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Voir aussi : enchante

Étymologie

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Participe passé du verbe enchanter.

Adjectif

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Singulier Pluriel
Masculin enchanté
\ɑ̃.ʃɑ̃.te\

enchantés
\ɑ̃.ʃɑ̃.te\
Féminin enchantée
\ɑ̃.ʃɑ̃.te\
enchantées
\ɑ̃.ʃɑ̃.te\

enchanté \ɑ̃.ʃɑ̃.te\

  1. Où tout semble magiquement disposé pour le plaisir des sens.
    • Palais enchanté.
    • Demeure enchantée.
    • Des lieux, des jardins enchantés.
  2. Ravi.
    • Je suis enchanté de faire votre connaissance.
    • Sur le soir, Capestang rentra enchanté de n’avoir pas trouvé ! Persuadé que le moment où il la reverrait serait celui où il apprendrait qu’il ne devait plus penser à elle, il était tout joyeux de reculer cet instant terrible. — (Michel Zévaco, Le Capitan, 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire » no 31, 1907)
  3. Qui est l'objet d'un enchantement magique.
    • Les raisonneurs les plus incrédules ne voulaient pas admettre une véritable métamorphose, opérée à l’aide ou sans l’aide de la peau enchantée d’un loup, qui, dans certains cas , était supposée coopérer à la transformation , et soutenaient que la lycanthropie n’était qu’une espèce de fatale maladie, une situation d’esprit mélancolique, auxquelles se joignaient des accès de folie, pendant lesquels le malade s'imaginait avoir commis les ravages dont il était accusé. — (Walter Scott, De la démonologie et de la sorcellerie, dans les Œuvres de Walter Scott, traduit par Auguste-Jean-Baptiste Defauconpret, Paris : Furne, Charles Gosselin, Perrotin, 1836, vol.25, p.371)

Synonymes

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Sens 1 :

Sens 2 :

Antonymes

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Apparentés étymologiques

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Traductions

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Interjection

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enchanté \ɑ̃.ʃɑ̃.te\

  1. Formule de politesse utilisée par une personne qui est présentée à quelqu’un.

Traductions

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Forme de verbe

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Voir la conjugaison du verbe enchanter
Participe Présent
Passé (masculin singulier)
enchanté

enchanté \ɑ̃.ʃɑ̃.te\

  1. Participe passé masculin singulier de enchanter.
    • Le voilà défadé, parce qu’il avait été enfadé par des fades, je veux dire enchanté par les fées ; il devait demeurer sous figure de bête jusqu’au moment où une belle demoiselle l’aurait, de bon cœur, touché avec sa main. — (Henri Pourrat, Le trésor des contes, 1955, volumes 6 à 7, page 34)

Prononciation

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