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« Pierre Albertini (homme politique) » : différence entre les versions

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{{Voir homonymes|Albertini|Pierre Albertini}}
{{Infobox Personnalité politique
| charte =
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| à partir du fonction2 = {{date|2|avril|1993}}
| jusqu'au fonction2 = {{date|20|juin|2007}}<br/><small>({{durée|2|avril|1993|20|juin|2007}})</small>
| élection2 = [[Élections législatives françaises de 1993 dans la Seine-Maritime|28 mars 1993]]
| réélection2 = [[Élections législatives françaises de 1997 dans la Seine-Maritime|{{1er}} juin 1997]]<br>[[Élections législatives françaises de 2002 dans la Seine-Maritime|16 juin 2002]]
| circonscription 2 = [[Deuxième circonscription de la Seine-Maritime|{{2e}} de la Seine-Maritime]]
| législature 2 = {{Législature de la Cinquième République|X|XI|XII}}
| groupe parlementaire 2 = [[Groupe Union pour la =démocratie française|{{Abréviation discrète|UDFC|Union pour la démocratie française et du centre}}]] <small>(1993-1997)</small><br/>[[Groupe Union pour la démocratie française|UDF]] <small>(1997-2002)</small><br/> [[Apparentement#À l'Assemblée nationale)|{{Abréviation discrète|App.|Apparenté}}]] [[Groupe Union pour la démocratie française|UDF]] <small>(2002-2007)</small>
| prédécesseur 2 = [[Dominique Gambier]]
| successeur 2 = [[Françoise Guégot]]
| fonction3 = [[Maire (France)|Maire]] de [[Mont-Saint-Aignan]]
| à partir du fonction3 = {{date|13|juin|1980}}
| jusqu'au fonction3 = {{date|18|mars|2001}}<BRbr/><small>({{durée|13|juin|1980|18|mars|2001}})</small>
| prédécesseur 3 = Alain Brajeux
| successeur 3 = [[Françoise Guégot]]
| nom de naissance =
| date de naissance = {{date de naissance|22|novembre|1944|âge=oui}}
| lieu de naissance = [[Batna]] ([[Algérie]])
| date de décès =
| lieu de décès =
| nature du décès =
| sépulture =
| nationalité = [[France|Français]]
| parti = [[Union pour la démocratie française|UDF]] <small>(1979-2007)</small><br>[[Sans étiquette|Indépendant]] <small>(depuis 2007)</small>
| père =
| mère =
| fratrie =
| conjoint =
| enfants =
| entourage =
| université = [[Université de Caen]]<br>[[Université de Rouen-Normandie|Université de Rouen]]<br>[[Université de Santa Clara]]
| profession = Professeur de droit
| religion =
| résidence =
| signature =
| emblème = Blason ville fr Mont-Saint-Aignan (Seine-Maritime).svg
| emblème2 = Blason Rouen 76.svg
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Longtemps membre de l'[[Union pour la démocratie française]] (UDF), il est maire de [[Mont-Saint-Aignan]] de {{date-|1980}} à {{date-|2001}}, puis [[Député français|député]] de la [[Deuxième circonscription de la Seine-Maritime|{{2e}} circonscription de la Seine-Maritime]] entre {{date-|1993}} et {{date-|2007}}.
 
En {{date-|2001}}, il devient [[Liste des maires de Rouen|maire de Rouen]]. Candidat à un second mandat lors des [[Élections municipales françaises de 2008|élections municipales de {{date-|2008}}]], il voit sa liste de [[centre droit]] battue dès le premier tour par celle de la socialiste [[Valérie Fourneyron]]. Il se retire de la vie politique après cette défaite.
 
== Situation personnelle ==
{{...}}
Né dans une famille originaire du village corse de [[Carticasi]]<ref>{{Article |titre=Pierre Albertini: "L'implication de l'élu local doit être plus forte"|périodique=[[Corse-Matin]] |langue= |date=4 février 2011 |lire en ligne=https://www.corsematin.com/articles/pierre-albertini-limplication-de-lelu-local-doit-etre-plus-forte-15626 |consulté le=30 août 2022}}.</ref>, Pierre Albertini a vécu son enfance en [[Algérie française]]. Il est rapatrié en [[France métropolitaine]] en {{date-||septembre|1958}}<ref name=persee>{{articleArticle |lireauteur1=Loïc enVadelorge ligne=https://www.persee.fr/doc/etnor_0014-2158_2006_num_55_4_1656|titre= Quelle échelle pour la décentralisation ? Interview de Pierre Albertini député-maire de Rouen |périodique=[[Études normandes]] |date=2006 |auteurpages=Loïc54-70 Vadelorge|lire en ligne=https://www.persee.fr/doc/etnor_0014-2158_2006_num_55_4_1656}}.</ref>.
 
== Carrière professionnelle ==
Après l'obtention de deux [[Diplôme d'études supérieures en France|DES]] (science politique et droit public) à l'[[université de Caen]], il soutient une thèse en droit public à l'[[Université de Rouen-Normandie|université de Rouen]] en {{date-|1974}}. Il a aussi séjourné à la ''Leavey School of Business and Administration'' de l'[[université de Santa Clara]], aux [[États-Unis]].
 
Il entame sa carrière universitaire en {{date-|1968}}, après sa nomination comme assistant. Par la suite, il est maître-assistant puis [[maître de conférences]] avant de devenir professeur de droit public en {{date-|1987}}.
 
Enseignant à la faculté de droit de l'[[Université de Rouen-Normandie|université de Rouen]], il est considéré comme un spécialiste du [[droit constitutionnel]]<ref>{{Article |titre=Le très secret M. Albertini|périodique=[[L'Express]] |langue= |date=26 avril 2001 |lire en ligne=https://www.lexpress.fr/informations/le-tres-secret-m-albertini_642158.html |consulté le=30 août 2022}}.</ref>. Ses recherches concernent aussi le [[droit de l'urbanisme]], le droit des collectivités locales et l'environnement politique normand.
 
En tant que juriste, il est l'auteur de cinq ouvrages et de plusieurs dizaines d'articles. De plus, cinq thèses ont été soutenues sous sa direction<ref>{{Lien web|titre=Pierre Albertini|url=https://www.theses.fr/060114657|site=Thèsestheses.fr|consulté le=2022-08-30}}.</ref>.
 
== Parcours politique ==
=== Débuts à Mont-Saint-Aignan ===
En {{date-|1971}}, il est élu conseiller municipal de [[Mont-Saint-Aignan]] sur la liste du maire sortant Alain Brajeux. Trois ans plus tard, il est nommé adjoint au maire chargé de l'urbanisme et des travaux<ref name=persee>< /ref>.
 
Il adhère à l'[[Union pour la démocratie française]] en {{date-|1979}} afin de soutenir la liste conduite par [[Simone Veil]] aux [[Élections européennes de 1979 en France|élections européennes]].
 
Le {{date-|13 juin 1980}}, après la démission d'Alain Brajeux, il est élu maire de Mont-Saint-Aignan par les membres du conseil municipal<ref name=persee>< /ref>. Les [[Élections municipales françaises de 1983|élections de 1983]], [[Élections municipales françaises de 1989|de 1989]] et [[Élections municipales françaises de 1995|de 1995]] sont successivement remportées par ses listes.
 
En {{date-|1988}}, il est candidat aux [[Élections législatives françaises de 1988|élections législatives]] pour la [[deuxième circonscription de la Seine-Maritime]], sous les couleurs de l'UDF. Après avoir légèrement devancé le socialiste [[Dominique Gambier]] au premier tour (39,9 % contre 39,4 %), il est battu de peu par ce dernier.
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Cinq ans après son échec, Pierre Albertini se présente de nouveau aux [[Élections législatives françaises de 1993|élections législatives]]. Il bat finalement le député socialiste sortant [[Dominique Gambier]] avec 58,2 % des voix.
 
Il siège au sein du groupe UDF<ref>{{Lien web |titre=Pierre Albertini – {{Xe}} législature|url=https://www.assemblee-nationale.fr/histoire/trombinoscope/Vrepublique/Legis10/albertini-pierre-22111944.asp |date=|site=assemblee-nationale.fr |consulté le=2022-08-30}}.</ref>.
 
Réélu député après la dissolution de l'[[Assemblée nationale (France)|Assemblée nationale]] en {{date-|1997}}, il intègre la [[Commission des Lois (Assemblée nationale)|commission des lois]] dont il est vice-président de {{date-|1998}} à {{date-|2002}}<ref>{{Lien web |titre=M. Pierre Albertini – Les députés de la {{XIe}} législature|url=https://www.assemblee-nationale.fr/11/tribun/fiches_id/244.asp |date=|site=assemblee-nationale.fr |consulté le=2022-08-30}}.</ref>.
 
Il est réélu député le {{date-|16 juin 2002}} pour la [[XIIe législature de la Cinquième République française|{{XIIe}} législature]]. Il devient ensuite membre de la [[Commission des Finances (Assemblée nationale)|commission des finances]].
 
Entre {{date-|2002}} et {{date-|2007}}, il est juge titulaire de la [[Haute Cour (France)|Haute Cour]]<ref>{{Article |titre=L'Assemblée nationale élit les juges de la République|périodique=[[Le Monde]] |langue= |date=23 octobre 2002|lire en ligne=https://www.lemonde.fr/archives/article/2002/10/23/l-assemblee-nationale-elit-les-juges-de-la-republique_4250769_1819218.html |consulté le=28 août 2022}}.</ref>.
 
=== Maire de Rouen ===
À l'approche des [[Élections municipales françaises de 2001#Rouen|élections municipales de 2001]], Pierre Albertini se porte candidat à la [[mairie de Rouen]]. Sans concurrence après l'abandon de [[Jean-Louis Bourlanges]], il obtient l'investiture du centre droit pour être le principal adversaire du maire socialiste sortant [[Yvon Robert (homme politique)|Yvon Robert]]<ref>{{Article |titre=Pierre Albertini (UDF) se porte candidat à la mairie de Rouen|périodique=[[Le Monde]] |langue= |date=1 octobre 2000 |lire en ligne=https://www.lemonde.fr/archives/article/2000/10/01/pierre-albertini-udf-se-porte-candidat-a-la-mairie-de-rouen_3635104_1819218.html |consulté le=28 août 2022}}.</ref>{{,}}<ref>{{Article |titre=Rouen : la réélection du maire socialiste suspendue au vote écologiste|périodique=[[Les Échos]] |langue= |date=6 mars 2001 |lire en ligne=https://www.lesechos.fr/2001/03/rouen-la-reelection-du-maire-socialiste-suspendue-au-vote-ecologiste-711906 |consulté le=28 août 2022}}.</ref>.
 
Le {{date-|18 mars 2001}}, lors du second tour, sa liste obtient 51,25 % des voix face à celle d'Yvon Robert. Grâce à cette victoire facilitée notamment par la division de la gauche que les sondages donnaient pourtant gagnante, le [[Centrisme politique en France|centrisme]] retrouve sa position dominante dans une ville marquée par l'héritage de [[Jean Lecanuet]]<ref>{{Article |titre=Pierre Albertini (UDF) rend Rouen au centre, " sa famille naturelle "|périodique=[[Le Monde]] |langue= |date=19 mars 2001 |lire en ligne=https://www.lemonde.fr/archives/article/2001/03/19/pierre-albertini-udf-rend-rouen-au-centre-sa-famille-naturelle_163333_1819218.html |consulté le=28 août 2022}}.</ref>. Pierre Albertini est formellement élu par le conseil municipal le {{date-|25|mars|2001-}} suivant.
 
Son mandat de maire est marqué par plusieurs actions auxquelles la municipalité prend part comme :
{{Pertinence|date=août 2022}}
* la mise en service de la ligne T1 du [[Transport est-ouest rouennais]] (TEOR) inauguré par son prédécesseur<ref>{{Article |titre=Rouen : vers un compromis pour Teor ?|périodique=[[Le Moniteur (France)|Le Moniteur]] |date=22 juin 2001 |lire en ligne=https://www.lemoniteur.fr/article/rouen-vers-un-compromis-pour-teor.197094 |consulté le=28 août 2022}}.</ref> ;
Son mandat de maire est marqué par plusieurs actions comme :
* la réforme des [[Conseil de quartier|conseils de quartier]] pour les doter de nouveaux droits<ref>{{Article |titre=Rouen. Les succès et les ratés|périodique=[[Libération (journal)|Libération]] |date=25 janvier 2002 |lire en ligne=https://www.liberation.fr/villes/2002/01/25/les-succes-et-les-rates_391510/ |consulté le=1er septembre 2022}}.</ref> ;
* la mise en service de la ligne T1 du [[Transport est-ouest rouennais]] (TEOR) inauguré par son prédécesseur ;
* l'édification d'une [[Bibliothèques de Rouen|médiathèque]] installée dans le quartier Grammont<ref>{{Article |titre=Querelle politique autour de la médiathèque de Rouen|périodique=[[Le Monde]] |langue= |date=29 mars 2006 |lire en ligne=https://www.lemonde.fr/culture/article/2006/03/29/querelle-politique-autour-de-la-mediatheque-de-rouen_755776_3246.html |consulté le=28 août 2022}}.</ref> ;
* l'organisation, puis la tenue de l'[[Armada 2003]] ;
* la création du système de location de [[vélos en libre-service]] [[Cy'clic]]<ref>{{Article |titre=Rouen lance "Cy'clic"|périodique=[[Le Figaro]] |langue= |date=6 décembre 2007 |lire en ligne=https://www.lefigaro.fr/flash-actu/2007/12/06/01011-20071206FILWWW00319-rouen-lance-cy-clic.php |consulté le=28 août 2022}}.</ref>.
* la construction du [[pont Gustave-Flaubert]] ;
* l'édification d'une [[Bibliothèques de Rouen|médiathèque]] installée dans le quartier Grammont<ref>{{Article |titre=Querelle politique autour de la médiathèque de Rouen|périodique=[[Le Monde]] |langue= |date=29 mars 2006 |lire en ligne=https://www.lemonde.fr/culture/article/2006/03/29/querelle-politique-autour-de-la-mediatheque-de-rouen_755776_3246.html |consulté le=28 août 2022}}.</ref> ;
* la création du système de location de [[vélos en libre-service]] [[Cy'clic]]<ref>{{Article |titre=Rouen lance "Cy'clic"|périodique=[[Le Figaro]] |langue= |date=6 décembre 2007 |lire en ligne=https://www.lefigaro.fr/flash-actu/2007/12/06/01011-20071206FILWWW00319-rouen-lance-cy-clic.php |consulté le=28 août 2022}}.</ref>.
 
Peu avant les [[Élections municipales françaises de 2008#Rouen|élections municipales de 2008]], il annonce sa candidature à un second mandat. Il constitue une liste largementprofondément renouvelée qu'il veut {{citation|ouverte et pluraliste}} alors que sa principale opposante, la socialiste [[Valérie Fourneyron]], bénéficie d'une large avance dans les sondages en prévision du scrutin municipal<ref>{{Article |titre=Le maire de Rouen Pierre Albertini va briguer un deuxième mandat|périodique=[[Les Échos]] |langue= |date=2 novembre 2007 |lire en ligne=https://www.lesechos.fr/2007/11/le-maire-de-rouen-pierre-albertini-va-briguer-un-deuxieme-mandat-544181 |consulté le=30 août 2022}}.</ref>{{,}}<ref>{{Article |titre=À Rouen, Albertini entend jouer l’ouverture|périodique=[[Le Figaro]] |langue= |date=24 novembre 2007 |lire en ligne=https://www.lefigaro.fr/politique/2007/11/24/01002-20071124ARTFIG00187--rouen-albertini-entend-jouer-louverture-.php |consulté le=28 août 2022}}.</ref>. Dans un contexte difficile pour les élus du centre et de la droite, les détracteurs du maire sortant profitent de la campagne pour reprocher à celui-ci son tempérament {{citation|solitaire}} voire {{citation|autoritaire}} dans la conduite des projets municipaux<ref>{{Article |titre=Pierre Albertini, l'atypique|périodique=[[L'Express]] |langue= |date=24 janvier 2008 |lire en ligne=https://www.lexpress.fr/actualite/politique/pierre-albertini-l-atypique_473656.html |consulté le=28 août 2022}}.</ref>{{,}}<ref>{{Article |titre=A Rouen, la campagne se joue au centre|périodique=[[L'Obs|Le Nouvel Observateur]] |langue= |date=15 février 2008 |lire en ligne=https://www.nouvelobs.com/politique/municipales-2008/20080215.OBS0659/a-rouen-la-campagne-se-joue-au-centre.html |consulté le=30 août 2022}}.</ref>{{,}}<ref>{{Article |titre=Pierre Albertini, le solitaire isolé|périodique=[[Le Monde]] |langue= |date=27 février 2008 |lire en ligne=https://www.lemonde.fr/a-la-une/article/2008/02/27/pierre-albertini-le-solitaire-isole_1016257_3208.html |consulté le=28 août 2022}}.</ref>.
Partisan de [[François Bayrou]] lors de l'[[Élection présidentielle française de 2007|élection présidentielle de 2007]], il collabore à l'écriture du programme législatif de l'UDF. Après le premier tour du {{date-|22|avril|2007-}} et l'élimination de son candidat, il est le premier député du parti centriste à soutenir [[Nicolas Sarkozy]]. Celui-ci l'invite à s'exprimer lors d'une réunion publique au [[Le Grand-Quevilly|Grand-Quevilly]], le {{date-|24|avril|2007-}} suivant. À cette occasion, il dit constater {{citation|une très forte convergence sur les grands objectifs}} qui le pousse à voter en faveur du candidat de droite sans pour autant {{citation|renier en aucune manière ni [son] parcours ni [ses] valeurs}}<ref>{{Article |titre=Le maire de la plus grande ville UDF votera Nicolas Sarkozy au second tour|périodique=[[Le Monde]] |langue= |date=24 avril 2007 |lire en ligne=https://www.lemonde.fr/societe/article/2007/04/24/le-maire-de-la-plus-grande-ville-udf-votera-nicolas-sarkozy-au-second-tour_901388_3224.html |consulté le=28 août 2022}}.</ref>.
 
Soutenue notamment par le [[Mouvement démocrate (France)|MoDem]] et l'[[Union pour un mouvement populaire|UMP]], la liste de Pierre Albertini obtient 38,10 % des voix lors du premier tour le {{date-|9 mars 2008}}, contre 55,79 % pour celle de la socialiste Valérie Fourneyron. Celle-ci succède donc au maire sortant défait lelors du conseil municipal du {{date-|15|mars|2008-}} suivant.
Le {{date-|10 mai 2007}}, il refuse de contribuer à la création du [[Mouvement démocrate (France)|Mouvement démocrate]] et fait savoir qu'il renonce à toute appartenance partisane pour {{Citation|rejoindre le peuple, très largement majoritaire dans notre pays, des Français n'appartenant à aucun parti politique}}<ref>{{Article |titre=Albertini (UDF) rejoint "le peuple des Français n'appartenant à aucun parti"|périodique=[[La Dépêche du Midi]] |langue= |date=29 mai 2007 |lire en ligne=https://www.ladepeche.fr/article/2007/05/29/20192-albertini-udf-rejoint-peuple-francais-appartenant-aucun-parti.html |consulté le=28 août 2022}}.</ref>{{,}}<ref>{{Article |titre=De nombreux élus locaux UDF refusent de choisir.|périodique=[[La Croix]] |langue= |date=17 septembre 2007 |lire en ligne=https://www.la-croix.com/Archives/2007-09-17/De-nombreux-elus-locaux-UDF-refusent-de-choisir.-_NP_-2007-09-17-301045 |consulté le=28 août 2022}}.</ref>. Il ne fait pas non plus partie des fondateurs du [[Les Centristes|Nouveau Centre]], dont il soutient néanmoins le candidat dans sa circonscription pour les [[Élections législatives françaises de 2007|élections législatives]].
 
Dans une interview ensuite accordée au quotidien ''[[Paris-Normandie]]'', il estime queexplique son échec s'explique par son soutien à la candidature présidentielle de [[Nicolas Sarkozy]] quelques mois plus tôt. ConsidérantEstimant que les électeurs l'ont prisconsidéré comme {{citation|pour [le] représentant [du président de la République] à Rouen}}, il se dit victime d'un [[vote sanction]] découlant de l'actualité politique nationale tout en indiquant qu'il préfère mettre un terme à ses activités politiques<ref>{{Article |titre=Albertini à cœur ouvert|périodique=[[Paris-Normandie]] |langue= |date=15 mars 2008 |lire en ligne= |consulté le=}}.</ref>.
Peu avant les [[Élections municipales françaises de 2008#Rouen|élections municipales de 2008]], il annonce sa candidature à un second mandat. Il constitue une liste largement renouvelée qu'il veut {{citation|ouverte et pluraliste}} alors que sa principale opposante, la socialiste [[Valérie Fourneyron]], bénéficie d'une large avance dans les sondages en prévision du scrutin municipal<ref>{{Article |titre=Le maire de Rouen Pierre Albertini va briguer un deuxième mandat|périodique=[[Les Échos]] |langue= |date=2 novembre 2007 |lire en ligne=https://www.lesechos.fr/2007/11/le-maire-de-rouen-pierre-albertini-va-briguer-un-deuxieme-mandat-544181 |consulté le=30 août 2022}}.</ref>{{,}}<ref>{{Article |titre=À Rouen, Albertini entend jouer l’ouverture|périodique=[[Le Figaro]] |langue= |date=24 novembre 2007 |lire en ligne=https://www.lefigaro.fr/politique/2007/11/24/01002-20071124ARTFIG00187--rouen-albertini-entend-jouer-louverture-.php |consulté le=28 août 2022}}.</ref>. Dans un contexte difficile pour les élus du centre et de la droite, les détracteurs du maire sortant profitent de la campagne pour reprocher à celui-ci son tempérament {{citation|solitaire}} voire {{citation|autoritaire}} dans la conduite des projets municipaux<ref>{{Article |titre=Pierre Albertini, l'atypique|périodique=[[L'Express]] |langue= |date=24 janvier 2008 |lire en ligne=https://www.lexpress.fr/actualite/politique/pierre-albertini-l-atypique_473656.html |consulté le=28 août 2022}}.</ref>{{,}}<ref>{{Article |titre=A Rouen, la campagne se joue au centre|périodique=[[L'Obs|Le Nouvel Observateur]] |langue= |date=15 février 2008 |lire en ligne=https://www.nouvelobs.com/politique/municipales-2008/20080215.OBS0659/a-rouen-la-campagne-se-joue-au-centre.html |consulté le=30 août 2022}}.</ref>{{,}}<ref>{{Article |titre=Pierre Albertini, le solitaire isolé|périodique=[[Le Monde]] |langue= |date=27 février 2008 |lire en ligne=https://www.lemonde.fr/a-la-une/article/2008/02/27/pierre-albertini-le-solitaire-isole_1016257_3208.html |consulté le=28 août 2022}}.</ref>.
 
Soutenue notamment par le [[Mouvement démocrate (France)|MoDem]] et l'[[Union pour un mouvement populaire|UMP]], la liste de Pierre Albertini obtient 38,10 % des voix lors du premier tour le {{date-|9 mars 2008}}, contre 55,79 % pour celle de la socialiste Valérie Fourneyron. Celle-ci succède donc au maire sortant défait le {{date-|15|mars|2008-}} suivant.
 
Dans une interview ensuite accordée au quotidien ''[[Paris-Normandie]]'', il estime que son échec s'explique par son soutien à la candidature présidentielle de [[Nicolas Sarkozy]]. Considérant que les électeurs l'ont pris {{citation|pour [le] représentant [du président de la République] à Rouen}}, il se dit victime d'un [[vote sanction]] découlant de l'actualité politique nationale tout en indiquant qu'il préfère mettre un terme à ses activités politiques<ref>{{Article |titre=Albertini à cœur ouvert|périodique=[[Paris-Normandie]] |langue= |date=15 mars 2008 |lire en ligne= |consulté le=}}.</ref>.
 
=== Retrait de la vie politique ===
Démissionnaire du conseil municipal de Rouen après sa défaite, il se retire effectivement de la vie politique<ref>{{Article |titre=Mais que devient monsieur Albertini?|périodique=[[L'Express]] |date=21 mai 2009 |lire en ligne=https://www.lexpress.fr/region/mais-que-devient-monsieur-albertini_766387.html |consulté le=31 août 2022}}.</ref>. Il fait néanmoins partie de l'équipe de campagne de [[François Bayrou]] pour l'[[Élection présidentielle française de 2012|élection présidentielle de 2012]]. L'hebdomadaire ''[[Valeurs actuelles]]'' le présente même comme la {{citation|plume}} du candidat centriste dont il s'était pourtant éloigné depuisdès {{date-|2007}}<ref>{{Article |titre=Pierre Albertini, la plume de Bayrou|périodique=[[Valeurs actuelles]] |langue= |date=28 mars 2012|lire en ligne=https://www.valeursactuelles.com/politique/pierre-albertini-la-plume-de-bayrou/ |consulté le=28 août 2022}}.</ref>.
 
En {{date-|octobre 2013}}, il annonce son éventuel retour en politique à l'occasion des [[Élections municipales de 2014 à Rouen|élections municipales rouennaises de 2014]]. Il propose alors de conduire une liste unique rassemblant le centre et la droite pour éviter la dispersion des voix<ref>{{ArticleLien web |titre=Pierre Albertini se met en ordre de marche pour les municipales à Rouen|périodique=[[France 3|france3-regions.francetvinfo.fr]] |langue= |date=3 octobre 2013|lire en ligneurl=https://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/2013/10/03/pierre-albertini-se-met-en-ordre-de-marche-pour-les-municipales-rouen-330781.html |consultédate=3 leoctobre 2013|site=28france3-regions.francetvinfo.fr août|consulté le=2022-08-28}}.</ref>{{,}}<ref>{{Article |titre=Municipales à Rouen : Pierre Albertini candidat ? Il s'explique|périodique=76actu.fr |langue= |date=3 octobre 2013|lire en ligne=https://actu.fr/politique/municipales-a-rouen-pierre-albertini-candidat-il-sexplique_337833.html |consulté le=28 août 2022}}.</ref>{{,}}<ref>{{Article |titre=Municipales : Pierre Albertini candidat pour mener une droite unie à Rouen|périodique=[[France Bleu|francebleu.fr]]|langue= |date=3 octobre 2013|lire en ligne=https://www.francebleu.fr/infos/politique/municipales-pierre-albertini-candidat-pour-mener-une-droite-unie-rouen-1380782689 |consulté le=28 août 2022}}.</ref>. Les candidats déclarés de ces deux blocs, Patrick Chabert ([[Union des démocrates et indépendants|UDI]]) et Jean-François Bures ([[Union pour un mouvement populaire|UMP]]), refusentécartent toutefois cette suggestion de l'ancien maire, qui renonce à ses ambitions de retour<ref>{{ArticleLien web |titre=Pierre Albertini ne sera pas l’homme providentiel des municipales de Rouen|périodique=[[France 3|france3-regions.francetvinfo.fr]] |langue= |date=8 novembre 2013|lire en ligneurl=https://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/2013/11/08/pierre-albertini-ne-sera-pas-l-homme-providentiel-des-municipales-de-rouen-354347.html |consultédate=8 lenovembre 2013|site=28france3-regions.francetvinfo.fr août|consulté le=2022-08-28}}.</ref>.
 
== Prises de position ==
AvantLors ledu débat portant sur le [[Pacte civil de solidarité|PACS]], contre lequel il a finalement voté en 1998, Pierre Albertini avaitil déposédépose une proposition de loi créant un « {{citation|certificat de vie commune »,}} destiné aux couples homosexuels et hétérosexuels.
 
En {{date-|2000}}, alors qu'il est vice-président de la commission des Lois de l'Assemblée nationale, il se dit favorable à la convocation d'un référendum pour l'instauration du [[Quinquennat|quinquennat présidentiel]] paren référendumFrance|quinquennat dans une tribune publiée dans ''[[Libération (journal)|Libérationprésidentiel]]''<ref>{{Article |titre=Plaidoyer pour un référendum|périodique=[[Libération (journal)|Libération]] |langue= |date=21 juin 2000|lire en ligne=https://www.liberation.fr/tribune/2000/06/21/plaidoyer-pour-un-referendum_327976/ |consulté le=28 août 2022}}.</ref>.
 
À plusieurs reprises, il suggère l'institution d'une [[communauté urbaine]] composée des communes de [[Rouen]], d'[[Elbeuf]], de [[Louviers]] et de [[Val-de-Reuil]]<ref>{{Ouvrage |auteur1=Pierre Albetini |titre=Destin rouennais |lieu=Rouen |éditeur= |date=2007 |passage=p. 112}}</ref>{{,}}<ref>{{Article |titre=Entretien avec Pierre Albertini, député-maire de Rouen|périodique=[[Le Moniteur (France)|Le Moniteur]] |date=27 avril 2007|lire en ligne=https://www.lemoniteur.fr/article/entretien-avec-pierre-albertini-depute-maire-de-rouen.1833414 |consulté le=1er septembre 2022}}.</ref>.
 
Partisan de [[François Bayrou]] lors de l'[[Élection présidentielle française de 2007|élection présidentielle de 2007]], il collabore à l'écriture du programme législatif de l'UDF. Après le premier tour du {{date-|22|avril|2007-}} et l'élimination de son candidat, il est le premier député du parti centriste à soutenir [[Nicolas Sarkozy]]. Celui-ci l'invite à s'exprimer lors d'une réunion publique au [[LeZénith Grand-Quevilly|Grand-Quevillyde Rouen]], le {{date-|24|avril|2007-}} suivant. À cette occasion, il dit constater {{citation|une très forte convergence sur les grands objectifs}} qui le pousse à voter en faveur du candidat de droite sans pour autant {{citation|renier en aucune manière ni [son] parcours ni [ses] valeurs}}<ref>{{Article |titre=Le maire de la plus grande ville UDF votera Nicolas Sarkozy au second tour|périodique=[[Le Monde]] |langue= |date=24 avril 2007 |lire en ligne=https://www.lemonde.fr/societe/article/2007/04/24/le-maire-de-la-plus-grande-ville-udf-votera-nicolas-sarkozy-au-second-tour_901388_3224.html |consulté le=28 août 2022}}.</ref>.
En {{date-|2000}}, alors qu'il est vice-président de la commission des Lois de l'Assemblée nationale, il se dit favorable à l'instauration du [[Quinquennat|quinquennat présidentiel]] par référendum dans une tribune publiée dans ''[[Libération (journal)|Libération]]''<ref>{{Article |titre=Plaidoyer pour un référendum|périodique=[[Libération (journal)|Libération]] |langue= |date=21 juin 2000|lire en ligne=https://www.liberation.fr/tribune/2000/06/21/plaidoyer-pour-un-referendum_327976/ |consulté le=28 août 2022}}.</ref>.
 
Le {{date-|10 mai 2007}}, il refuse de contribuer à la création du [[Mouvement démocrate (France)|Mouvement démocrate]] et fait savoir qu'il renonce à toute appartenance partisane pour {{Citation|rejoindre le peuple, très largement majoritaire dans notre pays, des Français n'appartenant à aucun parti politique}}<ref>{{Article |titre=Albertini (UDF) rejoint "le peuple des Français n'appartenant à aucun parti"|périodique=[[La Dépêche du Midi]] |langue= |date=29 mai 2007 |lire en ligne=https://www.ladepeche.fr/article/2007/05/29/20192-albertini-udf-rejoint-peuple-francais-appartenant-aucun-parti.html |consulté le=28 août 2022}}.</ref>{{,}}<ref>{{Article |titre=De nombreux élus locaux UDF refusent de choisir.|périodique=[[La Croix]] |langue= |date=17 septembre 2007 |lire en ligne=https://www.la-croix.com/Archives/2007-09-17/De-nombreux-elus-locaux-UDF-refusent-de-choisir.-_NP_-2007-09-17-301045 |consulté le=28 août 2022}}.</ref>. Il ne fait pas non plus partie des fondateurs du [[Les Centristes|Nouveau Centre]], dont il soutient néanmoins le candidat dans sa circonscription pour les [[Élections législatives françaises de 2007|élections législatives]].
Dans son ouvrage ''Destin rouennais'', il suggère l'institution d'une [[communauté urbaine]] composée des communes de [[Rouen]], d'[[Elbeuf]], de [[Louviers]] et de [[Val-de-Reuil]]<ref>''Destin rouennais'', {{p.}}112</ref>.
 
== Détail des mandats et fonctions ==
=== Au Parlement ===
* {{date-|2 avril 1993}} – {{date-|20 juin 2007}} : député de la [[Deuxième circonscription de la Seine-Maritime|{{2e}} circonscription de la Seine-Maritime]].
* {{date-|1 octobre 1998}} – {{date-|18 juin 2002}} : vice-président de la [[Commission des Lois (Assemblée nationale)|commission des lois de l'Assemblée nationale]].
* {{date-|23 octobre 2002}} – {{date-|19 juin 2007}} : juge titulaire de la [[Haute Cour (France)|Haute Cour]].
=== Au niveau régional ===
* 1992-1994 : vice-président du [[conseil régional de Haute-Normandie]].
=== Au niveau local ===
* {{date-|13 juin 19801974}} – {{date-|18 mars 20011980}} : adjoint au maire de [[Mont-Saint-Aignan]].
* {{date-|2513 marsjuin 20011980}} – {{date-|1518 mars 20082001}} : [[Liste des maires de Rouen|maire de Rouen[[Mont-Saint-Aignan]].
* {{date-|25 mars 2001}} – {{date-|15 mars 2008}} : [[Liste des maires de Rouen|maire de Rouen]].
=== Autres fonctions ===
* Délégué général de l'Association des villes universitaires de France (AVUF).
 
== Résultats électoraux ==
Ligne 147 ⟶ 134 :
! colspan="2" rowspan="2" scope=col | Parti
! rowspan=2 scope=col | Circonscription
! scope=col colspan=3 | {{1er|Premier tour}}
! scope=col colspan=3 | {{2d|Second tour}}
! rowspan=2 scope=col | Issue
|-
! scope=col | Voix
Ligne 156 ⟶ 142 :
! scope=col | Voix
! scope=col | %
! scope=col | RangIssue
|-
! scope=row|[[Élections législatives françaises de 1988|{{date-|1988}}]]
Ligne 167 ⟶ 153 :
|{{formatnum:24907}}
| 49,85
| {{2e}}
| Battu
|-
Ligne 176 ⟶ 161 :
|{{formatnum:29209}}
| 58,23
| {{1er}}
| Élu
|-
Ligne 185 ⟶ 169 :
|{{formatnum:27970}}
| 51,99
| {{1er}}
| Élu
|-
Ligne 194 ⟶ 177 :
|{{formatnum:29119}}
| 58,08
| {{1er}}
| Élu
|-
Ligne 202 ⟶ 184 :
{| class="wikitable" style="text-align: center;"
! scope=col rowspan=2 | Année
! scope=col rowspan=2 colspan=2 | PartiNuance
! scope=col rowspan=2 | Commune
! scope=col rowspan=2 | Position
! scope=col colspan=3 | {{1er|Premier tour}}
! scope=col colspan="3" | {{2d|Second tour}}
! scope=col rowspan=2 | Sièges ({{Abréviation discrète|CM|Conseillers municipaux}})
|-
! scope=col | Voix
Ligne 240 ⟶ 222 :
 
== Distinction ==
* {{déco|COPA}}
* {{décoration|CLH|en 2012, au titre de son engagement au sein de l'Enseignement supérieur}}
 
== ŒuvresOuvrages ==
* {{Ouvrage |langue=fr |titre=Le Droit de dissolution et les systèmes constitutionnels français |lieu=Paris |éditeur=[[Presses universitaires de France]] |année=1978 |pages totales=409 |isbn=}}
* {{Ouvrage |langue=fr |titre=La Crise du politique |sous-titre=les chemins d'un renouveau |lieu=Paris |éditeur=[[Éditions L'Harmattan|L'Harmattan]] |année=1997 |pages totales=165 |isbn=2-7384-5985-4 |oclc=468328403}}.
Ligne 249 ⟶ 232 :
* {{Ouvrage |langue=fr |titre=La France est-elle gouvernable ? |lieu=Paris |éditeur=[[Éditions L'Harmattan|L'Harmattan]] |année=2011 |pages totales=218 |isbn=978-2-296-13939-8 |oclc=703210983 |lire en ligne=https://books.google.com/books?id=QBccGdSwadIC&printsec=frontcover}}.
*{{Ouvrage |langue=fr |titre=La Crise de la loi |sous-titre=déclin ou mutation ? |lieu=Paris |éditeur=Lexis Nexis |année=2015 |pages totales=366 |isbn=978-2-7110-2216-8 |oclc=903597154}}.
*''{{Ouvrage |langue=fr |titre=Disgrazia'', |lieu=Paris, |éditeur=Les Éditions Baudelaire, |année=2018, |pages totales=212 p|isbn= 9791020320827}}.
*{{Ouvrage |langue=fr |titre=Giscard|sous-titre=Le président qui osa |lieu=Paris |éditeur=L'Archipel |année=2024 |pages totales=320 |isbn=9782809847840}}.
 
== Notes et références ==
{{Références}}
<references/>
 
== Annexes ==
Ligne 258 ⟶ 242 :
=== Bibliographie ===
* {{Ouvrage|préface=[[Guy Pessiot]]|titre=Le Grand Livre des Rouennais|lieu=Rouen|éditeur=éd. du P'tit Normand|année=1983|pages totales=253|passage=11|isbn=|oclc=468723694}}.
* {{Article |auteur1=Julien Fretel|auteur2=Jacques Lagroye|titre=“Faire avec ce qu'on a”|sous-titre=Les municipales à Rouen|périodique=Mobilisations électorales. Le cas des élections municipales de 2001 |date=2005 |pages=15-36 |lire en ligne=https://extra.u-picardie.fr/outilscurapp/medias/revues/458/3846_1.%20LES%20ELECTIONS%20MUNICIPALES%20A%20ROUEN.pdf}}.
* {{Article |auteur1=Loïc Vadelorge |titre=Quelle échelle pour la décentralisation ? Interview de Pierre Albertini député-maire de Rouen |périodique=[[Études normandes]] |date=2006 |pages=54-70 |lire en ligne=https://www.persee.fr/doc/etnor_0014-2158_2006_num_55_4_1656}}.
* {{Article |auteur1=Céline Colange |titre=Actualités Municipales 2008 : la gauche “aux commandes” de l'agglomération rouennaise |périodique=[[Études normandes]] |date=2008 |pages=41-46 |lire en ligne=https://www.persee.fr/doc/etnor_0014-2158_2008_num_57_4_1748}}.
 
=== Articles connexes ===
* [[Liste des maires de Rouen]]
* [[Liste des députés de la Seine-Maritime]]
 
=== Liens externes ===
* {{Liens}}
 
{{Palette Maires de Rouen}}
{{Portail|Politique française|Droit français|Rouen|Aurès}}
 
{{DEFAULTSORTCLEDETRI:Albertini, Pierre}}
[[Catégorie:Naissance en novembre 1944]]
[[Catégorie:Naissance à Batna]]
[[Catégorie:Député de la Xe législature de la Ve République]]
[[Catégorie:Député de la XIe législature de la Ve République]]
Ligne 279 ⟶ 269 :
[[Catégorie:Personnalité du Parti populaire pour la démocratie française]]
[[Catégorie:Professeur français de droit public]]
[[Catégorie:Naissance en novembre 1944]]
[[Catégorie:Naissance à Batna]]
[[Catégorie:Enseignant à l'université de Rouen]]
[[Catégorie:Chevalier de la Légion d'honneur décoré en 2012]]