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Crévoux

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Crévoux
Crévoux
La mairie.
Blason de Crévoux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Hautes-Alpes
Arrondissement Gap
Intercommunalité Communauté de communes Serre-Ponçon
Maire
Mandat
Stéphane Scarafagio
2020-2026
Code postal 05200
Code commune 05044
Démographie
Gentilé Crévolins
Population
municipale
123 hab. (2021 en évolution de −12,14 % par rapport à 2015)
Densité 2,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 32′ 56″ nord, 6° 36′ 29″ est
Altitude Min. 1 169 m
Max. 2 989 m
Superficie 56,26 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Embrun
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Embrun
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Crévoux
Géolocalisation sur la carte : France
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Crévoux
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Crévoux
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Crévoux

Crévoux est une commune française située dans le département des Hautes-Alpes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie

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Crévoux est une commune de montagne située dans le massif du Parpaillon. Elle occupe toute la partie haute du vallon arrosé par le torrent homonyme, qui descend du Grand Parpaillon en direction du nord-ouest, pour se jeter dans la Durance au pied d’Embrun. Ce vallon est bordé au nord par le pic Saint-André (2 857 m) et le pic de Chabrières (2 746 m), à l'est par le pic de Crévoux (2 644 m) et la pointe de l'Eyssina (2 837 m), et au sud par le Grand Parpaillon (2 990 m) et l'arête de la Ratelle (2 572 m)[1].

Le contraste est fort entre la rive droite, adret rocheux le plus souvent nu, et la rive gauche, ubac boisé à dominante de mélèzes. La vallée est encaissée et inhospitalière, sauf autour de la Chalp, où on trouve une petite plaine de remblaiement alluviale.

D'est en ouest, soit en descendant le torrent : la Chalp, le chef-lieu, Praveyral, Champrond. Le chef-lieu, qui abrite la majorité de la population de la commune, est le seul établi sur la rive gauche, à l'ubac.

On n'accède à Crévoux que par l'ouest, depuis Embrun, par une route relativement sinueuse et étroite (D 39). Cette route se poursuit vers le sud-est jusqu'au tunnel du Parpaillon, mais n'est plus goudronnée après le franchissement du torrent du Réal. Le tunnel du Parpaillon est fermé à toute circulation entre fin octobre et fin juin.

Communes limitrophes

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(ces deux dernières situées dans le département des Alpes-de-Haute-Provence).

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 6,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 886 mm, avec 7,1 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Orres », sur la commune des Orres à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 7,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 879,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 34,2 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −23 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Crévoux est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Embrun, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (46,7 %), forêts (29,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19,9 %), prairies (3,9 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Crevolum en 1127, Crevoli en 1263[14], de Crevolis au XIIIe siècle[15], Crévoulx en 1568.

Crevòs en haut-alpin.

Étymologie

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Ce nom viendrait d'un racine pré-latine crev-, variante de crav- qui signifie « pierre, rocher », associé au suffixe lui aussi pré-latin -olis[16].

Autrefois, le village avait une activité artisanale importante : vannerie, outillage, ébénisterie, charpente... et agricole, élevage (chèvres, vaches...), vin et eau-de-vie. Il avait aussi une activité d'ardoisière à partir de galeries creusées dans la falaise schisteuse au-dessus de Praveyral ; l'ardoise de Crévoux avait la réputation de durer « plus de cent ans »[17].

En 1937, l'épouse de Léo Lagrange, sous-secrétaire d’État aux sports et à l'organisation des loisirs, vient inaugurer la station de ski, qui est ainsi l'une des plus anciennes des Hautes-Alpes. Cette création s'inscrit dans la politique du Front populaire de soutien au tourisme et à la démocratisation des sports.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? Henri Elzéard    
mars 2001 juillet 2020 Marie-Jeanne Faure[18]   Retraitée de la fonction publique
juillet 2020 En cours Stéphane Scarafagio[18],[19]   Chef d'entreprise de dix salariés ou plus

Intercommunalité

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Crévoux fait partie:

Démographie

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Ses habitants sont appelés les Crévolins.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

En 2021, la commune comptait 123 habitants[Note 3], en évolution de −12,14 % par rapport à 2015 (Hautes-Alpes : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
435525518527543528520526508
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
528521512457451483446402382
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
385387385298267235233226189
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
159131127115117103124129130
2018 2021 - - - - - - -
125123-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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Vue partielle du village blotti autour de l'église.
  • L'église paroissiale : construite au XIVe siècle sur un plan en croix grecque (à quatre branches égales), elle est dédiée à saint Marcellin, premier évêque d'Embrun. Incendiée en 1692 par les troupes du duc de Savoie, elle a été profondément remaniée aux XVIIIe et XIXe siècles ; la charpente notamment a été rehaussée, ce qui apparaît dans les décorations de la façade. Son clocher à bulbe couvert d'ardoises est d'un style unique dans la région. Ses pierres d'angle sont simulées en peinture. Les décorations extérieures, et notamment les modillons, sont rehaussées de peinture.
  • Chapelle Saint-Jean de la Chalp.
  • Chapelle Saint-Antoine de Praveyral.
  • Le musée rural « le Temps retrouvé » : présente des objets de la vie quotidienne des anciens (skis, barattes, rouets et outils) (quand il est ouvert).
  • Le moulin, en activité jusqu'en 1955, dernièrement rénové.
  • Le four, où on cuit le « pain de Crévoux » à l'occasion de chaque animation du village.
  • La fontaine et le cadran solaire, sur la place du chef-lieu.
  • La chapelle de la Chalp, à la voûte en berceau roman, et richement décorée.
  • La route du col du Parpaillon : construite par l'armée à partir de 1891 dans le cadre de la ligne Maginot, elle monte à travers une forêt de mélèzes, et donne accès à plusieurs cascades, dont celle du Razis. On y trouve aussi la « cabane des Espagnols », souvenir des 500 républicains réfugiés en France en 1939, réquisitionnés pour participer à la rénovation de la route.
  • Le « parcours des fées » : installation d'art éphémère dans la forêt au-dessus de la Chalp, créée en 2006 par un artiste local, Érik Lorré, et renouvelée chaque année.
  • La cascade du Crachet, visible de la route du col, et accessible à pied depuis la Chalp.
  • La « grotte du Drac », visible de la route montant vers le village.

Il reste quatre agriculteurs en activité. Leur production est importante : lait, fromages naturels (vache-chèvre ou 3 laits) ou bio (chèvre ou vache), tomes pur chèvre et crottins. Quelques artisans : boulanger, tournage sur bois, écoconstruction[25]. Marché tous les lundis en été.

La station de ski alpin (1 550 m - 2 400 m), inaugurée en 1937, est l'une des plus anciennes des Alpes du sud. Station familiale située immédiatement au-dessus du chef-lieu, elle comporte aujourd'hui 15 pistes (1 noire, 5 rouges, 6 bleues, 3 vertes) sur plus de 20 kilomètres, desservies par 5 remontées mécaniques, et un espace « Jardin des neiges ». Elle est gérée par la station de Vars. Un cinquième téléski a été construit sur l'arête de la Ratelle, culminant à 2 550 mètres, et a été mis en service à la fin de 2010[26]. Le ski nordique se pratique au départ de La Chalp : 7 itinéraires totalisant 45 kilomètres (erreur admise par un élu, il n'y en a que 25 kilomètres).

L'activité hôtelière est importante, en hiver pour le ski, et en été pour la randonnée : hôtels, gîtes ruraux et restaurants[27].

Évènements

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La municipalité et le syndicat d'initiative organisent, été comme hiver, de nombreuses animations et activités ouvertes à tous[28]:

  • Pot d'accueil des touristes tous les lundis de l'été (ce n'est plus vrai)
  • Vide-grenier et fête du pain en juillet
  • Fête de la Chalp le 15 août
  • Journées gourmandes le troisième vendredi d'août, préparées par les restaurateurs de la commune. À l'heure actuelle seul un restaurateur y participe
  • Excursions encadrées (journées pastorales, parcours des fées, etc.), sorties raquettes en hiver
  • Amontagnage (montée des troupeaux vers les pâturages d'été)
  • La typique course de la Ratelle (depuis 2 ans elle n'existe plus)
  • Journées du patrimoine
  • Visites chez les artisans (tourneur sur bois, peintre, boulanger) (il n'y a pas de peintre)

Le programme de chaque semaine ou mois est disponible en temps réel sur le site du syndicat d'initiatives.

Crévoux dans les arts

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Crévoux est citée dans le poème d’Aragon, Le conscrit des cent villages, écrit comme acte de Résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[29].

Personnalités liées à la commune

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  • Coraline Hugue, de la Chalp, championne d'Europe junior de ski de fond en 2004, s'est distinguée en coupe d'Europe, en coupe du monde et en championnat de France, pour sa première année en catégorie senior. Elle n'a pu participer aux jeux olympiques 2010 pour cause de rupture des ligaments croisés du genou droit[30].

Héraldique

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Blason de Crévoux Blason
Taillé : au 1er d'azur à la croix d'argent cantonnée d'une crosse d'or posée en barre en pointe à dextre, au 2e de sinople à la tour crénelée de quatre pièces d'or ouverte du champ, ajourée de quatre fenêtres de sable rangées en fasce[31].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. == Crévoux sur Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Crévoux et Les Orres », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Les Orres », sur la commune des Orres - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Les Orres », sur la commune des Orres - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Embrun », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 651.
  15. Joseph Roman, Dictionnaire Topographique du département des Hautes-Alpes : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Nîmes, C. Lacour, , 200 p. (ISBN 2-84406-757-3).
  16. André Faure, Noms de Lieux & Noms de Famille des Hautes-Alpes, Gap, ESPACI OCCITAN, , 412 p. (ISBN 2-913131-00-X).
  17. « Un peu d'histoire » sur le site du S.I.
  18. a et b « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  19. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  20. Direction des libertés publiques et des collectivités locales, « Création de la communauté de communes de Serre-Ponçon par fusion des communautés de communes de l'Embrunais et du Savinois Serre-Ponçon et extension aux communes de Chorges et Pontis »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Recueil des actes administratifs no 05-2016-015, Préfecture des Hautes-Alpes, (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. « Hiver comme été, été comme hiver » sur le site du S.I.
  26. « Le ski à Crévoux » sur le site du S.I.
  27. « Crévoux, village station », sur le site du S.I. ; voir aussi le Guide des hébergements sur Crévoux
  28. : « Les animations permanentes », sur le site du S.I.
  29. Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (2e édition). (ISBN 2-232-12242-5), p. 373-375
  30. « Coraline, notre championne » sur le site de Crévoux
  31. « La banque du blason »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).