« Musique underground tunisienne » : différence entre les versions

Cependant, quelques artistes s'inscrivent dans la contestation comme Bendir Man, Lak3y, Ferid El Extranjero, [[Mounir Troudi]], Mos Anif, DJ Costa et [[Karkadan]]<ref>[http://www.tekiano.com/component/content/article/21-n-c/3982-tunisie-les-rappeurs-ont-ils-vraiment-participe-a-la-revolution-.html Thameur Mekki, « Tunisie : Les rappeurs ont-ils (vraiment) participé à la Révolution ? », ''Tekiano'', 30 juin 2011].</ref>. Lak3y, mais aussi [[El General (rappeur tunisien)|El General]] ou [[Psyco-M]], font partie des rappeurs dont l'exposition médiatique bénéficie de la révolution de 2011<ref name="inrocks"/>{{,}}<ref name="curry"/> sur une scène musicale en plein essor : un premier concert de rap est ainsi organisé le {{date|29 janvier 2011}} à Tunis avec l'apparition de Mohamed Ben Hamada, [[Psyco-M]], [[El General (rappeur tunisien)|El General]] et [[Mohamed Ali Ben Jemaa]]<ref>[http://www.magharebia.com/cocoon/awi/xhtml1/fr/features/awi/features/2011/02/08/feature-03 Monia Ghanmi, « Retour sur scène pour les rappeurs tunisiens interdits », ''Magharebia'', 8 février 2011].</ref>. Si certains comme Lak3y, L'Imbattable et DJ Costa vivent une vraie [[contre-culture]], d'autres adoptent un discours religieux et moralisateur, à l'image de [[Psyco-M]] qui s'en prend dans une chanson polémique à des intellectuels et artistes jugés trop éloignés de la morale de l'[[islam]]<ref name="inrocks"/>{{,}}<ref>[http://www.magharebia.com/cocoon/awi/xhtml1/fr/features/awi/features/2010/12/28/feature-03 Houda Trabelsi, « Un rappeur tunisien exaspère les modernistes », ''Magharebia'', 28 décembre 2010].</ref>.

 

 

=== Rock ===