Discussion:Ferrari 643
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Alain Prost licencié
[modifier le code]Salut Docteur Doc : et Jmex :. J'ai la citation exacte pour Prost qui compare sa Ferrari à un camion : « Je n'ai jamais piloté une voiture aussi mauvaise de toute ma carrière. Un bon chauffeur de camion, avec de gros bras, aurait pu faire aussi bien que moi aujourd'hui. Je n'avais pas vraiment l'impression d'être un pilote de F1. C'est très frustrant. » C'est dans « Prost : "comme un camion" », in "50 ans de Formule 1", tome 2 (1979-1999), page 361, éditions L'Équipe, novembre 1999, (ISBN 2-7021-3009-7).
Et toujours page 361, il y a un article "Ferrari limoge Prost !". On peut y lire : « À Port Douglas, où il s'accordait quelques jours de repos entre les deux dernières courses de la saison, Alain Prost s'est endormi sans connaître la décision de Ferrari. Il attendait un communiqué de la scuderia, mais ne s'attendait pas à être mis à pied. C'est Renato d'Ulisse, un journaliste italien logeant dans le même hôtel, qui lui apprit en pleine nuit la brutale décision des responsables de Ferrari ». L'article est signé Gilles Navaro. Xavoun (discuter) 19 mai 2020 à 14:45 (CEST)
- Merci Xavoun : pendant que tu écrivais ce message, je reproduisais la même citation (trouvée sur le Monde du 31 octobre 1991) sur la page. Par ailleurs, je viens de reproduire les écrits de Gilles Navarro sourcés avec celle du tu donnes... Ce chapitre continue à être en cours de rédaction, tu peux le corriger ou ajouter ce que tu trouveras dans ce chapitre des "50 ans de F1" si tu le souhaites. Bien à toi Jmex (♫) 19 mai 2020 à 15:00 (CEST)
- Les grands esprits se rencontrent ^^ Xavoun (discuter) 19 mai 2020 à 15:17 (CEST)
Paragraphe en double sur la saison 1990
[modifier le code]Coucou Docteur Doc : et Jmex :. Il y a un paragraphe en double. A la fin de la partie « Le développement d'une monoplace à embrayage semi-automatique » on peut lire : « Alain Prost rivalise alors avec Ayrton Senna (McLaren) pour le titre de champion du monde des pilotes en 1990 et remporte cinq victoires. Lors du Grand Prix du Portugal, en fin de saison, le Français est gêné au départ par Mansell qui s'adjuge la victoire alors qu'il officiait comme lieutenant de Prost, dévoué à l'aider à remporter un quatrième titre de champion du monde. Ce dernier méprise alors le Britannique et s'en prend à Cesare Fiorio, son directeur sportif, qui aurait dû, selon lui, donner la consigne de le laisser passer. Songeant à quitter Ferrari dès la fin de saison, Prost reçoit le soutien de Giovanni Agnelli, le président du groupe Fiat, et de Piero Fusaro, le président de Ferrari, qui lui assurent le dévouement total de l'équipe dans sa lutte face à Senna. La motivation du Français est ensuite mise à mal par l'accrochage prémédité de Senna au Grand Prix du Japon, assurant ainsi au Brésilien et à McLaren les titres pilotes et constructeurs. Écœuré par le comportement antisportif de son rival, qui s'est délibérément vengé de l'accrochage entre les deux hommes lors du Grand Prix du Japon 1989 (qui avait permis à Prost d'être sacré), par l'absence de sanctions de la part de la Fédération internationale du sport automobile et par l'absence de réclamation de la direction de Ferrari (qui espère recruter Senna à l'avenir) le Français réfléchit à quitter la Formule 1. »
Et au début de la partie « Ferrari, de la prétention au titre mondial vers la crise interne » on retrouve la même chose : « Alain Prost rivalise alors avec Ayrton Senna (McLaren) pour le titre de champion du monde des pilotes en 1990 et remporte cinq victoires. Or, lors du Grand Prix du Portugal, en fin de saison, le Français est gêné au départ par Mansell qui s'adjuge la victoire, alors qu'il officiait comme lieutenant de Prost, dévoué à l'aider à accrocher un quatrième titre de champion du monde. Ce dernier méprise alors le Britannique et s'en prend à Cesare Fiorio, son directeur sportif, qui aurait dû, selon lui, donner la consigne de le laisser passer. Songeant à quitter Ferrari dès la fin de saison, Prost reçoit le soutien de Giovanni Agnelli, le président du groupe Fiat, et de Piero Fusaro, le président de Ferrari, qui lui assurent le dévouement total de l'équipe dans sa lutte face à Senna. La motivation du Français est ensuite mise à mal par l'accrochage préméditée de Senna lors du Grand Prix du Japon, assurant ainsi au Brésilien et à McLaren les titres pilotes et constructeurs. Écœuré par le comportement antisportif de son rival, qui s'est délibérément vengé de l'accrochage entre les deux hommes lors du Grand Prix du Japon 1989, qui avait permis à Prost d'être sacré, et par l'absence de sanctions de la part de la Fédération internationale du sport automobile et l'absence de réclamation de la direction de Ferrari, qui espère recruter Senna à l'avenir, le Français réfléchit à quitter la Formule 1 si une commission dédiée à la sécurité n'est pas mise en place par la Fédération internationale du sport automobile, ce qu'elle fait dès novembre 1991. » Xavoun (discuter) 26 mai 2020 à 12:05 (CEST)
- ooups, bien vu ! Tu peux corriger si tu veux ! Jmex (♫) 26 mai 2020 à 12:58 (CEST)
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