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- Le breakdance, également appelé break dance, break, breaking, breakdancing, b-boying — terme privilégié aux États-Unis — est un style de danse développé à New York dans les années 1970, caractérisé par ses mouvements de corps saccadés, son aspect acrobatique et ses figures au sol. Un danseur de breakdance est appelé breakdancer, Bboy ou b-boy (pour un homme), Bgirl ou b-girl (pour une femme). Bien qu’on pense qu'il est né aux États-Unis, des archives montrent qu'une forme de breakdance était dansée en Afrique, plus exactement à Kaduna, au Nigéria, dans les années 1950. Il y a souvent un amalgame entre le breakdance et d'autres danses. Quand la presse s'y intéresse, au début des années 1980, elle ignore qu'une véritable culture de la danse a toujours été omniprésente aux États-Unis ; elle y voit un phénomène spontané et labellise toutes les nouvelles danses sous le terme unique de « breakdance ». Parmi ces danses assimilées au breakdance, il y a : le good foot, le popcorn, le funky chicken, le locking, le hustler, le popping (avec le smurf ou l'electric boogaloo, créé par les Electric Boogaloos), le hip-hop « new style » (dit « new school » aux États-Unis[réf. nécessaire]) et encore par exemple le krump, créé par Tight Eyez et . Ces danses étaient très populaires à l'époque des débuts du breakdance et certains b-boys l'incluent dans leur programme. (fr)
- Le breakdance, également appelé break dance, break, breaking, breakdancing, b-boying — terme privilégié aux États-Unis — est un style de danse développé à New York dans les années 1970, caractérisé par ses mouvements de corps saccadés, son aspect acrobatique et ses figures au sol. Un danseur de breakdance est appelé breakdancer, Bboy ou b-boy (pour un homme), Bgirl ou b-girl (pour une femme). Bien qu’on pense qu'il est né aux États-Unis, des archives montrent qu'une forme de breakdance était dansée en Afrique, plus exactement à Kaduna, au Nigéria, dans les années 1950. Il y a souvent un amalgame entre le breakdance et d'autres danses. Quand la presse s'y intéresse, au début des années 1980, elle ignore qu'une véritable culture de la danse a toujours été omniprésente aux États-Unis ; elle y voit un phénomène spontané et labellise toutes les nouvelles danses sous le terme unique de « breakdance ». Parmi ces danses assimilées au breakdance, il y a : le good foot, le popcorn, le funky chicken, le locking, le hustler, le popping (avec le smurf ou l'electric boogaloo, créé par les Electric Boogaloos), le hip-hop « new style » (dit « new school » aux États-Unis[réf. nécessaire]) et encore par exemple le krump, créé par Tight Eyez et . Ces danses étaient très populaires à l'époque des débuts du breakdance et certains b-boys l'incluent dans leur programme. (fr)
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- Le breakdance, également appelé break dance, break, breaking, breakdancing, b-boying — terme privilégié aux États-Unis — est un style de danse développé à New York dans les années 1970, caractérisé par ses mouvements de corps saccadés, son aspect acrobatique et ses figures au sol. Un danseur de breakdance est appelé breakdancer, Bboy ou b-boy (pour un homme), Bgirl ou b-girl (pour une femme). Bien qu’on pense qu'il est né aux États-Unis, des archives montrent qu'une forme de breakdance était dansée en Afrique, plus exactement à Kaduna, au Nigéria, dans les années 1950. (fr)
- Le breakdance, également appelé break dance, break, breaking, breakdancing, b-boying — terme privilégié aux États-Unis — est un style de danse développé à New York dans les années 1970, caractérisé par ses mouvements de corps saccadés, son aspect acrobatique et ses figures au sol. Un danseur de breakdance est appelé breakdancer, Bboy ou b-boy (pour un homme), Bgirl ou b-girl (pour une femme). Bien qu’on pense qu'il est né aux États-Unis, des archives montrent qu'une forme de breakdance était dansée en Afrique, plus exactement à Kaduna, au Nigéria, dans les années 1950. (fr)
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