Judaism by Jean Yves Legouas
L'auteur, à travers les biographies de plus de soixante personnages ayant tous, d'une manière ou ... more L'auteur, à travers les biographies de plus de soixante personnages ayant tous, d'une manière ou d'une autre, marqué l’histoire de Jérusalem, essaie de nous fait partager son amour pour cette ville unique.
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Ce document est une recherche sur les mentions explicites au Messie dans la littérature rabbinique.
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Western Esotericism by Jean Yves Legouas
Les rituels et légendes compagnonniques lus en Atelier comme en Cayenne contiennent un certain no... more Les rituels et légendes compagnonniques lus en Atelier comme en Cayenne contiennent un certain nombre de mots d'origine hébraïque. Ceci peut a priori surprendre. Si les nombreuses Confréries du Moyen Age, qu'elles aient été religieuses (Confrérie du Saint Sacrement par exemple), ou de métier (Merciers. Poissonniers. Etc...), ont utilisé des rituels de prière qui leurs étaient propres,-et rien n'est moins sur-, ceux-ci étaient sans doute rédigés en latin. La fréquentation des clercs peut également leur avoir donné une connaissance superficielle du grec. On peut concevoir, a fortiori, que les Compagnons bâtisseurs dont les rituels sont les nôtres, en contact permanent avec les hommes d'Église, aient acquis une bonne maîtrise des deux langues précitées. LA PLACE DE L'HEBREU Il n'en va pas de même pour l'hébreu. Cette langue fut relativement peu étudiée au Moyen Age. Il faudra attendre Johannes Reuchlin (1455-1522) et Pic de la Mirandole (1463-1494) pour voir de grands esprits se consacrer à son étude, dans le but avoué de trouver une finalité chrétienne à la Kabbale juive. Alors que, depuis Saint Jérôme, les rares hébraïsants non juifs ne s'étaient guère intéressés qu'à l'aspect biblique de cette langue, l'intérêt pour le corpus kabbalistique développa l'étude des formes mishniques, voire médiévales, de l'hébreu. Au demeurant, il faut reconnaitre qu'en dépit d'une apparente compétence dans la lecture des textes, les kabbalistes chrétiens ont souvent distordu la réalité grammaticale ou le vocabulaire de la langue hébraïque pour mieux justifier leurs opinions. Fût-ce là l'expression d'une certaine "malhonnêteté" intellectuelle, assez fréquente à l'époque, ou tout simplement connaissance insuffisante de la langue? Gageons, sans pouvoir quantifier le phénomène, que la réalité participe un peu des deux! Il existait pourtant, en Europe, une population ayant conservé la pratique, au moins écrite, de l'hébreu. II s'agit, bien sûr, des Juifs dispersés un peu partout dans les contrées de cette partie du globe. Jouissant, ou plutôt souffrant devrions-nous dire, de statuts les mettant souvent à part du reste de la population, ils n'étaient au contact de celle-ci, dans les meilleurs cas, qu'au travers d'échanges simplement utilitaires. Souvent bannis en tant que communauté par les princes de l'époque, de Philippe le Bel à Ferdinand et Isabelle les Rois très Catholiques, ils revenaient en tant qu'individus indispensables au fonctionnement des Etats. Leur production littéraire, essentiellement religieuse, fut puissante et très importante, surtout dans les rares périodes de répit (Age d'Or espagnol) qui leur furent accordées, ou dans les quelques états qui leur témoignèrent un peu de bienveillance (Italie. Pays-Bas).
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Papers by Jean Yves Legouas
Palestine Exploration Quarterly, 2013
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Palestine Exploration Quarterly, 2013
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Uploads
Judaism by Jean Yves Legouas
Western Esotericism by Jean Yves Legouas
Papers by Jean Yves Legouas