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Bousignies-sur-Roc

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Bousignies-sur-Roc
Bousignies-sur-Roc
Vue du village.
Blason de Bousignies-sur-Roc
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité Communauté d'agglomération Maubeuge Val de Sambre
Maire
Mandat
Aurélie Welonek
2020-2026
Code postal 59149
Code commune 59101
Démographie
Gentilé Bousigniens, Bousigniennes[1]
Population
municipale
376 hab. (2021 en évolution de −8,07 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 15′ 51″ nord, 4° 10′ 58″ est
Altitude 160 m
Min. 130 m
Max. 224 m
Superficie 12,14 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Charleroi (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fourmies
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Bousignies-sur-Roc
Géolocalisation sur la carte : France
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Bousignies-sur-Roc
Géolocalisation sur la carte : Nord
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Bousignies-sur-Roc
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Bousignies-sur-Roc

Bousignies-sur-Roc est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Cette commune du Hainaut français se trouve dans une curieuse disposition frontalière : 70 % des limites de la commune sont la frontière franco-belge ; sept routes carrossables relient le village aux communes voisines, dont une seule commune française (Cousolre), les six autres routes conduisent en Belgique.

La commune est entourée de bois parcourus par des chemins de douaniers. Elle possède une carrière de calcaire (Dhordain), dont la seule entrée est en Belgique, à Bersillies-l'Abbaye. Du côté ouest, la frontière belge suit la Thure, ce qui la rend sinueuse.

Rose des vents Erquelinnes (be) Erquelinnes (be) Beaumont (be) Rose des vents
Erquelinnes (be) N Beaumont (be)
O    Bousignies-sur-Roc    E
S
Cousolre Cousolre Beaumont (be)

Les communes voisines sont : Erquelinnes, Beaumont (en Belgique) et Cousolre, en France.

Géologie et relief

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Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par le Hante, la Thure, la Chapelle du Fond des Gouttes[2], le ruisseau de Sous le bois[3] et divers autres petits cours d'eau[4],[Carte 1].

La Hante, d'une longueur de 62 km, prend sa source dans la commune de L'Abergement-Clémenciat et se jette dans la Sambre canalisée à L'Abergement-Clémenciat, après avoir traversé deux communes[5].

La Thureest un cours d'eau qui prend sa source en Belgique, d'une longueur de 25 km, entre en France dans la commune de Hestrud et se jette dans la Sambre canalisée en Belgique, dans la commune d'Erquelinnes[6].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Bousignies-sur-Roc[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sambre ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 253 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Sambre. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis modifié le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte du Parc naturel régional de l'Avesnois[7].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 884 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe à 25 km à vol d'oiseau[10], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 802,4 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Au , Bousignies-sur-Roc est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Charleroi (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[15]. Cette aire, qui regroupe 1 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (43,3 %), forêts (32 %), terres arables (16,3 %), zones urbanisées (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,5 %)[18]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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La commune est desservie, en 2024, par le service de transport à la demande du réseau Stibus[19].

Bousignies-sur-Roc fut d'abord une partie de la commune de Cousolre, puis devint une commune à part entière appartenant au chapitre des Dames Chanoinesses de Maubeuge ainsi qu'à l'Abbaye des Dames de Beaumont qui y a déclaré des terres[20].

Le village fut rattaché à la France, en même temps que Maubeuge à la signature du traité de Nimègue (1678).

Semi-enclavé en Belgique, son territoire fit l'objet d'une demande d'échange par l'Autriche à l'occasion du traité de Ryswick, qui connut une issue étrange et inédite.

Lors des Conventions de Limites de 1699, faisant suite au traité de Ryswick, voulant sécuriser la route stratégique de Mons à Beaumont qui rejoint également Chimay, l'Autriche demanda la cession du village de Bousignies-sur-Roc en échange de celui de Bersillies-l'Abbaye. L'argument autrichien tenait au fait que la route en question jouxtait pratiquement la frontière à hauteur du bois de la Grande Comagne, face à Thirimont. L'Autriche soutenait que cette proximité permettait à la France de couper cette route stratégique à tout moment en massant des troupes dans le bois de la Grande Comagne. L'Autriche avait déjà obtenu précédemment, en échange de Rousies, Ferrière-la-Grande et Ferrière-la-Petite, les villages de Givry, de Montignies-Saint-Christophe, de Hantes et de Wihéries ainsi que la Cense de la Neuville à Solre-sur-Sambre ; ces villages, alors français, coupaient effectivement la route de Mons à Beaumont.

Dans le cas de Bousignies-sur-Roc, la France refusa la demande autrichienne avec un argument assez inattendu. Les négociateurs français rappelèrent qu'en cas de conflit, les villages frontaliers devaient fournir aux armées les chevaux et charrettes nécessaires à leurs besoins (l'ancien ost du Moyen Âge). Un comptage montra que le village de Bousignies-sur-Roc comptait deux fois plus de chevaux que celui de Bersillies-l'Abbaye. L'échange devenait alors inéquitable[21].

Bousignies-sur-Roc est aussi le dernier village du Hainaut français à avoir eu, sur son territoire, une enclave des Pays-Bas autrichiens : la terre du Culot du Bois rattachée à la commune au moment du traité de Courtrai (1827).

Pendant la Première Guerre mondiale, lors de la tentative française de repousser l'avancée allemande venue de Belgique vers l'Avesnois, des troupes françaises séjournent à Bousignies-sur-Roc le avec mission de soutenir les forces présentes en Belgique à Fontaine-Valmont, à Sartiau (commune belge de Beaumont). Ces troupes devront se replier sur Solre-le-Château. Ces mouvements ont lieu lors de la Bataille des Frontières qui sera suivie de la Grande Retraite[22].

Bousignies-sur-Roc connut un massacre, le 15 mai 1940, durant l'exode de Belges. Une escadrille de stukas allemands bombarda et mitrailla en piqué une colonne de réfugiés civils belges dans la Côte de Gérard-Croix, et fit 82 morts parmi eux.

Le 26 mars 1944, un avion de la Royal Air Force s'est écrasé sur le territoire de la commune. Un petit mémorial érigé rue Terre du Mont, commémore cet événement.

Le mémorial.

Politique et administration

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Situation administrative

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Tendances politiques

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Administration municipale

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La mairie.

Liste des maires

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Maire en 1802-1803 : Adrien Matagne[23].

Maire en 1807 : Hubert[24].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
  1999 Arthur Guérin    
1999 mars 2008 Fernand Fromont   agriculteur
Daniel Massart   Professeur des écoles
En cours Aurélie Welonek[25]   Gestionnaire locative
Les données manquantes sont à compléter.

Instances judiciaires et administratives

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Politique environnementale

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Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

En 2021, la commune comptait 376 habitants[Note 3], en évolution de −8,07 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
351341502593624635620617591
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
621666694763800810766727695
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
606584595547588557533508510
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
540526531503401410403395432
2015 2020 2021 - - - - - -
409379376------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,4 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 190 hommes pour 204 femmes, soit un taux de 51,78 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,0 
6,0 
75-89 ans
7,1 
19,7 
60-74 ans
18,9 
27,9 
45-59 ans
25,5 
22,4 
30-44 ans
17,3 
14,8 
15-29 ans
12,8 
9,3 
0-14 ans
17,3 
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,3 
75-89 ans
8,1 
14,8 
60-74 ans
16,2 
19,1 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,2 
0-14 ans
18 

Enseignement

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Bousignies-sur-Roc fait partie de l'académie de Lille.

La commune connaît un moment de notoriété dans les médias en 2021, lorsqu'il apparaît qu'un agriculteur belge a déplacé une borne frontalière entre Bousignies-sur-Roc et Erquelinnes, faisant ainsi reculer la frontière entre les deux communes mais aussi entre la France et la Belgique. L'anecdote est relatée dans la presse locale[32], nationale[33], et internationale[34], sur un ton amusé qui évoque de potentielles conséquences diplomatiques.

Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Sainte-Aldegonde du XVIIIe siècle
  • Chapelle de Sainte-Aldegonde datant de 1681
  • Monument aux morts
  • Mémorial RAF 1944
  • Lavoir de 1980
  • Kiosque à musique
  • Deux curiosités :
    • une maison située en France mais dont l'entrée (un ponton qui traverse la Thure) est en Belgique, à Bersillies-l'Abbaye.
    • une fontaine dite pétrifiante car sa contenance élevée en carbonate de calcium a la faculté de recouvrir en quelques jours (suivant la matière, de plusieurs heures à plusieurs jours) les objets et leur donner ainsi l'apparence d'une pierre.
  • Plusieurs chapelles et niches à travers la commune.

Personnalité liée à la commune

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  • Un roman a pour cadre Bousignies-sur-Roc : Le Bourreau de Maubeuge d'Orlando de Rudder.

Héraldique

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Blason de Bousignies-sur-Roc Blason
D'or à trois chevrons de sable[35].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Ces armes étaient celles des comtes de Hainaut jusqu'à ce qu'en 1191 leur comté fut réuni au comté de Flandre par le mariage de Baudouin V de Hainaut avec Marguerite d'Alsace, qui devient comtesse de Flandre à la mort de son père.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Bousignies-sur-Roc » sur Géoportail (consulté le 20 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Services publics Bousignies-sur-Roc », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Sandre, « la Chapelle du Fond des Gouttes »
  3. Sandre, « le ruisseau de Sous le bois »
  4. « Fiche communale de Bousignies-sur-Roc », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  5. Sandre, « la Hante »
  6. Sandre, « la Thure »
  7. « SAGE Sambre », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Bousignies-sur-Roc et Saint-Hilaire-sur-Helpe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Bousignies-sur-Roc ».
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Charleroi (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. « Plan du réseau Stibus 2023-2024 » [PDF], sur stibus.fr, (consulté le ).
  20. [PDF] Archives départementales du nord - procès contre des fermiers (1672-1789)
  21. Considérations sur le mémoire du marquis de Monteynard, 26 mai 1772, Dépôt du service historique du ministère de la Guerre, A 2
  22. Inventaire des journaux des marches et opérations des grandes unités, Brigades et groupes de bataillons, Brigades et groupes de bataillons d'infanterie, Brigades d'infanterie, 11e brigade : J.M.O. 6 août 1914-25 septembre 1914, p. 11, lire en ligne.
  23. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 276, lire en ligne.
  24. « Annuaire statistique du département du Nord. Pour … (0000AnNord_0... », sur Mnesys (consulté le ), p. 124-125..
  25. V.D. (CLP), « Bousignies-sur-Roc: Aurélie Welonek, première femme élue maire du village », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bousignies-sur-Roc (59101) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  32. « Le village de Bousignies-sur-Roc est plus petit depuis qu'un agriculteur belge a déplacé la borne frontière », sur France Bleu, (consulté le ).
  33. « La France est (un peu) plus petite à cause d'un agriculteur belge », sur LCI (consulté le ).
  34. (en) « Farmer moves border stone for tractor – and makes Belgium bigger », sur the Guardian, (consulté le ).
  35. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.