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La Capelle-Balaguier

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La Capelle-Balaguier
La Capelle-Balaguier
L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Villefranche-de-Rouergue
Intercommunalité Ouest Aveyron Communauté
Maire
Mandat
Pierre Viven
2020-2026
Code postal 12260
Code commune 12053
Démographie
Gentilé Capellois(e)
Population
municipale
342 hab. (2021 en évolution de +10,32 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 26′ 17″ nord, 1° 56′ 16″ est
Altitude Min. 214 m
Max. 400 m
Superficie 13,36 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Villefranche-de-Rouergue
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villeneuvois et Villefranchois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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La Capelle-Balaguier
Géolocalisation sur la carte : France
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La Capelle-Balaguier
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
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La Capelle-Balaguier
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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La Capelle-Balaguier

La Capelle-Balaguier est une commune française, située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.

Géographie

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Localisation et communes limitrophes

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de La Capelle-Balaguier se trouve à l'ouest du département de l'Aveyron, dans la petite région agricole du Bas Quercy[1].

Elle se situe à 65 km par la route[Note 1] de Rodez[2], préfecture du département, à 14 km de Villefranche-de-Rouergue[3], sous-préfecture, et à 11 km de Villeneuve[4], bureau centralisateur du canton de Villeneuvois et Villefranchois dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Villefranche-de-Rouergue[I 1].

Les communes les plus proches sont[5],[Note 2] : Sainte-Croix (2,7 km), Ols-et-Rinhodes (3,8 km), Montsalès (6,3 km), Martiel (6,8 km), Puyjourdes (46) (6,9 km), Saujac (7,5 km), Villeneuve (7,5 km), Cadrieu (46) (7,6 km), Toulonjac (8,0 km).

Rose des vents Saujac Ols-et-Rinhodes Rose des vents
Salvagnac-Cajarc N
O    La Capelle-Balaguier    E
S
Martiel Sainte-Croix

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de La Capelle-Balaguier.

La commune est drainée par le Ruisseau de Flaucou, le ruisseau de Soubeyre, le ruisseau de Fonvielle et par divers petits cours d'eau[6].

Le Ruisseau de Flaucou, d'une longueur totale de 13,8 km, prend sa source dans la commune de Sainte-Croix et se jette dans le Lot à Ambeyrac, après avoir arrosé 6 communes[7].

Gestion des cours d'eau

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La gestion des cours d’eau situés dans le bassin de l’Aveyron est assurée par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) Aveyron amont, créé le , en remplacement du syndicat mixte du bassin versant Aveyron amont[8],[9],[10].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 012 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Villefranche-de-Rouergue à 12 km à vol d'oiseau[13], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 865,1 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité

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Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de La Capelle-Balaguier comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3],[17], la « Montagne de Gaïfié et combes des Ruisseaux de l'Oule et de Soubeyre » (1 461 ha), couvrant 7 communes dont 4 dans l'Aveyron et 3 dans le Lot[18].

Au , La Capelle-Balaguier est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villefranche-de-Rouergue, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols

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Infrastructures et occupation des sols de la commune de La Capelle-Balaguier.

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (63,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (52 %), prairies (26,6 %), forêts (18,9 %), zones urbanisées (2,2 %), terres arables (0,3 %)[22].

Planification

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La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Centre Ouest Aveyron approuvé en février 2020. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural Centre Ouest Aveyron, qui associe neuf EPCI, notamment Communauté de communes du Grand Villefranchois, dont la commune est membre[23].

La commune disposait en 2017 d'une carte communale approuvée et un plan local d'urbanisme était en élaboration[24].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de La Capelle-Balaguier est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[25],[26].

Risques naturels

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Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité forte[27].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[25]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[28]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Géorisques[29]. Une autre carte permet de prendre connaissance des cavités souterraines localisées sur la commune[30].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. La commune de Capelle-Balaguier est classée à risque faible[31].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Capelle-Balaguier est membre de la communauté de communes du Grand Villefranchois[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Villefranche-de-Rouergue. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[32].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Villefranche-de-Rouergue, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 1]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Villeneuvois et Villefranchois pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[33].

Élections municipales et communautaires

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Élections de 2020

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Le conseil municipal de Capelle-Balaguier, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[34] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[35]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[36] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 67,93 %[37]. Pierre Viven, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [38].

Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[39]. Un siège est attribué à la commune au sein de la Ouest Aveyron Communauté[40].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
    Prosper Bouyssou    
1919 1925 Jean-Baptiste Bouyssou    
1925 1941 Jean Viven    
1941 1947 Jean Costes    
1947 1959 Joachim Garric    
1959 1995 Georges Viguié    
1995 2010 Jean Ferrié    
2010 En cours Pierre Viven[41],[42]   Profession intermédiaire administrative de la fonction publique
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[44].

En 2021, la commune comptait 342 habitants[Note 5], en évolution de +10,32 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861
402436651701671711733682617
1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
600603627634640580543576545
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
515373342302313270215220206
1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020
215227246240269277276310337
2021 - - - - - - - -
342--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 145 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 344 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 410 [I 2] (20 640  dans le département[I 3]).

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 4] 8,7 % 8 % 7,6 %
Département[I 5] 5,4 % 7,1 % 7,1 %
France entière[I 6] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 186 personnes, parmi lesquelles on compte 81,3 % d'actifs (73,7 % ayant un emploi et 7,6 % de chômeurs) et 18,7 % d'inactifs[Note 7],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était supérieur à celui de la France en 2008.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Villefranche-de-Rouergue, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 7]. Elle compte 36 emplois en 2018, contre 45 en 2013 et 36 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 139, soit un indicateur de concentration d'emploi de 26,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,8 %[I 8].

Sur ces 139 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 25 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 88,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

Activités hors agriculture

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25 établissements[Note 8] sont implantés à La Capelle-Balaguier au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 11]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 40 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 25 entreprises implantées à La Capelle-Balaguier), contre 17,7 % au niveau départemental[I 12].

Agriculture

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La commune est dans le Bas Quercy, une petite région agricole occupant l'extrême-ouest du département de l'Aveyron[47]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 2].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 25 16 10 12
SAU[Note 11] (ha) 866 902 742 916

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 25 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 16 en 2000 puis à 10 en 2010[49] et enfin à 12 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 52 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[50],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 866 ha en 1988 à 916 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 35 à 76 ha[49].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Sept dolmens au moins sont signalés sur la commune. Ils attestent de l'occupation du territoire dès la Préhistoire.
  • Église Saint-Pierre de La Capelle-Balaguier.

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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  • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Raymond Audouard), Vilanòva : Ambairac, La Capèla, Montsalés, Òls, Sanch-Igèst, Santa-Crotz, Sent-Remèsi, Sauvanhac, Saujac / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Vilanòva, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 247 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-23-8, ISSN 1151-8375, BNF 36688568)

Articles connexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes.
  2. Les distance sont mesurées ici à vol d'oiseau entre chefs-lieux de communes.
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[48].
  • Cartes
  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. « Petites régions agricoles (PRA) par commune », sur geo.data.gouv.fr (consulté le ).
  2. « Distance entre "La Capelle-Balaguier" et "Rodez" », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Distance entre "La Capelle-Balaguier" et "Villefranche-de-Rouergue" », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Distance entre "La Capelle-Balaguier" et "Villeneuve" », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de La Capelle-Balaguier », sur villorama.com (consulté le ).
  6. « Fiche communale de la Capelle-Balaguier », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  7. Sandre, « le ruisseau de Flaucou »
  8. « EPAGE Aveyron amont », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Aveyron amont », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. site officiel du SMB2
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  31. [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque radon », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le ).
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  33. « Découpage électoral de l'Aveyron (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
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  35. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1000 habitants », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
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  43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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