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'''Félix-Gustave Saussier''', né le {{date de naissance|16 janvier 1828}} à [[Troyes]] et mort le {{date de décès|19 décembre 1905}} au château de Thimécourt à [[Luzarches]], est un [[général]] [[France|français]], [[Liste des grands-croix de la Légion d'honneur|grand-croix de la Légion d'honneur]] et [[Liste des officiers généraux français décorés de la médaille militaire|médaillé militaire]].
 
[[École spéciale militaire de Saint-Cyr|Saint-Cyrien]], il fait les campagnes d'[[Algérie]], de [[Guerre de Crimée|Crimée]], d'[[campagne d'Italie (1859)|Italie]], du [[Expédition du Mexique|Mexique]], combat durant la [[Guerre de 1870]] puis est commandant en chef du second [[Conquête de la Tunisie par la France|corps expéditionnaire en Tunisie]] à partir de juillet 1881. Promu [[général de brigade]] en 1871 puis [[général de division]] en 1878, il est membre puis vice-président du [[Conseil supérieur de la guerre]] de 1889 à 1897.
 
== Biographie ==
===Formation===
Né dans une famille d'industriels du textile de Troyes<ref>Manufacture de draps Saussier & Charve à Troyes</ref>, il entre à [[École spéciale militaire de Saint-Cyr|Saint-Cyr]] à 20 ans, d'où il sort en [[1850]]. Il est sous-lieutenant au [[Légion étrangère|régiment étranger]], puis lieutenant à [[Guerre de Crimée|Sébastopol]], où il est blessé et décoré de la [[Légion d'honneur]] en [[1855]] par le [[François Certain de Canrobert|général Canrobert]]. Blessé en Grande [[Kabylie]], il participe ensuite à la [[Campagne d'Italie (1859)|campagne d'Italie]], à [[Bataille de Magenta|Magenta]] et [[Bataille de Solférino|Solférino]].
Né dans une famille d'industriels du textile de Troyes<ref>Manufacture de draps Saussier & Charve à Troyes</ref>, il entre à [[École spéciale militaire de Saint-Cyr|Saint-Cyr]] à 20 ans, d'où il sort en [[1850]].
 
===Guerre de Crimée===
Né dans une famille d'industriels du textileLors de Troyes<ref>Manufacture de draps Saussier & Charve à Troyes</ref>, il entre àla [[École spéciale militaireGuerre de Saint-Cyr|Saint-CyrCrimée]] à 20 ans, d'où il sort en [[1850]]. Il est sous-lieutenant au [[Légion étrangère|régiment étranger]], puis lieutenant à [[Guerre de Crimée|Sébastopol]], où il est blessé et décoré de la [[Légion d'honneur]] en [[1855]] par le [[François Certain de Canrobert|général Canrobert]]. Blessé en Grande [[Kabylie]], il participe ensuite à la [[Campagne d'Italie (1859)|campagne d'Italie]], à [[Bataille de Magenta|Magenta]] et [[Bataille de Solférino|Solférino]].
 
===Algérie===
Il participe à la [[conquête de l'Algérie]] et est blessé en [[Kabylie|Grande Kabylie]].
 
===Campagne d'Italie (1859)===
Il participe ensuite à la [[Campagne d'Italie (1859)|campagne d'Italie]] en 1859, à [[Bataille de Magenta|Magenta]] et [[Bataille de Solférino|Solférino]].
 
En [[1861]], il est puni de deux mois de prison militaire pour avoir contesté devant la troupe, « dans un état de fureur incroyable »{{refnec}}, une punition que lui avait infligée son commandant.
 
[[Catégorie:===Expédition du Mexique]] (1862-1865)===
En [[1861]], il est puni de deux mois de prison militaire pour avoir contesté devant la troupe, « dans un état de fureur incroyable »{{refnec}}, une punition que lui avait infligée son commandant. Il part ensuite pour la [[Expédition du Mexique|campagne du Mexique]] avec le [[Légion étrangère|régiment étranger]]. Il y est fait officier de la [[Légion d'honneur]] à la suite du siège d'[[Oaxaca de Juárez|Oaxaca]]. Commandant la compagnie de Paso del Macho, il est le dernier à voir la {{3e|compagnie}} du [[Légion étrangère|régiment étranger]] avant son [[bataille de Camerone|combat mémorable de Camerone]].
 
Nommé lieutenant-colonel au retour du [[Expédition du Mexique|Mexique]], il doit quitter les rangs de la [[Légion étrangère]].
 
===Guerre de 1870===
NomméDurant lieutenant-colonel au retour dula [[Expéditionguerre dufranco-allemande Mexique|Mexiquede 1870-1871]], il doit quitter les rangs de la [[Légion étrangère]]. Il sert alors au [[41e régiment d'infanterie|{{41e}} de ligne]] au cours de la bataille de [[Metz]]. Colonel en 1870, il prend part aux batailles de [[bataille de Borny-Colombey|Borny-Colombey]], [[Bataille de Saint-Privat|Saint-Privat]]. Il refuse de souscrire aux termes de la capitulation de [[François Achille Bazaine|Bazaine]] et signe, avec la plupart des officiers de son régiment, une protestation, s'offrant de sortir pour combattre les armes à la main. Prisonnier des Prussiens à la [[Siège de Metz (1870)|chute de Metz]], il est d'abord emmené à [[Cologne]] puis, en novembre, à la citadelle de [[Graudenz]], sur la [[Vistule]]. Il réussit à s'en échapper le {{date-|26|décembre}} et à rejoindre la France, où, nommé [[général de brigade]] le {{date-|5|janvier|1871}}, il reprend du service dans l'[[armée de la Loire]]<ref>{{harvsp|de Cockborne|1974-1977|p=108}}</ref>.
 
===Révolte de Mokrani (1871)===
Au cours de l'[[Révolte de Mokrani|insurrection d'Algérie de 1871]], il commande la {{2e|brigade}} active qui forme la colonne de [[Kabylie]] orientale et combat d'avril à octobre de cette année.
 
===Député républicain de l'Aube (1873-1876)===
Élu député républicain de l'[[Aube (département)|Aube]] en 1873, il rejoint de nouveau l'armée en 1878 pour être nommé [[général de division]].
 
===Conquête de la Tunisie par la France (1881)===
En mars 1879, il commande le [[19e corps d'armée (France)| {{19e|corps}} d'armée]] en [[Algérie]]. L'année suivante, il commande le commandement du [[6e corps d'armée (France)|{{6e|corps}}]] qu'il quitte en juin 1881 pour reprendre de nouveau le commandement du {{19e|corps}} d'armée en Algérie, qu'il conserve jusqu'en mars 1884, où la situation devient critique.
 
À partir de juillet 1881, il commande le second [[Conquête de la Tunisie par la France|corps expéditionnaire de Tunisie]] qui pacifie le pays (avec notamment la prise de [[Kairouan]]) et le sud de l'[[Algérie]].
 
Le {{date|8 juillet 1881}}, il est élevé à la dignité de grand officier de la Légion d'honneur{{sfn|Wattel 2002|p=365}} puis décoré de la [[médaille militaire]] le {{date|11 juillet 1882}}{{sfn|Wattel 2002|p=365}}.
 
===Gouverneur militaire de Paris (1884-1897) et vice-président du Conseil supérieur de la guerre (CSG)===
En 1884, il est nommé [[gouverneur militaire de Paris]], fonction qu'il exerce jusqu'en 1897.
 
En juin [[1886]], le ministre de la Guerre [[Georges Boulanger]] cherche à l'évincer de ce poste qui lui fait de l'ombre. Alors que le journal [[Le Gaulois (France)|''Le Gaulois'']] attaque l'administration militaire, le gouverneur répond publiquement. Le gouverneur est en tord et Boulanger en profite pour lui envoyer un blâme et muter son chef d'état major à [[Marseille]]. Saussier défend alors son adjoint tandis que la presse radicale pense qu'il l'a sacrifié. Boulanger tente d'aller plus loin et présente au Conseil des ministres un décret pour mettre le général en disponibilité. Cependant, le Président Grévy refuse de signer et Boulanger doit reculer, d'autant plus que Saussier lui-même a présenté sa démission qui fut refusée par le gouvernement<ref>{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Bertrand|nom1=Joly|titre=Aux origines du populisme|sous-titre=histoire du boulangisme|éditeur=CNRS Éditions|lieu=Paris|année=2022|isbn=978-2-271-13972-6}}, p. 172-182</ref>.
 
Il est membre du [[Conseil supérieur de la guerre]] de 1882 à 1903, dont il assure la vice-présidence de 1889 à 1897.
 
En 1887, il est l'un des candidats des monarchistes à l'[[Élection présidentielle française de 1887|l'élection présidentielle]], sans succès.
En [[1861]], il est puni de deux mois de prison militaire pour avoir contesté devant la troupe, « dans un état de fureur incroyable »{{refnec}}, une punition que lui avait infligée son commandant. Il part ensuite pour la [[Expédition du Mexique|campagne du Mexique]] avec le [[Légion étrangère|régiment étranger]]. Il y est fait officier de la [[Légion d'honneur]] à la suite du siège d'[[Oaxaca de Juárez|Oaxaca]]. Commandant la compagnie de Paso del Macho, il est le dernier à voir la {{3e|compagnie}} du [[Légion étrangère|régiment étranger]] avant son [[bataille de Camerone|combat mémorable de Camerone]].
 
Il est élevé à la dignité de grand-croix de la Légion d'honneur le {{date|12 juillet 1887}}{{sfn|Wattel 2002|p=591}}.
Nommé lieutenant-colonel au retour du [[Expédition du Mexique|Mexique]], il doit quitter les rangs de la [[Légion étrangère]]. Il sert alors au [[41e régiment d'infanterie|{{41e}} de ligne]] au cours de la bataille de [[Metz]]. Colonel en 1870, il prend part aux batailles de [[bataille de Borny-Colombey|Borny-Colombey]], [[Bataille de Saint-Privat|Saint-Privat]]. Il refuse de souscrire aux termes de la capitulation de [[François Achille Bazaine|Bazaine]] et signe, avec la plupart des officiers de son régiment, une protestation, s'offrant de sortir pour combattre les armes à la main. Prisonnier des Prussiens à la [[Siège de Metz (1870)|chute de Metz]], il est d'abord emmené à [[Cologne]] puis, en novembre, à la citadelle de [[Graudenz]], sur la [[Vistule]]. Il réussit à s'en échapper le {{date-|26|décembre}} et à rejoindre la France, où, nommé [[général de brigade]] le {{date-|5|janvier|1871}}, il reprend du service dans l'[[armée de la Loire]]<ref>{{harvsp|de Cockborne|1974-1977|p=108}}</ref>.
 
En octobre [[1887]], il préside un conseil d'enquête dans le cadre du [[Scandale des décorations de 1887|Scandale des décorations]].
Au cours de l'insurrection d'[[Algérie]] de 1871, il commande la {{2e|brigade}} active qui forme la colonne de [[Kabylie]] orientale et combat d'avril à octobre de cette année. Élu député républicain de l'[[Aube (département)|Aube]] en 1873, il rejoint de nouveau l'armée en 1878 pour être nommé [[général de division]]. En 1879, il commande le [[19e corps d'armée (France)| {{19e|corps}} d'armée]]. L'année suivante, il quitte le commandement du [[6e corps d'armée (France)|{{6e|corps}}]] pour rejoindre l'[[Algérie]] où la situation devient critique. En 1881, il commande le corps expéditionnaire de [[Tunisie]] qui pacifie le pays et le sud de l'[[Algérie]].
 
===Dernières années===
En 1884, il est nommé [[gouverneur militaire de Paris]], fonction qu'il exerce jusqu'en 1897. Il est membre du [[Conseil supérieur de la guerre]] de 1882 à 1903, dont il assure la vice-présidence de 1889 à 1897. <br />En 1887, il est [[Élections présidentielles sous la Troisième République#Élection présidentielle de 1887|candidat à l'élection présidentielle]], sans succès. En octobre [[1887]], il préside un conseil d'enquête dans le cadre du [[Scandale des décorations de 1887|Scandale des décorations]].
Il meurt le {{date de décès|19|décembre|1905}}, au château de Thimécourt, propriété qu'il possède aux environs de [[Luzarches]], et il est inhumé au cimetière de [[Troyes]] ([[Aube (département)|Aube]])<ref>{{article|auteur=Ferrari|titre=Le Monde & la Ville|sous-titre=deuil|page=2|lire en ligne=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k287205r/f2|jour=24|mois=décembre|année=1905|périodique=Le Figaro}}</ref>. <br />Une rue de [[Troyes]] porte son nom.
 
==Hommages==
Il meurt le {{date de décès|19|décembre|1905}}, au château de Thimécourt, propriété qu'il possède aux environs de [[Luzarches]], et il est inhumé au cimetière de Troyes<ref>{{article|auteur=Ferrari|titre=Le Monde & la Ville|sous-titre=deuil|page=2|lire en ligne=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k287205r/f2|jour=24|mois=décembre|année=1905|périodique=Le Figaro}}</ref>. <br />Une rue de [[Troyes]] porte son nom.
Une rue de [[Troyes]] porte son nom.
 
== Saussier et l'affaire Dreyfus ==
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[[Fichier:Félix Gustave Saussier - Charles Léandre - 1898.jpg|vignette|Sous le titre {{Citation|le brave général Saussier, notre généralissime honoraire}}, Saussier caricaturé par [[Charles Léandre]] dans ''[[Le Rire]]'', 15 janvier 1898.]]
 
L'historien [[Henri Guillemin]] a émis l'hypothèse que le général Saussier ait pu jouer un rôle dans l'[[affaire Dreyfus]]<ref>{{Lien vidéo |langue=français |people=[[Henri Guillemin,]] [http|date=13 janvier 1965 |titre=L'Affaire Dreyfus : Troisième Partie |émission=Les Dossiers de l'Histoire |chaine=Radio Télévision Suisse |durée=20 |url=https://archiveswww.tsryoutube.chcom/dossier-guillemin/guillemin-dreyfus3watch?v=sMoy5NX3Gww ''L'affaire|consulté Dreyfusle=18 :avril troisième2022 vidéo'']}}</ref>. Il s'étonne en effet du comportement de Saussier dans les débuts de l'affaire.
 
Le {{date-|7|octobre|1894}}, le général Saussier, alors vice-président du Conseil supérieur de la guerre et [[gouverneur militaire de Paris]], s'était rendu dans le bureau du [[ministère des Affaires étrangères (France)|ministre des Affaires étrangères]] [[Gabriel Hanotaux]], pour lui demander de stopper toute enquête concernant la découverte du [[Affaire Dreyfus#Découverte du bordereau|bordereau]]. Dans le contexte d'une affaire de [[haute trahison]], cette volonté d'étouffer l'enquête de la part de la plus haute autorité militaire française étonne Guillemin.
 
La veille de l'intervention de Saussier, le {{date-|6|octobre|1894}}, le colonel [[Henri d'Aboville]] avait déclaré reconnaître l'écriture d'[[Alfred Dreyfus]] sur le bordereau. Saussier connaissait-il les ressorts de cette grande mystification. ? Savait-il l'innocence de Dreyfus et cherchait-il à l'épargner ? Connaissait-il la culpabilité d'[[Ferdinand Walsin Esterhazy|Esterhazy]], dont sa maîtresse était proche ? Culpabilité, qui, quand elle éclaterait au grand jour, l'éclabousserait du scandale. ?
 
Félix Gustave Saussier, célibataire amateur de jolies femmes, entretenait une liaison suivie au moment de l'affaire avec la femme de son officier d'ordonnance [[Maurice Weil]], lequelqui était ami d'Esterhazy.
 
Certains auteurs ont cherché à lier Esterhazy à une source possible dans l'état-major français. L'existence de cette source n'a jamais été établie. Le nom du général Rau a été avancé par certains auteurs. Henri Guillemin a émis l'hypothèse que madame Maurice Weil, née autrichienne, ait pu être la «  source  » d'Esterhazy et qu'elle aurait volé des documents chez le général Saussier.
 
Selon Guillemin, [[Jean Sandherr]], chef du [[service de renseignement]], savait qu'Esterhazy portait des documents à l'Allemagne ;, mais il ne pouvait le confondre, car puisqu'il savait également que cette affaire pourrait compromettre une très haute autorité militaire française : le général Saussier.
 
Sandherr serait l'auteur de la mystification. Il aurait fait écrire le bordereau à Esterhazy sous la dictée, puiset aurait fait croire qu'on avait trouvé leditle bordereau dans la corbeille de l'attaché militaire allemand [[Maximilian von Schwartzkoppen|Schwartzkoppen]]. En diffusant par la suite des copies du bordereau dans les bureaux militaires, il aurait cherché à alerter Saussier, qui, l'ayant sous les yeux, se serait aperçu que certains documents mentionnés par le bordereau venaient de chez lui et se serait alors montré plus prudent vis-à-vis de sa maîtresse. Schwartzkoppen précise dans ses cahiers qu'après la « découverte » du bordereau en 1895, les documents qui lui sont fournis par Esterhazy sont de bien moindre importance et qualité. Selon Henri Guillemin, la source s'était donc tarie.
 
== Distinctions ==
== Décorations et distinctions ==
[[Fichier:Panorama Gervex Stevens (fragment).JPG|vignette|upright=2|[[Henri Gervex]] et [[Alfred Stevens (peintre belge)|Alfred Stevens]], ''Le panorama du siècle'', 1889, [[huile sur toile]] conservée au [[Musée Carnavalet]] (le général Saussier est représenté en uniforme derrière le président [[Sadi Carnot (homme d'État)|Carnot]]).]]
* {{déco GCLH}} en(12 juillet [[1887]])<ref>{{Base Léonore|LH/2465/49}}</ref>
* {{déco MM}} en(11 juillet [[1882]])
* Chevalier de l'[[ordre de Saint-Alexandre Nevski]]
 
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== Bibliographie ==
* {{Autorité}}
* {{article
|lire en ligne=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9611761z/f113.image
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|consulté le= 14 novembre 2015}}
* {{DicoParlement}}
* Henri Guillemin " L'Affaire Dreyfus" Editions Utovie, Mars 2005, {{ISBN|2868197337}}
* Henri Guillemin "Énigme Esterazy" 330 pages, Editions Utovie, 2009, {{ISBN|2868197566}}
* {{Ouvrage|langue=fr|auteur1=Michel Wattel|auteur2=Béatrice Wattel|préface=[[André Damien]]|titre=Les Grand’Croix de la Légion d’honneur: De 1805 à nos jours, titulaires français et étrangers|lieu=Paris|éditeur=Archives et Culture|année=2009|pages totales=701|isbn=978-2-35077-135-9|page=365|id=Wattel 2002}}.
 
==Voir Liens externes aussi==
=== Liens externes ===
{{autres projets|commons=Category:Félix Gustave Saussier}}
{{Liens}}
 
* [http://www.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche.asp?num_dept=8842 Fiche sur Assemblée nationale]
 
{{Palette|Affaire Dreyfus}}
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{{DEFAULTSORT:Saussier, Felix, Gustave}}
[[Catégorie:Naissance en janvier 1828]]
[[Catégorie:Naissance à Troyes]]
[[Catégorie:Antidreyfusard]]
[[Catégorie:Candidat à une élection présidentielle en France (Troisième République)|Saussier]]
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[[Catégorie:Député de l'Aube (Troisième République)]]
[[Catégorie:Député à l'Assemblée nationale (1871)]]
[[Catégorie:Expédition du Mexique]]
[[Catégorie:Gouverneur militaire de Paris]]
[[Catégorie:Récipiendaire de la médaille militaire en tant qu'officier général français]]
[[Catégorie:Grand-croix de la Légion d'honneur]]
[[Catégorie:Général français du Second Empire]]
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[[Catégorie:Personnalité de la Troisième République]]
[[Catégorie:Vice-président du Conseil supérieur de la guerre]]
[[Catégorie:DécèsNaissance en Seine-et-Oisejanvier 1828]]
[[Catégorie:Naissance enà janvier 1828Troyes]]
[[Catégorie:Décès en décembre 1905]]
[[Catégorie:NaissanceDécès àen TroyesSeine-et-Oise]]
[[Catégorie:Décès à 77 ans]]
[[Catégorie:Personnalité inhumée dans l'Aube]]
[[Catégorie:Militaire français de la guerre de Crimée]]
[[Catégorie:Militaire français de l'expédition du Mexique]]
[[Catégorie:Militaire français de la guerre franco-allemande de 1870]]