Liza Frulla
Liza Frulla | |
Fonctions | |
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Ministre responsable de la Condition féminine | |
– (1 an, 6 mois et 17 jours) |
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Premier ministre | Paul Martin |
Prédécesseur | Jean Augustine (Ministre responsable de la Condition féminine) Hélène Scherrer (Ministre du Patrimoine canadien) |
Successeur | Bev Oda |
Ministre du Développement social du Canada | |
– (7 mois et 8 jours) |
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Premier ministre | Paul Martin |
Prédécesseur | Première titulaire |
Successeur | Ken Dryden |
Ministre de la Culture et des Communications du Québec | |
– (3 ans, 11 mois et 21 jours) |
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Premier ministre | Robert Bourassa Daniel Johnson (fils) |
Prédécesseur | Lucienne Robillard |
Successeur | Marie Malavoy |
Députée à la Chambre des communes | |
– (3 ans, 8 mois et 10 jours) |
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Circonscription | Jeanne-Le Ber |
Prédécesseur | Raymond Lavigne |
Successeur | Thierry St-Cyr |
Députée à l'Assemblée nationale du Québec | |
– (8 ans, 10 mois et 7 jours) |
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Circonscription | Marguerite-Bourgeoys |
Prédécesseur | Gilles Fortin |
Successeur | Monique Jérôme-Forget |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Montréal (Canada) |
Nationalité | Canadienne |
Parti politique | Parti libéral du Québec Parti libéral du Canada |
Diplômée de | Université de Montréal |
Profession | Animatrice de télévision |
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Liza Frulla (autrefois connue sous le nom de Liza Frulla-Hébert[1]), née le à Montréal, est une femme politique canadienne originaire du Québec.
Biographie
[modifier | modifier le code]Elle termina en 1969 un baccalauréat ès arts au Collège Basile-Moreau et, en 1973, une maîtrise en pédagogie à l'Université de Montréal[2].
De 1974 à 1976, elle a travaillé dans les affaires publiques pour le comité organisation des Jeux olympiques de Montréal. De 1989 à 1998, elle a représenté la circonscription de Marguerite-Bourgeoys à l'Assemblée nationale du Québec. Elle a été ministre des Communications et ministre de la Culture. Bien qu'elle ait voté Oui au référendum sur la souveraineté du Québec de 1980 (révélé à l'émission « Le Club des ex » le ), elle a été vice-présidente du comité pour le Non au référendum de 1995.
Par la suite, elle a œuvré dans le domaine de la publicité chez Vickers & Benson, comme directrice du marketing de la brasserie Labatt et comme vice-présidente de Télémédia et directrice générale de CKAC. Elle a aussi animé, pendant quatre ans, une émission quotidienne à la télévision de Radio-Canada.
En 2002 elle effectue sur la scène fédérale un retour en politique sous la bannière du Parti libéral du Canada. Elle a été députée dans le caucus du Parti libéral du Canada pour la circonscription de Jeanne-Le Ber, Québec. Elle a également été ministre du Développement social, ministre du Patrimoine canadien et ministre responsable de la condition féminine. Elle est impliquée dans l'affaire Option Canada[3].
Elle a aussi servi antérieurement comme ministre du Développement social. À la suite de la défaite du Parti libéral du Canada aux élections du 23 janvier 2006, elle a subi la défaite avec un écart de 6 % contre le bloquiste Thierry St-Cyr.
Liza Frulla a été la présidente de Canal Évasion, chaîne spécialisée en voyages, tourisme et loisirs. Elle est aussi professeur associée à l’Université de Sherbrooke et collabore dans différents médias comme analyste et chroniqueuse.
De plus, elle est présidente de la Fondation du Musée d’art contemporain de Montréal et présidente du conseil d’administration d’Hexagram, un institut de recherche en arts et technologies médiatiques.
Elle n'a pas caché son amitié avec son adversaire politique, Louise Beaudoin. En 2007, elles publient conjointement le livre Amitié interdite.
Liza Frulla participe à l'émission Le club des ex de 2007 à 2013 à RDI[4], et à l'émission C'est juste de la TV (de 2008 à 2013[5]) diffusée à ARTV.
Le , elle démissionne de son poste à l'émission Le club des ex. La décision a été influencée à la suite d'un éventuel conflit d'intérêts qu'aurait causé le passage de son conjoint André Morrow à La Commission Charbonneau.
Le fonds d’archives Liza Frulla est conservé au centre d’archives de Québec de la Bibliothèque et Archives nationales du Québec[6].
Depuis 2015, elle est directrice générale de l'Institut de tourisme et d'hôtellerie du Québec.
Honneurs
[modifier | modifier le code]- Médaille de l'Assemblée nationale en 2005[7]
- Compagne de l'Ordre des arts et des lettres du Québec en 2015[8]
- Officier de l'Ordre national du Québec en 2016[2]
Références
[modifier | modifier le code]- Stéphane Baillargeon, « Quand le Conseil des ministres discutait du projet de Musée Juste pour rire de Gilbert Rozon », sur Le Devoir, (consulté le ).
- « Liza Frulla - Assemblée nationale du Québec », sur assnat.qc.ca (consulté le ).
- « Liza Frulla (1949-) Femme politique », sur bilan.usherbrooke.ca (consulté le ).
- Zone Arts- ICI.Radio-Canada.ca, « L'émission Les Ex s'arrête après 13 ans d'existence », sur Radio-Canada.ca (consulté le )
- « C'est juste de la TV », sur Ici artv (consulté le ).
- Bibliothèque et Archives nationales du Québec, « Bibliothèque et Archives nationales du Québec - Fonds Liza Frulla (P735) » (consulté le )
- « Récipiendaires de la Médaille de l'Assemblée nationale - Assemblée nationale du Québec », sur www.assnat.qc.ca (consulté le )
- Liza Frulla C.A.L.Q, ex-ministre des Affaires culturelles|url=https://www.calq.gouv.qc.ca/wp-content/uploads/2015/10/oalq_frulla.pdf
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Animatrice québécoise de télévision
- Professeur québécois
- Député du Parti libéral du Québec à l'Assemblée nationale
- Député de la 34e législature de l'Assemblée nationale du Québec
- Député de la 35e législature de l'Assemblée nationale du Québec
- Député du Parti libéral du Canada
- Député fédéral canadien provenant du Québec
- Membre du Conseil privé de la Reine pour le Canada
- Officier de l'ordre de la Pléiade
- Naissance en mars 1949
- Naissance à Montréal
- Ministre canadien de la Condition féminine
- Femme politique canadienne
- Compagnon de l'Ordre des arts et des lettres du Québec
- Femme politique québécoise