Didó Sotiríou
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nom dans la langue maternelle |
Διδώ Σωτηρίου |
Nationalité | |
Activités | |
Fratrie |
A travaillé pour |
Revue d'art (d) Rizospástis I Avgí (en) Gynaika (d) |
---|---|
Parti politique |
Parti communiste de Grèce (jusqu'en ) |
Membre de |
Société des écrivains grecs (d) Front de libération nationale |
Distinction |
Didó Sotiríou (grec moderne : Διδώ Σωτηρίου, turc : Dido Sotiriyu), née le et décédée le , est une femme de lettres et une journaliste grecque.
Biographie
[modifier | modifier le code]Didó Sotiríou est née le à Aydın, ville d'Asie Mineure de l'Empire ottoman [1]. À partir de 1936, elle devient journaliste; elle travaillera pour plusieurs organes de presse, dont le journal Ριζοσπάστης à partir de 1944, la revue artistique Επιθεώρηση Τέχνης et le quotidien de gauche I Avgí.
Durant l'occupation de la Grèce pendant la Seconde Guerre mondiale, elle adhère au Parti communiste et entre dans la résistance[1].
Elle publie son premier roman, Les morts attendent, en 1959[1]. Il sera suivi d’Électre en 1961, et de son chef-d'œuvre D'un jardin d'Anatolie, également connu sous le titre Terres de sang, paru en 1962, réédité soixante-cinq fois en Grèce et traduit en six langues[1].
Œuvres
[modifier | modifier le code]Romans
[modifier | modifier le code]- Les morts attendent (1959)
- Élektra (1961), H&O (ISBN 978-2-845-47362-1), sur Iléktra Apostólou (1912-1944)
- D'un jardin d'Anatolie , ou Terres de sang (1962)
Pièces de théâtre
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]- Christophe Chiclet, « Hommage à Didó Sotiríou (1909-2004) », Confluences Méditerranée, Hiver 2004-2005, n⁰52.
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressource relative à la littérature :
- Ressource relative à l'audiovisuel :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :