CDI
CDI... trois lettres qui cachent un bien lourd secret gardé farouchement par l'Éducation Nationale. Contrairement à la croyance populaire, elles ne signifient pas Contrat à Durée Indéterminée ou Centre de Documentation et d'Information mais bel et bien CENTRE DE DÉSINTOXICATION INTENSIVE !
Origine du CDI
Tout vient de l'initiative d'un proviseur particulièrement anti-stupéfiants qui, un jour, décida de porter la lutte contre les drogues jusque dans son lycée et à l'aide de quelques professeurs (appelés depuis le Conseil Des Initiés), il créa un lieu de désintoxication par la force. En effet, certains parents trouvaient parfaitement normal que leurs enfants arrivent complètement défoncés en cours.
Il mit donc en place un système draconien de désintoxication.
Principe du CDI
Il s'agit en fait d'une véritable prison, qui, sous le couvert d'une innocente bibliothèque, force les pauvres jeunes accros à arrêter le haschich. On utilise pour cela une technique particulièrement vicieuse, on les force à lire des LIVRES ! Pas un joint à l'horizon. Pas de vodka. Pas de cigarette. Pas de cocaïne. Même pas de quoi faire un rail de Doliprane.
Au bout de quelques heures d'isolement, le drogué s'agite, cherche un moyen de compense, tente de se faire des joints avec les pages des livres... La plupart meurt rapidement d'UNDERDOSE (trop peu de drogue dans le sang) ou bien se suicide, en se coupant les veines avec des pages de livres. D'autres encore deviennent fous et souffrent d'un retard mental (Con, Débiles et Idiots comme le disent entre eux les professeurs).
Enfin certains arrivent à arrêter la drogue mais pour tomber dans un vice différent : LA LECTURE. Ils ne peuvent pas rester sans lire plus de 10 minutes sans ressentir un manque. La plupart deviennent donc bibliothécaires et meurent dans des accidents de voiture (lire et regarder la route est un exercice difficile qui nécessite en général un strabisme divergent).
Cette technique (bien qu'une perte de temps et un échec total) continue d'être utilisé dans tous les collèges et lycées de France par des proviseurs peu scrupuleux et se souciant uniquement de faire baisser le nombre de drogués (« Un drogué mort est un drogué qui ne compte plus dans les statistiques. » comme l'a dit un jour un professeur qui n'a pas souhaité révéler son identité).
Témoignages
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