | 49,8 | 69,6 | 79,6 | 65,1 | 60,3 | 62,2 | 100,6 | 120,9 | 105,7 | 51,9 | 860,4 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]L'autoroute A7 (Route européenne 15) traverse le territoire de la commune selon un axe nord-sud. Le péage le plus proche est situé sur la commune voisine de Mercurol
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Barthélemy-de-Vals est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[6]. Elle est située hors unité urbaine[7]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Vallier, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[7]. Cette aire, qui regroupe 9 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8],[9].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (64,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (35,8 %), forêts (32,7 %), terres arables (24,9 %), zones urbanisées (3,5 %), prairies (3,1 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Logement
[modifier | modifier le code]Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Risques sismiques
[modifier | modifier le code]Autres risques
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestations
[modifier | modifier le code]Dictionnaire topographique du département de la Drôme[11] :
- 958 : locus Sancti Bartholemei (cartulaire de Saint-Chaffre, 15).
- 1179 : mention de l'église du prieuré : ecclesia Sancti Bartholomei (cartulaire de Saint-Chaffre, 33).
- XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus Sancti Bartholomei de Marnas (pouillé de Vienne).
- 1555 : Sainct Bartholomieu (terrier de Diane de Poitiers).
- 1788 : Saint Barthélemy de Val (Alman. du Dauphiné).
- 1891 : Saint-Barthélemy-de-Vals, commune du canton de Saint-Vallier.
Étymologie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]Le site des Roches qui dansent a pu être considéré par certains comme un cromlech mais il s'agit en fait d'une formation naturelle.
Le site de la chapelle Notre-Dame-de-Vals, juchée sur son piton rocheux qui domine la Galaure, a été occupé dès l'âge de bronze[réf. nécessaire].
Protohistoire
[modifier | modifier le code]Fin XIXe siècle, des sépultures celtiques ont été découvertes sur le site des Roches qui dansent[réf. nécessaire].
Antiquité : les Gallo-romains
[modifier | modifier le code]Le général Quintius Fabius Maximus a livré bataille contre les Gaulois (vers Douévas)[réf. nécessaire].
Du Moyen Âge à la Révolution
[modifier | modifier le code]La seigneurie :
- La terre est un fief du comté d'Albon[12].
- Les seigneurs de Siboud dirigeaient le fief de Vals (territoire allant de Laveyron à Ponsas et englobant Saint-Uze et Saint-Barthélemy-de-Vals)[réf. nécessaire].
- Le château est vendu au dauphin Humbert Ier de Viennois[réf. nécessaire]. Il semble avoir essentiellement joué un rôle de prison ou de logement pour les officiers de justice du dauphin[réf. nécessaire].
- 1343 : la terre passe à la couronne de France[réf. nécessaire].
- XVe siècle : le mandement de Vals est transmis aux Poitiers[réf. nécessaire].
Vers 1355-1375, la chapelle est érigée en guise de protection contre les épidémies de peste[réf. nécessaire]
XVe siècle : séjour du futur roi Louis XI au château[réf. nécessaire].
XVe siècle : un péage est mentionné à Villeneuve (supprimé au XVIIIe siècle)[12].
Pendant les guerres de Religion, le château et la chapelle sont dégradés[réf. nécessaire].
1586 : Jean de la Croix-Chevrière achète le château[réf. nécessaire]
C’est aussi à cette époque que le seigneur de Saint-Vallier fait construire une maison et un hospice dans l'enceinte du château[réf. nécessaire].
Jusqu’à la fin du XVIIe, la chapelle continue d’attirer des pèlerins qui y montent plusieurs fois l'an[réf. nécessaire].
1780 : ouverture de la route de la Galaure en 1780 qui sort le lieu de son isolement[réf. nécessaire].
Avant 1790, Saint-Barthélemy-de-Vals était une paroisse de la communauté de Vals et du diocèse de Vienne, dont l'église était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoît et de la dépendance de l'abbaye de Saint-Chaffre-le-Monestier. Ce prieuré, fondé en 1058 au lieu-dit de Marnas par les comtes de Valentinois, fut ensuite transféré à Saint-Barthélemy. Le prieur était collateur et décimateur dans la paroisse.
Le territoire fait partie du mandement de Vals (voir le château de Vals, commune de Saint-Uze)[11].
De la Révolution à nos jours
[modifier | modifier le code]Le comité révolutionnaire de Saint-Vallier déclare que la place forte est un lieu de réunion de fanatiques et qu'il convient de considérer la chapelle comme un bien national et que son toit doit être brûlé.
Jean de la Croix-Chevrière, ne pouvant prouver son statut de propriétaire, perd ses biens[réf. nécessaire].
En 1790, la paroisse devint une commune du canton de Saint-Vallier[11].
En 1893, la commune voit l'arrivée de la voie de chemin de fer reliant Saint-Vallier au Grand-Serre. Un tunnel de 43 m est percé dans le piton rocheux et une station est créée, celle de la « roche taillée ». Un pont est ensuite construit au-dessus de la Galaure[réf. nécessaire].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendance politique et résultats
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Finances locales
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[15].
En 2021, la commune comptait 1 847 habitants[Note 2], en évolution de −1,39 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Services et équipements
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.
Santé
[modifier | modifier le code]Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Loisirs
[modifier | modifier le code]- Le lac des Vernets de Galaure est ouvert aux baigneurs et propose plusieurs animations.
Sports
[modifier | modifier le code]- Spot d'escalade au site des Roches qui dansent.
Médias
[modifier | modifier le code]La population de la commune a accès à plusieurs médias :
- Le Dauphiné libéré, quotidien régional
- L'Agriculture Drômoise, journal d'informations agricoles et rurales, couvre l'ensemble du département de la Drôme.
- Drôme Hebdo (ancien Peuple Libre), hebdomadaire chrétien d'informations.
- France Bleu, radio publique
Cultes
[modifier | modifier le code]Un pèlerinage à la chapelle Notre-Dame-de-Vals et un office ont lieu tous les [réf. nécessaire].
Économie
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]En 1992 : céréales, vignes, vergers, bovins, caprins[12].
La commune abrite le siège social de Bartel (maroquinerie) qui a réalisé 42 millions de chiffre d'affaires en 2019 et emploie 330 salariés[18].
Tourisme
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Ruines du château médiéval des dauphins sur un pic isolé[12].
- Chapelle Notre-Dame-de-Vals (agrandie au XVIe siècle)[12].
- Rochain : ancienne maison forte construite au XVe siècle[réf. nécessaire].
- Château de Marnas et sa chapelle[12] (propriété privée).
- Hospice de Rochetaillé[12].
- Chapelle de Villeneuve (propriété privée)[réf. nécessaire].
- Fontaine[12].
- Deux lavoirs : un dans le village (en bon état) et un autre au quartier de Villeneuve (qui doit être restauré)[réf. nécessaire].
- Église Saint-Barthélemy de Saint-Barthélemy-de-Vals, du village (XIXe siècle)[12].
- Les gorges de Rochetaillée ont été creusées de main d'homme[12].
- Ancienne usine à Villeneuve dont il ne reste que la cheminée (ancienne briqueterie ou tuilerie)[réf. nécessaire].
- Ancienne usine de la vallée de la Galaure qui produisait initialement des fours industriels et qui aujourd'hui abrite en grande partie des bureaux[réf. nécessaire].
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]- Le site des Roches qui dansent (classé) est un chaos naturel. Il est aussi appelé sur certaines cartes Cromlech de la Roche-qui-danse[12].
- Il est situé au quartier de Douévas, au débouché oriental du ruisseau de Ponsas, au sud de la commune.
- La légende locale raconte que durant la nuit de Noël les pierres dansaient. Cette légende viendrait de l'existence sur le site d'une pierre branlante. Le site serait le lieu de refuge des fées. Certains y ont imaginé des cérémonies druidiques[réf. nécessaire].
-
Les Roches qui dansent de Saint-Barthélemy-de-Vals.
-
Les Roches qui dansent.
- Le marais des Vernets est géré par le CREN qui désire le classer en espace Naturel[réf. nécessaire].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Saint-Barthélemy-de-Vals possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Joseph Bordas, Notice sur Saint-Barthélemy-de-Vals et les Roches qui dansent de Douévas, 1895, 18 pages[19],[20].
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Barthélemy-V_sapc » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Barthélemy-V_sapc » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Vallier », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 331.
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Saint-Barthélemy-de-Vals.
- « Annuaire des Communes de la Drôme », sur Association des Maires et Présidents de… (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « bartel : identité et bilans », sur verif.com (consulté le ).
- Joseph Auteur du texte Bordas, Notice sur Saint-Barthélemy-de-Vals et les Roches qui dansent de Douévas / par Joseph Bordas,..., (lire en ligne)
- « Notice sur Saint-Barthélemy-de-Vals et les Roches qui dansent de Douévas », sur Babelio (consulté le ).