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Saint-Étienne-de-Gourgas

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Saint-Étienne-de-Gourgas
Saint-Étienne-de-Gourgas
Le « cirque du Bout-du-Monde » à Gourgas
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes du Lodévois et Larzac
Maire
Mandat
Jean-Luc Requi
2020-2026
Code postal 34700
Code commune 34251
Démographie
Gentilé Gorgasiens
Population
municipale
522 hab. (2021 en évolution de +16 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 46′ 14″ nord, 3° 22′ 42″ est
Altitude Min. 240 m
Max. 762 m
Superficie 19,43 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Lodève
(banlieue)
Aire d'attraction Lodève
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lodève
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Étienne-de-Gourgas
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Saint-Étienne-de-Gourgas
Liens
Site web www.saintetiennedegourgas.fr

Saint-Étienne-de-Gourgas (en occitan Sant Estève de Gorgàs) est une commune française située dans le nord du département de l'Hérault en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Brèze, la Primelle et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « causse du Larzac » et « les contreforts du Larzac ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-Étienne-de-Gourgas est une commune rurale qui compte 522 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle est dans l'agglomération de Lodève et fait partie de l'aire d'attraction de Lodève.

Ses habitants sont appelés les Gorgasiens.

Géographie

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Saint-Étienne-de-Gourgas est connu par le « cirque du Bout-du-Monde » formé par un méandre du ruisseau de la Bronzinadouïre dans les falaises calcaires des contreforts du plateau du causse du Larzac.

La commune est dans l'unité urbaine de Lodève.

Communes limitrophes

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Carte de localisation.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 185 mm, avec 8,2 jours de précipitations en janvier et 3,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Soumont à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 15,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 968,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1].

Un site Natura 2000 est défini sur la commune tant au titre de la directive oiseaux, que de la directive habitats, le « causse du Larzac »[8]. D'une superficie de 29 556 ha, il fait partie des causses méridionaux, un ensemble régional original unique en Europe. Il est le plus grand ensemble de formations herbeuses sèches semi-naturelles en France et abrite un grand nombre d’espèces endémiques. Ce site abrite 17 espèces d'oiseaux d'intérêt communautaire pour la plupart liées pour leur reproduction et/ou leur alimentation aux milieux ouverts (dont le Bruant ortolan, le Pipit rousseline, l'Alouette lulu, la Pie-grièche écorcheur, etc… en effectifs bien représentées par rapport à la moyenne nationale)[9],[10].

Un autre site relève de la directive habitats[8] : « les contreforts du Larzac ». D'une superficie de 5 299 ha, ils constituent les premiers reliefs du Larzac qui surplombent le bassin de Lodève. Sa richesse est liée à la conjonction des deux influences caussenarde et méditerranéenne[11].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[12] : le « cirque du Bout du Monde » (146 ha), couvrant 2 communes du département[13] et la « forêt du plateau de Courcol » (341 ha), couvrant 3 communes du département[14] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[12] : le « causse et contreforts du Larzac et montagne de la Séranne » (44 035 ha), couvrant 33 communes dont une dans l'Aveyron, deux dans le Gard et 30 dans l'Hérault[15].

Au , Saint-Étienne-de-Gourgas est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lodève[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant huit communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 5],[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lodève, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 4],[I 5].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (37,9 %), zones agricoles hétérogènes (14,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Étienne-de-Gourgas est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 1997, 2006, 2014 et 2015[19],[17].

Saint-Étienne-de-Gourgas est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 7],[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Étienne-de-Gourgas.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[21]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 60 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 270 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 198 sont en aléa moyen ou fort, soit 73 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Montbraize[24].

En 1832, la commune absorbe celle voisine de Aubaignes peuplée, au recensement de 1831, de 95 habitants[25]

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1947 1959 Francis Cavalier    
1959 1977 Jean Mercadier Rad. Conseiller général du canton de Lodève (1945-1976)
1977 mars 1989 Georges Farrie    
mars 1989 2004 Marie-Christine Bousquet (née Requi)[26] PS Conseillère générale (2004-2008)[26], maire de Lodève (2008-2017)
2004 2014 Lionel Micola PS Professeur de Géographie en CPGE
2014 en cours Jean-Luc Requi PS Retraité Fonction publique

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 522 habitants[Note 8], en évolution de +16 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
384413420427425550573571569
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
574562543537484450448417363
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
372380303252249225191192206
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
245233212254253308418449456
2018 2021 - - - - - - -
516522-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2018, la commune compte 204 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 466 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 370 [I 6] (20 330  dans le département[I 7]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 8] 6,7 % 5,5 % 9,7 %
Département[I 9] 10,1 % 11,9 % 12 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 298 personnes, parmi lesquelles on compte 77,2 % d'actifs (67,4 % ayant un emploi et 9,7 % de chômeurs) et 22,8 % d'inactifs[Note 10],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lodève, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 11]. Elle compte 55 emplois en 2018, contre 63 en 2013 et 53 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 206, soit un indicateur de concentration d'emploi de 26,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,7 %[I 12].

Sur ces 206 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 43 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 89,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,4 % les transports en commun, 3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Activités hors agriculture

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32 établissements[Note 11] sont implantés à Saint-Étienne-de-Gourgas au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 15].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 32
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
3 9,4 % (6,7 %)
Construction 9 28,1 % (14,1 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
8 25 % (28 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
7 21,9 % (17,1 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
3 9,4 % (14,2 %)
Autres activités de services 2 6,3 % (8,1 %)

Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,1 % du nombre total d'établissements de la commune (9 sur les 32 entreprises implantées à Saint-Étienne-de-Gourgas), contre 14,1 % au niveau départemental[I 16].

Agriculture

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Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est de 11 lors du recensement agricole de 2020[Note 13] et la surface agricole utilisée de 1072 ha[Carte 4],[Carte 5].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Le château d'Aubaigues est une demeure seigneuriale qui date des XIVe et XVIIe siècles.
Le château de Gourgas : carte postale (1re moitié du XXe siècle).
  • Au cœur du cirque du Bout du Monde se trouve une ferme fortifiée, ainsi qu'une demeure bourgeoise, cette dernière datant de 1845.
  • Dans ce même cirque, sur les contreforts du causse du Larzac, s'ouvrent plusieurs cavités karstiques dont la grotte du Banquier[31].
  • Église Saint-Étienne de Saint-Étienne-de-Gourgas. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[32].
  • Chapelle Saint-Michel d'Aubaigues.

Personnalités liées à la commune

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Gaston-Bernard Arnal, « L'abri sous-roche de Saint-Etienne de Gourgas (Hérault) », Bulletin de la Société d'études scientifiques de Sète et de sa région, no 2,‎ , p. 15-18
  • Jacques Mancione, « Le site paléochrétien de Saint-Etienne de Gourgas (Hérault) », Bulletin de la Société d'études scientifiques de Sète et de sa région, no 4,‎ , p. 137-152
  • J.C. Rivière et A. Hamel, Saint Etienne de Gourgas : 7000 ans d'histoire du Néolithique à l'an 2000, Saint-Etienne de Gourgas, mairie, 159 p.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[7].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Lodève, il y a une ville-centre et sept communes de banlieue.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[30].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Lodève », sur insee.fr (consulté le ).
  3. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Étienne-de-Gourgas ».
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lodève », sur insee.fr (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Étienne-de-Gourgas » (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  8. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Étienne-de-Gourgas » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Étienne-de-Gourgas » (consulté le ).
  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Étienne-de-Gourgas » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

Autres sources

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Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Saint-Étienne-de-Gourgas et Soumont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Soumont » (commune de Soumont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Soumont » (commune de Soumont) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  8. a et b « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Étienne-de-Gourgas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « site Natura 2000 FR9112032 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « site Natura 2000 FR9101385 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « site Natura 2000 FR9101387 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Étienne-de-Gourgas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « ZNIEFF le « cirque du Bout du Monde » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF la « forêt du plateau de Courcol » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF le « causse et contreforts du Larzac et montagne de la Séranne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Étienne-de-Gourgas », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
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