Villers-Semeuse
Villers-Semeuse [vile səmøz] est une commune française des Ardennes, dans la région Grand Est.
Villers-Semeuse | |
La mairie. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Ardennes |
Arrondissement | Charleville-Mézières |
Intercommunalité | CA Ardenne Métropole |
Maire Mandat |
Jérémy Dupuy 2020-2026 |
Code postal | 08000 |
Code commune | 08480 |
Démographie | |
Gentilé | Villersois[1] |
Population municipale |
3 608 hab. (2021 ) |
Densité | 488 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 44′ 00″ nord, 4° 45′ 00″ est |
Altitude | Min. 156 m |
Superficie | 7,40 km2 |
Type | Centre urbain intermédiaire |
Unité urbaine | Charleville-Mézières (banlieue) |
Aire d'attraction | Charleville-Mézières (commune du pôle principal) |
Élections | |
Départementales | Canton de Villers-Semeuse (bureau centralisateur) |
Législatives | 1re circonscription des Ardennes |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.villers-semeuse.fr |
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Géographie
modifierLes communes limitrophes sont Les Ayvelles, Charleville-Mézières, La Francheville, Lumes et Saint-Laurent.
Description
modifierVillers Semeuse est une commune ardennaise de la banlieue de Charleville-Mézières, limitrophe au sud-est de cette ville, située à 10 km de la frontière franco-belge, 75 km au nord-est de Reims, 78 km de Charleroi et 100 km de Luxembourg
Elle est desservie par la sortie 8 (Villers-Semeuse, Flize) de l'autoroute A-34) et est traversée par la ligne de Mohon à Thionville, dont la station la plus proche est la gare de Mohon. Toutefois, l'offre ferroviaire la plus importante est accessible à la gare de Charleville-Mézières, desservie par des TGV depuis Paris-Est ou Sedan, et des trains TER Grand Est (relations de Charleville-Mézières à Givet, à Lille-Flandres et à Longwy et de Reims à Metz-Ville).
Communes limitrophes
modifierCharleville-Mézières | Charleville-Mézières | Saint-Laurent | ||
Charleville-Mézières | N | Lumes | ||
O Villers-Semeuse E | ||||
S | ||||
La Francheville | Les Ayvelles | Lumes |
Hydrographie
modifierLa commune est dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Meuse et le canal de l'Est Branche-Nord[2],[Carte 1].
La Meuse, d'une longueur de 486 km, est un fleuve européen qui prend sa source en France, dans la commune du Châtelet-sur-Meuse, à 409 mètres d'altitude, et se jette dans la mer du Nord après un cours long d'approximativement 950 kilomètres traversant la France, la Belgique et les Pays-Bas[3]. Elle longe la commune sur son flanc nord, s'écoulant d'est en ouest sur une longueur d'environ 3,6 km.
Le canal de l'Est Branche-Nord, d'une longueur de 141 km, est un chenal et un cours d'eau naturel navigable qui relie Givet à Troussey, où il rejoint le canal de la Marne au Rhin[4]. Il se superpose pour partie, dans la commune, à la Meuse, sur une longueur d'environ 0,1 km.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 889 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Charleville-Méz. », sur la commune de Charleville-Mézières à 4 km à vol d'oiseau[7], est de 9,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 928,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,2 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,5 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | −0,3 | −0,6 | 1 | 2,8 | 6,6 | 9,9 | 11,8 | 11,2 | 8,2 | 5,8 | 2,8 | 0,4 | 5 |
Température moyenne (°C) | 2,7 | 3,1 | 6,2 | 9,1 | 12,8 | 16 | 18 | 17,6 | 14,1 | 10,4 | 6,1 | 3,3 | 9,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 5,6 | 6,9 | 11,3 | 15,3 | 19 | 22,1 | 24,1 | 23,9 | 20 | 15 | 9,3 | 6,1 | 14,9 |
Record de froid (°C) date du record |
−17,5 01.01.1997 |
−16,7 18.02.1991 |
−13,8 13.03.13 |
−8,5 08.04.03 |
−4,4 18.05.1991 |
−2,4 05.06.1991 |
1,7 11.07.1993 |
0,4 30.08.1993 |
−3,4 30.09.18 |
−6,7 30.10.1997 |
−11,8 24.11.1998 |
−16,4 21.12.09 |
−17,5 1997 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15 05.01.1999 |
21,7 27.02.19 |
24,4 31.03.21 |
28,1 25.04.07 |
31,2 28.05.17 |
34,9 28.06.11 |
39,2 25.07.19 |
37 12.08.03 |
34,4 15.09.20 |
27,7 01.10.11 |
19,9 07.11.15 |
15,7 30.12.22 |
39,2 2019 |
Ensoleillement (h) | 504 | 69 | 1 281 | 1 767 | 1 973 | 2 029 | 2 142 | 1 986 | 1 525 | 968 | 484 | 407 | 15 755 |
Précipitations (mm) | 100,4 | 78,3 | 68,6 | 56,6 | 67,6 | 66,8 | 72,3 | 74,4 | 63,4 | 80,1 | 83,8 | 116,1 | 928,4 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
5,6 −0,3 100,4 | 6,9 −0,6 78,3 | 11,3 1 68,6 | 15,3 2,8 56,6 | 19 6,6 67,6 | 22,1 9,9 66,8 | 24,1 11,8 72,3 | 23,9 11,2 74,4 | 20 8,2 63,4 | 15 5,8 80,1 | 9,3 2,8 83,8 | 6,1 0,4 116,1 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Villers-Semeuse est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Charleville-Mézières, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Charleville-Mézières, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2],[14]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (54,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (50,3 %), zones urbanisées (27,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,4 %), eaux continentales[Note 3] (6,5 %), forêts (5 %), terres arables (0,3 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
modifierCette localité résulte de la réunion des deux communes autrefois distinctes, Villers et Semeuse[18].
Villers est attesté sous la forme Je Villari ante Macerias en 1248[19].
Villers est un appellatif toponymique français qui procède généralement du gallo-roman villare, dérivé lui-même du gallo-roman villa « grand domaine rural », issu du latin villa rustica.
Semeuse est attesté sous les formes Sonmuse en 1290, sousmuese en 1325[18].
Semeuse est un toponyme en -euse où il est possible de déceler des dérivations où nous voyons bien sûr *Villers-sur-Meuse dans Villers-Semeuse[18]. La Meuse est un fleuve européen qui prend sa source en France et se jette dans la mer du Nord après un cours long d'approximativement 950 kilomètres traversant la France, la Belgique et les Pays-Bas, elle longe la commune sur son flanc nord.
Histoire
modifierAntiquité
modifierÉpoque contemporaine
modifierÈre industrielle
modifierDès avant la Première Guerre mondiale, le centre militaire de Mézières disposait d'un terrain d'atterrissage situé près du fort des Ayvelles et offrant aux navigateurs aériens aussi bien abri que ravitaillement et matériel complets[20].
En 1910, avec l'essor de l'aviation, le circuit de l'Est[21], course aéronautique reliant Paris – Troyes – Nancy – Mézières – Douai – Amiens – Paris, fait escale sur le terrain d'aviation de Villers-Semeuse.
-
Circuit de l'Est à Villers en 1910.
-
Charles Terres Weymann sur son biplan au terrain de Villers-Semeuse.
Première Guerre mondiale
modifierLe , près de Villers-Semeuse, dans une revue passée par le général Marie-Eugène Debeney, le drapeau du 115e R.I. reçoit la fourragère aux couleurs de la Croix de guerre 1914-1918[réf. nécessaire].
Seconde Guerre mondiale
modifierLa commune a été décorée de la Croix de guerre 1939-1945 le [22]
Trente glorieuses
modifierEn 1969 Citroën implante une fonderie sur les communes de Villers-Semeuse et des Ayvelles, destinée à l'origine à fabriquer les pièces du moteur de la Citroën GS et GSA.
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement de Charleville-Mézières du département des Ardennes. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la première circonscription des Ardennes.
Elle faisait partie de 1801 à 1973 du canton de Mézières, année où celui-ci est scindé et la commune rattachée au canton de Mézières-Est. En 1982, elle devient le chef-lieu du canton de Villers-Semeuse[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est désormais le bureau centralisateur, est modifié, passant de 8+1 fraction à 11 communes.
Intercommunalité
modifierLa ville était membre de la communauté d'agglomération dénommée cœur d'Ardenne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2004 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Celle-ci fusionne avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération dénommée Ardenne Métropole, dont la commune est désormais membre.
Tendances politiques et résultats
modifierLors du premier tour des élections municipales de 2014 dans les Ardennes, la liste DVG menée par Jérémy Dupuy remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 841 voix, devançant respectivement les listes menées par[24] :
- le maire sortant Guy Ferreira (DVD, 752 voix, 47,20 %, 6 conseillers municipaux élus) ;
- Franck Tuot (DVD), qui n'a obtenu aucun suffrage, ses bulletins ayant été invalidés et faisant partie des 190 bulletins blancs et nuls ;
lors d'un scrutin marqué par 30,92 % d'abstention.
Les élections municipales du ont été annulées par le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne le , qui a estimé que les bulletins de vote d'une des listes avait été illégalement invalidés par le bureau de vote. De nouvelles élections municipales, initialement prévues les et le [25],[26],[27] ont eu lieu le et Jérémy Dupuy a été réélu le dès le premier tour[28].
Lors des élections municipales de 2020 dans les Ardennes, seule la liste DVG du maire sortant Jérémy Dupuy était candidate, et a donc obtenue la totalité des 809 suffrages exprimés (27 conseillers municipaux élus, dont 2 communautaires)[29].
Liste des maires
modifierDistinctions et labels
modifierLa comité des villes et villages fleuris de France a décerné[Quand ?] deux fleurs à la commune[37].
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].
En 2021, la commune comptait 3 608 habitants[Note 4], en évolution de +0,39 % par rapport à 2015 (Ardennes : −3,2 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifierC'est sur le territoire de la commune qu'a décidé de s'implanter l'usine PSA Peugeot Citroën, employant un grand nombre de ses résidents. Elle produit des pièces de moteur et de suspension, principalement pour PSA PSA Peugeot Citroën, mais aussi pour BMW.
En 1971, un important centre commercial est implanté sur la commune de Villers-Semeuse. Le triplement de sa galerie commerciale est envisagé depuis 2015, mais est freiné par de nombreux recours, notamment inspirés par la volonté de préserver les commerces de centre-ville de Charleville-Mézières - l’autorisation étant finalement accordée en 2018[41].
Villers-Semeuse abrite aussi le centre d'insémination artificielle des Ardennes[42].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- La commune possédait un château, le château de Villers-devant-Mézières, fortement endommagé durant la Première puis la Seconde Guerre mondiale, finalement détruit dans les années 1950[43].
- Le fort des Ayvelles est un ancien bâtiment militaire construit à partir de 1876, déclassé en 1899, utilisé comme garnison durant la Première Guerre mondiale et occupé pendant la Seconde.
- L'église Saint-Pierre de Villers-Semeuse : (XVe siècle)[44]. L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1972[45]. Elle est construite en pierre de Dom. Le portail de l'église date de 1604, il est encadré par deux colonnes corinthiennes qui soutiennent le fronton. Au-dessus de celui-ci est sculpté le décret inspiré par Robespierre : ” Le peuple français reconnaît l’existence de l’Être suprême et l’immortalité de l’Âme ”.
- L'église contient notamment un buste reliquaire de saint Pierre en bois polychrome du XVIIe siècle[46]. Le maître-autel et ses accessoires date du XVIIIe siècle[47].
-
La place Roger Aubry et la mairie
-
Le jardin public Solange Demarville.
-
Eglise Saint Pierre de Villers-Semeuse
-
Portail de l'église
-
Cadran solaire sur la façade de l'église
Personnalités liées à la commune
modifier- Natifs de la commune
- Jules Leroux (1880-1915), écrivain mort pour la France en 1915.
- Roger Marche (1924-1997), joueur de football, vainqueur de la coupe et du championnat de France, capitaine de l'équipe de France[48].
- Jacques Fabry (1931-2012), universitaire français, spécialiste des courants de pensée mystiques et ésotériques allemands du XIXe siècle.
- Éric Lareine (1954-) - artiste, comédien, auteur, musicien.
- Pierre Lejoyeux, (1961-2018), auteur français de livres-jeux et de jeu de rôle.
- Alain Puiseux (1963-), écrivain et un directeur de publication français, auteur de roman policier.
- Pascal Dupuis (1964-), joueur de football reconverti en entraîneur.
- Didier Mandelli (1964-), chef d'entreprise, maire du Poiré-sur-Vie de 2001 à 2015, et sénateur de Vendée depuis 2014.
- Jean-Luc Warsmann (1965-), politicien, vice-président de l'assemblée nationale de 2005 à 2007.
- Stéphanie Mariage (1966-), pongiste, médaillée aux Jeux paralympiques.
- Isabelle Rauch (1968-), femme politique, députée depuis 2017.
- Lionel Vuibert (1968-), homme politique, député depuis 2022.
- Médéric Collignon (1970-), musicien.
- Samuel Wiart (1973-), joueur de football, champion de France de D2 en 1998.
- Patrick Regnault (1974-), joueur de football, finaliste de la coupe de France en 2005.
- Alexandre Dujeux (1976-), joueur de football reconverti en entraîneur.
- Marion Lécrivain (1982-), actrice et metteur en scène.
- Sandra Beuvière (1990-), athlète de cross.
- Lukas Moutarde (1998-), athlète de lancer de javelot.
Héraldique
modifierBlason | De sable à six fleurs de lys d'argent ordonnées 2.1.2.1. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- « Dossier complet : Commune de Villers-Semeuse (08480) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- Résumé statistique de Villers-Semeuse sur le site de l'Insee
- « Villers-Semeuse »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Villers-Semeuse » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Villers-Semeuse » sur Géoportail (consulté le 15 mai 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Ardennes », sur habitants.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Villers-Semeuse », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « la Meuse »
- Sandre, « le canal de l'Est Branche-Nord »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Villers-Semeuse et Charleville-Mézières », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Charleville-Méz. », sur la commune de Charleville-Mézières - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Charleville-Méz. », sur la commune de Charleville-Mézières - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Charleville-Mézières », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Charleville-Mézières », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Michel Tamine, Toponymie et hydronymie dans le département des Ardennes : Actes du Colloque d’onomastique de Reims (octobre 2005), vol. 13, Paris, Société française d'onomastique, coll. « Actes du Colloque d’onomastique de Reims (octobre 2005) », , p. 379.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Genève, Droz, , p. 368.
- « Atlas DGAC – Mézières – Tournes – Belval », Atlas historique des terrains d'aviation de France métropolitaine 1919-1947, sur anciens-aerodromes.com, (consulté le ).
- Plan des étapes du Circuit de l'Est, Programme officiel du Circuit de l'Est
- « Communes décorées de la Croix de guerre 1939-1945 » [PDF], Mémorial des batailles de la Marne - Dormans (51), (consulté le ), p. 5.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Résultats officiels pour la commune Villers-Semeuse
- Orianne Roger, « Les élections municipales ont été annulées : Le premier tour de nouvelles élections municipales à Villers- Semeuse aura lieu le 29 juin. Jérémy Dupuy et Franck Tuot ont déjà annoncé qu’ils en seront. », La Semaine des Ardennes, no 247, , p. 12 (ISSN 0753-3454)
- Damien Engrand, « Le tribunal annule l’élection municipale de Villers-Semeuse », L'Union L'Ardennais, (lire en ligne, consulté le )
- Guillaume Lévy et Damien Engrand, « Élection reportée: la commune sous tutelle : VILLERS-SEMEUSE (08). Le recours déposé par Franck Tuot (PCF) devant le tribunal administratif a débouché sur le report des élections municipales en septembre. La Ville est placée sous tutelle. », L'Union - L'Ardennais, (lire en ligne, consulté le ).
- Virginie Menvielle, « Jérémy Dupuy a définitivement été élu dimanche avec 68 % des voix : Carton plein pour Jérémy Dupuy qui remporte 1 689 voix et 21 des 24 sièges du conseil pour son équipe dès le premier tour », La Semaine des Ardennes, no 262, (lire en ligne).
- « Villers-Semeuse », Résultats aux municipales 2020, sur lemonde.fr (consulté le ).
- Didier Bigorgne, « JOLLY Louis, Émile : Né le 4 février 1908 à Sedan (Ardennes), mort le 1er novembre 1995 à Charleville-Mézières (Ardennes) ; cheminot ; syndicaliste CGT ; résistant, militant communiste jusqu’en 1960, et du Mouvement de la paix ; maire de Villers-Semeuse (Ardennes) de 1946 à 1965, puis de 1971 à 1977 », Le Maitron en ligne, (consulté le ).
- Olivier Durand et Manessa Terrien, « Ancien président du conseil général des Ardennes, Roger Aubry est décédé : Président du conseil général des Ardennes de 1995 à 2004, Roger Aubry est décédé lundi soir, à l'âge de 91 ans », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
- « Villers-Semeuse Les noces d'or de Jocelyne et Guy », L'Union, (lire en ligne, consulté le ) « Malgré une vie professionnelle bien remplie, Guy Ferreira est entré au conseil municipal sous les mandats de Roger Aubry, puis après quelques mandats devint adjoint. A la retraite de Roger Aubry en 2001, Guy Ferreira est maire de Villers-Semeuse. En 2008, il brigua un fauteuil au conseil général où il fut élu au premier tour ».
- Mirko Spasic, « Décès de Guy Ferreira, maire de Villers-Semeuse pendant 13 ans », L'Ardennais, (lire en ligne, consulté le ) « Guy Ferreira, maire de Villers-Semeuse durant deux mandats, vient de décéder à l’âge de 83 ans, un peu plus d’un an après son épouse Jocelyne ».
- « Tout s’est presque bien passé au conseil municipal », La Semaine des Ardennes, no 238, , p. 13 (ISSN 0753-3454)
- « Jérémy Dupuy se représente à la mairie de Villers-Semeuse : La candidature vient d’être annoncée sur les réseaux sociaux », L'Ardennais, (lire en ligne, consulté le ).
- « Jérémy Dupuy élu maire de Villers-Semeuse, six adjoints pour l’épauler : Ce lundi soir, le conseil municipal tenait sa première réunion de ce nouveau mandat », L'Ardennais, (lire en ligne, consulté le ).
- Site du comité des villes et villages fleuris de France
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Julien Azémar et Manessa Terrien, « Le Cora de Villers-Semeuse va pouvoir tripler la taille de sa galerie : Après deux ans de guérilla administrative, Cora vient d'obtenir l'autorisation de tripler la surface de sa galerie commerciale. Un coup de Trafalgar pour le commerce de centre-ville ? », L'Ardennais, (lire en ligne, consulté le ).
- « Un guichet unique pour les éleveurs ardennais à Villers-Semeuse », sur lardennais.fr, (consulté le ).
- Philippe Seydoux, Gentilhommières et Maisons fortes en Champagne : Marne et Ardennes, t. 1, Paris, Éditions de La Morande, , 320 p. (ISBN 2-902091-30-3), p. 176
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