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Discussion Wikipédia:Proposition bons articles/Milton Friedman

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Relecture de Pseudomoi

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  • Introduction :
  1. mieux relier les informations entre elles ou couper la phrase si aucun lien.
    Exemple : « Né dans une famille d'immigrants ukrainiens juifs, il obtint un doctorat en économie à l'Université Columbia. »
    Y a-t-il un rapport entre son origine et son doctorat ?
    Plus ou moins mais plutôt moins ;). Le doctorat peut être zappé de l'intro de toute façon.
  2. déjargoniser et revoir le style
    Exemple : « Pour Friedman, ne peut en sortir que de l'inflation, contre laquelle il faut lutter, en menant une politique d'évolution de la masse monétaire indexée sur un indicateur (3% par an par exemple). »
    Quoi ?
    Qui de "il propose de résoudre les problèmes d'inflation par la limitation à un taux constant de la croissance de l'offre monétaire?

Propositions

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  • Introduction : le paragraphe ci-dessous montre mes propositions. Libre à vous d'en tenir compte ou pas. Les commentaire sont en vert.

Milton Friedman est un économiste américain né le 31 juillet 1912 à New York et décédé le 16 novembre 2006 à San Francisco considéré comme l'un des économistes les plus influents du XXe siècle[1]. Titulaire du Prix de la Banque de Suède en sciences économiques en mémoire d'Alfred Nobel de l'année 1976[2],[3], il fut un ardent défenseur du libéralisme.

Homme actif tant au point de vue théorique que pratique ; il fut à l’origine du courant monétariste et le fondateur de l'École de Chicago mais aussi commentateur politique et essayiste à succès.

(Issu d'une famille modeste d'immigrants ukrainiens juifs, il poursuit des études grâce à une bourse et obtint un doctorat en économie à l'Université Columbia.) L'endroit où il a fait ses études a t-il vraiment une si grande importance qu'il faille le mettre dans l'introduction ? Ses œuvres les plus marquantes sont son livre publié en 1962 Capitalisme et liberté et sa série d'interventions télévisées réalisées en 1980 Free to Choose. Dans Capitalisme et liberté il explique sa théorie selon laquelle la réduction du rôle de l'État dans une économie de marché est le seul moyen d'atteindre la liberté politique et économique. Plus tard, dans Free to Choose (ou La liberté du choix), Friedman cherche à démontrer la supériorité du libéralisme sur les autres systèmes économiques.

La pensée de Friedman est une pensée économique d'inspiration libérale qui s'oppose de front à celle de John Maynard Keynes. Friedman insistant sur (l'importance des forces spontanées du marché). Ça veut dire quoi : « l'importance des forces spontanées du marché » ? Il développa ainsi l'hypothèse du revenu permanent ou le taux de chômage naturel qui remettent en cause le bien fondé des politiques de relance. (Pour Friedman, ne peut en sortir que de l'inflation, contre laquelle il faut lutter, en menant une politique d'évolution de la masse monétaire indexée sur un indicateur (3% par an par exemple)). Ça veut dire quoi ? Il faudrait reformuler mais je n'ai pas la moindre idée de quoi il s'agit.

D'abord peu populaires ses idées se diffusèrent progressivement et devinrent populaires chez les milieux politiques dans les années 1980, influençant profondément les mouvements conservateur et libertarien américains. Ses idées économiques sur le monétarisme, l'imposition fiscale, les privatisations et la dérèglementation furent dès lors, mises en place par de nombreux gouvernements à travers le monde.

Pour le marché, Friedman essaye de montrer que, laissé à lui même, le marché donne de biens meilleurs résultats que l'intervention étatique. Laisser juste "l'importance du marché" serait plus simple et probablement plus clair en enlevant la confusion possible avec l'ordre spontané de Hayek.
Pour l'objectif de croissance de la masse monétaire, voir plus haut.
C'est mieux? --Bombastus [Discuter] 4 janvier 2008 à 23:27 (CET)[répondre]
  1. (en)Economist Touted Laissez-Faire Policy, The Washington Post, 17 novembre 2006
  2. pour ses travaux sur « l'analyse de la consommation, l'histoire monétaire et la démonstration de la complexité des politiques de stabilisation »
  3. (en)Milton Friedman sur la page du Prix Nobel

--Pseudomoi (m'écrire) 3 janvier 2008 à 22:16 (CET)[répondre]

Fait comme tu veux. J'ai surestimer mes connaissances dans cette affaire. --Pseudomoi (m'écrire) 5 janvier 2008 à 17:56 (CET)[répondre]
Je mets en ligne une version modifiée dans quelques instants. Réactions bienvenues comme toujours Émoticône sourire. --Bombastus [Discuter] 5 janvier 2008 à 22:37 (CET)[répondre]

La première phrase est d'un ton très sec ou même froid. Qu'est-ce que vous voulez dire? J'ai pas trop bien compris.

--Oasisk (d) 7 janvier 2008 à 20:34
Pour moi, l'introduction est correcte maintenant. --Pseudomoi (m'écrire) 6 janvier 2008 à 20:09 (CET)[répondre]
  • Biographie :
vu la longueur de la section. Ma première relecture se limite aux commentaires.

Commentaires

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  • Biographie : le paragraphe ci-dessous montre mes propositions. Libre à vous d'en tenir compte ou pas. Les commentaire sont en vert.

Jeunesse et formation

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Milton Friedman naquit à New York le 31 juillet 1912 dans une famille ouvrière d'immigrants juifs autro-hongrois aux États-Unis venue de l'actuelle Ukraine. Il est (le premier enfant) Si on indique qu'il est le premier enfant, il faut parler de ces frères et sœurs ou supprimer cette information sans intérêt de Sarah Ethel Landau et de Jeno Saul Friedman[1]La référence est très mal écrite quel est le titre du livre ?, tous les deux petits commerçants. Alors que Friedman a un an, sa famille déménage à Rahway, dans le New Jersey, où il passe sa jeunesse[2]. Alors qu'il a 15 ans, son père meurt[3]. Étudiant brillant, il finit ses études au lycée de Rahway en 1928, peu après son 16e anniversaire.

Je vais remplacer la référence mais j'ai un gros doute sur le fait qu'il soit l'aîné. Je vais vérifier ça.
Le campus de l'université de Chicago

Il obtient alors une bourse pour aller étudier à l'Université Rutgers dans le New Jersey, où il obtient son diplôme de Bachelor of Arts en 1932[4]. Il se spécialise en mathématiques et se destine à la profession d'actuaire avant d'abandonner cette idée pour se tourner vers l'économie pure.

À sa sortie de Rutgers, il accepte une bourse pour aller étudier toujours boursier il étudie l'économie à l'Université de Chicago où il obtient un master en 1933. Il est influencé alors par les idées de Jacob Viner, Frank Knight et Henry Simons[3]. C'est également à cette époque qu'il rencontre sa future épouse, Rose Director, sœur du professeur de droit Aaron Director[2].

Il étudie alors un an les statistiques à l'Université Columbia sous la direction d'Harold Hotelling, avant de revenir l'année suivante à Chicago : il y est assistant de recherche auprès de l'économiste Henry Schultz, qui travaille alors sur sa (Theory and Measurement of Demand) Il n'existe pas une traduction acceptable de ces termes ?. C'est là qu'il rencontre et Toujours à Columbia, il sympathise avec George Stigler, co-fondateur avec lui de l'école de Chicago.

Oui pour les traductions, les reprises de forme me semblent également aller dans le bon sens, je mets ça en place. --Bombastus [Discuter] 8 janvier 2008 à 12:48 (CET)[répondre]
La suite devra attendre mais juste une remarque sur les ouvrages. Les économistes français étant ce qu'ils sont, rares sont les ouvrages qui ont été traduits et la traduction faite ici est arbitraire. Je me demande si mentionner le nom anglais plus une traduction française entre parenthèses ne serait pas préféréable. --Bombastus [Discuter] 8 janvier 2008 à 12:56 (CET)[répondre]

Travail au niveau fédéral

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En 1935, ne trouvant pas d'emploi dans une université, Friedman se rend à Washington où les programmes lancés par Roosevelt offrent un débouché pour les économistes. Dans Two lucky people, ses mémoires écrites avec sa femme Rose, il écrit qu'alors il jugeait les programmes de créations d'emplois publics adaptés pour une situation critique mais pas les systèmes de fixation des prix et des salaires[5]. Il rédige ainsi quelques années plus tard un article avec George Stigler, intitulé Roofs or Ceilings, article très critiqué par les keynésiens et dans lequel ils attaquaient avec vigueur le contrôle des loyers[6]. En cela, on peut voir les prémices de ses idées futures sur les contrôles des prix qui fausse la fixation des prix par le mécanisme de la rencontre entre l'offre et la demande.

Il adopta par la suite une posture plus critique envers les mesures du New Deal, considérant que le problème venait principalement d'une mauvaise gestion de la monnaie, dont l'offre aurait dû être augmentée et non réduite[7]. Dans son Histoire monétaire des États-Unis parue en 1963, il développe cette thèse en expliquant la Grande Dépression par les politiques de contraction monétaire menées[8].

En 1935, il rejoint le National Resources Committee qui travaille alors sur une large étude de la consommation. Il tirera de ce travail une partie des idées qu'il développa dans sa Théorie de la fonction de consommation. Deux ans plus tard, il rejoint le National Bureau of Economic Research où il assiste Simon Kuznets dans ses travaux. En particulier, il étudie la répartition des revenus et dans un article alors controversé, il explique les hauts salaires des médecins par les barrières à l'entrée maintenues par le syndicat national des médecins[2]. C'était le sujet de sa thèse et il reprendra ce sujet dans plusieurs écrits[9].

En 1940, il est nommé professeur assistant à l'Université du Wisconsin-Madison mais la quitte quand il rencontre des problèmes d'antisémitisme au sein du département d'économie[10].

De 1941 à 1943 il travaille comme conseiller auprès du Département du Trésor des États-Unis sur la question des taxes pour financer l'effort de guerre. Porte-parole du Trésor, il défend alors une politique keynésienne. Dans son autobiographie, il constate « à quel point [il] était alors keynésien »[11].

Carrière académique

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En 1943, il rejoint l'Université Columbia où il travailla pendant le reste de la guerre comme statisticien. En 1945, il rend à Columbia sa thèse de doctorat, un travail effectué avec Kuznets intitulé Incomes from Independent Professional Practice. Il obtient finalement son doctorat pour cette thèse l'année suivante, année où Keynes s'éteint.

L'année précédente, il avait eu avec sa femme Rose leur second enfant, David Friedman. Il suivra lui aussi des études scientifiques avant de devenir économiste, membre du courant anarcho-capitaliste. Milton Friedman passe les années 1945 et 1946 à enseigner à l'Université du Minnesota, aux côtés de George Stigler.

Université de Chicago : de 1946 à 1955
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En 1946, Friedman accepte un poste de professeur d'économie à l'université de Chicago, poste libéré à la suite du départ de Jacob Viner pour l'Université de Princeton. Friedman y restera finalement trente ans et y développa une école économique qui allait décrocher de nombreux prix Nobel : l'École monétariste de Chicago, avec des auteurs comme George Stigler (« Nobel » 1982), Ronald Coase (« Nobel » 1991), Gary Becker (« Nobel » 1992), Robert E. Lucas (« Nobel » 1995).

A la même époque, il rejoint à nouveau le National Bureau of Economic Research, à l'invitation d'Arthur Burns ; il y restera jusqu'en 1981. Il y étudie le rôle de la monnaie dans les cycles économiques et y fonde en 1951 le Workshop in Money and Banking (Atelier sur la monnaie et la banque) qui participe à la renaissance de l'étude des phénomènes monétaires. Il commence également une collaboration avec Anna Schwartz, spécialiste d'histoire économique, qui débouche sur la publication en 1963 d'une Histoire monétaire des États-Unis, 1867-1960 dans laquelle s'expriment les prémices de la pensée monétariste.

Il passe une partie des années 1950 à Paris, où il assiste les administrateurs américains du Plan Marshall. Il se penche à cette occasion sur l'étude des taux de changes flottants, sur la base de laquelle il publiera un ouvrage The Case for Flexible Exchange Rates (les arguments en faveur des taux de change flottants).

Friedman passa l'année académique 1954-1955 comme professeur invité au Gonville and Caius College de Cambridge.

Université de Chicago : de 1956 à 1975
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Richard Nixon, président américain dont Milton Friedman fut conseiller

À la suite de la publication de son ouvrage Studies in the quantity theory of money (Etudes sur la théorie quantitative de la monnaie) en 1956, les idées monétaristes acquièrent plus d'importance dans le débat économique, mais restent minoritaires. En 1959, le comité Radcliffe, créé par le gouvernement britannique pour proposer des évolutions du système monétaire international, développe des idées radicalement opposées.[3]

Il devient connu du grand public avec son ouvrage publié en 1962, Capitalisme et liberté, dans lequel il se livre à une défense du capitalisme, à une critique du New Deal et de l'État-providence qui émergeait. Bien qu'aucun des grands journaux américains n'en publient de critique, le livre se diffuse progressivement et il s'en vendra plus de 400 000 exemplaires en dix huit ans[12]. Cela consacre l'engagement de Friedman comme intellectuel dans le débat public ; il devient par la suite conseiller économique du candidat républicain malheureux à la présidence en 1964, Barry Goldwater, très marqué par ses positions conservatrices.

Deux ans plus tard, il écrit pour la première fois une chronique économique dans le magazine Newsweek, prenant la suite d'Henry Hazlitt. Par ce biais, il touchera largement la population américaine, jusqu'en 1983 où il y mettra fin. Sa célébrité croît et il devient en 1967 président de l'American Economic Association, association regroupant les économistes américains[13].

À la fin des années 1960 il devient conseiller du président Richard Nixon, qui ne suivra cependant que très partiellement ses conseils au cours de sa présidence. Il impose ainsi un contrôle des prix et des salaires avec des résultats désastreux[14]. En 1969 il est nommé dans la commission chargée de réfléchir sur l'avenir du service militaire, dans laquelle il prend fortement parti pour un service fondé uniquement sur le volontariat, résultat qui sera obtenu en 1973. Il considérait ce résultat comme le plus satisfaisant dans son engagement intellectuel[13].

À partir de 1956, il donne des cours à l'Université de Chicago à des étudiants en économie de l'Université pontificale catholique du Chili dans le cadre d'un accord signé entre les deux universités. Il exerce par là une influence importante sur ceux que l'on allait appeller les Chicago Boys. En 1975, il se rend à Santiago, au Chili, pour prononcer une conférence à l'université pontificale. Il rencontre à cette occasion Augusto Pinochet, ce qui lui sera reproché par la suite (Cf. infra)[13].

Dans le contexte de la stagflation anglaise à partir de 1968 et américaine dans les années 1970, ses idées monétaristes s'imposent alors que le keynésianisme dominant jusqu'alors perd sa domination.

Pendant cette période, il dirige les thèses de doctorat de Gary Becker ou de Thomas Sowell[15]

« Prix Nobel » et retraite

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Fichier:Nobel Prize.png
Face de la médaille du « Prix Nobel » d'économie

En 1976, Friedman reçut le « Prix Nobel » d'économie récompensant ses travaux sur « l'analyse de la consommation, l'histoire monétaire et la démonstration de la complexité des politiques de stabilisation »[16]. Lors de la remise du prix, il est accueilli par des manifestants qui lui reprochent sa visite au Chili[17]. L'année suivante, âgé de 65 ans, il prend sa retraite de l'université de Chicago dans laquelle il avait enseigné trente ans. Il déménage alors avec sa femme à San Francisco et rejoint la Hoover Institution à l'Université Stanford.

En 1977, à l'invitation du Palmer R. Chitester Fund, il commence à travailler sur le projet d'émission télévisée en dix parties pour présenter sa philosophie. Des trois ans de travail que cela nécessitera sortira Free to choose, d'abord comme émission puis comme livre, à chaque fois réalisé ou écrit avec sa femme Rose. L'ouvrage sera la meilleure vente de l'année 1980 en Non fiction avec 400 000 exemplaires vendus et il a été traduit en douze langues[18].

Dans les années 1980, il est conseiller officieux du candidat républicain Ronald Reagan puis rejoint son comité économique quand ce dernier est élu à la Maison-Blanche. Il y restera jusqu'en 1988. Pendant les années 1980-1990, il continua à faire de nombreuses apparitions dans les médias ou des voyages en Europe de l'Est et en Chine pour promouvoir sa pensée.

En 1996, il installa avec sa femme leur fondation en faveur de la liberté de choix pour l'éducation.

Milton Friedman est mort d'une crise cardiaque le 16 novembre 2006, à l'âge de 94 ans.

  1. Hermann, Péter : ed. Biográf Ki kicsoda 2004. Budapest, Hongrie, 2003
  2. a b et c Article « Milton Friedman » de l'encyclopédie Britannica, 2007
  3. a b et c The New Palgrave, article « Milton Friedman », édition 1998
  4. Friedman, Milton, « Milton Friedman - Autobiography », Nobelprize.org (consulté le )
  5. Milton & Rose Friedman : Two Lucky People, 1998, University of Chicago Press, p. 59.
  6. (en)Roofs or Ceilings, Foundation for Economic Education
  7. DeLong, J. Bradford : Right from the Start? What Milton Friedman can teach progressives, 2007, p. 110 [PDF]Lire en ligne
  8. Ben Bernanke : Essays on the Great Depression, Princeton University Press, 2000 p. 7, (ISBN 0691016984)
  9. Capitalisme et liberté, chap. 9 et La liberté du choix, chap. 7
  10. Milton & Rose Friedman, Two Lucky People, pages 84-85
  11. Milton & Rose Friedman, Two Lucky People, page 113
  12. Préface à l'édition de 1982 de Capitalism and Freedom, p. xi de l'édition de 2002
  13. a b et c L'héritage de Milton Friedman, un géant de la science économique, Problèmes économiques, 7 novembre 2007
  14. (en)Commanding Heights
  15. Biographie de Milton Friedman sur Liberpedia
  16. (en)Milton Friedman sur la page du Prix Nobel
  17. (en)The Economist and the Dictator, Reason, 15 décembre 2006
  18. (en)Préface à l'édition de 1982 de Capitalism and Freedom, p. xii de l'édition de 2002

Explications et discussions

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Vous avez une réponse à mes commentaires ? Faites-la ICI. Merci.
Fini pour aujourd'hui --Pseudomoi (m'écrire) 6 janvier 2008 à 20:46 (CET)[répondre]

Jeunesse et Formation

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Il est clair que la référence est mal écrite. Je ne peux pas la corriger: simplement parce que je ne connais pas le livre qu'on cite là. Peut-être celui qui a référencé va le faire.
Je trouve que c'est intéressant de dire qu'il est l'ainé de sa famille. Je ne vois pas le problème que ça pause. Qu'on cite ses frères ou non, peu importe...A mon avis, ça ne dérange pas... Bon, il faut déjà trouver les noms de ses frères...

--Oasisk 07 janvier 08, 19:33