Colméry
Colméry | |||||
La mairie en 2009. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Nièvre | ||||
Arrondissement | Cosne-Cours-sur-Loire | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur de Loire | ||||
Maire Mandat |
André Buisson 2020-2026 |
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Code postal | 58350 | ||||
Code commune | 58081 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Colméryçois, Colméryçoises | ||||
Population municipale |
268 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 11 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 20′ 54″ nord, 3° 15′ 05″ est | ||||
Altitude | Min. 200 m Max. 360 m |
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Superficie | 24,17 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Pouilly-sur-Loire | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
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Colméry est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Ses habitants sont les Colméryçois.
Géographie
[modifier | modifier le code]Colméry est très étendue et s'élève à une altitude moyenne de 352 mètres. Elle est située à égale distance de Donzy et de Varzy.
Elle compte 271 habitants (recensement de 2020).
Le sous-sol est essentiellement composé de roches calcaires, marnes et gypses.
Accès
[modifier | modifier le code]Hameaux
[modifier | modifier le code]Colméry regroupe, outre le bourg, divers hameaux et habitations isolés : la Birette, la Boissonnerie, les Bougauderies, le Châtelet, la Cour, Dreigny, les Duprés, le Foulon, la Girauderie, les Godards-du-Bas, les Godards-du-Haut, les Lacs, Malicorne, les Moiriers, la Montagne, les Moutots, la Pelotte, les Pénitiaux, le Poinçon, Savigny, le Vaudoisy.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Perroy | Couloutre | |||
Donzy | N | Menou | ||
O Colméry E | ||||
S | ||||
Cessy-les-Bois | Saint-Malo-en-Donziois | Oudan |
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 873 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Premery », sur la commune de Prémery à 20 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 911,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −15,1 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Colméry est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,6 %), terres arables (33,9 %), prairies (28,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de Colméry dérive probablement du latin columbarium, pigeonnier[13].
Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]- En 596[14], le règlement de saint Aunaire, 18e évêque d'Auxerre (572-604), cite Colméry dans les trente-sept paroisses du diocèse[15].
- Vers 600, on trouve le nom Columbariacum[16].
- Le , on relève une troisième mention du nom qui viendrait de Columbarium (pigeonnier).
- En 1356, la région est dévastée par les Anglais et les Navarrais durant la guerre de Cent Ans. En 1367, le Donziais est à nouveau ravagé par les Anglais.
Époque moderne
[modifier | modifier le code]- En 1536, l'église de Saint-Aignan est édifiée.
- De 1627 à 1638, la commune connaît une épidémie de peste.
- De 1673 à 1699, le seigneur est Philippe de Troussebois, lequel réside dans sa maison seigneuriale de Colméry[17].
- Le (jour de la Saint-Jean-Baptiste), une procession de l'église à la croix Saint-Jean a lieu. Les habitants forment le vœu de reconduire chaque année cette procession à la même date[18].
- Le , l'évêque d'Auxerre, André Colbert, se rend à Colméry et témoigne : « il y a dans ladite paroisse environ 700 âmes dont il y a bien 400 communiants qui ont tous fait leurs pasques [...]. Il n'y a point de pécheurs publics. L'on ne fréquente point les cabarets pendant le service ni superstitions ni aucun abus, sinon que ledit sieur curé s'est plaint qu'après la 1re messe plusieurs personnes s'attroupent sur le cimetière et y font du bruit [...]. Après quoy aiant demandé audit sieur curé s'il estoit content de ses paroissiens, il nous a dit qu'ouy et eux nous ont dit pareillement qu'ils sont très content tant dudit sieur curé que de son prédécesseur... »[19].
- Le , la seigneurie de Colméry change de mains par adjudication. Le nouveau seigneur est le marquis Armand-François de Menou, seigneur de Menou[20].
- En 1746, la « dame de Menou » baille la terre et seigneurie de Colméry pour 1230 livres par an[21].
- En 1763, la terre et seigneurie de Colméry est à vendre[22].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]- En 1801, deux jeunes pâtres des Duprés sont dévorés par un loup[23].
- En 1854, le cimetière qui entourait l'église de Saint-Aignan est déplacé[24].
- En 1870, l'école de garçons est installée dans la maison du notaire, maison à forme de castel[24].
- En 1872, on recense dans la commune la présence de religieuses appartenant à la congrégation des sœurs de la Providence de Portieux[25].
- En 1906[26], le nombre d'habitants de Colméry, qui compte 380 maisons et 369 ménages, s'élève à 1190 individus. La commune compte parmi ses habitants un curé, deux instituteurs et deux institutrices, un notaire (employant un clerc et un garçon d’écurie), huit cantonniers, un facteur et un receveur des postes, deux gardes champêtres, deux gardes particuliers et un fossoyeur. Les commerçants sont bien représentés : 5 épicières, 2 boulangers, 1 boucher, 1 hôtelière, 1 aubergiste, 1 débitant, 1 buraliste, 2 marchands de tissus, 1 modiste, 1 marchand de grains et 1 marchand de bois. Les artisans sont nombreux : 14 couturières, 9 fendeurs[27], 7 charpentiers, 7 tisserands, 7 maçons, 6 sabotiers, 6 maréchaux-ferrants, 5 scieurs de long, 5 ménagères, 4 charrons, 3 meuniers, 3 tuiliers, 3 cordonniers (dont un bottier), 3 menuisiers, 2 cuisinières, 2 tailleurs de pierre, 1 huilier, 1 charbonnier, 1 peintre, 1 mécanicien, 1 jardinier, 1 vigneron, 1 bourrelier... La profession la plus représentée est celle de cultivateur (116) - dont beaucoup sont propriétaires de leurs terres -, suivie par les bûcherons (67), les propriétaires exploitants (40), les journaliers (26), les domestiques (20) - en réalité beaucoup plus nombreux - et les fermiers (4). On recense également dans la commune 4 rentiers et 1 institutrice retraitée. Au total, on relève à Colméry pas moins de 55 professions différentes. Il n’y a, selon le recensement de 1906, ni médecin ni sage-femme dans la commune. Enfin, 90 nourrissons sont placés dans des familles du village.
- 1908 : installation du téléphone, la commune disposant déjà du service télégraphique[28].
- En 1935, l'étude de notaire est supprimée.
Seigneurs
[modifier | modifier le code]Quelques seigneurs de Colméry : François de La Rivière[29], Hubert de La Rivière (+ en 1615), René de Rabutin (1652), François de Guibert (1648 à 1673), Philippe de Troussebois (1673 à 1699), Armand-François de Menou (1699 à 1703), Françoise-Marie de Clère (1703 à 1719), François-Charles de Menou (1719 à 1739), Augustine-Marie de Menou (1739 à 1764), Marie-Louise de Menou (1764 à 1786), Étienne-Charles de Damas-Crux (1786)...
Armorial
[modifier | modifier le code]Armoiries des seigneurs de Colméry :
-
Famille de La Rivière (XVIe siècle).
-
Famille de La Bussière, seigneurs du Vaudoisy.
-
François de Guibert, seigneur de Colméry (1648 à 1673).
-
Famille de Menou, seigneurs de Colméry (XVIIIe siècle).
-
Famille de Morogues, seigneurs de Dreigny.
-
Famille de Rabutin, seigneurs de Colméry.
-
Philippe de Troussebois, seigneur de Colméry (1673 à 1699).
-
Famille de Viry, sieurs de Malicorne[30].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].
En 2021, la commune comptait 268 habitants[Note 2], en évolution de −22,09 % par rapport à 2015 (Nièvre : −4,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église de Saint-Aignan édifiée dans le 2e quart du XVIe siècle (1536), inscrite au titre des Monuments historiques le 19 mars 1971[35],[36].
- Sept lavoirs.
- Malicorne, hameau de la commune de Colméry.
Le hameau a été construit en partie avec les pierres d'un château fort détruit vers 1367 par les Anglais[37]. Il subsiste quelques vestiges dans la cour des Tayauts dont :
- un puits (qui se trouvait au centre de la cour du château), où sont encore gravées les armoiries des familles de Viry et de la Rivière - seigneurs de Malicorne ;
- des souterrains, bouchés depuis 1975[réf. nécessaire], qui s'étendent jusqu'au bourg de Colméry ;
- des meurtrières et des pierres de taille, dont certaines sont sculptées, visibles sur certains bâtiments de la cour des Tayauts ;
- les fondations du château, visibles du ciel[réf. nécessaire].
Le nom de Malicorne viendrait de la mauvaise réputation de ses premiers seigneurs, peu accueillants et même franchement hostiles. Mal y corne : "Pour ton malheur, en vain, là, appelle au son du cor !".
Galerie
[modifier | modifier le code]-
Malicorne.
-
Puits de la cour des Tayauts.
-
Église Saint-Aignan.
-
Le Vaudoisy.
-
Lavoir du Vaudoisy.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Étienne et François Dupré d'une part, Antoine Penissiault d'autre part, sont les plus anciens habitants de Colméry identifiés (1519)[38], des patronymes qui ne sont évidemment pas sans rapport avec deux des hameaux de Colméry : les Duprés et les Pénitiaux.
- Lucien Charrault ( à Châteauneuf-Val-de-Bargis – à Colméry) est un ecclésiastique français et un historien local. La photo ci-contre, datant du printemps 1951, le montre dans le jardin de sa maison, située en face de la mairie de Colméry.
- Armand Desbordes, noble, lieutenant d'infanterie au régiment de Normandie, vit aux Duprés (1699)[39].
- François de Guibert, seigneur de Colméry (1648-1673) et autres lieux, se distingue au Portugal, entre 1641 et 1643, lors de la guerre de la Restauration opposant l'Espagne et le Portugal. Le colonel Chantereine - ainsi est-il désigné dans les documents de l'époque - est envoyé au Portugal par Richelieu. On lui décerne alors le grade de colonel de chevau-légers et il prend le commandement d'un régiment français. Salué pour son courage et son sens du commandement, François de Guibert est surnommé par ses soldats portugais le coronel da arcada (colonel de l'arcade) en raison de la grande boucle d'oreille (arcada, en portugais ancien) qu'il porte à l'oreille droite. Les combats auxquels il participe sont relatés dans plusieurs documents d'époque[40]. De retour en France, il vit à Cessy-les-Bois (Nivernais). Les archives font état de sa qualité de conseiller et de maître d'hôtel ordinaire du roi Louis XIV[41].
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Colméry et Prémery », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Premery », sur la commune de Prémery - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Premery », sur la commune de Prémery - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Colméry ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, 1989.
- L'historien Ambroise Challe avance, lui, l'année 578.
- Jean Lebeuf (abbé), Mémoires concernant l’histoire ecclésiastique et civile d’Auxerre..., vol. 1, Auxerre, Perriquet, , 886 p. (lire en ligne), p. 117.
- Cartulaire général de l'Yonne, II, LXXIII.
- Archives départementales de la Nièvre, Minutier du notaire Louis Voullereau, 3 E 8 / 142.
- « La première procession de St-Jean-Baptiste », Cahiers du val de Bargis, 26 août 2012 (ISSN 2801-3816).
- Archives départementales de la Nièvre, Registre des visites, 21 G 1.
- Archives départementales de la Nièvre, Minutier du notaire Louis Voullereau (Colméry), Acte du 23 mai 1700, 3 E 8 / 145.
- « Bail de la terre, justice et seigneurie de Colméry (1746) », Cahiers du val de Bargis, 12 octobre 2016 (ISSN 2801-3816).
- Journal général de France, 1763.
- Journal des débats, 1801.
- Lucien Charrault, Une belle figure sacerdotale : l’abbé Duvernoy, Nevers, 1939.
- Augustin Crosnier, Les Congrégations religieuses dans le diocèse de Nevers, 1877-1881.
- Archives départementales de la Nièvre, Recensement de 1906, 6 M 081/1.
- Un fendeur est une sorte de bûcheron.
- Rapports du préfet, procès-verbaux des délibérations / Conseil général de la Nièvre, 1er août 1909, p. 29, sur Gallica.
- « Fief des prés de la Bretonnière, Donzy (1532) », Archives départementales de la Nièvre, 147 J 955.
- Georges de Soultrait, Armorial de l'ancien duché de Nivernais, 1852.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Église », Plateforme ouverte du patrimoine.
- « L’église Saint-Aignan reflète un riche et beau patrimoine à Colméry », Le Journal du Centre, 15 août 2021.
- Ce château est en effet mentionné par P.-J. Millot, dans sa Contribution à l'histoire de Colméry (1963), mais aucun document d'archive ne vient étayer cette thèse.
- Archives départementales du Cher.
- Archives départementales de la Nièvre, 3 E 8 / 149.
- Jorge Penim de Freitas, O combatente durante a Guerra da Restauração, 1640-1668. Vivência e comportamentos dos militares portugueses e estrangeiros ao serviço de Portugal, Lisboa, Faculdade de Letras da Universidade de Lisboa (texto policopiado de dissertação de mestrado), 2003.
- Archives départementales de la Nièvre, Minutier du notaire Jean Voullereau, 3 E 8 / 135.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Article connexe
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- P.-J. Millot, « Un prêtre nivernais sous l'Ancien Régime : Hubert-Edme Millot, 1639-1704 », Bulletin de la Société scientifique et artistique de Clamecy, no 34, , p. 34-49 (ISSN 0181-0596).
- P.-J. Millot, « Contribution à l'histoire de Colméry », Bulletin de la Société scientifique et artistique de Clamecy, no 38, (ISSN 0181-0596).
- Gérard Roumieux, « Les Balbutiements de l’école primaire au début du 19e siècle : l’exemple de Colméry », Mémoires de la Société académique du Nivernais, no 76, 1998-1999, p. 83-88.
- Philippe Cendron, « Un évêque au village : Colméry à la fin du XVIIe siècle », Bulletin de la Société scientifique et artistique de Clamecy, , p. 51-96 (ISSN 0181-0596).
- Blanc-Cassis, bulletin du Cercle généalogique et historique Nivernais-Morvan (ISSN 0291-0810) : « Désolation à Colméry », no 117 (2010) ; « Du rififi à Colméry (1684) », no 128 (2012) ; « Un insoumis à Colméry (1691) », no 139 (2015) ; « Jour de “foy et hommage” à Colméry (1686) », no 148 (2017) ; « Un curé apprécié de ses ouailles (1678-1704) », no 159 (2020) ; « Démons et merveilles en Donziais », no 166 (2023).
- Philippe Cendron, Un village nivernais sous l'Ancien Régime. Colméry aux XVIIe et XVIIIe siècles, Toulouse, CoolLibri, , 235 p. (ISBN 9-791042-630799).
Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Histoire ancienne de Colméry
- Inventaire du patrimoine historique de Colméry