- Prix Gottfried Wilhelm Leibniz
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Le prix Gottfried Wilhelm Leibniz (intitulé complet en allemand "Förderpreis für deutsche Wissenschaftler im Gottfried Wilhelm Leibniz-Programm der Deutschen Forschungsgemeinschaft") est un prix décerné tous les ans par la Deutsche Forschungsgemeinschaft à des scientifiques travaillant en Allemagne. Il s'agit de la plus haute distinction scientifique allemande et s'accompagne d'une bourse de recherche de 2,5 millions d'euros pour les chercheurs en sciences expérimentales et de 900 000 euros pour les scientifiques théoriciens. Cette somme devant être utilisée dans les 7 ans suivants. Chaque année 10 personnes sont distinguées.
Lauréats
1986 | 1987 | 1988 | 1989 | 1990 | 1991 | 1992 | 1993 | 1994 | 1995 | 1996 | 1997 | 1998 | 1999 | 2000 | 2001 | 2002 | 2003 | 2004 | 2005 | 2006 | 2007 | 2008 | 2009 | 2010 | 2011
2011
- Ulla Bonas – Microbiologie/Phytopathologie moléculaire (Université de Halle-Wittenberg)
- Christian Büchel – Neurosciences cognitives(Université de Hambourg-Eppendorf)
- Anja Feldmann – Informatique (Université technique de Berlin)
- Kai-Uwe Hinrichs – Géochimie anorganique (Université de Brême)
- Anthony A. Hyman – Biologie cellulaire (Institut Max-Planck de Biologie cellulaire moléculaire et de génétique, Dresde)
- Bernhard Keimer – Physique des solides expérimentale (Institut Max-Planck-Institut de Recherche sur l'État Solide, Stuttgart)
- Franz Pfeiffer – Physique des Rayons-X (Université technique de Munich)
- Joachim Friedrich Quack – Égyptologie (Université de Heidelberg)
- Gabriele Sadowski – Thermodynamique (Université technique de Dortmund)
- Christine Silberhorn – Optique Quantique (Université de Paderborn)
2010
- Jan Born, neuroendocrinologie, études sur le sommeil, université de Lübeck
- Peter Fratzl, biomatériaux, institut Max-Planck de recherche sur les colloïdes et interfaces de Potsdam
- Roman Inderst, sciences économiques, université Johann Wolfgang Goethe de Francfort-sur-le-Main
- Christoph Klein, pédiatrie et oncologie pédiatrique, école de médecine de Hanovre
- Ulman Lindenberger, psychologie du développement, institut Max-Planck de développement humain de Berlin
- Frank Neese, chimie théorique, université de Bonn
- Jürgen Osterhammel, histoire, université de Constance
- Petra Schwille, biophysique, université technologique de Dresde
- Stefan Treue, neurosciences cognitives sur les primates, Deutsches Primatenzentrum de Göttingen
- Joachim Weickert, traitement d'images / informatique, université de la Sarre
2009
- Antje Boetius, biologie, institut Max-Planck de microbiologie marine de Brême
- Holger Braunschweig, chimie, université de Wurtzbourg
- Wolfram Burgard, informatique, université de Fribourg-en-Brisgau
- Heinrich Detering, littérature allemande et nordique, université de Göttingen
- Jürgen Eckert, physique des métaux, institut de recherche sur les corps solides et les matériaux de Dresde et université technologique de Dresde
- Armin Falk, sciences économiques, université de Bonn
- Frank Kirchhoff, virologie, université d'Ulm
- Jürgen Rödel, science des matériaux, Université de technologie de Darmstadt
- Karl Lenhard Rudolph, gastroentérologie, université d'Ulm
- Burkhard Wilking, géométrie différentielle, université de Münster
- Martin R. Zirnbauer, physique mathématique, université de Cologne
2008
- Susanne Albers, informatique théorique, Université de Fribourg-en-Brisgau
- Martin Beneke, chimie des particules théorique, Université technique de Rhénanie-Westphalie à Aix-la-Chapelle
- Holger Boche, techniques et théorie de l'information, Université technique de Berlin
- Martin Carrier, philosophie, Université de Bielefeld
- Elena Conti et Elisa Izaurralde, biologie structurale et biochimie, institut Max Planck de biochimie à Martinsried et institut Max Planck de biologie du développement à Tübingen
- Holger Fleischer, droit de l'économie, Université de Bonn
- Stefan W. Hell, biophysique, institut Max Planck de chimie biophysique à Göttingen
- Klaus Kern, chimie physique du solide, institut Max Planck du solide à Stuttgart
- Wolfgang Lück, topologie algébrique, Université de Münster
- Jochen Mannhart, physique du solide, Université d'Augsbourg
2007
- Jens Claus Brüning, endocrinologie (Université de Cologne)
- Patrick Bruno (physicien), physique du solide théorique, (Institut Max-Planck de Physique des Microstructures, Halle (Saxe-Anhalt))
- Magdalena Götz, neurosciences, (GSF et Université Louis-et-Maximilien de Munich)
- Peter Gumbsch, sciences des matériaux, (Université de Karlsruhe et Fraunhofer-Institut für Werkstoffmechanik, Fribourg-en-Brisgau und Halle (Saxe-Anhalt))
- Gerald Haug, recherche sur le paléoclimat, (GeoForschungsZentrum Potsdam und université de Potsdam)
- Bernhard Jussen, histoire du Moyen Âge (Université de Bielefeld)
- Guinevere Kauffmann - Astrophysique (Institut Max-Planck d'astrophysique, Garching bei München)
- Falko Langenhorst, minéralogie et pétrologie, (Université d'Iéna)
- Oliver Primavesi, philologie classique (Université Louis-et-Maximilien de Munich)
- Detlef Weigel, biologie du développement végétal (Institut Max-Planck de biologie du développement, Tübingen)
2006
- Matthias Beller und Peter Wasserscheid, catalyse homogène (Université de Rostock) et procédés chimiques (Université Friedrich-Alexander d'Erlangen-Nuremberg)
- Patrick Cramer, biologie structurale (université Louis-et-Maximilien de Munich)
- Peter Jonas, neurophysiologie (Université de Fribourg-en-Brisgau)
- Ferenc Krausz, optique quantique (Université de Fribourg-en-Brisgau und institut Max-Planck d'optique quantique à Garching bei München)
- Klaus Mezger, géochimie, (Université de Münster)
- Thomas Mussweiler, psychologie sociale (Université de Cologne)
- Felix Otto (de), mathématiques (Université de Bonn)
- Dominik Perler, philosophie (Université Humboldt de Berlin)
- Gyburg Radke, philologie et philosophie (Université de Marbourg)
- Marino Zerial, biologie cellulaire (Institut Max-Planck pour la biologie cellulaire moléculaire et la génétique à Dresde)
2005
- Peter Becker, biologie cellulaire et biochimie (université Louis-et-Maximilien de Munich)
- Immanuel Bloch, optique quantique (Université de Mayence)
- Stefanie Dimmeler, cardiologie moléculaire (Université Johann Wolfgang Goethe de Francfort)
- Jürgen Gauß, chimie théorique (Université de Mayence)
- Günther Hasinger, astrophysique (Institut Max-Planck de physique extra-terrestre à Garching bei München)
- Christian Jung, croissance végétale (Christian-Albrechts-Universität de Kiel)
- Axel Ockenfels, économie (Université de Cologne)
- Wolfgang Peukert, technologie mécanique (Université Friedrich-Alexander d'Erlangen-Nuremberg)
- Barbara Stollberg-Rilinger, histoire (Université de Münster)
- Andreas Tünnermann, microtechnique (Fraunhofer-Institut für Angewandte Optik und Feinmechanik à Iéna)
2004
- Frank Allgöwer (de), technique de régulation (Université de Stuttgart)
- Gabriele Brandstetter, sciences du théâtre (Université libre de Berlin)
- Thomas Carell, chimie organique (Université Louis-et-Maximilien de Munich)
- Karl Christoph Klauer, psychologie cognitive et sociale (Université de Bonn)
- Hannah Monyer, neurobiologie (Université d'Heidelberg)
- Nikolaus Pfanner und Jürgen Soll, biochimie/biologie cellulaire et biologie cellulaire végétale (Université de Fribourg-en-Brisgau und Université Louis-et-Maximilien de Munich)
- Klaus Dieter Pfeffer, immunologie (Université Heinrich Heine de Düsseldorf)
- Dierk Raabe, sciences des matériaux (Institut Max Planck de recherche sur le fer de Düsseldorf)
- Konrad Samwer, physique du solide (Université de Göttingen)
- Manfred Strecker, géologie (Université de Potsdam)
2003
- Winfried Denk, ophtalmologie (Institut Max-Planck de recherche médicale à Heidelberg)
- Hélène Esnault (de) et Eckart Viehweg (de), géométrie algébrique (Université de Duisbourg et Essen)
- Gerhard Huisken (de), analyse géométrique (Institut Max-Planck de physique gravitationnelle (de) à Potsdam)
- Rupert Klein, mécanique des fluides numérique (Université libre de Berlin et Potsdam-Institut für Klimafolgenforschung)
- Albrecht Koschorke, littérature allemande contemporaine (Université de Constance)
- Roland Lill, biologie cellulaire et biochimie (Université de Marbourg)
- Christof Niehrs, biologie moléculaire du développement (Centre allemand de recherche sur le cancer à Heidelberg)
- Ferdi Schüth, chimie inorganique (Institut Max-Planck à Mülheim an der Ruhr)
- Hans-Peter Seidel, graphique informatique (Institut Max-Planck d'informatique à Sarrebruck)
- Hubert Wolf, histoire religieuse et théologie catholique (Université de Münster)
2002
- Carmen Birchmeier-Kohler, biologie moléculaire (Max-Delbrück-Centrum für Molekulare Medizin à Berlin)
- Wolfgang Dahmen, mathématiques (Université technique de Rhénanie-Westphalie à Aix-la-Chapelle)
- Wolf-Christian Dullo, paléontologie (Université de Kiel)
- Bruno Eckhardt, physique théorique (Université de Marbourg)
- Michael Famulok, biochimie (Université de Bonn)
- Christian Haass, biochimie (Université Louis-et-Maximilien de Munich)
- Franz-Ulrich Hartl, biochimie cellulaire (Institut Max-Planck de biochimie à Martinsried)
- Thomas Hengartner, folklore (Université d'Hamburg)
- Reinhold Kliegl, psychologie (Université de Potsdam)
- Wolfgang Kowalsky, optoélektronique (Université technique Carolo-Wilhelmina de Brunswick)
- Karl Leo, physique du solide (Université de technologie de Dresde)
- Frank Vollertsen, techniques de production (Université de Paderborn)
2001
- Jochen Feldmann, optoélectronique (Université Louis-et-Maximilien de Munich)
- Eduard Christian Hurt, biologie moléculaire (Université d'Heidelberg)
- Hans Keppler, minéralogie (Université Eberhard Karl de Tübingen)
- Arthur Konnerth, neurophysiologie (Université Louis-et-Maximilien de Munich)
- Ulrich Konrad, musicologie (Université de Wurtzbourg)
- Martin Krönke, immunologie/biologie cellulaire (Université de Cologne)
- Joachim Küpper, littérature romantique (Université libre de Berlin)
- Christoph Markschies, théologie évangélique et histoire des religions (Université d'Heidelberg)
- Wolfgang Marquardt, procédé de fabrication (Université technique de Rhénanie-Westphalie à Aix-la-Chapelle)
- Helge Ritter, informatique (Université de Bielefeld)
- Günter Ziegler, mathématiques (Université technique de Berlin)
2000
- Klaus Fiedler, psychologie sociale et cognitive (Université d'Heidelberg)
- Peter Greil, science des matériaux (Université Friedrich-Alexander d'Erlangen-Nuremberg)
- Matthias W. Hentze, biologie moléculaire (Laboratoire européen de biologie moléculaire à Heidelberg)
- Peter M. Herzig, géochimie et géologie économique (Technische Universität Bergakademie Freiberg)
- Reinhard Jahn, biologie cellulaire (Institut Max-Planck de chimie biophysique de Göttingen)
- Aditi Lahiri, linguistique générale (Université de Constance)
- Gertrude Lübbe-Wolff, droit publique (Université de Bielefeld)
- Dieter Lüst, physique théorique (Université Humboldt de Berlin)
- Stefan Müller, mathematiques (Institut Max-Planck de mathématiques à Leipzig)
- Manfred Pinkal, linguistique informatique (Université de la Sarre)
- Ilme Schlichting, biophysique (Institut Max-Planck de physiologie moléculaire à Dortmund)
- Friedrich Temps und Hans-Joachim Werner, chimie physique (Université de Kiel) et chimie théorique (Université de Stuttgart)
- Martin Wegener, physique du solide (Université de Karlsruhe)
1999
- Ekkard Brinksmeier, techniques de production (Université de Brême)
- Bernd Bukau, biologie cellulaire (Université de Fribourg-en-Brisgau)
- Joachim Cuntz, mathématiques (Université de Münster)
- Alois Fürstner, chimie organométallique (Institut Max-Planck de Mülheim an der Ruhr)
- Friedrich Wilhelm Graf, théologie évangélique (Université d'Augsbourg)
- Ulrich Herbert, histoire (Université de Fribourg-en-Brisgau)
- Martin Johannes Lohse, pharmacologie (Université de Wurtzbourg)
- Volker Mosbrugger, paléontologie (Université Eberhard Karl de Tübingen)
- Hans-Christian Pape, neurophysiologie (Université de Magdebourg)
- Joachim Ullrich, physique expérimentale (Université de Fribourg-en-Brisgau)
1998
- Heinz Breer, zoologie (Université de Hohenheim)
- Nikolaus P. Ernsting et Klaus Rademann, chimie physique (Université Humboldt de Berlin)
- Hans-Jörg Fecht, matériaux métalliques (Université d'Ulm)
- Ute Frevert, histoire moderne (Université de Bielefeld)
- Wolf-Bernd Frommer, physiologie végétale moléculaire (Université Eberhard Karl de Tübingen)
- Christian Griesinger, chimie organique (Université Johann Wolfgang Goethe de Francfort)
- Regine Hengge-Aronis, microbiologie (Université de Constance)
- Onno Oncken, géologie (GeoForschungsZentrum de Potsdam et Université libre de Berlin)
- Hermann Parzinger, histoire de l'Europe de l'est (Institut allemand d'archéologie de Berlin)
- Ingo Rehberg, physique expérimentale (Université de Magdebourg)
- Dietmar Vestweber, biologie cellulaire et biochimie (Université de Münster)
- Annette Zippelius, physique du solide (Université de Göttingen)
1997
- Thomas Boehm, biologie moléculaire du développement (Centre allemand de recherche sur le cancer à Heidelberg)
- Wolfgang Ertmer, physique expérimentale (Université d'Hanovre)
- Angela D. Friederici, neuropsychologie (Institut Max-Planck de sciences cognitives à Leipzig)
- Georg Fuchs, microbiologie (Université de Fribourg-en-Brisgau)
- Jean Karen Gregory, science des matériaux (Université technologique de Munich)
- Andreas Kablitz, philologie romane et italianistique (Université de Cologne)
- Matthias Kleiner, techniques de transformation (Université technologique de Cottbus)
- Paul Knochel, chimie organométallique (Université de Marbourg)
- Elisabeth Knust, génétique du développement (Université Heinrich Heine de Düsseldorf)
- Stephan W. Kochk, physique théorique (Université de Marbourg)
- Christian F. Lehner, génétique moléculaire (Université de Bayreuth)
- Stefan M. Maul, Altorientalistik (Université d'Heidelberg)
- Ernst Mayr, informatique théorique (Université technologique de Munich)
- Gerhard Wörner, minéralogie et géochemie (Université de Göttingen)
1996
- Eduard Arzt, métallographie (Université de Stuttgart et Institut Max-Planck de recherche sur les métaux à Stuttgart)
- Hans Werner Diehl, physique théorique (Université de Duisbourg et Essen)
- Gerd Faltings, mathématiques (Institut Max-Planck de mathématiques à Bonn)
- Ulf-Ingo Flügge, biochimie végétale (Université de Cologne)
- Wolfgang Klein, linguistique (Institut Max-Planck de linguistique à Nimwegen)
- Dieter Langewiesche, histoire moderne (Université Eberhard Karl de Tübingen)
- Reinhart Georg Lührmann, biologie moléculaire (Université de Marbourg)
- Joachim Reitner, paléontologie (Université de Göttingen)
- Michael Reth, immunologie (Institut Max-Planck d'immunbiologie à Fribourg-en-Brisgau)
- Wolfgang Schnick, chimie du solide (Université de Bayreuth)
- Winfried Schulze, histoire (Université Louis-et-Maximilien de Munich)
- Reinhard Zimmermann, histoire du droit et droit civil (Université de Ratisbonne)
1995
- Siegfried Bethke, physique des particules élémentaires (Université technique de Rhénanie-Westphalie à Aix-la-Chapelle)
- Niels Birbaumer, psychophysiologie (Université Eberhard Karl de Tübingen)
- Hans-Joachim Freund, chimie physique (Université de la Ruhr à Bochum)
- Martin Grötschel, mathématiques appliquées (Université technique de Berlin)
- Axel Haverich, chirurgie (Université de Kiel)
- Gerhard Hirzinger, robotique (Deutsches Zentrum für Luft- und Raumfahrt)
- Thomas Jentsch, biochemie (Université d'Hamburg)
- Gerd Jürgens, développement végétale moléculaire (Université Eberhard Karl de Tübingen)
- Wolfgang Schleich, optique quantique (Université d'Ulm)
- Manfred G. Schmidt, sciences politiques (Université d'Heidelberg)
- Thomas Schweizer (†), folklore (Université de Cologne)
- Elmar Weiler, physiologie végétale (Université de la Ruhr à Bochum)
- Emo Welzl, informatique (Université libre de Berlin)
1994
- Gisela Anton, physique expérimentale (Université de Bonn)
- Manfred Broy et Ernst-Rüdiger Olderog, informatique (Université technologique de Munich et Université d'Oldenburg)
- Ulrich R. Christensen, géophysique (Université de Göttingen)
- Ulf Eysel, neurophysiologie (Université de la Ruhr à Bochum)
- Theo Geisel, physique théorique (Université Johann Wolfgang Goethe de Francfort)
- Peter Gruss, biologie cellulaire (Institut Max-Planck de chimie biophysique à Göttingen)
- Wolfgang Hackbusch, mathématiques numériques (Université de Kiel)
- Adrienne Héritier et Helmut Willke, sociologie et politologie (Université de Bielefeld)
- Stefan Jentsch, biologie moléculaire (Université d'Heidelberg)
- Glenn W. Most, philologie classique (Université d'Heidelberg)
- Johann Mulzer, chimie organique (Université libre de Berlin)
- Peter Schäfer, étude du judaisme (Université libre de Berlin)
1993
- Christian von Bar, droit privé international (Université d'Osnabrück)
- Johannes Buchmann et Claus-Peter Schnorr, informatique théorique (Université de la Sarre et Université Johann Wolfgang Goethe de Francfort)
- Dieter Enders, chimie organique (Université technique de Rhénanie-Westphalie à Aix-la-Chapelle)
- Gunter Fischer, biochimie (Université Martin-Luther de Halle-Wittenberg)
- Michael Frotscher, neuroanatomie (Université de Fribourg-en-Brisgau)
- Jürgen Jost, mathématiques (Université de la Ruhr à Bochum)
- Regine Kahmann, génétique moléculaire (Université Louis-et-Maximilien de Munich)
- Wolfgang Krätschmer, physique atomique (Institut Max-Planck de physique atomique à Heidelberg)
- Klaus Petermann, électronique à haute fréquence (Université technique de Berlin)
- Wolfgang Prinz, psychologie (Institut Max-Planck de psychologie à Munich)
- Rudolf G. Wagner, sinologie (Université d'Heidelberg)
- Jürgen Warnatz, combustion (Université de Stuttgart)
1992
- Georg W. Bornkamm, virologie (GSF à Munich)
- Christopher Deninger (de), Michael Rapoport, Peter Schneider et Thomas Zink, mathématiques (Université de Münster, Université de Wuppertal, Université de Cologne et Université de Bielefeld)
- Irmela Hijiya-Kirschnereit, japanologie (Université libre de Berlin)
- Jürgen Kocka, histoire sociale (Université libre de Berlin)
- Joachim Menz, géologie/géophysique (Université technologique de Freiberg)
- Friedhelm Meyer auf der Heide et Burkhard Monien, informatique (Université de Paderborn)
- Jürgen Mlynek, physique expérimentale (Université de Constance)
- Svante Pääbo, biologie moléculaire (Université Louis-et-Maximilien de Munich)
- Wolfgang Raible, romanistique (Université de Fribourg-en-Brisgau)
- Hans-Georg Rammensee, immunologie (Institut Mas-Planck de biologie du développement à Tübingen)
- Jan Veizer, géochimie des sédiments (Université de la Ruhr à Bochum)
1991
- Gerhard Ertl, chimie physique (Fritz-Haber-Institut der Max-Planck-Gesellschaft à Berlin)
- Dieter Fenske et Michael Veith, chimie inorganique (Université de Karlsruhe et Université de la Sarre)
- Ernst O. Göbel, physique du solide (Université de Marbourg)
- Dieter Häussinger, médecine interne (Université de Fribourg-en-Brisgau)
- Karl-Heinz Hoffmann, mathématiques appliquées (Université d'Augsbourg)
- Randolf Menzel, zoologie et neurobiologie (Université libre de Berlin)
- Rolf Müller, biochimie et biologie moléculaire (Université de Marbourg)
- Hermann Riedel, mécanique du solide (Fraunhofer-Institut für Werkstoffmechanik à Fribourg-en-Brisgau)
- Hans-Ulrich Schmincke, minéralogie et vulcanologie (Leibniz-Institut für Meereswissenschaften à Kiel)
- Michael Stolleis, histoire du droit (Université Johann Wolfgang Goethe de Francfort)
- Martin Warnke, histoire de l'art (Université d'Hamburg)
1990
- Reinhard Genzel, astrophysique (Institut Max-Planck d'astrophysique à Garching)
- Rainer Greger, physiologie (Université de Fribourg-en-Brisgau)
- Ingrid Grummt, biologie moléculaire (Université de Wurtzbourg)
- Martin Jansen et Arndt Simon, chimie inorganique (Université de Bonn et Institut Max-Planck de recherche sur le solide à Stuttgart)
- Bert Hölldobler, zoologie (Université de Wurtzbourg)
- Konrad Kleinknecht, physique expérimentale (Université de Mayence)
- Norbert Peters, recherche sur la combustion (Université technique de Rhénanie-Westphalie à Aix-la-Chapelle)
- Helmut Schwarz, chimie organique (Université technique de Berlin)
- Dieter Stöffler, planétologie (Université de Münster)
- Richard Wagner, physique du solide (GKSS-Forschungszentrum à Geesthacht)
1989
- Heinrich Betz, neurobiologie (Université d'Heidelberg)
- Claus-Wilhelm Canaris, droit civil (Université Louis-et-Maximilien de Munich)
- Herbert Gleiter, sciences du solide (Université de la Sarre)
- Theodor W. Hänsch, physique des lasers (Université Louis-et-Maximilien de Munich et Institut Max-Planck d'optique quantique à Garching)
- Joachim Milberg, techniques de production (Université technologique de Munich)
- Jürgen Mittelstraß, philosophie (Université de Constance)
- Sigrid D. Peyerimhoff, chimie théorique (Université de Bonn)
- Manfred T. Reetz, chimie organique (Université de Marbourg)
- Michael Sarnthein et Jörn Thiede, géologie marine (Université de Kiel et Leibniz-Institut für Meereswissenschaften à Kiel)
- Reinhard Stock, physique atomique expérimentale (Université Johann Wolfgang Goethe de Francfort)
- Wolfgang Stremmel, médecine interne (Université Heinrich Heine de Düsseldorf)
1988
- Karl Joachim Ebeling, électronique à haute fréquence (Université technique Carolo-Wilhelmina de Brunswick)
- Lothar Gall, histoire moderne (Université Johann Wolfgang Goethe de Francfort)
- Günter Harder, mathématiques (Université de Bonn)
- Walter Haug et Burghart Wachinger, littérature allemande ancienne (Université Eberhard Karl de Tübingen)
- Werner Hildenbrand, économie politique (Université de Bonn)
- Ingo Müller, physique théorique (Université technique de Berlin)
- Herbert W. Roesky et George Michael Sheldrick, chimie inorganique (Université de Göttingen)
- Wolfram Saenger et Volker Erdmann, biochemie (Université libre de Berlin)
- Günther Schütz, biologie moléculaire (Deutsches Krebsforschungszentrum à Heidelberg)
- Hans Wolfgang Spiess, chimie physique (Institut Max-Planck de recherche sur les polymères à Mayence)
- Karl Otto Stetter, microbiologie (Université de Ratisbonne)
- Thomas Weiland, physique des hautes énergies (Deutsches Elektronen-Synchrotron à Hambourg)
1987
- Gerhard Abstreiter, physique des semi-conducteurs (Université technologique de Munich)
- Knut Borchardt, histoire de l'économie et économie politique (Université Louis-et-Maximilien de Munich)
- Nils Claussen, matériaux céramiques (Université technologique de Hamburg-Harburg)
- Bernd Giese, chimie organique (Université technologique de Darmstadt)
- Wolfgang A. Herrmann et Hubert Schmidbaur, chimie inorganique (Université technologique de Munich)
- Günter Hotz, Kurt Mehlhorn et Wolfgang Paul, informatique (Université de la Sarre)
- Erwin Neher et Bert Sakmann, chimie biophysique (Institut Max-Planck de chimie biophysique à Göttingen)
- Friedrich A. Seifert, minéralogie (Université de Bayreuth)
- Rudolf K. Thauer, microbiologie (Université de Marbourg)
- Hans-Peter Zenner, biologie cellulaire (Université de Wurtzbourg)
1986
- Géza Alföldy, histoire ancienne (Université d'Heidelberg)
- Dietrich Dörner, psychologie (Université Otto-Friedrich de Bamberg)
- Jürgen Habermas, philosophie (Université Johann Wolfgang Goethe de Francfort)
- Otto Ludwig Lange et Ulrich Heber, écologie et biochimie (Université de Wurtzbourg)
- Hartmut Michel, biochemie (Institut Max-Planck de biochimie à Martinsried)
- Christiane Nüsslein-Volhard et Herbert Jäckle, biologie (Institut Max-Planck de biologie du dévéloppement à Tübingen)
- Peter R. Sahm, moulage (Université technique de Rhénanie-Westphalie à Aix-la-Chapelle)
- Fritz Peter Schäfer, physique des lasers (Institut Max-Planck de chimie biophysique à Göttingen)
- Frank Steglich, physique du solide (Université technologique de Darmstadt)
- Albert H. Walenta, physique expérimentale (Université de Siegen)
- Julius Wess, physique théorique (Université de Karlsruhe)
Liens externes
- (de)Tous les lauréats
- Document PDF contenant des informations sur les prix et de courts portraits des lauréats
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