Tombe de Vix
Tombe de Vix | ||||
La tombe de Vix (reconstitution au musée du Châtillonnais). | ||||
Localisation | ||||
---|---|---|---|---|
Pays | France | |||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | |||
Département | Côte-d'Or | |||
Protection | Inscrit MH (2006, site) Classé MH (2011, tombe) |
|||
Coordonnées | 47° 54′ 07″ nord, 4° 32′ 36″ est | |||
Géolocalisation sur la carte : Côte-d'Or
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Géolocalisation sur la carte : France
| ||||
modifier |
La tombe de Vix est une sépulture à char princière datant de la période du Hallstatt final (fin du VIe siècle av. J.-C.) se situant sur l'actuelle commune de Vix, dans le département français de Côte-d'Or, un territoire antérieurement occupé par le peuple gaulois des Lingons.
Découverte en 1953, elle nous est parvenue intacte. En raison de l'importance et de la qualité de son mobilier, elle est considérée comme une découverte de tout premier ordre pour cette période de la civilisation celtique, au regard de la caractéristique aristocratique de celle-ci et qu'elle se trouve être, de surcroît, une tombe de femme.
Durant l'été 2019, l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) entreprend un nouveau chantier de fouilles[1],[2].
Le site
L'oppidum du mont Lassois est une butte-témoin de grande taille qui domine la haute vallée de la Seine d'une altitude de 100 m environ, près de Châtillon-sur-Seine. Des fouilles ont révélé qu'il a été occupé dès le néolithique puis durant plusieurs périodes postérieures. Sa situation géographique et topographique en fait un lieu stratégique pour contrôler la circulation dans la vallée où passe un des itinéraires antiques ramenant l'étain de Grande-Bretagne vers l'Italie. Depuis la découverte de cette tombe princière, les historiens ont mis en avant l'axe Rhône-Saône-Seine qui reliait Massalia à la Manche[3].
Le contexte historique
Au VIe siècle av. J.-C., la population celtique locale, rattachée à la civilisation de Hallstatt et dirigée par une aristocratie de type matriarcal[N 1], profite de ce site exceptionnel pour prélever sans doute une taxe de passage aux marchands d'étain. La puissance et la richesse de l'aristocratie dominante établie au mont Lassois lui permet, suivant le rite funéraire de l'époque de la tombe à char, de constituer des sépultures d'un luxe exceptionnel.
Cependant, le plus notable demeure que la sépulture de Vix renferme les restes d'une femme ayant sans doute le rang de reine et de prêtresse, ce qui est révélateur du statut de la femme dans la civilisation celtique à cette époque.
Les fouilles
1953
En janvier 1953, Maurice Moisson, alors le chef du chantier des fouilles menées par la société archéologique de Châtillon-sur-Seine, remarque un léger monticule et une concentration anormale de pierres dans un champ au pied de l'oppidum du Mont Lassois, près du petit village de Vix en Côte-d'Or[N 2]. Il signale immédiatement sa découverte à René Joffroy, archéologue autodidacte qui est alors président de la société archéologique locale. Ce dernier s'occupe activement de la poursuite des fouilles et de l'exhumation de tous les objets de la tombe, dressant la liste des objets recueillis. Mais il ne prend pas le soin de noter pour chaque sépulture la position qu'occupait chaque objet, d'où une inévitable perte d'information[4].
Creusé dans le sol le caveau, d'environ quatre mètres de côté, est à l'origine recouvert d'un tumulus d'un diamètre de 38 mètres sur une hauteur d'environ 1 mètre[5] de pierres et de terre aujourd'hui complètement arasé. La fouille du contenu de la sépulture en janvier et février 1953 permet la reconstitution des différents éléments. Les restes du squelette allongé dans la caisse d'un char de parade à timon et quatre roues décoré d'appliques en bronze ont permis d'identifier le corps d'une femme d'une trentaine d'années. De nombreux bijoux, bracelets, torques, fibules en bronze parent la défunte. En raison de sa richesse et son prestige, le mobilier accompagnant les restes de la défunte, a été, lors de sa mise au jour et de son identification, dénommé « Trésor de Vix »[6].
Dans sa première publication sur la découverte de la tombe de Vix, René Joffroy mentionne bien le fait que Maurice Moisson est le véritable découvreur de la tombe de Vix, mais dans les éditions suivantes il ne mentionne plus le rôle premier de celui-ci et passe pour le premier et unique découvreur.
2019
Depuis 2002, le site de Vix fait l’objet d’une étude globale, menée dans le cadre d’un « projet collectif de recherche » initié par l’UMR Artehis du CNRS. C'est dans ce cadre que sont décidées de nouvelles fouilles, lesquelles débutent le [7],[8].
Devant se dérouler jusqu'en novembre 2019, ce chantier a pour objectif essentiel de « contextualiser » la tombe découverte 66 ans plus tôt. Car si les fouilles de 1953 ont permis de découvrir un mobilier d’exception (des éléments d'un char, un cratère en bronze, un torque en or, une phiale en argent, lire plus bas), différentes questions restent en suspens : le monument funéraire abrite-t-il encore des sépultures secondaires ? Et pourrait-on déceler les traces d’un podium dédié à la cérémonie funéraire de la princesse, ou encore le tumulus primitif d’un lointain ancêtre[9] ? Justifiant ce nouveau chantier, Dominique Garcia, président de l’INRAP, estime que « c'est un peu comme si on avait ouvert un livre, conservé les images, et qu'on n'avait pas lu le texte qui les accompagnait[10] ».
Les récentes fouilles ont permis de retrouver des fragments manquants du cratère, pièces importantes qui complètent notamment sa frise guerrière mettant en scène des soldats grecs, les hoplites[11].
Le mobilier de la tombe
Le torque
Une pièce exceptionnelle, un torque en or pur — présenté un temps comme un diadème[N 3] — pesant 480 g est retrouvé au niveau de la tête. Sa décoration aux extrémités de deux chevaux ailés, rappellent le style orientalisant mais il est probable qu'il ait été confectionné localement par des artisans s'inspirant de la stylistique grecque et orientale, des techniques de l'orfèvrerie ibérique. Des études sur l'origine de l'or employé appuient cette hypothèse[12],[13].
Le vase
La pièce principale, le vase de Vix, un gigantesque cratère de bronze, le plus grand parvenu jusqu'à nous, a fait la renommée de cette découverte. Sans doute sorti des ateliers grecs d'Italie du Sud vers 540-, et, outre ses dimensions exceptionnelles (1,64 m de haut pour un poids de 208 kg), sa décoration d'appliques de bronze en haut relief, anses en forme de gorgones et frise de chevaux et hoplites, en font un chef-d'œuvre dans l'art du bronze antique. Sa capacité est de 1 100 litres.
-
Le torque en or -
Le vase de Vix -
Maquette du char -
La coupe grecque
Divers
Outre les restes du char, une phiale d'argent hallstattienne, plusieurs vases de bronze, d'origine étrusque, de la céramique grecque antique, sont déposés près du cratère, dans le caveau envahi de terre et d'eau lors des crues de la Seine. La coupe attique à figure noire, la plus récente, date la sépulture d'une période légèrement postérieure à Un second torque en bronze sur lequel s'enroule une lanière de cuir, a été retrouvé sur le ventre de la Dame de Vix[5],[14]. Ce collier, dépourvu d'un quelconque dispositif d'ouverture, se présente sous la forme d'un cercle parfaitement régulier dont le diamètre est équivalent à 26,8 centimètres[14]. En outre, la défunte portait aux chevilles une paire d'anneaux faits de bronze et dont la face externe comporte des motifs striés, probablement obtenus par méthode d'incision[14]. Enfin, gisant à ses côtés ou à même le corps, huit fibules ont été mises en évidence[15]. Sur l'ensemble de ces 8 artefacts exhumés, six d'entre eux « présentent un caractère exceptionnel »[15]. Les archéologues ont ainsi pu recenser une fibule confectionnée en fer, un objet rarement répertorié concernant cette époque. Cette agrafe de fer, identifiée comme étant de « type F3B de Mansfeld », est ornée d'une boucle de petite taille et d'une sculpture en forme de corde[15]. Les cinq autres fibules notables sont partiellement constituées de matériaux précieux, tels que de l'ambre issue de la mer Baltique ; du corail, probablement d'origine méditerranéenne ; ou encore, et révélé sur un unique exemplaire, de l'or[15].
Il est important de noter la singulière similitude de concept et de stylistique artisanale que l'on peut constater entre différentes pièces de char de la tombe de Vix (notamment les plaques, les balustres, les moyeux) et celles retrouvées dans la tombe de la nécropole de Ca'Morta à Côme, indiquant un lien probable, peut-être de nature commerciale, entre les deux territoires fouillés et étudiés[5].
Classement
Le site et la sépulture princière font l’objet d'une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du ; la tombe en elle-même faisant l'objet d'un classement par arrêté du [16].
Autres fouilles locales
Non loin de Vix, sur la commune de Sainte-Colombe-sur-Seine, un autre ensemble d'objets de bronze de la même époque a été découvert au XIXe siècle, dont un grand bassin sur trépied, ou lébès, à décor de griffons d'origine étrusque ou Anatolienne appartenant à une sépulture féminine à char. Cependant, le contexte archéologique n'a pas été complètement déterminé.
En 1991, grâce à des photos aériennes, on découvre l'existence d'un enclos de 20,30 mètres sur 20,70 mètres, situé entre le mont Lassois et la Seine. En son centre, une fosse d'environ 1,20 mètre de diamètre est mise au jour. Ce sanctuaire, appelé enclos des Herbues, est pourvu d'une entrée encadrée par deux statues en pierre sculptées en ronde bosse. L'une d'elles est une figure assise portant un torque à son cou qui ressemblant à celui retrouvé dans la tombe princière de Vix. La deuxième statue représente un guerrier, également assis[17].
D'autres fouilles plus récentes mettent au jour cinq autres tumulus, postérieurs ou proches de la tombe princière, ainsi qu'un petit enclos (funéraire ?) associé à deux fragments de statues anthropomorphes[18] datés probablement de la fin du premier Âge du fer. Cet ensemble, ainsi que les trouvailles provenant de la cité gallo-romaine de Vertillum, sont exposés dans le musée du Pays châtillonnais à Châtillon-sur-Seine
À partir de 2002, de nouvelles fouilles sur le plateau sommital de l'oppidum du Mont Lassois amènent à la découverte de vestiges d'un très grand bâtiment supposé être le palais de la dame de Vix et situé dans un complexe de constructions que l'on peut assimiler à une ville ceinte à sa base d'une puissante muraille, fait encore unique pour le monde celtique à cette époque[19], qui fait l'objet de fouilles. Le site est ensuite déserté à l'époque gallo-romaine au profit de la cité de Vertillum située non loin avant de reprendre de l'importance sous les Mérovingiens avec l'implantation sur le Mont-Lassois de Latiscum, centre d'un archidiaconé qui s'étend jusqu'à Bourguignons actuellement dans l'Aube avant que Châtillon-sur-Seine n'y supplée.
Sites comparables
-
La tombe du Hochdorf (musée d'Erdingen) -
Les maisons celtiques d’Heuneburg -
Le tumulus du Glauberg -
Les fouilles de Lavau près de Troyes
D'autres sites hallstattiens présentent de grandes similitudes avec celui de Vix (nature du gisement, datation, importance des objets découverts) :
- la sépulture princière de Hochdorf dans le (Bade-Wurtemberg), presque contemporaine de Vix (fin du VIe siècle av. J.-C.) ;
- la tombe de Ca'Morta en Lombardie découverte en 1928 et datée du Ve siècle av. J.-C. ;
- l'oppidum fortifié de Heuneburg dans le Wurtemberg qui a livré de nombreuses pièces de vaisselle d'origine grecque ;
- l'oppidum Saint-Marcel du Pègue dans la Drôme qui a livré de nombreuses céramiques « peintes à pâte claire » dites « pseudo-ioniennes » d'inspiration grecque, fabriqué sur place, ainsi que de la vaisselle d'origine grecque ;
- l'oppidum de Glauberg en Hesse, associé à des sépultures en tumulus et des statues datant de la fin du VIe siècle av. J.-C. ;
- la tombe de Warcq dans les Ardennes découverte en 2014[20] ;
- le complexe funéraire du Moutot à Lavau près de Troyes révélé au public en mars 2015[21].
Représentation dans les arts
Musique
Le duo québécois Astheur[22] s'est inspiré de cette découverte dans sa chanson « La dame de Vix »[23], écrite par Benjamin Goron et parue sur le EP Signaux de fumée[24].
Notes et références
Notes
- À la période finale du Hallstatt (Ha D3), les épées et attributs masculins disparaissent des tombes retrouvées, un mobilier féminin devient majoritaire dans les tombes princières. La tombe princière de Vix sous la direction de Claude Rolley, Picard 2003, p. 334.
- Ce tumulus N° 1, dit de la tombe princière de Vix, forme un cercle de 42 mètres de diamètre.
- Dans les comptes-rendus de l'Académie des inscriptions et belles lettres en 1953, René Joffroy apportait plusieurs arguments pour définir la pièce comme un diadème et non comme un torque (p.175) Le texte du compte-rendu sur le site Persée. Le Guide Bleu Bourgogne-Lyonnais de 1965 parle d'un diadème, mais dans le musée actuel la pièce est décrite comme un torque.
Références
- « Archéologie : en Bourgogne, le mystère de la princesse celte et du vase de Vix refait surface », Sébastien Desurmont, Géo, 19 septembre 2019
- « L'antique tombe de la "Dame de Vix", princesse celtique, ressurgit de terre », Sciences et Avenir, 20 septembre 2019
- Olivier Buchsenschutz, L'Europe celtique à l'âge du Fer (VIIIe - Ier siècle), Presses universitaires de France, , p. 121
- René Joffroy, Vix et ses trésors, Tallandier, .
- *Bruno Chaume, « Le complexe aristocratique de Vix », L'Archéologue, vol. Héros, princes et princesses celtes, no 128, 2013/2014, p. 31-39.
- Fougère 2016, p. 8.
- « Nouvelle fouille de la tombe princière de Vix » [PDF], sur u-bourgogne.fr, Institut national de recherches archéologiques préventives, (consulté le )
- Pierre Barthélémy, « Des archéologues replongent dans la fabuleuse tombe celte de Vix », sur lemonde.fr, Le Monde, (consulté le ).
- Nouvelle fouille de la tombe de la "Dame de Vix", Inrap, .
- « La tombe de la princesse celte de Vix commence à livrer de nouveaux secrets », France Bleu, .
- La Dame de Vix, une femme à l’héritage celte et grec, nationalgeographic.fr, 16 décembre 2019
- L'or et l'argent de la tombe de Vix - Bulletin de la société préhistorique française, 1989 - (ISSN 0249-7638).
- Alfred Haffner, Le torque en or de la tombe princière de Vix, in Dossiers d'Archéologie no 284 ().
- Fougère 2016, p. 88 et 89.
- Fougère 2016, p. 92 et 93.
- Notice no PA21000043, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- L'Archéologue numéro 128.
- « http://www.gzg.fn.bw.schule.de/heunebg/vix/vixfr.htm#Krater Rapport détaillé sur l'ensemble des sites et des sépultures »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) site du Graf-Zeppelin-Gymnasium de Friedrichshafen, Allemagne.
- Le palais de la Dame de Vix Communiqué du CNRS.
- Sépulture de Warcq.
- Sépulture du Moutot à Lavau.
- « Astheur - musique du terroir - », sur Astheur - musique du terroir - (consulté le )
- « La Dame De Vix, by Astheur », sur Astheur (consulté le )
- « Signaux de Fumée, by Astheur », sur Astheur (consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Découvreurs (en 1953)
Autres tombes à char en Europe
- Lavau (département de l'Aube)
- Veuxhaulles-sur-Aube (département de la Côte-d'Or)
- Hochdorf (Allemagne)
Bibliographie
- Patrice Brun, Princes et princesses de la Celtique : le premier âge du fer en Europe (850-), Paris, Errance, coll. « Hespérides », , 216 p. (ISBN 2-903442-46-0)
- Bruno Chaume, Walter Reinhard: Fürstensitze westlich des Rheins, in: Archäologie in Deutschland 1, 2002, p. 9–14.
- Bruno Chaume/Tamara Grübel u.a.: Vix/Le mont Lassois. Recherches récentes sur le complexe aristocratique. In: Bourgogne, du Paléolithique au Moyen Âge, Dossiers d’Archéologie N° Hors Série 11, Dijon 2004, p. 30-37.
- Franz Fischer: Frühkeltische Fürstengräber in Mitteleuropa. Antike Welt 13, Sondernummer. Raggi-Verl., Feldmeilen/Freiburg. 1982.
- Félicie Fougère (dir.) et Bruno Chaume, La Tombe de Vix : Un trésor celte entre histoire et légende, Fage éditions - DRAC Bourgogne-Franche-Comté, , 103 p. (ISBN 978-2-84975-407-8).
- René Joffroy La Tombe à char hallstattienne de Vix, Comptes-rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1953, volume 97, no 2, p. 169–179 lire en ligne
- René Joffroy Vix et ses trésors-Paris, Ed. Taillandier, 1979.
- René Joffroy: Le Trésor de Vix (Côte-d’Or). Presses universitaires de France, Paris 1954.
- René Joffroy: Das Oppidum Mont Lassois, Gemeinde Vix, Dép Côte-d’Or. In: Germania 32, 1954, S. 59-65.
- René Joffroy: L’Oppidum de Vix et la civilisation Hallstattienne finale dans l’Est de la France. Paris 1960.
- René Joffroy: Le Trésor de Vix. Histoire et portée d’une grande découverte. Fayard, Paris 1962.
- Claude Rolley: La Tombe princière de Vix, pour La Société des Amis du Musée du Châtillonnais - Paris, éditions Picard, 2003 - (ISBN 2-7084-0697-3)
- Claude Rolley, « Vix, le cinquantenaire d’une découverte », Dossiers d’Archéologia no 284, (lire en ligne).
- Bruno Chaume: Vix et son territoire à l'Age du Fer. Fouilles du mont Lassois et environnement du site princier. Ed. Monique Mergoil, Montagnac 2001, 643 p. 155 pl., cartes, tableaux, plans, schémas, photographies. (ISBN 2-907303-47-3).
- Claude Rolley: Les Echanges, in : Vix et les éphémères principautés celtiques, Paris 1997, p. 239–242.
- Stéphane Verger, Les élites et leurs facettes: les élites locales dans le monde hellénistique, Clermont-Ferrand, Presses Universitaires Blaise Pascal, (ISBN 2-84516-228-6, BNF 39058588), p. 583/626 : Qui était la Dame de Vix? ; Lire en ligne [1]
- Stéphane Verger, « La Dame de Vix : une défunte à personnalité multiple », dans J. Guilaine (dir.), Sépultures et sociétés. Du Néolithique à l’Histoire, Paris 2009, p. 285-309.
- Hubert Delobette, Histoires des plus incroyables trésors français, Papillon Rouge editeur, 2016
Liens externes
- Musée du Châtillonnais - site officiel
- Nouveau Musée du Pays châtillonnais - site officiel juillet 2009
- La dame de Vix et sa drôle de tisanière, France Régions 3 Dijon, 13 min, 1978
- Site sur Le Trésor de Vix
- Vix et le phénomène princier France Culture, novembre 2019.
- Vix à tout prix France Culture, novembre 2019.
- L’énigme de la tombe celte Alexis de Favitski, Coproduction ARTE France, Eleazar Productions, Inrap, C2RMF. 86 min. 2017.