Genneteil
Genneteil | |||||
L'église Saint-Martin. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Saumur | ||||
Commune | Noyant-Villages | ||||
Statut | Commune déléguée | ||||
Maire délégué Mandat |
Benoit Mussault 2020-2026 |
||||
Code postal | 49490 | ||||
Code commune | 49150 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gennetellais | ||||
Population | 333 hab. (2014) | ||||
Densité | 9,3 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 35′ 37″ nord, 0° 03′ 00″ est | ||||
Altitude | 40 m Min. 49 m Max. 89 m |
||||
Superficie | 35,95 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Beaufort-en-Vallée | ||||
Historique | |||||
Fusion | 15 décembre 2016 | ||||
Commune(s) d'intégration | Noyant-Villages | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
| |||||
modifier |
Genneteil est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire. Le , la commune devient une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Noyant-Villages[1].
Cette ancienne commune rurale se situe dans le Baugeois, au nord des villes de Baugé et de Noyant, en bordure du département de la Sarthe.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Ce village angevin de l'ouest de la France se situe dans l'est du Baugeois, au nord-ouest de Noyant, sur les routes D138 (est ouest) et D198 (nord sud). Baugé se trouve à 13 km et Saumur à 38 km[2],[3]. Son territoire est essentiellement rural.
Le Baugeois est la partie nord-est du département de Maine-et-Loire. Elle est délimitée au sud par la vallée de l'Authion et celle de la Loire, et à l'ouest par la vallée de la Sarthe[4].
Aux alentours
[modifier | modifier le code]Les communes les plus proches sont Savigné-sous-le-Lude (3 km), Chigné (3 km), Chavaignes (6 km), Lasse (7 km), Vaulandry (7 km), Auverse (8 km), Dissé-sous-le-Lude (8 km), Pontigné (8 km), Broc (9 km) et Dénezé-sous-le-Lude (10 km)[3].
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]L'altitude de la commune varie de 40 à 89 mètres[5], et son territoire s'étend sur près de 36 km2 (3 595 hectares)[5].
Genneteil se situe sur l'unité paysagère du Plateau du Baugeois[6]. Le relief du Baugeois est principalement constitué d'un plateau, aux terrains sablonneux, siliceux ou calcaires[7], caractérisés par de larges affleurements sédimentaires, crétacés, sables et calcaires aux teintes claires.
Une partie de la commune est classée en zone naturelle d'intérêt écologique, floristique et faunistique (ZNIEFF), pour les zones Le Perchard, bois des Bellangères, prairies humides du ruisseau du Gué-de-Bré, vallée des Cartes et de la Vesotière, bois Lanfray, bois de Parnay, massif du Gaffard et bois de la Roltière, et pour la vallée du Loir de Pont-de-Braye à Bazouges-sur-Loir[8].
Climat
[modifier | modifier le code]Le climat angevin est tempéré, de type océanique. Il est particulièrement doux, compte tenu de sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelées rares et les étés ensoleillés. Le climat du Baugeois est plus continental : plus sec et chaud l'été[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Morphologie urbaine : Le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.
En 2009 on trouvait 200 logements sur la commune de Genneteil, dont 82 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 91 %, et dont 75 % des ménages en étaient propriétaires[9]. En 2012, on y trouvait 204 logements, dont 76 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 81 % des ménages en étaient propriétaires[10].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Formes anciennes du nom : Villa Genestolalus en 774, Villa Geneforgallus en 862, Villa Genestolius en 903-919, Villa Genestogalus en 904 et 931, Genestail en 1501[11], Genneteil ou Geneteil aux XVIIIe et XIXe siècles, pour devenir ensuite définitivement Genneteil[12].
Origine du nom : Genneteil, la « clairière aux genêts », du latin genesta (genêt) suivi du suffixe gaulois -ialo (clairière), la clairière[13].
Nom des habitants : Les Genneteillais[13].
Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]À l'époque des carolingiens, Genneteil appartient au chapitre St-Martin-de-Tours, prévôté d'Anjou[11].
Au XIe siècle, sous Foulques Nerra, le Comté d'Anjou s'étend au nord jusqu'à Genneteil.
Au début du XIIIe siècle, Guillaume des Roches est un des plus grands barons d'Anjou et du Maine, avec notamment les fiefs de Briollay et de Genneteil.
Ancien Régime
[modifier | modifier le code]Sous l'Ancien Régime, la commune dépend de la sénéchaussée angevine de Baugé, du diocèse d'Angers et de l'archiprêtré du Lude[11].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]À la réorganisation administrative qui suit la Révolution, la commune est chef-lieu de canton en 1790, puis rattachée au canton de Noyant[11]. Il est intégré au district de Baugé, puis en 1800 à l'arrondissement de Baugé, et à sa disparition en 1926, à l'arrondissement de Saumur[12].
Un rapprochement intervient en 2016. Le , les communes de Auverse, Broc, Breil, Chalonnes-sous-le-Lude, Chavaignes, Chigné, Dénezé-sous-le-Lude, Genneteil, Lasse, Linières-Bouton, Meigné-le-Vicomte, Méon, Noyant et Parçay-les-Pins, s'associent pour former la commune nouvelle de Noyant-Villages. Genneteil en devient une commune déléguée[1].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Administration actuelle
[modifier | modifier le code]Depuis le , Genneteil constitue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Noyant-Villages et dispose d'un maire délégué[1].
Administration ancienne
[modifier | modifier le code]La commune est créée à la Révolution. Municipalité en 1790[12]. Le conseil municipal est composé de 11 élus[16].
Jumelages
[modifier | modifier le code]La commune ne comporte pas de jumelage[18].
Ancienne situation administrative
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune fait partie jusqu'en 2016 de la communauté de communes canton de Noyant. Créée en 2000, cette structure intercommunale regroupe les quinze communes du canton, dont Chavaignes, Chigné, et Lasse[19],[20]. L'intercommunalité est dissoute le [1].
La communauté de communes était membre du Pays des Vallées d'Anjou, structure administrative d'aménagement du territoire, comprenant six communautés de communes : Beaufort-en-Anjou, Canton de Baugé, Canton de Noyant, Loir-et-Sarthe, Loire Longué et Portes-de-l'Anjou.
La commune faisait également partie du SICTOD Nord Est Anjou, membre du SIVERT, syndicat intercommunal de valorisation et de recyclage thermique des déchets de l’Est Anjou, qui se trouve à Lasse[21]. Elle faisait également partie du SIVU AEP de la région de Noyant pour le traitement de l'eau potable[19].
Autres circonscriptions
[modifier | modifier le code]Jusqu'en 2014, Genneteil fait partie du canton de Noyant et de l'arrondissement de Saumur[22]. Ce canton compte alors les quinze mêmes communes que celles de la communauté de communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton de Beaufort-en-Vallée, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[23].
La commune fait partie de la troisième circonscription de Maine-et-Loire, composée de huit cantons, dont Baugé et Longué-Jumelles. Cette circonscription de Maine-et-Loire est l'une des sept circonscriptions législatives que compte le département.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25],[Note 1].
En 2014, la commune comptait 333 habitants, en évolution de −5,93 % par rapport à 2009 (Maine-et-Loire : +3,3 %, France hors Mayotte : +2,49 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (30,3 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,9 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
Vie locale
[modifier | modifier le code]Services publics présents sur la commune : mairie, école élémentaire (RPI), poste. Les autres services publics se trouvent à Noyant[19].
L'hôpital local le plus proche se trouve à Baugé (95 places) ainsi que plusieurs maisons de retraite[30].
La collecte des déchets ménagers (tri sélectif) est organisée par la Communauté de Communes du canton de Noyant[21].
Économie
[modifier | modifier le code]Tissu économique
[modifier | modifier le code]Commune principalement agricole, en 2009, sur les 47 établissements présents sur la commune, 62 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 18 % sur le département)[31]. L'année suivante, en 2010, sur 46 établissements présents sur la commune, 61 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 2 % du secteur de l'industrie, 2 % du secteur de la construction, 28 % de celui du commerce et des services et 7 % du secteur de l'administration et de la santé[9].
Sur 48 établissements présents sur la commune à fin 2013, 46 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 4 % du secteur de l'industrie, 2 % du secteur de la construction, 42 % de celui du commerce et des services et 6 % du secteur de l'administration et de la santé[10].
Agriculture
[modifier | modifier le code]Liste des appellations présentes sur le territoire[32] sur le territoire :
- IGP Bœuf du Maine, IGP Porc de la Sarthe, IGP Volailles de Loué, IGP Volailles du Maine, IGP Œufs de Loué,
- IGP Cidre de Bretagne ou Cidre breton.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Bâtiments inscrits aux monuments historiques[33] :
- Église Saint-Martin, des XIe XIIe XIIIe et XVIIIe siècles, Monument historique classé par arrêté du (PA00109128)[34].
L'église Saint-Martin-de-Tours, de style roman, possède de très beaux murs de tuffeau ainsi que des fresques murales (XIIe et XVIIe siècles). C'est également la plus ancienne et la plus grande du canton. Elle possède une immense nef d'un seul tenant, dépouillée de toute colonne, qui est couverte d'une voûte en berceau lambrisée. Le sanctuaire conserve de petites fenêtres romanes et un portail à triple archivolte[35]. - Manoir de Breil de Foin, des XVe et XVIIe siècles, Monument historique inscrit par arrêté du (PA00109129)[36].
La commune comporte également plusieurs châteaux tel que l'ancien du Breil-De-Foin (signifiant "Le Bois de la Frontière") datant des XIe et XVe siècles.
Le nouveau château de la Breil-de-Foin date des XVIe et XVIIe siècles. Il comporte un grand escalier en bois datant du XVIIe siècle (1730)[35].
Et autres ouvrages inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel[33] :
- Château la Pasnière, du XIXe siècle.
- Château de Parnay, du XIXe siècle.
Le château de Parnay, datant du XIXe siècle, est entièrement construit en tuffeau. Il a été édifié sous commande de M. Virmont, un officier russe demeurant en France après l'occupation de 1815. Ce château est du style de l'époque avec une forte inspiration Renaissance. Il est agrémenté d'un relais de Poste, dit de la Croix-de-Paranay, qui fut très fréquenté jusqu'à la fin XIXe siècle[35]. - Château le Vieux Parnay, des XVIe et XVIIe siècles, dont il ne subsiste qu'un seul bâtiment (grange).
- Croix de chemin, lieu-dit la Croix-Chouannière, du XVIIe siècle.
- Maison du Mesurage, rue du Mesurage (bourg), des XVIe siècle et XVIIIe siècles.
- Plusieurs maisons et fermes des XVe XVIe XVIIe et XVIIIe siècles.
La commune comporte notamment une maison (7 rue des Écoles) du XVe siècle construite en moellon enduit et en tuffeau. Elle est restaurée par la municipalité[35]. - Manoir les Mortiers, des XVIe XVIIe et XVIIIe siècles.
Le manoir des mortiers, datant du XVe siècle, est très significatif des logis construits après la fin de la guerre de Cent Ans par les petits hobereaux[37] locaux[35]. - Plusieurs moulins, dont des XVIIe siècle et XVIIIe siècles.
- Presbytère dit la Cure, école, du XVe siècle.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Guillaume des Roches (1165 ou 1170 - 1222), sénéchal d'Anjou de 1199 à 1222, baron de Genneteil.
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1876) (BNF 34649310, lire en ligne), p. 229-230.
- Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire : D-M, t. 2, Angers, P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re éd. (BNF 34106676), p. 249-251.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
[modifier | modifier le code]- Arrêté préfectoral no DRCL-BSFL-2016-151, du 7 décembre 2016, « Recueil des actes administratifs de Maine-et-Loire, du 8 décembre 2016, p. 5-7 », sur Préfecture de Maine-et-Loire.
- IGN et BRGM, Géoportail Genneteil (49), consulté le 20 mai 2012.
- Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Genneteil (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 20 mai 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
- P.Wagret J.Boussard J.Levron S.Mailliard-Bourdillon, Visages de l'Anjou, Paris, Horizons de France, coll. « Provinciales », (BNF 31614504), p. 10.
- IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2010), consulté le 2 février 2011 — Données consultables sur WikiAnjou.
- Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58-71 — Données consultables sur WikiAnjou.
- Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Le climat de Maine-et-Loire », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du sur Internet Archive), consulté le 24 mai 2011.
- DREAL Pays de la Loire, Données environnementales GéoSource, consultées le 20 mai 2012.
- Insee, Statistiques locales du territoire de Genneteil (49), consultées le 1er février 2013.
- Insee, Statistiques locales du territoire de Genneteil (49), consultées le 21 juillet 2016.
- Célestin Port 1978, p. 229-230.
- École des hautes études en sciences sociales (EHESS), Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Genneteil, consultée le 20 mai 2012 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
- Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 86-87.
- « Les adjoints au maire », sur Mairie de Noyant-Villages (consulté le ).
- « Procès verbal du conseil municipal - Réunion du 26 mai 2020 », sur Mairie de Noyant-Villages, (consulté le ).
- Nombre de conseillers municipaux sur le Code général des collectivités territoriales.
- « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive), document du 11 avril 2014.
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
- C. C. Noyant, Communauté de communes, consulté le 20 mai 2012.
- Insee, Composition de l'EPCI du Canton de Noyant (244900015), consulté le 7 juillet 2013.
- SIVERT Est Anjou, SICTOD Nord Est Anjou, consulté le 6 février 2011 - Syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères et des déchets de la région Nord-Est d’Anjou regroupant dix-huit communes.
- Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Genneteil, consultée le 21 février 2015.
- Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- « Évolution et structure de la population à Genneteil en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Fédération Hospitalière de France, Hôpital intercommunal du Baugeois et de la Vallée (Baugé), consulté le 9 novembre 2011.
- Insee, Statistiques 2009 du territoire de Genneteil, consultées le 22 mai 2012.
- INAO, Fiche de Genneteil (49), consultée le 22 mai 2012 — AOC Appellation d'origine contrôlée (FR), AOP Appellation d'origine protégée (CE), IGP Indication géographique protégée (CE).
- Ministère de la Culture, Monuments historiques et Inventaire général du patrimoine culturel, base Mérimée consultée le 4 février 2011.
- « Église Saint-Martin », notice no PA00109128, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Le patrimoine des communes de Maine-et-Loire, Collection Flohic, Éditions Delattre, 2002.
- « Manoir de Breil de Foin », notice no PA00109129, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Hobereaux sur Wiktionnaire.