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Discussion:Accent tonique

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Depuis Discuter:Langue à tons. Alors, le japonais, tonal ou pas ? Alvaro 31 oct 2003 à 12:40 (CET)

Oui ; langue à deux registres. 218.188.0.150 doit confondre la notion de ton mélodique (système du chinois, vietnamien, etc.) avec celle de tons à registres. Vincent 31 oct 2003 à 14:20 (CET)
dac Alvaro 31 oct 2003 à 15:35 (CET)
Maintenant, je reviens sur ce que j'ai dit : c'est un accent de hauteur. Vincent 13 sep 2004 à 09:54 (CEST)

En ce qui concerne les langues tonales d'Europe :

  • Dans le domaine scandinave, les suédois et les deux norvégiens opposent deux schémas mélodiques pour les polysyllabes.
Je sais bien... Je n'ai jamais pris le temps d'écrire le paragraphe.
L'idée était de faire une liste quasi-exhaustive, puisque ce n'est pas trop fastidieux, des langues à caractère tonal en Europe.
Et c'est une bonne idée. En fait, au départ j'avais tapé ce document dans un forum de discussion consacré au mandarin. Or, j'avais tout appuyé sur une ou deux langues d'Afrique (pour le contraste) et le mandarin. Quand j'ai transformé le document en article, j'ai rapidement étoffé, mais avec des trous énormes, comme celui-ci. En effet, le type de ton des langues scandinaves en question est notable.
  • Dans le domaine slave, le slovène est peut-être en train de perdre ses tons comme c'est indiqué, mais le serbocroatobosnomonténégrin (SCBM), lui, reste résolument tonal, opposant des accents montants et descendants, sur des voyelles brèves comme longues. Comme, de tout le domaine SCBM, c'est le croate qui semble réaliser ce système de façon plus sensible, je suis étonné que le slovène, dont le système tonal est fondamentalement le même qu'en SCBM, et dont, géographiquement et dialectalement, le croate est le plus proche voisin, soit en train de perdre son caractère tonal. À vérifier ?
J'avoue que je ne sais plus trop où j'ai pioché cela. En cas de doute, n'hésite pas à corriger.
en:Slovenian Language déclare en effet que les tons sont conservés dans certains dialectes mais réduits à une autre opposition "dynamic accentuation" dans la langue standard phmagnabosco 30 jul 2004 à 18:49 (CEST)
Bon, cela vient peut-être de là.
  • Le cas du lituanien : l'accent n'est plus tonal au sens où il n'y a plus de modulation mélodique. Mais on y distingue bien des modulations toniques : on pourrait parler d'accents croissants et décroissants (en volume) plutôt que montant et descendants, et ce sur les voyelles longues ou diphtongues uniquement. Comment classer ce type de langue ?

phmagnabosco 30 jul 2004 à 15:43 (CEST)

J'ai tapé il y a un temps tout un texte sur les tons de cette langue dans une visée comparatiste (avec l'indo-européen et le grec ancien) et leur réalisation dans la langue actuelle (d'après une grammaire et plusieurs enregistrements). En écoutant des cassettes d'une méthode de lithuanien, j'ai vraiment l'impression d'entendre des tons et non une répartition de l'accent tonique. Mais j'ai du mal à vraiment trancher, d'où le flou de ma formulation. Vincent 30 jul 2004 à 18:08 (CEST)
Je vais reprendre mes sources (et réécouter mes cassettes)... phmagnabosco 30 jul 2004 à 18:49 (CEST)
Ce qui m'ennuie, c'est que je ne sais pas si ces enregistrements sont représentatifs des usages courants. Vincent 30 jul 2004 à 20:34 (CEST)
Lithuanian Grammar/Lietuvių kalbos gramatika, ed. Vytautas Ambrazas, Vilnius, Baltos Lankos, 1997, décrit le système suivant :
  • voyelle courte (a, e, i, u, exceptionnellement aussi o dans les mots d'origine étrangère) ne peuvent prendre qu'un seul tonème, noté par l'accent grave.
  • il n'y a opposition distinctive de tonèmes que sur les voyelles longues ou diphtongues (parmi lesquelles on compte aussi an, en.., ar, al, am...). En lituanien standard, "les tonèmes sont des phénomènes phonétique de nature composite, dont les propriétés spécifiques dépendent considérablement de la nature du nucleus de la syllabe".
    • Dans le cas de diphtongues, l'accent circonflexe est marqué par une emphase et un allongement de la seconde partie du nucléus (le diacritique est d'ailleurs porté par la seconde lettre : skam̃binti), et l'accent aigu par une emphase et un allongement de la première partie (qui porte le diacritique aigu, sauf dans le cas de i ou u suivi de l, m, n, r, où il est grave par exception).
    • Dans le cas de voyelles longues (a, e allongés, o, ė, y, ū, ą, ę, į, ų), les deux tonèmes se distinguent partiellement par leur durée et leur intensité, mais surtout par leur fréquence fondamentale (mélodie, donc). Le tonème aigu se traduit par un changement brutal de hauteur et une articulation tendue, le tonème circonflexe par une articulation relâchée et peu de changement de hauteur. La principale composante de l'opposition des deux tonèmes est donc l'inflexion de l'intonation, vive dans le cas de l'aigu, peu prononcée dans le cas du circonflexe.
    • La neutralisation de l'opposition se fait au profit de la réalisation circonflexe, qui apparaît donc comme le terme non-marqué de l'opposition.
Ma remarque après nouvelle audition et d'après ma modeste expérience d'apprenti lituanophone est que au moins le ton non marqué peut être réalisé en montant ou descendant la fréquence de la voix, en fonction de la courbe mélodique de la phrase. Celle-ci ne suffit donc pas à distinguer les tonèmes, hélas. Les manuels/grammaires se gardent d'ailleurs bien de prescrire une montée/descente mélodique sur tel ou tel accent.
Pour résumer : le lituanien est bien une langue distinguant des tonèmes, mais ils sont de nature complexe, la mélodie ne suffisant pas à les opposer. Je modifie l'article en conséquence. phmagnabosco 1 aoû 2004 à 23:36 (CEST)
Ok. Il faut que je prenne le temps de regarder mes sources. Je ressors une vieillerie : si cela peut t'intéresser, c'est l'origine étymologique des tons lithuaniens (recherches perso en ling. comp.)

Intonation rude, accent aigu :

  • voyelle longue non héritée, résultant d'un allongement compensatoire à la suite de l'amuïssement d'une ancienne laryngale : *eħ1 > ė́ ;
  • voyelle longue non héritée résultant d'un allongement secondaire devant une occlusive sonore non aspirée *ed > ė́d ;
  • diphtongue « longue » résultant de la coalescence entre une voyelle et une sonante allongée, sans être vocalisée, par la chute d'une laryngale  : *enħ > én ;
  • diphtongue « longue » résultant d'une coalescence entre une voyelle et une sonante précédant une occlusive sonore non aspirée *end > énd.

Les voyelles et diphtongues brèves reçoivent un accent grave, bien que l'intonation soit la même. La différence n'est que graphique. Intonation rude, accent grave :

  • voyelle brève ou abrégée *e > è ;
  • diphtongue « brève » résultant de la seule vocalisation d'une sonante allongée par la chute d'une laryngale puis abrégée *n̥ħ > ìn (les sonantes se vocalisent en diphtongues dont le premier élément est un /i/ ou un /u/ dans un environnement labio-vélaire) ;
  • diphtongue « brève » résultant de la seule vocalisation d'une sonante précédant une occlusive sonore non aspirée  : *n̥d > ìnd.

La seconde intonation, dite « douce », qui est ascendante (ou modulée selon certains linguistes comme Meillet), frappe les voyelles longues et certaines diphtongues longues, c'est-à-dire toutes les syllabes qui ne remplissent pas les conditions pour être rudes. Une telle intonation est marquée au moyen du signe ~, au-dessus de la voyelle formant le sommet de la syllabe ou de la sonante formant le second élément d'une diphtongue (sauf si la sonante en question est un m, auquel cas c'est la voyelle qui reçoit le tilde). Intonation douce, accent circonflexe

  • voyelle longue héritée ne résultant d'aucun allongement >  ;
je suppose qu'il faut lire un ė̃ ? phmagnabosco
Oui.
  • diphtongue « longue » résultant d'une coalescence ou d'une vocalisation de sonante ne précédant ni une laryngale ni une occlusive sonore non aspirée *en ou *n̥ > .

Vincent 2 aoû 2004 à 00:46 (CEST)

ah oui ça m'intéresse ! Merci.
  • "La seconde intonation, dite « douce »(...) frappe les voyelles longues et certaines diphtongues longues, c'est-à-dire toutes les syllabes qui ne remplissent pas les conditions pour être rudes." : coïncide avec sa qualité de membre non marqué de l'opposition des deux tonèmes. Dans le dialecte samogitien/žemaitique, c'est l'intonation rude, qui a conservé la glottalisation (trait historique), qui semble être le membre non marqué (source Lithuanian Grammar).
  • "sauf si la sonante en question est un m, auquel cas c'est la voyelle qui reçoit le tilde" : ce n'est à tout le moins plus l'usage d'aujourd'hui (ouvrages pédagogiques et de référence) qui marque du tilde toute sonante, y compris l̃, m̃, ñ, r̃.
Je ne sais plus où j'étais allé pioché cela. Cela remonte, aussi.
  • l'accentuation douce est aussi celle des voyelles a ou e, structurellement brèves, qui s'allongent en prenant l'accent en position non-entravée (sauf finale), ex. salà (île, nom. sing., deux voyelles brèves) mais sãlą (acc. sing., deux voyelles longues), šešì (six, masc., deux brèves) mais šẽšios (fém., deux longues).
Quant au slovène, pas trouvé encore de description satisfaisante de la réalisation de leur "accentuation dynamique" phmagnabosco 2 aoû 2004 à 10:41 (CEST)
J'ai ce qu'il faut dans Handbook of the IPA. Je peux scanner, si cela t'intéresse (on y explioque la disparition des oppositions tonales). Extraits sonores disponibles en ligne : http://web.uvic.ca/ling/resources/ipa/handbook/Slovene.zip. Il faut avoir le bouquin. Vincent 2 aoû 2004 à 12:22 (CEST)

Accent tonique de hauteur

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Pourrait-on m’indiquer une langue où l’accent «tonique» n’est que de hauteur et pas du tout d’intensité?

Voyez plus haut. Vincent 24 sep 2004 à 20:11 (CEST)

Ce n’est sans doute pas un hasard si l’article «accent de hauteur» est encore «en préparation».

Le hasard, c'est que mes journées n'ont que 24 heures. Vincent 24 sep 2004 à 20:11 (CEST)
Mais il n’y a pas que vous, très cher. Flofl 24 sep 2004 à 21:20 (CEST)

Selon moi, la plupart du temps les variations de hauteur sur la syllabe accentuée (voir l’exemple de l’anglais dans cet article) sont du domaine de l’intonation ou de la paraphonique (intentions du locuteur) et n’ont pas de pertinence dans la définition de l’accent.

Cela dépend grandement des langues. Dans les langues à accent de hauteur, il existe de très nombreux exemples de paires minimales, par opposition aux langues à accent d'intensité, dans lesquelles les variations de hauteur sont purement paralinguistiques. Vincent 24 sep 2004 à 20:11 (CEST)

Tonique devrait être réservé à ce qui a un rapport avec le ton, c’est-à-dire avec la hauteur tonale, que ce soit pour les langues à tons ou pour parler, dans le cadre de l’intonation, d’une syllabe qui, dans un énoncé, porte une intonation (continuative, conclusive, suspensive, interrogative) particulière visant à transmettre un message (différence entre «C’est toi.» et «C’est toi?»). La plupart des langues sans tons ont un accent qui n’est véritablement que d’intensité et il devrait être appelé ainsi.
Flofl 24 sep 2004 à 02:36 (CEST)

Non. Dans les langues à accent de hauteur, l'intensité est très secondaire, mais pas absente. Les modifications mélodiques des accents suédois, par exemple, n'ont rien à voir avec les tons. L'article explique pourquoi : l'accent de hauteur y conserve sa valeur contrastive, au contraire du système tonal dans lequel, dans lequel une telle fonction est absente. Il vous faut écouter des enregistrements de lithuanien, de suédois ou de japonais, par exemple, pour bien prendre conscience de ce fait et les opposer à ce qui se passe par exemple en thaï.
Je connais bien le suédois, mais aucune langue à tons, il est vrai. Si je comprends bien, le suédois est une langue à accent de hauteur pour vous. Pour moi, c’est une langue à accent d’intensité, comprenant également deux tonèmes. Et à bien y entendre, l’«accent simple» n’est rien d’autre qu’un accent d’intensité tout bête auquel s’oppose l’«accent double» qui lui frappe deux syllabes à des tonalités différentes, d’où l’opposition contrastative. L’intensité n’est pas plus secondaire en suédois que dans une langue sans tonème. Il doit d’ailleurs exister des paires minimales s’opposant par la place de l’accent simple par exemple /'CVCVCV/ vs /CV'CVCV/. Et quand bien même on n’en trouverait pas, ou trop peu, le phénomène reste concevable. Le fait que l’intensité ait un caractère plus ou moins phonématique que la tonalité ne doit pas influer sur la manière de décrire cet accent du point de vue phonétique: l’accent simple est d’intensité, point. L’accent double est aussi phonétiquement d’intensité mais lorsqu’on passe au plan phonologique,la tonalité marquée particulière lui donne la qualité de tonème, par opposition à la tonalité non-marquée de l’accent simple.Flofl 25 sep 2004 à 07:32 (CEST)
Voyez aussi les discussions plus haut ou bien dans un ouvrage de phonétique décrivant ces langues. De plus, tonique et tonal ne sont pas synonymes et tonique ne sert jamais pour ce qui a rapport avec le ton, bien qu'étymologiquement le lien soit flagrant. La terminologie peut sembler bancale, mais elle est ainsi. Il ne nous appartient pas, dans Wikipédia, de la changer : ce n'est pas le lieu. Vincent 24 sep 2004 à 20:11 (CEST)
Vous avez raison, mais je vais avoir du mal à me faire à cette manière acritique de perpétuer des théories dépassées. Je contribuerai plutôt aux articles ne présentant pas pour moi de problème de choc des conceptions. Flofl 24 sep 2004 à 21:20 (CEST)
C'est une très bonne résolution. Lisez aussi les conseils de rédaction (surtout dans la Wikipédia anglophone) expliquant pourquoi Wikipédia n'est pas le lieu de l'innovation en terme de contenus. Et n'oubliez pas aussi que vos conceptions ─ qui se veulent « modernes » alors que les miennes seraient dépassées ─ sont très minoritairement représentées par rapport à la doxa universitaire que je suivrais. Tout au plus suivez-vous (aveuglément ?) les « innovations » de Canepari sans jamais justifier vos propos autrement que par cet auteur, dont je ne trouve pas les critiques (dont vous vous faites l'écho) forcément pertinentes. C'est une autre doxa, rien de plus. Vincent 25 sep 2004 à 09:18 (CEST)

Écriture phonétique du russe

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D'après moi les transcriptions phonétiques dans les paradigmes ne sont pas tout à fait correctes. En russe la prononciation des voyelles change énormément quand l'accent tonique change de place. Le о, p.ex., peut devenir quelque chose du genre de (API) ɐ ou même de ǝ, dépendant de où ce trouve l'accent (voir alphabet cyrillique#Des voyelles ambiguës). Je ne m'y connais pas vraiment en transcriptions API du russe, donc je ne vais pas trop y toucher. David Da Vit 5 jan 2005 à 18:15 (CET)

Au-dessus des tableaux est indiquée la raison de ce choix. Vincent 11 fev 2005 à 07:18 (CET)

Accent secondaire en français

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Je supprime ce passage : « Dans tous les cas, on perçoit nettement des accents secondaires sur lesquels l’énonciation s’appuie naturellement, même s’ils ressortent moins que dans les langues germaniques : /lapˌtitmɛ’zɔ̃dɑ̃lapʁɛ'ʁi neˌplydify'ze/ », contredit et par les faits et, surtout, par tous les ouvrages cités dans Discuter:Cédille en français. Vincent 11 fev 2005 à 07:14 (CET)

Cet article a été proposé comme article de qualité mais a été rejeté car ne satisfaisait pas les critères de sélection dans sa version du 1 décembre 2005 (historique).
Si vous désirez reprendre l'article pour l'améliorer, vous trouverez les remarques que firent les wikipédiens dans la page de vote.

deux erreurs en russe

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Présentation trop sommaire des faits slaves, sur lesquels il existe une littérature précise. Veuillez vous reporter au petit livre de Paul Garde que j'ai ajouté dans la bibliographie. Mais l'urgence est de corriger deux erreurs en russe: 1) le tableau de déclinaison des termes animés volk (волк) et kon' (конь): leur acccusatif ne coïncide pas avec le Nominatif mais avec le Génitif: Accusatif-Génitif singulier: vOlka, konJA (волка, коня) Accusatif-Génitif pluriel: volkOv, konEj (волков, коней); 2) il est plus que troublant de trouver entre "[ ]" des notations d'inspiration phonologique n'enregistrant par les réductions vocaliques hors accent. Je comprends que le choix est délibéré, mais il n'a aucun fondement. A la limite, vous pouvez noter /kon'éj/, si vous souhaitez reporter le lecteur à un autre article pour la notation phonétique [kɐn'ej].

Accent tonique en français

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Peut-on vraiment dire qu'il y a un accent tonique en français (du moins avec un accent "standard")? Je serai plutôt de l'avis exprimé sur la wiki anglaise :

French words are sometimes said to be stressed on the final syllable, but actually French has no word stress at all. 
Rather, it has a prosody whereby the final or next-to-final syllable of a string of words is stressed. 
This string may be equivalent to a clause or a phrase. 
However, when a word is said alone, it receives the full prosody and therefore the stress as well

Svartkell - ? 8 décembre 2007 à 18:25 (CET)[répondre]

Je sais pas si c’est utile mais voilà un lien accent.gmu.edu, ce site de la George Mason University possède un texte lu (audio + transcription API) par de nombreuses personnes (le tout sous licence libre CC !). VIGNERON * discut. 21 juin 2008 à 11:47 (CEST) Non car la il s'agit d'accent comme ``accent espagnol et non d'accent tonique.[répondre]

Accent tonique en espagnol

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Il est expliqué qu'en espagnol, sauf enclise ou pluriel, l'accent tonique ne peut remonter que jusqu'à l'avant-dernière syllabe. Pourtant, dans des mots tels que música, régimen ou económica, et il y en a bien d'autres, l'accent se place avant.

accent tonique du Breton

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Il est inexacte de dire que l'accent tonique du breton du morbian tombe sur la dernière syllabe. Ce n'est vrai que pour la partie la plus orientale du pays vannetais. Plus à l'Ouest, il est marqué sur la première syllabe, puis devient de plus en plus instable à mesure que l'on avance vers l'Est. Il est pourtant courant de lire ce genre d'affirmation dans des ouvrages destinés à simplifier la réalité très complexe de l'accent du pays vannetais.

Classement des accents

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Bonjour, Je cherche à mieux comprendre le phénomène "accent" ce qui m'a amené à votre article. Mais je n'arrive pas à voir clair concernant certaines définitions. D'abord, vous dites : "l'accent tonique met ... en relief... en augmentant la hauteur, la force ou la durée du son...". Question 1: A l'augmentation de la hauteur semble correspondre l'accent de hauteur; à l'augmentation de la force, l'accent d'intensité; mais un accent de durée ne semble pas exister!? Puis quelques lignes plus bas :"Enfin, au sein des accents toniques, on distingue deux catégories : l'accent d'intensité et l'accent de hauteur." Question 2 : Qu'entendez-vous par "intensité"? Est-ce ce que l'on appelle communément "le volume sonore" ou est-ce que la durée en fait partie ce qui pourrait expliquer l'absence d'un accent de durée ? Puis, vous écrivez : "On distingue fréquemment les langues à accent tonique des langues à tons et à accent de hauteur,...". Question 3 : Juste avant vous écriviez que l'accent d'intensité et l'accent de hauteur sont des sous-catégories de l'accent tonique. Comment vous pouvez alors "distinguer", opposer "les langues à accent tonique des langues à tons et à accent de hauteur", puisque l'accent de hauteur est un type d'accent tonique? Je vous serais reconnaissant, si vous pouviez m'éclairer. Cordialement, TK. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 2A01:E0A:24D:EE40:64F8:4E96:A8F:E768 (discuter), le 23 avril 2021 à 14:16 (CEST)[répondre]