fleurs homme message mort pensées enfant travail nuit voiture jardin horreur
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· ONE PIECE (27)
· HIKARU NO GO (10)
· 00 - les guerriers de l'ombre (histoire) (19)
un ptit coucou en passant bonne nuit bisous http://etoilee 95.centerblog. net
Par etoilee95, le 29.09.2013
bonjour
sniff sniff msn n existe plus chez moi j ai du passer a skype qui n est vraiment pas pareil meme s
Par couleursdeblog, le 05.05.2013
fumé tue remarque ne pas fumé tue aussi lol http://couleur sdeblog.center blog.net
Par couleursdeblog, le 31.03.2013
bonjour
si jsuis sur sky mais plus avec le blog cemoii je l ai supprimer et bloggger aussi la jsuis veentt
Par couleursdeblog, le 31.03.2013
bonsoir
si je suis sur sky encore mais plus le meme blog
j ai supprimer mon blog que je n avais ouvert q
Par etoilee95, le 30.03.2013
· Sanji
· Sanji
· Sanji
· Sanji
· Sai Fujiwara
· Sai Fujiwara
· Chapitre 2
· Sanji
· Sanji
· Sanji
· Sai Fujiwara
· Prologue
· Chapitre 18
· Chapitre 17
· Sanji
Date de création : 16.05.2010
Dernière mise à jour :
26.09.2010
56 articles
Chapitre 16 - Alerte rouge
Tout était sombre...
Comme si la nuit était tombée...
Pourtant, Brian était à son boulot, en pleine après-midi. Comment se faisait-il que la nuit avait surgi comme ça sans crier gare ? Soudain, l'homme remarqua que les bureaux avaient disparus, il était comme dans un désert vide... Au sol rouge...
- Rouge, dit tout haut Brian, surpris.
Il compris tout à coup...
Brian était là-bas, sur la planète au sol rouge. Mars. La planète meurtrière aux innombrables mystères. Inquiet, et par réflexe, il se tatonna et remarqua avec effroi qu'il n'avait pas de combinaison spatiale !
- Non, je vais mourir ! s'exclama-t-il sans vraiment hurler.
Car il ne pouvait pas émettre un seul son...
Sa gorge se mit à gonfler, ses yeux sortirent de leurs orbites, et surtout il manquait logiquement d'air. De l'oxygène, si précieux... il fallait qu'il respire et vite. Mais ça anflait terriblement, et il se sentait partir à chaque instant écoulé.
Et à ce moment, le quatuor apparut...
Bien que ça paraissait inconcevable et irréel, il s'agissait de quatre bien étranges personnages d'origine... indienne. Des indiens de l'amérique ! Et ils vivaient sur une planète sans oxygène !
Brian voulu lâcher un "impossible", mais sa gorge menaçait d'éclater. Tout doucement, ses yeux se révulsèrent. Il tombait petit à petit dans le néant, pensant à sa mère, puis à Kurt et les autres,et bizarrement à ses jeux quand il était enfant.
Lorsqu'il allait à la piscine avec ses petits camarades, Brian participait à une sorte de compétition en sortant toujours vainqueur. L'apnée. Restait le plus longtemps possible sous l'eau, sans craquer. Il était le meilleur à ce jeu à l'époque.
Mais là, il ne s'agissait pas d'une piscine... c'était une planète cruelle habitée par des personnages tout aussi cruels...
L'un d'eux, munis d'un baton en forme de serpent, s'approcha de lui doucement. Les yeux du reptile en bois devirent rouge, tout comme les yeux de cet indien effrayant.
- Homme blanc, j'ai un message à te faire parvenir, comme à d'autres d'ailleurs.
Ce fut ces seules paroles, avant que Brian ne soit projeter dans une sorte de tourbillon de douleurs... Non pas physique, mais mentales. Des tas d'images se projetèrent dans sa tête, comme une projection de cinéma.
Terrifié et incapable de bouger, Brian se laissa submerger par ce tourbillon mental, sans même remarquer qu'il pouvait de nouveau respirer.
Puis il ouvrit les yeux, et revit de nouveau le ciel, de nouveau allongé sur le banc, suant comme un porc. Quel cauchemar !
- Non pas un cauchemar, songea Brian, avant de réfléchir.
Il fallait qu'il fasse quelque chose, et vite. Les terriens étaient en danger ! Il décida donc d'agir... Après quelques mises au points (toujours mentales), il était prêt.
Brian traversa le jardin comme si de rien, observant un instant ces autres fous aliénés, qui profitait de la verdure de cette sorte de parc, mis à disposition par ce centre pour malade mentaux. Ils allaient probablement mourir mais ne le savait pas...
Comme pour répondre à ses pensées, le serpent (Brian le surnommait ainsi) lui indiquait ce qu'il devait faire. Tout d'abord sortir d'ici, compliqué quand on était dans un centre aussi bien gardé. Mais cela n'était pas un problème... Quand deux infirmiers assez costaud s'approchèrent, il suffit à Brian de les regarder dans les yeux, et ils tombaient comme des mouches, sûrement mort.
Terrifiant...
Proche de la sortie, Brian vit une voiture se garer et gémit presque... C'était Daniel Jacquard, son ami français. Descendant de sa voiture, celui-ci s'approcha de lui, inquiet et un peu en colère.
- Mais que fais-tu ici Brian ? demandait-il colérique. Comment ces imbéciles ont put te laisser venir jusqu'ici ?
Presque en pleurs malgré l'emprise du serpent, Brian supplia ce dernier de ne pas le forcer à tuer son ami, il ne voulait pas. Sinon, il ne pourrait plus se permettre de vivre. Déjà qu'il venait d'assassiner plusieurs infimiers et infirmières qui ne faisaient que leur travail après tout. C'était injuste. Etrangement, Daniel ne tomba pas sous son regard. C'était...
"Merci de votre semblant de pitié, transmis par pensée Brian, avant de se rendre compte qu'il avait une emprise hypnotique sur son ami".
Celui-ci, les yeux vide, ne disait plus rien, attendant des ordres, comme Brian. Ce dernier dit avec autorité :
- Sors-moi d'ici, nous devons absolumment accomplir notre destinée.
Tels deux robots bien coordonnés, les deux hommes sortirent ensemble de ce centre, hypnotisés. S'ils savaient qu'ils n'étaient pas les seuls à être les messagers de ce triste drame terrien quiallait se dérouler. A travers le monde, des centaines d'autres élus tentaient de se faire entendre, certains y parvenant, d'autres se faisant directement jetés en taule ou même tués !
Un malheur allait survenir dans les prochaines heures, c'était globalement le sens de ce message que les élus devaient divulguer à travers le monde en très peu de temps.
La planète Terre, meurtrit par la pollution de l'homme, allait rendre l'âme lors d'une effroyable explosion, d'ici quelques heures. Et ceci un mois après la découverte du renouveau de Mars, devenu parfaite jumelle de le Terre (c'est à dire, habitable), et qui avait enfin cessé d'hurler de douleur ce matin. Sa transformation était arrivé à terme.
Petit à petit, la température avait considérablement augmentée. Les terriens devaient aller se réfugier sur Mars, déménager en somme...
- Et vite ! dire ensemble Daniel Jacquard et Brian Rithopson, parfaitement synchrone...