Nothing Special   »   [go: up one dir, main page]

Vauvillers (Somme)

commune française du département de la Somme

Vauvillers est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Vauvillers
Vauvillers (Somme)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC Terre de Picardie
Maire
Mandat
Annick Maréchal
2020-2026
Code postal 80131
Code commune 80781
Démographie
Gentilé Vauvillerois
Population
municipale
216 hab. (2021 en évolution de −16,92 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 50′ 58″ nord, 2° 42′ 18″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 93 m
Superficie 6,22 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ham
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Vauvillers
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Vauvillers
Géolocalisation sur la carte : Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Vauvillers
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Vauvillers
Liens
Site web https://vauvillers80.fr

Géographie

modifier

Description

modifier

Village rural picard du Santerre, situé à proximité de l'ancienne route nationale 29 (actuelle RD 1029) et aisément accessible par les autoroutes A1 et A29.

En 2019, le village est desservi par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (lignes no 47 et no 59)[1].

Localisation

modifier

Hydrographie

modifier

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune 
Réseau hydrographique de Vauvillers[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 713 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Vauvillers est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (91,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,7 %), zones urbanisées (6,3 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols. 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Vaviller (1147) ; Waviller (1184) ; Wauviler (1200) ; Wauviller (1295) ; Wavilla (1214) ; Vauviller (1275) ; Wauvilez (1301) ; Vauvillers en Santerre (1415) ; Wervilliers (1513) ; Veuvillier (1513) ; Vauvilliers (1567) ; Wauvillé en Santars (1637) ; Vuavillé (1638) ; Vauvillier (1648) ; Wavillé (1657) ; Wauvillers (1710) ; Vauvillé (1695) ; Vauvillers (1728)[13].

Histoire

modifier

Des traces d'occupation gallo-romaines ont été retrouvées dans la commune[réf. nécessaire].

Durant une partie du Moyen Âge, le village dépend de la seigneurie de Framerville[réf. nécessaire].

Première Guerre mondiale

Le village a été profondément marqué par la Première Guerre mondiale, pendant laquelle il a été détruit en partie. À la suite du rassemblement à Vauvillers et dans d'autres villages proches de nombreux régiments français durant la nuit du 26 au s'engage la première bataille de Proyart, le , au terme de laquelle les troupes françaises se retirent. Vauvillers ne redeviendra français que fin et se trouve alors à l'arrière du front[14], traversé par les troupes montant au front, celles en revenant, les blessés, les approvisionnements, les prisonniers allemands... En 1915, les troupes anglaises remplacent l'armée française[15].

1916 est marquée en janvier et février par l'usage de gaz asphyxiants allemands à Frise et Chaulnes, qui sont ressentis au village. Le second trimestre est marqué par le regroupement de troupes, dans le cadre de la préparation de la Bataille de la Somme, qui dure du au [15].

L'armée allemande se replie en 1917 sur la ligne Hindenburg (Cambrai - Saint-Quentin), et le front se déplace vers l'est. Le , les allemands lancent l'Offensive du printemps, une puissante offensive. Le village est évacué des populations civiles et réoccupé par les l'armée allemande[15]. Le , durant la bataille de Picardie (08-1918), la commune est reprise par l'armée australienne, l'Australian Army[16].

La commune est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [17].

Politique et administration

modifier

Rattachement administratifs et électoraux

modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Chaulnes[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Ham.

Intercommunalité

modifier

La commune était adhérente de la communauté de communes de Haute-Picardie créée en 1994 sous le nom de communauté de communes de Chaulnes et environs, et qui a pris sa dénomination de communauté de communes de Haute-Picardie en 1999.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[19].

Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[20],[21],[22]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [23], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [24].

Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[25].

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs[26]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001[27] En cours
(au 10 juillet 2020)
Annick Maréchal DVD Agricultrice retraitée
Vice-présidente de la CC de Haute Picardie (2014 → 2016)
Vice-présidente de la CC Terre de Picardie (2017 → )
Réélue pour le mandat 2020-2026[28]

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

En 2021, la commune comptait 216 habitants[Note 3], en évolution de −16,92 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
317309344384415460445442447
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
410395377362348334341353334
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
321304280226222241235263224
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
211179157162189262278288278
2014 2019 2021 - - - - - -
262225216------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

modifier

Lieux et monuments

modifier
  • Église Saint-Éloi de Vauvillers, dont les parties les plus anciennes, d'architecture romane, datent de la fin du XIIe siècle, avec la tour de croisée et le bras du transept du XIIe siècle. Le bâtiment a subi des remaniements correspondant aux styles gothique, renaissance (chœur et croisée du transept : XVIe siècle) et classique (nef et bas-côtés du XVIIe siècle). Le clocher date du XVIIe ou du XVIIIe siècle[32],[33]
Restaurée en 1920, elle est la seule église de l'ancien canton de Chaulnes restée debout après la Première Guerre mondiale[15].
Elle contient des fonts baptismaux en calcaire taillé du XIIIe siècle, classés monument historique[34].
  • Oratoire dédié à la Vierge. Il est construit près de l'église en 1960, avec des pierres provenant de la carrière de Cappy[35].
  • Rosieres British Cemetery, cimetière militaire du Commonwealth de la Première Gierre mondiale.

Personnalités liées à la commune

modifier

Voir aussi

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

modifier
  • Olivier Garcin, Le Santerre à l'amont de la Luce, histoire des origines à 1900, tome second : Rosières-en-Santerre et ses alentours, Mortagne-au-Perche, La Vague verte, 2016 (ISBN 978 - 2 - 35 637 - 081 - 5).

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Notes et références

modifier
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Vauvillers » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. « Le réseau Trans'80 en ligne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Vauvillers et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Vauvillers ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 370 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  14. capitaine Helbronner, Section photographique de l'armée, « Photo : Vauvillers. Un coin du village : au premier plan : à gauche caporal mitrailleur Nicolas, du 75 régiment d'infanterie cité à l'ordre du C.A. pour avoir été chercher sous le feu les instruments géodésiques du capitaine Helbronner renversé par le déplacement d'air d'un éclatement d'obus, le 8 décembre », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 38, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  15. a b c et d Panneau d'informations communal.
  16. Foch et la bataille de 1918, André Laffargue.
  17. Journal officiel du 30 octobre 1920
  18. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s'est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l'occasion d'annoncer la volonté de l'intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  20. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  21. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  22. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L'annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  23. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  24. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
  25. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
  26. « Les maires de Vauvillers », sur francegenweb.org (consulté le ).
  27. Alix Penichou, « Annick Maréchal : « Être maire est un sacerdoce ! » : Notre série à la rencontre des maires agriculteurs se poursuit à Vauvillers, près de Rosières-en-Santerre. Annick Maréchal y exerce sa fonction avec passion : une qualité indispensable pour concilier la vie d'agricultrice, de mère de famille et de maire », Actualités, sur action-agricole-picarde.com, (consulté le ) « Elle est entrée au conseil municipal en 1995 « car mon beau-père y était, mais mon mari ne souhaitait pas prendre la relève. J'ai toujours fait du bénévolat et j'aime le contact humain, alors je me suis investie et je me suis vite passionnée pour la vie du village ». Elle a été élue maire en 2001 et souhaite le rester pour au moins un mandat encore. Depuis janvier, Annick est à la retraite ».
  28. « Annick Maréchal réélue à Vauvillers », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « L'église Saint-Eloi », notice no PA00116263, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Oswald Macqueron, « Aquarelles du  : A) Fonts baptismaux dans l'église de Vauvillers, d'après nature. B) Église de Vauvillers, d'après nature. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  34. « Les fonts baptismaux », notice no PM80001362, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  35. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 242 (ASIN B000WR15W8).