Lucenay
Lucenay | |
L'église Saint-Étienne en 2018. | |
Héraldique |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Rhône |
Arrondissement | Villefranche-sur-Saône |
Intercommunalité | Communauté de communes Beaujolais Pierres Dorées |
Maire Mandat |
Valérie Dugelay 2020-2026 |
Code postal | 69480 |
Code commune | 69122 |
Démographie | |
Gentilé | Lucenois |
Population municipale |
2 051 hab. (2021 ) |
Densité | 327 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 55′ 01″ nord, 4° 42′ 00″ est |
Altitude | 200 m Min. 173 m Max. 360 m |
Superficie | 6,27 km2 |
Type | Ceinture urbaine |
Unité urbaine | Lyon (banlieue) |
Aire d'attraction | Lyon (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Anse |
Localisation | |
Liens | |
Site web | lucenay.fr |
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Lucenay est une commune française située dans le département du Rhône et la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation : située sur la RD 30 entre Anse au nord et Morancé au sud, à 20 km de Lyon et 10 km de Villefranche-sur-Saône.
Rivière : traversée par l'Azergues et par son bief des Meuniers.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Lachassagne | Anse | Ambérieux | ||
Marcy | N | Quincieux | ||
O Lucenay E | ||||
S | ||||
Morancé | Les Chères |
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 724 mm, avec 9 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pommiers », sur la commune de Pommiers à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 778,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Lucenay est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 123 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[9]. Cette aire, qui regroupe 397 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (77 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38,8 %), cultures permanentes (29 %), zones urbanisées (16,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8,1 %), terres arables (6,6 %), forêts (1,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
[modifier | modifier le code]Entre Lucenay et Anse, à la Grange du Bief, des fouilles archéologiques menées au milieu du XIXe siècle puis au XXe siècle ont mis au jour les vestiges d'une villa romaine décorée de mosaïques[13],[14]. Divers objets antiques (poteries, sigillées, tuiles) ont été trouvés à cet endroit au tout début du XXe siècle[13]. A la fin du 1er siècle avant notre ère, Don Cassius rapporte que Licinus, propriétaire romain installé au nord de Lugdunum et dont le domaine et les rumeurs d'accaparements, ajoutés à la politique fiscale rigide qu'il imposa, suscitèrent l'hostilité des habitants de la capitale des Gaules. Sous la pression d'Auguste, Licinius accepta de mettre sa fortune au service de la ville. Son nom serait à l'origine du toponyme Lucenay[15].
Au Moyen Âge, Lucenay appartenait au fief de Chiel et dépendait de la baronnie d'Anse[14]. Une première petite chapelle est construite vers 910. Elle est citée comme église dans un plan du XIIe siècle ou XIIIe siècle[16].
D'après une inscription du VIII des calendes d'avril () de l'obituaire de l'église de Lyon, Artaud, comte ou vicomte de Lyon, aurait donné Lucenay (Luccennacum) à l'église de Lyon[Note 4],[Note 5],[Note 6],[17],[18],[19].
Un corps de 36 sapeurs-pompiers a été créé en 1889. Le service est dotée d'une pompe à bras surnommée "la Victorieuse", qui est utilisée jusqu'en 1953. La caserne a d'abord été située à la place d'une ancienne écurie. Elle se trouve rue du Plantay depuis 1986[20]. Le , la caserne située Rue du Plantay ferme des suites d'un regroupement avec les casernes de Anse et Ambérieux. La nouvelle caserne pour ces 3 communes se trouve aujourd'hui à côté de la piscine Aquazergues à Anse.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique de développement durable
[modifier | modifier le code]La commune s’est engagée dans une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[22].
La municipalité veille aussi à planter des essences peu gourmandes en eau, et a renouvelé la majorité de son parc automobile au profit de nouveaux véhicules moins polluants.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].
En 2021, la commune comptait 2 051 habitants[Note 7], en évolution de +13,07 % par rapport à 2015 (Rhône : +3,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]L'extraction de pierres calcaires a été pendant longtemps l'une des activités principales du village et de ses environs. Des carrières ont existé au nord de Lucenay dès l'Antiquité, mais c'est à partir du XVIIIe siècle que la première est attestée au sein du village[27]. La « pierre de Lucenay », également appelée « pierre de Pommiers », est un calcaire oolithique blanc, rosé ou beige qu'on trouve entre Marcy et Pommiers, au sud de Villefranche-sur-Saône[28]. Elle a été largement utilisée dès le Moyen Âge pour les sculptures des édifices construits dans le Rhône, comme la primatiale Saint-Jean de Lyon et l'église d'Anse[14].
Les cultures agricoles les plus importantes étaient la vigne et le blé[29]. Aujourd'hui, la viticulture demeure une activité majeure.
Lucenay comptait également trois moulins (deux à farine, un à huile)[30].
Enseignement
[modifier | modifier le code]On trouve à Lucenay une école primaire et une école maternelle, l'une à côté de l'autre, dans le centre du village. Un nouveau bâtiment a récemment été construit.
Santé
[modifier | modifier le code]Lucenay possède un cabinet de dentiste, un cabinet de médecine générale ainsi qu'un cabinet de psychologie et psychothérapie.
Sports
[modifier | modifier le code]Lucenay a un club de tennis, et également de danse.
Le golf du Beaujolais (privé, 18 trous) est situé à Lucenay, à l'emplacement de l'ancienne propriété des seigneurs de Chiel[31].
La commune de Lucenay a reçu en 2022 le label Terre de Jeux 2024, dans le cadre des Jeux olympiques de Paris 2024.
Bon nombre de lucenois aiment à se retrouver les week-ends et la semaine pour pratiquer un sport ( majoritairement course à pied et cyclisme) au sein de groupes d'amis. L'un de ces groupes (non officiel), le "Lucenay Trail Club" ou "LTC" a notamment organisé, en 2020, une version "off" de l'UTMB.
Cadre de vie
[modifier | modifier le code]Les habitations traditionnelles sont bâties en pierres blanches, contrairement à celles des autres villages du Beaujolais, en pierres dorées.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Étienne a été construite au début du Xe siècle en pierre de Tournus[14]. La cloche a été installée le 1er août 1644[32]. L'édifice a été fortement remanié en 1844[14]. Une plaque commémorative de la Première Guerre mondiale est située dans l'église[33].
- Quelques vestiges du château de Chiel[34],[30].
- Le château de Vernaux (1759).
- La mairie, « maison bourgeoise réaménagée en 1974 »[35].
- La madone.
- Le monument aux morts a la forme d'un obélisque sur lequel est adossée un poilu. Il est en calcaire tendre et contient les noms de soldats morts pour la France au cours de la Première Guerre mondiale et au cours de la Seconde Guerre mondiale. Ce monument a été édifié en 1921 et inauguré le . En 2002, il a été déplacé devant la mairie[36].
- Le lavoir.
- Des maisons anciennes qui datent du Haut Moyen Âge[37].
- L'ancienne carrière, Géosite du Géopark du Beaujolais (Label UNESCO).
-
Madone.
-
Le monument aux morts.
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Fontaine.
-
Les vestiges du château de Chiel en 1901-1902.
Fêtes et événements
[modifier | modifier le code]- La fête des Conscrits se déroule le premier weekend de février[38].
- Le 8 décembre, avec une procession vers la madone[39].
- Arrivée du beaujolais nouveau (3e jeudi de novembre)[40].
- Début juillet, la fête du "Rosé nuits d'été".
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Pierre-Joseph Teillard, curé constitutionnel de la paroisse de Lucenay pendant la période révolutionnaire[32], qui se désignait comme "curé républicain sans culotte"[41].
- La chanteuse Vitaa a vécu à Lucenay durant son enfance.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Lyon comprend une ville-centre et 122 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Uniquement cité par A. Bernard (1867)
- Lucenay étant situé sur la rive gauche de la Saône. L'absence de date et l'onomastique ne permettent pas de placer cet Artaud précisément dans aucune des familles utilisant ce prénom : comtes du Lyonnais, seigneurs de Beaujeu, et vicomtes de Mâcon.
- Lucenay jouxtant Anse au nord, et Anse possédant une forteresse dès 952, cette inscription peut laisser envisager une seconde vicomté, peut-être non héréditaire, sur la rive droite de la Saône. Ou encore cet Artaud serait tout simplement Artaud Ier, comte de Lyon avant 960.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Les données géographiques sont fournies par l'IGN
Lucenay est située sur la rive droite de la Saône et non sur la rive gauche comme indiqué par erreur
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lucenay et Pommiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pommiers », sur la commune de Pommiers - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pommiers », sur la commune de Pommiers - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Lucenay ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Collectif, Lucenay, un village dans l'histoire, Malesherbes, Maury imprimeur SAS, , p. 33
- André Pelletier (dir.), Grande encyclopédie de Lyon et des communes du Rhône, Tome IV : arrondissement de Villefranche, Le Coteau - Roanne, Horvath, (ISBN 2-7171-0231-0), p. 161
- Adrien Bostmambrun, Le Lyon romain, Mayenne 53100, éditions Alan Sutton, , 96 p. (ISBN 978-2-8138-0144-9), p. 58
- Collectif, Lucenay, un village dans l'histoire, Malesherbes, Maury imprimeur SAS, , p. 39
- A.Bernard 1867, p. 2.
- G.Guigue 1867.
- P.Juenin 1733.
- Collectif, Lucenay, un village dans l'histoire, Malesherbes, Maury imprimeur SAS, , p. 126-128
- Collectif, Lucenay, un village dans l'histoire, Malesherbes, Maury imprimeur SAS, , p. 139
- FICHE | Agenda 21 de Territoires - Lucenay, consultée le 7 novembre 2017
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Collectif, Lucenay, un village dans l'histoire, Malesherbes, Maury imprimeur SAS, , p. 93
- Jean-Claude Béal, « Les sarcophages de pierre dans la cité antique des Ségusiaves », Revue archéologique de l’Est, vol. 62, (lire en ligne )
- Collectif, Lucenay, un village dans l'histoire, Malesherbes, Maury imprimeur SAS, , p. 96-98
- André Pelletier (dir.), Grande encyclopédie de Lyon et des communes du Rhône, Tome IV : arrondissement de Villefranche, Le Coteau - Roanne, Horvath, (ISBN 2-7171-0231-0), p. 162
- Collectif, Lucenay, un village dans l'histoire, Malesherbes, Maury imprimeur SAS, , p. 58
- Collectif, Lucenay, un village dans l'histoire, Malesherbes, Maury imprimeur SAS, , p. 75
- « Lucenay (69480) - Plaque sur/dans l'église (Monument paroissial) » , sur Les monuments aux morts, Institut de recherches historiques du Septentrion, Université de Lille-3 / CNRS, dernière mise à jour le 16/04/2018 (consulté le ).
- F.-A. Varnet, Département du Rhône. Dictionnaire des communes, Paris, Res Universis, (ISBN 2-87760-829-8), p. 298
- Département du Rhône, Préinventaire des monuments et richesses artistiques. Les mairies du Rhône (Hormis Lyon), Conseil général du Rhône, , p. 235
- « Lucenay (69480) - Monument communal » , sur Les monuments aux morts, Institut de recherches historiques du Septentrion, Université de Lille-3 / CNRS, dernière mise à jour le 31/01/2018 (consulté le ).
- Collectif, Lucenay, un village dans l'histoire, Malesherbes, Maury imprimeur SAS, , p. 60
- Collectif, Lucenay, un village dans l'histoire, Malesherbes, Maury imprimeur SAS, , p. 119-124
- Collectif, Lucenay, un village dans l'histoire, Malesherbes, Maury imprimeur SAS, , p. 118
- Collectif, Lucenay, un village dans l'histoire, Malesherbes, Maury imprimeur SAS, , p. 98
- Bernard Frangin, Le guide du Beaujolais, Lyon, La Manufacture, , p. 208
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Auguste Bernard, Essai historique sur les vicomtes de Lyon, de Vienne et de Mâcon du IXe au XIIe siècle, Montbrison, (lire en ligne)
- Bénédicte Duchamp, Lucenay entre la terre et la pierre : un exemple de commune rurale à tradition industrielle 1800-1914 (mémoire de maîtrise en histoire, sous la direction de Gilbert Garrier), , 105 p.
- Collectif, Lucenay, un village dans l'histoire, Malesherbes, Maury imprimeur SAS,
- Georges Guigue et Antoine Vachez, "Note sur l'obituaire de l'église de Lyon",
- Pierre Juenin et Antoine Vachez, "Nouvelle histoire de l ́abbaïe royale et collegiale de Saint Filibert de Tournus", Dijon, (lire en ligne), p. 111