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EAN : 978B00I1K92PU
177 pages
(24/01/2014)
  Existe en édition audio
3.89/5   1395 notes
Résumé :
8 mai. — Quelle journée admirable ! J'ai passé toute la matinée étendu sur l'herbe, devant ma maison, sous l'énorme platane qui la couvre, l'abrite et l'ombrage tout entière. J'aime ce pays, et j'aime y vivre parce que j'y ai mes racines, ces profondes et délicates racines, qui attachent un homme à la terre où sont nés et morts ses aïeux, qui l'attachent à ce qu'on pense et à ce qu'on mange, aux usages comme aux nourritures, aux locutions locales, aux intonations de... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (72) Voir plus Ajouter une critique
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Après Dracula, le Tour d'Ecrou, Lovecraft pour mes classiques, je décide de relire le Horla. La dernière fois que j'avais ouvert ce bouquin, j'étais au collège. Je me souvenais vaguement d'un type qui se croyait hanté par une entité ectoplasmique... Aujourd'hui, je constate, que le mec n'est pas forcément hanté par une entité ectoplasmique, mais peut-être en fait par lui-même... Comme pour le Tour d'Ecrou, on oscille : "psychologie ou fantastique?"

La peur du récit ne réside alors pas dans le mystère mais sur l'introspection, seul avec toi-même : tu penses être stable? et boum, tout se barre en gonades. L'invisible, ce n'est pas un monstre sous ton lit, c'est cette pensée parasite qui te chuchote à l'oreille que tu n'es pas en sécurité et tu ne sais pas pourquoi... Tu n'es pas en sécurité mec... Tu n'es pas en sécurité mec dans TA maison mais il n'y a personne... Il n'y a personne et tu es tout seul à sentir cette présence.

Maupassant déstabilise : et si je perdais le contrôle moi aussi ? L'entité? On s'en fout presque. C'est juste l'outil narratif qui pousse le narrateur vers la pente de la folie (ou pas).

En quelques pages, ambiance suffocante, paranoïa, pas de jumpscare, c'est une montée lente et inexorable, avec ton moi-intérieur. Une expérience transcendentale avec une force supérieur? Tu oublies, le monsieur se sent menacé, il est terrifié. Terrifié par le rien,
c'est insaississable...

Et puis, la structure du texte, en mode journal intime, c'est l'outil parfait pour plonger dans la subjectivité du narrateur. Comme pour le Tour d'Ecrou, on n'est jamais vraiment sûr de ce qui se passe. Est-ce une créature venue siphonner l'âme humaine ou juste ce mec qui s'éparpille dans les méandres de sa folie ? Et toi, es-tu certain d'être sain d'esprit? Ou cela peut t'arriver à toi aussi?
Qui n'a pas déjà ressenti cette menace impalpable inexplicable?
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Le Horla est un récit majeur dans l'oeuvre de Guy de Maupassant. C'est un récit fantastique que j'ai lu durant ma jeunesse, je me demande même si je ne suis pas entré par ce récit dans l'univers littéraire de cet auteur qui m'est si cher. Ce devait être au sortir de l'adolescence. Plus tard, j'ai continué de visiter son oeuvre, Maupassant figure dans mon panthéon littéraire, mais davantage pour le côté réaliste de son oeuvre.
Cependant, relisant aujourd'hui ce récit le Horla, j'y ai savouré un texte écrit avec une langue subtile, magnifique, celle que j'admire chez Maupassant, révélant plus que jamais une puissance d'évocation dans une narration extrêmement resserrée ici sur un seul protagoniste, un narrateur qui vient vers nous par l'entremise de son journal intime.
L'auteur y décrit la déchéance progressive et dramatique du narrateur poursuivi par une créature invisible, baptisée par lui-même le Horla, dont il ne sait si elle est réelle ou le résultat d'un trouble psychiatrique.
Le Horla, c'est avant tout l'histoire d'une emprise. Une emprise qui se resserre peu à peu comme un étau, l'emprise sur un homme, sa vie, son destin..
C'est un texte qui joue sans cesse sur le fil d'une ambiguïté puisque nous sommes plongé par le récit d'un journal intime dans la tête d'un homme qui semble de plus en plus convaincu qu'une force indicible et invisible vient le hanter autour de lui, dans ses lieux familiers, jusque chez lui.
L'obsession ira grandissante jusqu'au dénouement final qui ne nous révélera rien sur ce questionnement, sinon peut-être le doute à jamais...
De cette force invisible, il cherchera à s'en débarrasser par tous les moyens possibles. Dans ce récit psychologique, Maupassant présente un personnage torturé, gagné par le doute et qui finit par sombrer dans la démence.
C'est l'histoire d'une angoisse indicible qui s'installe peu à peu.
Le thème du double, celui de l'altérité est très présent, ce sont sans doute là les branches où ce récit doit nous inviter
Sentir cette obsession, cette folie, qui étreint l'esprit du narrateur, insidieusement. C'est une étreinte qui monte, en tension, jusqu'à l'orgasme du texte, dans le fantastique le plus pur, le plus brillant, le plus saisissant, l'auteur a cet art de saisir chaque scène du texte pour la rendre à la fois juste et brusquement éblouissante.
Toute l'ambiguïté demeure jusqu'au dénouement final et peut-être encore après : cette force invisible est-elle en lui ou à l'extérieur, dans cette proximité si étrange et si menaçante ?
Alors, oui, Maupassant était malade, atteint de la syphilis, lorsqu'il écrivit ce récit. Sans doute cela se ressent dans la narration, puisque certains symptômes de sa maladie ressemblent étrangement aux symptômes vécus par le narrateur, le faisant peu à peu basculer dans une forme de folie inéluctable...
À l'aune de la maladie que vécut Maupassant et l'emporta vers la mort, il est possible que la hantise du double, présente dans cette nouvelle, donne une réalité tout autre.
Ces symptômes, qu'on retrouve dans la nouvelle, produisent une sorte de mise en abyme du thème du double à travers laquelle j'ai imaginé que l'auteur et le narrateur se retrouvaient, comme l'un devenant le double de l'autre, peut-être se confondaient...
Mais la force du récit, c'est de saisir le lecteur, pris à témoin, de l'immerger dans la réalité intérieure que vit le narrateur. le ressort narratif agit à merveille au point d'abolir toute distance, redoublant ainsi l'emprise du Horla sur le narrateur, mais sur nous aussi. le récit est une perpétuelle oscillation entre deux versants psychologique : la sidération du narrateur devant ce qui lui arrive et un état de folie qui s'empare de lui. En m'identifiant à la partie saine du narrateur, je me suis retrouvé contre toute attente en empathie avec ce pauvre personnage qui se démène contre des forces obscures, en proie à quelque chose qui lui échappe totalement.
Cette figure du double exprimé se traduit ici par les signes inquiétants d'une présence invisible et dévorante.
« Cette nuit, j'ai senti quelqu'un accroupi sur moi, et qui, sa bouche sur la mienne, buvait entre mes lèvres. » 
Le thème du double, si riche en littérature sous toutes ses expressions, constitue l'interface à partir de laquelle se constitue l'identité psychique du narrateur à la limite du dedans et du dehors.
Sur le plan narratif, Maupassant m'a entraîné dans ce récit qui visite l'inquiétante étrangeté qui touche le narrateur, au prétexte d'un conte presque fantastique, dans un itinéraire de questionnements qui me réjouissent : l'identité, l'altérité, le visible dans l'invisible, l'invisible dans le visible, le rapport de soi à soi, ce rapport qui parfois peut passer par un intermédiaire venu de l'extérieur, une représentation de « soi » externalisée et non reconnue, impersonnelle et anonyme.
Face au danger permanent qui le menace, le narrateur va chercher à accumuler les preuves de l'existence du Horla pour s'en différencier. En objectivant ce à quoi il est confronté, on peut dire qu'il tente désespérément d'identifier ce qui l'affecte, au point de perdre la raison. Paradoxalement, c'est la tentative d'explication du phénomène du Horla qui accroît les productions hallucinatoires et finit par faire sombrer le narrateur dans la folie.
C'est puissant, c'est prodigieux, c'est Maupassant se révélant ici une fois encore dans la qualité de son écriture, de son travail d'écrivain, capable de sublimer l'ordinaire ou le presque ordinaire...
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L'avais-je déjà lu ou non ? le livre en tous les cas traine à la maison, probablement lecture d'un de mes fils pendant son parcours scolaire. Pour le (re)découvrir, j'ai choisi de l'écouter.
Sans doute la nouvelle la plus connue De Maupassant, qui contraste avec mes souvenirs du livre qui m'a le plus marquée de cet auteur : Une vie. On entre ici dans le domaine du fantastique et Maupassant s'y montre un maitre.

Un homme raconte, le récit est cohérent, mais empreint d'étrangeté, d'éléments qu'un esprit qui raisonne de façon humaine ne peut concevoir. Cet homme qui raconte est-il fou ? Ou bien met il en évidence les limites de l'homme, incapable de percevoir la totalité des éventements, des phénomènes se produisant sur terre victime de ses sens imparfaits ...

Maupassant sait créer la tension et nous fait ressentir de façon très fine les émotions et le malaise ressenti par cet homme, devant des évènements qu'il ne peut expliquer, et même si je connaissais finalement l'histoire, l'écouter a ajouté un plus, la voix de l'homme racontant la suite de faits dont il a été la victime transmettant parfaitement l'évolution de ses sentiments, son incrédulité première, la montée de son impuissance, l'angoisse devant ce qu'il ne peut expliquer.

Et j'ai retrouvé avec bonheur la fluidité du style De Maupassant, la qualité de son écriture. A chaque fois que je me replonge dasn un classique, je crains de découvrit une écriture un peu datée. Ce n'est quasiment jamais le cas.

Guy_de_Maupassant_-_Le_Horla_V1_1886
Lu par Romy Riaud
Lien : https://www.litteratureaudio..
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Un homme perd peu à peu la raison et la joie de vivre, persuadé qu'un autre que lui, le Horla, " hors de lui " vit à ses côtés.
Dans son journal, il analyse ce qu'il ressent, cherchant à comprendre l'incompréhensible, en interrogeant un moine du Mont Saint-Michel, en assistant à une séance d'hypnose.
Ses angoisses et ses hallucinations augmentent et l'envahissent: il est prêt à tout pour se débarrasser de cette présence qui le terrifie.
Ecrit en 1887, Maupassant avait déjà abordé plusieurs fois le thème de la folie.
Dans la nouvelle " Fou? ", il répétait " Je ne suis pas fou", car il se savait malade et il s'interrogeait.
Après avoir fini " le Horla ", il écrivait: " J'ai envoyé aujourd'hui à Paris le manuscrit du " Horla " ; avant huit jours, vous verrez que tous les journaux publieront que je suis fou. A leur aise, ma foi, car je suis sain d'esprit, et je savais très bien en écrivant cette nouvelle, ce que je faisais. C'est une oeuvre d'imagination qui frappera le lecteur et lui fera passer plus d'un frisson dans le dos, car c'est étrange. "
" le Horla " est une nouvelle magnifique écrite par un virtuose de l'art du récit, Guy de Maupassant.
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Maupassant fait parti de ces auteurs que j'ai découvert sur le tard.

En quelques années, j'ai eu le bonheur de découvrir, Mont Oriol, un livre moins connu que Bel Ami mais qui est tout aussi passionnant. Pierre et Jean et de multiples nouvelles sur la province profonde et /ou de la petite bourgeoisie.

Normalement je ne suis pas fan des nouvelles. Mais Maupassant est un maître. Il a l'art de donner en quelques pages, de la profondeur à ses personnages et de raconter une histoire.

La plume De Maupassant est acérée.

Le Horla est différent dans le sens, où il explore le fantastique... ou peut être la descente dans la folie... Car Maupassant laisse planer le doute....

Il arrive à jouer avec nos nerfs en alternant les moments paisibles et la montée en puissance de la présence de cet être / de la peur / paranoïa et autres troubles psychiatriques.

Je lis que Maupassant avait la syphilis et qu'il souffrait de troubles mentaux. Je comprends mieux les descriptions.

Un grand livre sans aucun doute.



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Citations et extraits (64) Voir plus Ajouter une citation
Nous subissons effroyablement l’influence de ce qui nous entoure.
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Comme il est profond ce mystère de l'invisible ! Nous ne le pouvons sonder avec nos sens misérables, avec nos yeux qui ne savent apercevoir ni le trop petit, ni le trop grand, ni le trop près, ni le trop loin, ni les habitants d'une étoile, ni les habitants d'une goutte d'eau...avec nos oreilles qui nous trompent, car elles nous transmettent les vibrations de l'air en notes sonores. Elles sont des fees qui font ce miracle de changer en bruit ce mouvement et par cette métamorphose donnent naissance à la musique, qui rendent chantante l'agitation muette de la nature.
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Est ce que nous voyons la cent millième partie de ce qui existe ? Tenez, voici le vent, qui est la plus grande force de la nature, qui renversé les hommes, abat les édifices, déracine les arbres, soulève la mer en montagnes d'eau, détruit les falaises, et jette aux brisants les grands navires, le vent qui tue, qui siffle, qui gémit, qui mugit- l'avez vous vu ? Et pouvez vous le voir ? Il existe, pourtant.
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Cette fois, je ne suis pas fou. J'ai vu... j'ai vu... j'ai vu !... J'ai encore froid jusque dans les ongles... j'ai encore peur jusque dans les moelles... j'ai vu !...
Je me promenais à deux heures, en plein soleil, dans mon parterre de rosiers... dans l'allée des rosiers d'automne qui commencent à fleurir.
Comme je m'arrêtais à regarder un " géant des batailles ", qui portait trois fleurs magnifiques, je vis, je vis distinctement tout près de moi, la tige d'une de ces roses se plier, comme si une main invisible l'eût tordue, puis se casser, comme si cette main l'eût cueillie ! Puis la fleur s'éleva, suivant la courbe qu'aurait décrite un bras en la portant vers une bouche, et elle resta suspendue dans l'air transparent, toute seule, immobile, effrayante tache rouge à trois pas de mes yeux.
Eperdu, je me jetai sur elle pour la saisir ! Je ne trouvai rien : elle avait disparu. Alors je fus pris d'une colère furieuse contre moi-même ; car il n'est pas permis à un homme raisonnable et sérieux d'avoir de telles hallucinations.
Mais était-ce bien une hallucination ? Je me retournai pour chercher la tige, et je la retrouvai immédiatement sur l'arbuste, fraîchement brisée, entre les deux autres roses demeurées à la branche.
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Or, ayant dormi environ quarante minutes, je rouvris les yeux sans faire un mouvement, réveillé par je ne sais quelle émotion confuse et bizarre. Je ne vis rien d'abord, puis, tout à coup, il me sembla qu'une page du livre resté ouvert sur ma table venait de tourner toute seule. Aucun souffle d'air n'était entré par ma fenêtre. Je fus surpris et j'attendis. Au bout de quatre minutes environ, je vis, je vis, oui, je vis de mes yeux une autre page se soulever et se rabattre sur la précédente, comme si un doigt l'eût feuilletée. Mon fauteuil était vide, semblait vide; mais je compris qu'il était là, lui, assis à ma place, et qu'il lisait. D'un bond furieux, d'un bond de bête révoltée, qui va éventrer son dompteur, je traversai ma chambre pour le saisir, pour l'étreindre, pour le tuer!...
Mais mon siège, avant que je l'eusse atteint, se renversa comme si on eût fui devant moi... ma table oscilla, ma lampe tomba et s'éteignit, et ma fenêtre se ferma comme si un malfaiteur surpris se fût élancé dans la nuit, en prenant à pleines mains les battants.
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Vidéo de Guy de Maupassant
Un nouveau numéro de l'émission "Le coup de coeur des libraires" sur les Ondes de Sud Radio. Valérie Expert et Gérard Collard vous donnent rendez-vous chaque dimanche à 14h00 pour vous faire découvrir leurs passions du moment ! • • le français, parlons-en ! de Boualem Sansal aux éditions du Cerf https://www.lagriffenoire.com/le-francais-parlons-en.html • Les Ruines de Paris: Quand l'intelligence artificielle prédit l'avenir de Nathan Devers, Yves Marchand aux éditions Albin Michel https://www.lagriffenoire.com/les-ruines-de-paris-1.html • Amérique - Des écrivains en majesté de Alexandre Thiltges et Jean-Luc Bertini aux éditions Albin Michel https://www.lagriffenoire.com/les-ruines-de-paris-1.html • le Splendid par le Splendid, nous nous sommes tant marrés ! - 50e anniversaire de la troupe culte De Collectif aux éditions du Cherche Midi https://www.lagriffenoire.com/le-splendid-par-le-splendid-nous-nous-sommes-tant-marres.html • Claude Lelouch. le Cinéma c'est mieux que la vie de Jean Olle-Laprune, Claude Lelouch aux éditions Presses de la Cité https://www.lagriffenoire.com/claude-lelouch.-le-cinema-c-est-mieux-que-la-vie.html • Recettes et récits: Les meilleures recettes sont celles qui se partagent de François-Régis Gaudry aux éditions Marabout https://www.lagriffenoire.com/recettes-et-recits.html • Cuisine de brasserie: 70 recettes pour boire et manger à la française de Nouvelle garde aux éditions Marabout https://www.lagriffenoire.com/cuisine-de-brasserie.html • Bienvenue à la maison de Christophe Michalak et Delphine Michalak aux éditions De La Martinière https://www.lagriffenoire.com/bienvenue-a-la-maison.html • le Kididoc des pirates - pour découvrir la vraie vie des pirates dans un grand livre Pop-up extraordinaire - de Priscille Lamure et Didier Balicevic aux éditions Nathan 9782095028718 • Cherche et trouve dans le temps Dans le temps de Diego Vaisberg et Arnaud Roi aux éditions Auzou 9791039544641 • Mafalda - Intégrale 60 ans: Anniversaire 60 ans de Quino aux éditions Glénat https://www.lagriffenoire.com/mafalda-integrale-60-ans.html • Les Liaisons dangereuses de Pierre Choderlos de Laclos aux éditions Points https://www.lagriffenoire.com/les-liaisons-dangereuses-13.html • Bel-Ami de Guy de Maupassant aux éditions Points https://www.lagriffenoire.com/bel-ami-19.html • le Diable au corps de Raymond Radiguet aux éditions Points https://www.lagriffenoire.com/le-diable-au-corps-5.html • The Fisherman: Édition collector de John Langan et Thibaud J'ai LuEliroff aux éditions https://www.lagriffenoire.com/the-fisherman.html • Les films de Danielle Darrieux de Pierre Murat aux éditions Télémaque https://www.lagriffenoire.com/les-films-de-danielle-darrieux.html • Dictionnaire amoureux du vélo de Éric Fottorino et Alain Bouldouyre aux éditions Plon https://www.lagriffenoire.com/dictionnaire-amoureux-du-velo.html • Dictionnaire amoureux des cafés de Jean-Marie Gourio et Alain Bou
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