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Estillac

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Estillac
Estillac
Place du village.
Blason de Estillac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Agen
Intercommunalité Agglomération d'Agen
Maire
Mandat
Jean Marc Gilly
2020-2026
Code postal 47310
Code commune 47091
Démographie
Gentilé Estillacais
Population
municipale
2 324 hab. (2021 en évolution de +18,51 % par rapport à 2015)
Densité 293 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 09′ 27″ nord, 0° 33′ 55″ est
Altitude Min. 54 m
Max. 164 m
Superficie 7,94 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Agen
(banlieue)
Aire d'attraction Agen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de l'Ouest agenais
Législatives Première circonscription
Localisation
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Estillac
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Estillac
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Estillac
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Estillac
Liens
Site web http://ville-estillac.fr/

Estillac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Estillacais et Estillacaises.

Géographie

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Localisation

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Commune de l'aire d'attraction d'Agen située dans son unité urbaine à 7,7 kilomètres au sud-ouest d'Agen en Brulhois.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Roquefort, Aubiac, Moirax et Le Passage.

Communes limitrophes d’Estillac[1]
Roquefort
Estillac Le Passage
Aubiac Moirax

Géologie et relief

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Les formations glaciaires jouent le rôle de drain vers les alluvions fluviatiles sous-jacentes tout au long de la vallée de la Garonne. On y trouve :

  • Quaternaire - Cônes de déjection post et tardi-glaciaires.
  • Quaternaire - Cônes de déjection contemporains.
  • Quaternaire - Basse terrasse inondable, post-glaciaire.
  • Quaternaire - Basse terrasse tardi-glaciaire.
  • Quaternaire - Moraines à blocs granitiques prédominants, gangue bleuâtre souvent lavée, sables et argiles stratifiés, galets peu

roulés.

  • Quaternaire - Moraines.

L'altitude minimale de la commune est de 54 mètres, sa maximale est de 164 mètres pour une altitude de 109 mètres. La mairie d'Estillac est à 155 mètres.

La commune n'est pas en zone de risque sismique.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 779 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 708,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records AGEN-LA GARENNE (47) - alt : 58m, lat : 44°10'19"N, lon : 0°35'40"E
Records établis sur la période du 01-01-1941 au 02-11-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,5 2,3 4,6 7 10,5 13,9 15,7 15,7 12,3 9,8 5,6 3,1 8,6
Température moyenne (°C) 6,1 6,9 10,1 12,6 16,3 19,8 21,9 22 18,6 14,9 9,6 6,6 13,8
Température maximale moyenne (°C) 9,6 11,6 15,6 18,2 22 25,6 28 28,3 24,8 20 13,6 10 18,9
Record de froid (°C)
date du record
−17,4
16.01.1985
−21,9
15.02.1956
−10,5
01.03.05
−3,9
08.04.1956
−1,6
01.05.1960
2,5
04.06.1953
5,9
08.07.1954
4,7
26.08.1966
1
23.09.1962
−5
30.10.1949
−8,8
27.11.1942
−12,1
26.12.1962
−21,9
1956
Record de chaleur (°C)
date du record
20,1
02.01.03
25,2
27.02.19
26,5
13.03.23
30,2
30.04.05
34
29.05.1943
39,3
18.06.22
40,6
12.07.1949
42,5
24.08.23
36,7
03.09.05
32,9
01.10.23
25,4
07.11.15
21,6
03.12.1953
42,5
2023
Ensoleillement (h) 756 1 127 1 718 1 862 2 155 2 349 2 602 2 501 2 107 1 429 876 717 20 197
Précipitations (mm) 59,6 44,2 49 70 73,3 62,2 49,4 50,4 60,6 58,7 70,1 60,7 708,2
Source : « Fiche 47091001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/11/2023 dans l'état de la base


Au , Estillac est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Agen[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 16 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (51,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (19,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,3 %), zones urbanisées (28 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (23,1 %), terres arables (8,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %), forêts (0,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

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Le réseau de transports en commun Tempo exploité par la société Keolis Agen dessert les 29 communes de l'agglomération d'Agen soit un total de 92 042 habitants depuis le , en remplacement du réseau Transbus.

Elle est traversée par les routes départementales 931, 931e1, la rocade d'Estillac et l'autoroute A62. L'accès en train se fait depuis la Gare d'Agen. L'aéroport Agen-La Garenne se trouvant sur la commune pour les transports aériens.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Estillac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels

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La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d’Agen, regroupant 20 communes concernées par un risque de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[16]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1435, 1875, 1930, 1712, 1770 et 1952. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[17]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2008, 2009, 2013 et 2021[18],[14].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain et des tassements différentiels[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Estillac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[20]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[21].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1991, 1996, 2002, 2003, 2006, 2009, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risque technologique

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La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO, classée seuil haut[22] : Gruel Fayer SAS (notamment pour l'emploi et le stockage de liquides inflammables et de produits très toxiques)[23].

Bruilhois.

La commune d'Estillac annexe Le Buscou en 1826.

Héraldique

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Blason de Estillac Blason
Écartelé, au premier d'azur à la louve arrêtée d'or, au deuxième de gueules à la tour carrée talutée d'or, maçonnée de sable, au troisième de gueules à la gerbe de blé d'or liée d'azur, au quatrième de sinople à la coquille d'or.
Devise
"Deo duce, ferro comite" (Dieu comme chef, mon épée comme compagnon)[24]
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1954 mars 1983 Marcel Bense    
mars 1983 mars 2008 Gérard Marty UDF Conseiller général du canton de Laplume (2001-2008)
mars 2008 En cours Jean-Marc Gilly DVD Agriculteur

Politique environnementale

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Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[25].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

En 2021, la commune comptait 2 324 habitants[Note 5], en évolution de +18,51 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
340323367342480476482488485
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
448460420416396401416349349
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
336314323337325357369349373
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
5117708979901 1821 3071 5631 5581 904
2015 2020 2021 - - - - - -
1 9612 2782 324------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Galerie photos

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Lieux et monuments

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Environnement

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Enseignement

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Depuis 2013 Estillac est une étape du championnat de France de super cross.

Personnalités liées à la commune

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Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Agen comprend une ville-centre et 15 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Station Météo-France « Agen-La Garenne » (commune de Nérac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Agen-La Garenne » (commune de Estillac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 d'Agen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Agen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Estillac », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Cartographie des risques d'inondations du TRI d’Agen », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
  23. « Sites classés Seveso seuil haut en Lot-et-Garonne », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. La Banque du blason - 47091.
  25. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Notice no PA00084113, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.