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Boofzheim

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Boofzheim
Boofzheim
Maison à colombages au centre du village.
Blason de Boofzheim
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Sélestat-Erstein
Intercommunalité Communauté de communes du canton d'Erstein
Maire
Mandat
Éric Klethi
2020-2026
Code postal 67860
Code commune 67055
Démographie
Gentilé Boofzheimois[1]
Population
municipale
1 384 hab. (2021 en évolution de +3,98 % par rapport à 2015)
Densité 116 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 19′ 57″ nord, 7° 40′ 54″ est
Altitude Min. 155 m
Max. 161 m
Superficie 11,94 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Rhinau
(banlieue)
Aire d'attraction Strasbourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Erstein
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Boofzheim
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Boofzheim
Géolocalisation sur la carte : Bas-Rhin
Voir sur la carte topographique du Bas-Rhin
Boofzheim
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Boofzheim

Boofzheim est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

Géographie

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Localisation

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Entrée du village de Boofzheim.
Maisons à colombages.
Église protestante de Boofzheim (vue arrière de l'édifice).

Situé en plein Ried, le village fait partie du canton de Benfeld et de l'arrondissement de Sélestat-Erstein. Il est situé au croisement de la D 5 qui relie Benfeld à l'Allemagne et la D 468 parallèle au Rhin qui relie Strasbourg à Bâle en passant par de nombreux villages fleuris d'Alsace. Par ailleurs, il est situé sur la Véloroute Rhin EV 15 (1 320 km) qui relie la source du Rhin, située à Andermatt en Suisse, à son embouchure à Rotterdam. Les habitants sont connus sous le nom de Boofzheimois.

Communes limitrophes de Boofzheim
Obenheim
Herbsheim Boofzheim Rhinau
Rossfeld Friesenheim

Réserves naturelles

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Plusieurs réserves naturelles protégées sont à découvrir : la source phréatique du Trulygraben, les tumulus dont de nombreux objets sont exposés au musée archéologique de Strasbourg. Ces sites sont situés entre Boofzheim et Herbsheim et font partie de la commune de Herbsheim.

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le canal du Rhone au Rhin, le ruisseau Muhlbach de Gerstheim, le ruisseau le Neuergraben, le ruisseau le Krummgraben, le ruisseau le Muhlbach de Daubensand, le ruisseau le Ridegraben et le ruisseau Wurmsgraben[2],[Carte 1].

Le canal du Rhône au Rhin, d'une longueur de 133 km, relie la Saône, affluent navigable du Rhône, au Rhin, par la vallée du Doubs et son prolongement en Haute Alsace jusqu'à Niffer sur le Rhin, un autre prolongement rejoignant Strasbourg par la canalisation de l'Ill[3].

Le ruisseau Muhlbach de Gerstheim, d'une longueur de 25 km, prend sa source dans la commune de Sundhouse et se jette dans la canal d'alimentation du Bassin de Plobsheim à Erstein, après avoir traversé neuf communes[4].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Boofzheim[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Ill Nappe Rhin ». Ce document de planification concerne la nappe phréatique rhénane, les cours d'eau de la plaine d'Alsace et du piémont oriental du Sundgau, les canaux situés entre l'Ill et le Rhin et les zones humides de la plaine d'Alsace. Le périmètre s’étend sur 3 596 km2. Il a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[5].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Alsace, caractérisée par une pluviométrie faible, particulièrement en automne et en hiver, un été chaud et bien ensoleillé, une humidité de l’air basse au printemps et en été, des vents faibles et des brouillards fréquents en automne (25 à 30 jours)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 664 mm, avec 8,3 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Selestat Sa », sur la commune de Sélestat à 19 km à vol d'oiseau[8], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 621,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 2],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Au , Boofzheim est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rhinau[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[15]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,1 %), zones agricoles hétérogènes (20,3 %), prairies (9,8 %), forêts (9,1 %), zones urbanisées (7,7 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

C'est vers le XIe siècle qu'apparaît pour la première fois le bourg de Botesheim. Le village appartient deux siècles plus tard pour moitié à l'abbaye de Saint-Étienne de Strasbourg et en partie à l'évêque de Strasbourg. Vers le début du XVIe siècle le village passe entre les mains de la famille Mueg qui adopte la religion réformée vers 1545. En 1636, les Suédois font des incursions en Alsace et détruisent presque entièrement le village. Après la guerre de Trente Ans le village se repeuple grâce à l'apport des immigrés suisses et hollandais. En 1684, Paul Jacques Mueg, propriétaire du village, étant décédé, le domaine est partagé entre différentes familles. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, Boofzheim souffrira des combats qui se déroulent dans sa périphérie. Le village est évacué en 1939. À la fin des hostilités un tiers du village est sinistré par les combats qui opposent les Alliés, lancés dans la reconquête des territoires occupés. Les Allemands tentent désespérément de lancer une contre-offensive en janvier 1945 sans succès d'ailleurs. Le village est libéré par les troupes alliées.

Politique et administration

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Le maire actuel de la commune est Éric Kléthi.

La mairie.

Ses adjoints sont :

  • Annie HEILBRONN, 1er adjoint ;
  • Michel BAUMERT, 2e adjoint ;
  • Monique HEILBRONN, 3e adjoint ;
  • Charles LEYDER, 4e adjoint.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2008 Pierre Gracient    
mars 2008 En cours
(au 31 mai 2020)
Éric Kléthi[19],[20]
Réélu pour le mandat 2020-2026
UMP Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Drapeau de la France Saint-Aubin-de-Cadelech (France) (Dordogne).

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].

En 2021, la commune comptait 1 384 habitants[Note 6], en évolution de +3,98 % par rapport à 2015 (Bas-Rhin : +3,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6074727437499039649879611 020
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
1 0101 0631 0421 0459979659841 0401 042
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
966993958850833824835782735
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
7848258991 0521 0651 0301 1821 1821 227
2015 2020 2021 - - - - - -
1 3311 3811 384------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Boofzheim dispose de nombreuses infrastructures touristiques :

  • une base nautique située sur le canal du Rhône au Rhin avec location de pénichettes Crown Blue Line ;
  • un camping ombragé, au calme, avec plusieurs dizaines de bungalows et un plan d'eau pour baignade ;
  • deux pistes cyclables, l'une reliant Boofzheim à Strasbourg tout au long du canal du Rhône au Rhin, l'autre reliant Boofzheim à Rhinau et au Bac du Rhin. Cette piste cyclable permet de rejoindre Europa Park à Rust en Allemagne par la digue du Rhin.

La ferme au Héron Cendré « chez Mireille » est célèbre pour ses produits gastronomiques : foie gras, pâtés... Boofzheim dispose également d'un centre commercial, d'une boulangerie pâtisserie, de deux restaurants, d'un supermarché d'équipements électroménager et multimédia, un traiteur « pizza, tarte flambée, couscous à emporter », de deux médecins, d'un dentiste, d'une pharmacie ainsi que d'une esthéticienne et d'une prothésiste ongulaire.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Église catholique Saint-Étienne

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L'église Saint-Étienne[25], située rue de Rhinau, est attestée dès 1211. Cette église, est pour moitié la propriété de l'abbaye Saint-Étienne de Strasbourg et de la paroisse. Elle a depuis été reconstruite en 1522. Depuis cette époque subsistent la tour et des vestiges de la nef reconstruite en 1870. Endettée l'église vend ses droits sur la paroisse à Sébastien Mueg qui introduit la réforme en 1545. En 1622 les protestants de Boofzheim sont chassés par l'évêque qui y installe un curé qui sera remplacé en 1632, lors du retour des protestants, par un pasteur. En 1758, l'abbaye Saint-Étienne récupère ses droits de patronage. Entre 1687 et 1854, l'église sert simultanément aux deux cultes. En 1855, après l'inauguration du temple protestant, le sanctuaire est cédé aux catholiques. Dès 1890 est érigé un nouvel autel qui comporte un retable néogothique, un tabernacle central, une porte sculptée, le tout surmonté d'un tableau peint par Joseph Melling, et classé plus tard monument historique, représentant saint Étienne emporté au ciel. La reconstruction du chœur en 1896 permet d'encastrer trois monuments funéraires de la famille Mueg, encore visibles à ce jour. La cloche de l'église, fondue en 1818 par Jean Louis Edel est décorée de reliefs représentant le martyre de saint Étienne. Devant la porte de l'église se dresse une croix monumentale de 4,50 mètres de haut, datant de 1897, composée d'un piédestal, d'une faîte à balustre et d'une croix portant le Christ défunt. À son pied on découvre une rosace et le crâne symbolique d'Adam avec le serpent du péché originel.

Pierres tombales des familles nobles

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À l'intérieur de l'église, scellées dans le mur nord de l'abside on peut apercevoir plusieurs pierres tombales : celle de Paul Jacques Mueg (1618-1684) qui porte les armes de cette famille ; en bas à gauche on aperçoit la tombe de la famille Bock et à droite celles des Rathsamhausen dans les deux autres angles.

Église protestante

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En 1849, les protestants achètent un terrain à la commune pour y construire un temple. À cette occasion les habitants les plus pauvres de la commune sont confiés à la construction de cet édifice, ce qui procure du travail à cette frange de la population. Les travaux avancent assez vite, les fondations, les murs et le toit sont achevés dès 1852. L'orgue fabriqué en 1854 par la maison Stiehr de Seltz ressemble à celui d'Orschwihr, les cloches sont installées la même année et l'horloge installée par l'atelier Schwilgué de Strasbourg. Le temple est inauguré le 18 mars 1855. Les vitraux et les peintures sont rénovés en 1886 et l'intérieur de l'église est restauré en 1905.

Le château

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  • Le château de Boofzheim à Boofzheim (67860). Il date du 2e quart du XVIIe siècle. Il appartenait en 1573 à Louis Mueg. Il est en ruines.

Écluse (XIXe siècle)

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Boofzheim

Les armes de Boofzheim se blasonnent ainsi :
« Coupé : au premier d'or au lion léopardé de gueules, au second d'azur aux deux étoiles d'or. »[26].

Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Rhinau comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Boofzheim » sur Géoportail (consulté le 11 juin 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Bas-Rhin », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. « Fiche communale de Boofzheim », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  3. Sandre, « le canal du Rhône au Rhin »
  4. Sandre, « le ruisseau Muhlbach de Gerstheim »
  5. « SAGE Ill Nappe Rhin », sur gesteau.fr (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Boofzheim et Sélestat », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Selestat Sa », sur la commune de Sélestat - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Selestat Sa », sur la commune de Sélestat - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Rhinau », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Boofzheim ».
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. [PDF] Liste des maires au 1 avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
  20. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Renseignements affichés devant la porte de l'église catholique de Boofzheim
  26. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur labanquedublason2.com (consulté le ).