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Brigitte Barèges

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Pour les articles homonymes, voir Barèges.

Brigitte Barèges
Illustration.
Brigitte Barèges en 2009.
Fonctions
Vice-présidente de l'Union des droites pour la République
En fonction depuis le
(1 mois et 11 jours)
Avec François Falletti
Alexandre Avril
Christelle D'Intorni
Sophie Vaginay-Ricourt
Prédécesseur Parti créé
Députée française
En fonction depuis le
(4 mois et 6 jours)
Élection 7 juillet 2024
Circonscription 1re de Tarn-et-Garonne
Législature XVIIe (Cinquième République)
Groupe politique AD/UDR
Prédécesseur Valérie Rabault
–
(10 ans et 1 jour)
Élection 16 juin 2002
Réélection 17 juin 2007
Circonscription 1re de Tarn-et-Garonne
Législature XIIe et XIIIe (Cinquième République)
Groupe politique UMP
Prédécesseur Roland Garrigues
Successeur Valérie Rabault
Maire de Montauban
–
(2 ans, 7 mois et 28 jours)
Élection
Prédécesseur Axel de Labriolle
Successeur Marie-Claude Berly
–
(19 ans, 10 mois et 18 jours)
Élection
Réélection

Prédécesseur Roland Garrigues
Successeur Axel de Labriolle
Présidente du Grand Montauban[a]
–
(2 ans, 7 mois et 28 jours)
Prédécesseur Thierry Deville
Successeur Marie-Claude Berly
–
(19 ans, 10 mois et 2 jours)
Prédécesseur Pierre Astoul
Successeur Thierry Deville
Conseillère départementale de Tarn-et-Garonne
–
(5 ans, 10 mois et 9 jours)
Élection 29 mars 2015
Circonscription Canton de Montauban-3
Président Christian Astruc
Groupe politique NI (2015-2020)
LR (2020-2021)
Prédécesseur Jean-Pierre Quéreilhac
Successeur Marie-Claude Berly
Vice-présidente du conseil départemental de Tarn-et-Garonne
–
(1 an, 8 mois et 18 jours)
Prédécesseur Ghislain Descazeaux
Successeur Gérard Hébrard
Biographie
Nom de naissance Brigitte Taurines
Date de naissance (71 ans)
Lieu de naissance Toulouse (Haute-Garonne)
Nationalité Française
Parti politique RPR (1993-2002)
UMP (2002-2015)
LR (2015-2024)
UDR (depuis 2024)
Profession Avocate
Maires de Montauban
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Brigitte Barèges, née le à Toulouse (Haute-Garonne), est une femme politique française.

Membre de l'UMP puis de LR, elle est notamment maire de Montauban de 2001 à 2021, mandat qu'elle doit abandonner quelques mois en raison d'une peine d'inéligibilité à exécution provisoire ; elle redevient maire après avoir été relaxée en appel, jusqu'en juillet 2024, date où elle abandonne son mandat au profit de celui de députée.

Elle est également députée de Tarn-et-Garonne de 2002 à 2012. Elle est de nouveau élue en 2024, avec le soutien du Rassemblement national.

Situation personnelle

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Née Taurines à Toulouse, Brigitte Barèges est originaire de Réalmont, commune du Tarn.Elle est la fille du docteur Jean-Paul Taurines, conseiller général gaulliste du Tarn pendant dix-huit ans.[réf. nécessaire]. Elle suit des études de lettres classiques au lycée Bellevue d’Albi.

Mariée à un agriculteur, et mère de trois enfants, elle est titulaire d’une licence de droit privé obtenue à la faculté de droit de Toulouse, d’un certificat d’études judiciaires et de criminologie, d’un DESS en droit notarial et du certificat d’aptitude à la profession d’avocat (CAPA). Elle exerce à partir de 1976 la profession d’avocat à Montauban en étant spécialisée notamment dans les questions de droit rural, de surendettement et des violences faites aux femmes et aux enfants.[réf. nécessaire]

Parcours politique

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Débuts

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Brigitte Barèges participe en 1994 à la fondation de l’association Forum démocratie justice, avec l’ancien juge Thierry Jean-Pierre, dans le but de sensibiliser l’opinion à la lutte contre la corruption et la délinquance politico-financière. Elle adhère au RPR en 1993 et en devient secrétaire départementale en 1999. Elle est ensuite secrétaire départementale de l’UMP à partir de sa création, en 2002.[réf. souhaitée]

Élection à la mairie de Montauban

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Elle brigue son premier mandat électoral lors des élections municipales de 2001 à Montauban, commune administrée par la gauche depuis 36 ans. Elle mène campagne sur le thème de la lutte contre l’insécurité et la corruption. Après avoir battu au second tour le député-maire socialiste sortant, Roland Garrigues, par 51,4 % des voix contre 44,7 % dans le cadre d’une triangulaire avec le Front national, elle devient la première femme maire de Montauban[1]. Dans la foulée, elle est élue à la présidence de la communauté d'agglomération du Pays de Montauban et des Trois Rivières, qui devient la communauté d'agglomération du Grand Montauban en 2010.

Députée et engagements nationaux

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Brigitte Barèges est élue députée dans 1re circonscription de Tarn-et-Garonne au second tour des élections législatives de 2002, face à Roland Garrigues, avec 54,2 % des suffrages exprimés[2]. Elle est réélue au second tour des législatives de 2007, par 50,8 % des voix, une nouvelle fois contre Roland Garrigues[3].

Brigitte Barèges est membre des collectifs parlementaires dits de la « Droite populaire »[4], de la « Droite sociale »[5],[6], de la « Droite rurale »[7], et des « Humanistes de l'UMP »[8], tous étant issus de l'UMP[9],[10]. Dans le cadre de l'élection présidentielle de 2007, elle parraine le candidat Frédéric Nihous[11]. Lors du congrès de l’UMP de 2012, elle soutient ensuite la candidature de François Fillon pour la présidence de l'UMP. En raison de l'affaire Fillon, elle renonce à soutenir celui-ci à l'élection présidentielle de 2017[12].

Briguant un troisième mandat de députée dans la première circonscription de Tarn-et-Garonne lors des élections législatives de 2012, qui font suite à l’élection de François Hollande à la présidence de la République, elle est battue au second tour par la socialiste Valérie Rabault, recueillant 46 % des voix.

Aux élections législatives de 2017, elle choisit de ne pas se présenter en raison de la réglementation sur le non-cumul des mandats, privilégiant son mandat de maire de Montauban, et soutient le candidat LR, Thierry Deville.

Élue régionale et départementale

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Brigitte Barèges est chef de file UMP/majorité présidentielle en Midi-Pyrénées lors des élections régionales de 2010, lors desquelles elle présente un conseiller municipal du PRG comme tête de liste de son département de Tarn-et-Garonne[13]. Sa liste obtient 32,2 % des voix au second tour, devancée par la liste de son adversaire Martin Malvy qui réalise le meilleur score de la gauche pour toute la France[14]. En , neuf conseillers régionaux UMP quittent le groupe UMP au conseil régional pour fonder un groupe dissident autour de Gérard Trémège, rival malheureux de Brigitte Barèges pour l'investiture du parti aux élections régionales de 2010[15],[16]. Ce dernier dénonce la gestion du groupe par Brigitte Barèges[17]. Elle quitte ensuite le conseil régional afin de se conformer à la loi sur le non-cumul des mandats[18].

Elle est élue conseillère départementale dans le canton de Montauban-3 lors des élections départementales de 2015, en binôme avec Pierre Mardegan[19]. Elle est vice-présidente du conseil départemental de Tarn-et-Garonne du au [20].

Proximité avec l'extrême droite

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Soutien à Marine Le Pen

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Faisant face à un second tour délicat[21] aux élections législatives de 2012, Brigitte Barèges serait « ravie » que Marine Le Pen « soit élue »[22],[23], et assure que ce n'est pas pour obtenir un renvoi d'ascenseur par un report de voix des électeurs du Front national dans sa circonscription sortante[21]. L'AFP rapporte ses propos suivants : « C'est pas tout à fait normal qu'elle ait pas du tout de siège à l'Assemblée alors que les Verts, qui représentent quasiment rien, le Parti communiste, qui est de moins en moins important, puissent bénéficier de sièges »[21]. Ainsi, elle juge « M. Mélenchon beaucoup plus outrancier, beaucoup plus dangereux. C'est quelqu'un qui a appelé à la révolution. [...] Je suis heureuse que Mme Le Pen l'ait battu »[21].

Alliance locale

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Elle conclut une alliance locale avec le RN selon Libération, qui évoque des « échanges de bons procédés, candidats communs, désistements » entre les deux partis en Tarn-et-Garonne. Elle favorise par exemple l'élection de Marine Hamelet aux élections législatives de 2022, ne faisant investir aucun candidat LR dans sa circonscription. Selon Romain Lopez, maire RN de Moissac, cette alliance vise notamment à ce « qu'aucun autre LR n'émerge dans le Tarn-et-Garonne »[24].

Réélections à la mairie de Montauban

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Elle est réélue maire de Montauban à l’issue des élections municipales de 2008, lors desquelles sa liste l’emporte avec 50,3 % des suffrages exprimés au second tour, face à la liste d’union de la gauche de Claude Mouchard[25].

Le , la liste qu'elle mène remporte les élections municipales de Montauban au second tour, avec 51,3 % des suffrages, dans le cadre d'une triangulaire l'opposant à une liste conduite par Roland Garrigues (37,8 %) et à une liste FN menée par Thierry Viallon (10,9 %)[26]. Elle est réélue maire la semaine suivante, pour un troisième mandat[27].

Lors des élections municipales de 2020, sa liste l’emporte avec 54,5 % des voix au second tour face à une liste d’union de la gauche[28]. Elle est ainsi élue pour un quatrième mandat par le conseil municipal le [29].

Inéligibilité, relaxe et retour à la mairie

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Après avoir été déclarée inéligible, elle est relaxée et réélue maire de Montauban le , à la suite de la démission d'Axel de Labriolle[30],[31].

Retour à la députation

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Article détaillé : Crise de 2024 au parti Les Républicains.

Elle est candidate aux élections législatives de 2024 dans la première circonscription de Tarn-et-Garonne[32]. Sa candidature est enregistrée dans le cadre de l'alliance entre les Républicains à droite et le Rassemblement national sous la nuance Union de l'extrême droite (UXD) par le ministère de l'Intérieur et des Outre-mer[33]. Elle déclare cependant n'avoir « signé aucune charte avec le RN »[34]. Elle est élue au second tour avec 51,25 % des suffrages exprimés, battant Valérie Rabault au terme d'un scrutin serré pour retrouver ce siège[35]. Le député LR Aurélien Pradié assure qu'elle sera exclue de LR pour son alliance avec le RN[36].

Elle annonce le 27 septembre cesser ses fonctions de présidente de la fédération LR du Tarn-et-Garonne et rejoindre l'Union des droites pour la République[37]. Elle en devient vice-présidente en octobre 2024[38].

Affaires judiciaires

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Refus de marier un couple

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Elle est condamnée en première instance pour refus de mariage[39], mais sa condamnation est annulée en cour d'appel pour vice de forme[40]. En effet, elle avait refusé pendant de nombreuses semaines à marier un couple franco-tunisien, suspectant un « mariage gris », mais fut obligée par la justice de célébrer le mariage malgré sa victoire en appel[41].

Comptes de campagne

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À l'été 2014, la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) rejette ses comptes de campagne des élections municipales. Le , à ce sujet, elle est condamnée à un an d'inéligibilité par le tribunal administratif de Toulouse[42],[43]. Elle fait appel de cette décision[44]. Le , le Conseil d'État « constate des irrégularités » et confirme le rejet des comptes de campagne 2014 de Brigitte Barèges, mais estime « que les irrégularités commises ne présentent pas un caractère de « particulière gravité » ». Brigitte Barèges peut ainsi rester maire et présidente du Grand Montauban[45].

Détournement de fonds publics

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Brigitte Barèges lors d’une manifestation de soutien à son égard, après sa condamnation à une peine d’inéligibilité à effet immédiat (Montauban, ).

Mise en examen en 2015 pour détournement de fonds publics, Brigitte Barèges est jugée à partir de [46]. Les faits concernent le financement par la municipalité de Montauban d’un emploi fictif d’un chargé de communication à la mairie[47]. Trois autres membres de la municipalité sont impliqués : son ancien chargé de communication et ex-directeur de campagne pour les élections municipales de 2014, Jean-Paul Fourment, son ancien directeur de cabinet, Stéphane Bensmaine, et le directeur du quotidien local Le Petit Journal, proche de la mairie, Alain Paga[48].

Le , Brigitte Barèges est condamnée à douze mois de prison avec sursis, 15 000 € d'amende et cinq ans d'inéligibilité avec effet immédiat, perdant ainsi ses mandats de maire et de conseillère départementale[49]. L'arrêté portant la démission d'office de ses mandats est pris deux jours plus tard par la préfète de Tarn-et-Garonne. Brigitte Barèges estime que cette condamnation a des motivations politiques[50].

En appel, le , elle est relaxée des faits lui étant reprochés[51]. Le parquet général décide de ne pas former de pourvoi en cassation contre sa relaxe.

Controverses et polémiques

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Préférence nationale

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Afin de lutter contre le chômage, et au regard du contexte économique qu'elle qualifie de « très grave », elle propose en 2012 d'instituer la « préférence nationale »[52],[53].

Mariage homosexuel

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Lors de la présentation d'une loi visant à ouvrir le mariage aux homosexuels à l'Assemblée, elle avait déclaré, à propos d'un texte du groupe socialiste visant à autoriser le mariage homosexuel, « et pourquoi pas des unions avec des animaux ? ou la polygamie ? » [54],[55]. Son intervention provoque des critiques dans le monde politique, notamment auprès des associations LGBT[56]. La députée affirme que ses propos ont été sortis de leur contexte, et qu'ils visaient à poser « dans son propos la question de la pertinence d'adapter systématiquement la loi et les institutions à l'évolution des mœurs[57] ».

« Blagues » à connotations racistes

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Lors de la présentation de sa liste pour les municipales de 2014, elle évoque son seul colistier noir comme la « tache » de sa liste, en parlant de Jean Tekpri[58],[59]. Le même jour, elle s'amuse sur un autre colistier, Robert Infanti, en passant la musique du film Le Parrain pour le présenter, car il a « une bouille de mafieux »[58],[59].

Immigration

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Habituée des polémiques selon France Info[60] et au cours d’une réunion de maires organisée le à Souillac pour débattre avec le président de la République Emmanuel Macron, dans le cadre du « grand débat national », elle aborde le sujet de l'immigration par le terrorisme et évoque ensuite le cas d'une dame de plus de 80 ans ayant été violée en 2017 dans sa commune par un Algérien en situation irrégulière, ainsi que l'injustice sociale que subissent certains citoyens français à ne pas pouvoir s'offrir des soins (lunettes, prothèses dentaires) quand, par le biais de l'aide médicale d'État (AME), un étranger peut se les faire offrir gratuitement sur le territoire français. Elle se fait copieusement huer dans l'assistance[61]. Elle reçoit le soutien d'élus de son parti, dont Éric Ciotti, tandis que Thierry Mariani parle d'un « discours de vérité »[62].

Sans-abrisme

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Au cours de la canicule de juin 2019, elle s'oppose à l’ouverture d'un centre d’accueil pour les sans-abri financé par l’État et la fondation Abbé Pierre. Il existe déjà plusieurs centres d’accueil pour les sans-abris dans la ville et le local cité est une usine désaffectée de confection de chaussures, non climatisée, aménagée sans dépôt de permis de construire[63]

Révisionnisme

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Encore maire le 21 juillet 2024, elle est critiquée alors que le journal municipal a publié une photo du maréchal Pétain à l'occasion de la commémoration du 80e anniversaire de la Libération de Montauban. L'exécutif municipal répond que la photographie fait partie d'une « exposition pédagogique dans laquelle la collaboration est clairement dénoncée »[64],[65].

Détail des mandats et fonctions

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Notes et références

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Notes

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  1. ↑ Présidente de la communauté d'agglomération du Pays de Montauban et des Trois Rivières de 2001 à 2010 puis de la communauté d'agglomération du Grand Montauban de 2010 à 2024.

Références

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  1. ↑ « Résultats des élections municipales 2001 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  2. ↑ « Résultats des élections législatives 2002 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  3. ↑ « Résultats des élections législatives 2007 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  4. ↑ "La Droite Populaire", sur le site de Brigitte Barèges
  5. ↑ "La Droite Sociale", sur le site de Brigitte Barèges
  6. ↑ « Barèges : "Le politiquement correct nous fait du tort" »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Le Journal du dimanche (consulté le ).
  7. ↑ "La Droite Rurale", sur le site de Brigitte Barèges
  8. ↑ "Les Humanistes" sur le site de Brigitte Barèges
  9. ↑ "Populaire, sociale et humaniste : les trois droites de l'UMP, fusibles de Sarkozy ?" sur Le Post, 28 octobre 2011.
  10. ↑ « Les courants de l'UMP qui pourraient compter en 2012 », sur LEFIGARO, (consulté le ).
  11. ↑ « Tarn-et-Garonne. 36 signatures tirées au sort pour publication », sur ladepeche.fr (consulté le ).
  12. ↑ «Nous, élus de droite et du centre, demandons solennellement à François Fillon de se retirer», sur l'Opinion, (consulté le ).
  13. ↑ Régionales: une liste UMP d'ouverture - Le Figaro.fr/AFP
  14. ↑ Martin Malvy a réalisé le meilleur score de la gauche aux régionales, obtenant 67,77 % des voix devant l'UMP Brigitte Barèges (32,23 %) Les Echos
  15. ↑ Clash entre Trémège et Barèges au Conseil régional avec scission du groupe UMP, Toulouse7.com.
  16. ↑ UMP. « Trémège battu par Barèges pour les candidats aux élections régionales », La Dépêche du midi, 23 mars 2009.
  17. ↑ « Conseil régional : les raisons de la scission de la droite », Mikaël Lozano, sur le site http://www.objectifnews.com, 9 novembre 2010 (consulté le 19 août 2015).
  18. ↑ « Conseil régional : Brigitte Barèges démissionne », Toulouse7.com, 27 janvier 2011 (consulté le 19 août 2015).
  19. ↑ « Pierre Mardegan / Conseil départemental de Tarn et Garonne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur ledepartement.fr (consulté le ).
  20. ↑ « Brigitte Barèges perd sa vice-présidence du conseil départemental du Tarn-et-Garonne », sur Le blog politique, (consulté le ).
  21. ↑ a b c et d « L'UMP Brigitte Barèges serait "ravie" que Marine Le Pen "soit élue" » Accès libre, sur Le Monde, (consulté le )
  22. ↑ « Brigitte Barèges "ravie" si Marine Le Pen est élue » Accès libre, sur La Dépêche, (consulté le )
  23. ↑ « Barèges (UMP) serait ravie que Le Pen soit élue » Accès libre, sur Europe 1, (consulté le )
  24. ↑ Nicolas Massol, « LR-RN : sur le terrain, une alliance de la base à bas bruit », sur Libération,
  25. ↑ http://elections.lefigaro.fr/resultats/elections-municipales-2008/2eme-tour/tarn-et-garonne/82000/montauban/ Le Figaro : Résultats des municipales 2008 de Montauban.
  26. ↑ « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  27. ↑ Thierry Dupuy, « Montauban. Brigitte Barèges réélue, le conseil municipal en ordre de marche », La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. ↑ « Municipales de 2020 : résultats à Montauban », sur lemonde.fr (consulté le ).
  29. ↑ « Brigitte Barèges enfile sa quatrième écharpe tricolore », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  30. ↑ « Brigitte Barèges relaxée : pas de pourvoi en cassation du parquet », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  31. ↑ « Montauban : Brigitte Barèges redevient maire et rebat les cartes dans sa majorité », sur ladepeche.fr, ladepeche.fr (consulté le ).
  32. ↑ « Profession de foi de Brigitte Barèges », sur programme-candidats.interieur.gouv.fr
  33. ↑ « Rappel candidatures - Élections législatives 2024 », sur resultats-elections.interieur.gouv.fr
  34. ↑ Florent Duprat, « Brigitte Barèges : « je n'ai signé aucune charte avec le RN » », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne)
  35. ↑ « Legislatives 2024 : dans le Tarn-et-Garonne, B. Barèges (LR-RN) l'emporte face à la socialiste sortante V. Rabault - France Bleu », sur ici par France Bleu et France 3, (consulté le ).
  36. ↑ « Législatives 2024. Les infos du jour : "Brigitte Barèges sera exclue des LR ! », sur France 3 Occitanie,
  37. ↑ « DOSSIER. La députée de Tarn-et-Garonne Brigitte Barèges annonce quitter la présidence de la fédération locale du parti Les Républicains », sur ladepeche.fr (consulté le )
  38. ↑ « Éric Ciotti dévoile l'équipe dirigeante de l'Union des Droites pour la République - Entrevue », (consulté le )
  39. ↑ « Une maire UMP condamnée pour refus de mariage », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. ↑ AFP, « Refus de mariage: condamnation annulée », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. ↑ Pierre Mazille., « Montauban. Barèges condamnée à marier le couple franco-tunisien », La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. ↑ « Brigitte Barèges, maire UMP de Montauban, déclarée inéligible pour un an », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  43. ↑ Médiapart, « L'UMP Brigitte Barèges est déclarée inéligible pour un an », Médiapart,‎ (lire en ligne)
  44. ↑ « Un an d'inéligibilité pour Brigitte Barèges qui fait appel », francetvinfo.fr,‎ (lire en ligne)
  45. ↑ « Brigitte Barèges reste maire de Montauban », francetvinfo.fr,‎ (lire en ligne)
  46. ↑ « Jugée pour détournement de fonds, la maire de Montauban risque son fauteuil », sur 20minutes.fr, .
  47. ↑ Le Point.fr, « Possible emploi fictif : la maire de Montauban Brigitte Barèges en garde à vue », sur lepoint.fr, (consulté le ).
  48. ↑ « Possible emploi fictif: la maire de Montauban Brigitte Barèges en garde à vue », sur 20minutes.fr.
  49. ↑ Olivier Lebrun et Pascale Danyel, « Brigitte Barèges condamnée à cinq ans d'inéligibilité n'est plus maire de Montauban », France Bleu Occitanie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  50. ↑ « L'ex-maire LR de Montauban relaxée en appel après avoir été déchue de son mandat », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  51. ↑ « Relaxée, Brigitte Barèges peut redevenir maire de Montauban », sur francebleu.fr, (consulté le ).
  52. ↑ « Élection présidentielle 2012 - Actualités, vidéos et infos en direct », sur Le Monde.fr (consulté le ).
  53. ↑ « Quand une députée UMP parle de "préférence nationale"... », Franceinfo.fr, 14 janvier 2011.
  54. ↑ Le Point magazine, « Mariage homosexuel: tollé après des propos de la députée UMP Brigitte Barèges », sur Le Point, (consulté le ).
  55. ↑ « Tollé contre Brigitte Barèges : "un humour nauséabond" », sur ladepeche.fr (consulté le ).
  56. ↑ « Après les propos de Brigitte Barèges, GayLib menace de se mettre en retrait de l'UMP », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
  57. ↑ Têtu : Propos homophobes: Brigitte Barèges s'explique, les réactions affluent.
  58. ↑ a et b « Municipales 2014 - Montauban : la blague douteuse de la maire UMP Brigitte Barèges », sur Le Point, (consulté le )
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  60. ↑ « Grand débat national : la maire LR de Montauban huée après des propos controversés sur l'immigration » Accès libre, sur France Info, (consulté le )
  61. ↑ « VIDEOS. Grand débat national : la maire LR de Montauban huée après des propos controversés sur l'immigration », sur francetvinfo.fr,
  62. ↑ « Emmanuel Macron : "Le sujet de l'immigration ne doit pas être un tabou" », sur jdd.fr,
  63. ↑ « La maire de Montauban refuse d’ouvrir un centre d’accueil pour les sans-abri », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  64. ↑ « «Révisionnisme», «inadmissible» : une photo du Maréchal Pétain dans le magazine de la ville de Montauban suscite l’indignation », sur Le Figaro, (consulté le ).
  65. ↑ « Une photo du Maréchal Pétain dans un magazine municipal fait scandale », sur Le Point, (consulté le ).

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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v · m
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