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Triumph Motor Company

constructeur britannique d'automobiles

Triumph Motor Company est un constructeur automobile anglais aujourd'hui disparu. Les droits de la branche automobile appartiennent à BMW. Cependant, la branche moto existe toujours, voir Triumph (moto).

Triumph Motor Company
logo de Triumph Motor Company
illustration de Triumph Motor Company

Création 1885
Disparition 1984
Forme juridique Société à capitaux privésVoir et modifier les données sur Wikidata
Siège social Coventry, West Midlands
Drapeau de la Grande-Bretagne Royaume-Uni
Directeurs Siegfried Bettmann (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Actionnaires Standard Motor Company (-)
Leyland (-)
British Leyland (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
Activité Automobile
Produits AutomobileVoir et modifier les données sur Wikidata
Société mère British Leyland (Austin Rover (en)) (1968–1988)
Rover Group (en) (1988–2000)
Sociétés sœurs Rover

La maison fut fondée par Siegfried Bettmann en 1885 sous le nom de S. Bettmann & Co, puis devint Triumph l'année suivante. Bettmann fut ensuite rejoint par Moritz Schulte, un autre citoyen allemand, et la compagnie commença à produire ses propres cycles dès 1889. Les associés ouvrirent également une filiale à Nuremberg qui resta liée à la maison mère jusqu'en 1929.

Histoire

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1934 Triumph Gloria Six
 
1937 Triumph Dolomite Roadster

Luxe et tâtonnements

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Dès 1885, Siegfried Bettmann importait des bicyclettes d'ailleurs en Europe et les vendait à Londres sous son propre label. L'année suivante, son entreprise adopta la marque déposée de Triumph, et en 1887, Moritz Schulte, également Allemand, le rejoignit comme associé. Deux ans plus tard, la compagnie commença à produire ses propres bicyclettes à Coventry, en Angleterre.

En 1902, Triumph commença la fabrication de motocyclettes et c'est seulement deux ans après l'acquisition du constructeur automobile Dawson en 1921 que furent présentés les premiers modèles de voitures. De facture classique, ces modèles n'eurent pas le succès escompté. En 1925, Triumph présenta la première voiture britannique de série équipée de freins hydrauliques Lockheed, la TCP de 1,9 l de cylindrée. En 1933, la nouvelle direction composée du lt-col C.V. Holbrook, de l'ingénieur Donald Healey et du styliste Walter Belgrove mis en production la Gloria à moteurs Coventry Climax de 4 et 6 cylindres. Une gamme fut développée : berline, torpédo et versions sportives à deux carburateurs. Mais, le marché de l'automobile traversait une crise liée au krach de 1929, et malgré la qualité de ses produits de plus en plus luxueux et innovants (voitures dotées de lave-glace, direction réglable, phare de marche arrière, double circuit de freinage, graissage automatique du châssis...), le constructeur voyait ses ventes diminuer inexorablement. En 1936, Donald Healey conçut la Dolomite, une voiture de sport ambitieuse inspirée de l'Alfa Romeo 8c 2300. Grâce à son moteur suralimenté à 8 cylindres double arbre à cames en tête de 140 chevaux (bhp), sa boîte de vitesses à présélection Wilson et ses 200 km/h en pointe, elle pouvait prétendre égaler les meilleures voitures de sport de l'entre-deux guerres. Mais son prix de 1 125 £ ne lui permit pas de trouver sa clientèle. De plus en plus en difficulté, Triumph dut la même année se séparer définitivement de sa branche motocyclette. Cela n'empêcha pas la marque de se retrouver sous administration contrôlée durant l'été 1939. Th. W. Wards racheta la société et, pendant la guerre, transforma les installations pour une production militaire (carburateurs d'avion et surtout chasseurs bombardiers Mosquito sous licence De Havilland).

Standardisation

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1954 Triumph Renown

À la fin des hostilités, victime des bombardements allemands sur Coventry, Triumph n'était plus qu'un nom. En 1945, la marque fut revendue à sir John Black, directeur des automobiles Standard. Sir John voulait concurrencer Jaguar (ex Standard-Swallow) à qui il vendait des moteurs depuis les années trente. Les premiers modèles Triumph de l'après-guerre n'offraient pourtant rien de révolutionnaire. La 1800, une berline plus que classique de style razor edge (ailes séparées, caisse haute et malle arrière) mais avec une carrosserie d'aluminium, ne se vendit qu'à 2 000 exemplaires en trois ans. Le roadster 2000 renouait avec une certaine volonté de produire une voiture sportive, mais ses performances bourgeoises et son style à cheval entre deux époques ne convainquirent que peu de clients. En 1949, dans un souci de standardisation, les modèles Triumph furent équipés de moteurs et de transmissions Standard. L'année suivante, la berline reçut le châssis de la Standard Vangard, elle prit alors le nom de Renown. Un nouveau modèle à caisse autoporteuse (le premier chez Triumph) et au style particulièrement "insulaire", la Mayflower, eut plus de succès sur le marché britannique et se vendit à 32 000 exemplaires en quatre années de production. Son nom était une preuve de la volonté de sir John Black de percer sur le marché américain.

Standard fabriquait une gamme de petites berlines nommées Standard Eight et Ten, et travaillait à leur replacement. Le succès de la gamme TR fit que le nom Triumph était plus commercial que le nom Standard, et la nouvelle voiture introduite en 1959 s'appela la Triumph Herald.

Triumph Roadsters

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1948 Triumph Roadster
 
1974 Triumph TR6

Au salon de l'automobile d'Earl's Court de 1950, Triumph présenta un prototype de voiture de sport équipé d'un moteur et d'une transmission de Vanguard doté notamment d'un overdrive, de phares escamotables et de gadgets électriques (ouverture du capot) ou commandés par la dépression de l'admission du moteur (sièges et antenne de radio). Ce projet fut jugé trop futuriste et la marque prétexta le début de la guerre de Corée pour le remiser après seulement deux exemplaires construits.

Deux ans plus tard, un autre prototype plus simpliste, la 20 TS (appelé parfois TR1), basé sur le châssis d'avant-guerre de la Standard 10 et doté du même moteur que les tracteurs Ferguson allait donner naissance à la lignée de sportives qui seraient le plus grand succès commercial de Triumph (plus de 200 000 exemplaires vendus, dont plus de 90 % à l'exportation) les TR, pour Triumph Roadster. Voiture sportive économique, la TR2 se plaçait remarquablement bien dans la gamme des roadsters britanniques vendus sur le marché américain. Plus moderne et plus rapide que la MG TD et nettement meilleur marché que la Jaguar XK 120, la TR2 offrait, avec ses 170 km/h, des performances plus qu'honorables grâce à son moteur 2 litres de 90 chevaux à deux carburateurs SU à dépression constante. En 1956, apparut la TR3 qui reçut l'année suivante des freins à disques à l'avant et qui devint ensuite la TR3 A.

La grande nouveauté survint en 1961 avec la TR4 dessinée par le carrossier italien Giovanni Michelotti et dotée d'un moteur de 2,2 litres et d'une boîte de vitesses entièrement synchronisée. Le marché américain, plus conservateur, se réserva la nouvelle version 2,2 litres de la TR3 (TR3 B). Le roadster Triumph reçut enfin un pont arrière à roues indépendantes avec la TR4 A IRS (Independante Rear Suspension). Au milieu des années 1960, Triumph présenta sur la TR5 (TR250 aux États-Unis) un nouveau moteur à 6 cylindres pourvu d'une injection mécanique Lucas.

La dernière vraie Triumph Roadster fut la TR6 présentée en 1969, restylée par le carrossier allemand Karmann (Michelotti ne pouvant assumer cette tâche à ce moment-là). Mais, les nouvelles normes de sécurité passive introduites aux États-Unis durant les années 1970 poussèrent la direction de la marque à présenter une voiture entièrement nouvelle mais moins rapide, techniquement moins évoluée et surtout équipée d'un toit fixe, la TR7. Une version à moteur V8 Rover suivra, la TR8.

Herald et Spitfire

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1960 Triumph Herald 948 cm3 Coupé
 
1974 Triumph GT6 Coupé

De 1956 à 1958, la série TR constituait l'essentiel de la production de Triumph. La marque Standard voyait ses ventes stagner à cause du mauvais accueil de ses nouveaux modèles 8 et 10 HP. La direction du groupe décida donc d'investir 2 millions de livres sterling dans le lancement d'un nouveau modèle de voiture de tourisme sous la marque Triumph. Dessinée par Michelotti, la Triumph Herald fut jugée révolutionnaire malgré son châssis séparé. Doté d'un moteur 4 cylindres de 948 cm3, le nouveau modèle innovait par ses suspensions à quatre roues indépendantes, sa direction à crémaillère sans épure de Jeantaud et son capot entièrement basculant vers l'avant. Disponible en coupé et en cabriolet 4 places, elle fut produite jusqu'en 1971. Une version à moteur 6 cylindres en ligne de 1,6 litre de cylindrée, la Vitesse, fut proposée dès 1962. Le principal défaut de l'Herald venait de sa suspension arrière indépendante à carrossage variable : les arbres de transmission n'étaient articulés que du côté pont, ce qui créait un braquage induit lors des forts appuis en virage. Une solution à ce problème existait chez Triumph (suspension à triangle inférieur), mais pour des raisons de coûts de production, elle ne fut pas appliquée.

En 1962, un roadster rustique basé sur le châssis de l'Herald vint compléter la gamme, la Spitfire. Voiture de sport économique et amusante, elle concurrençait les Austin-Healey Sprite et les MG Midget. Comme la Herald, son moteur évolua en cylindrée pour passer d'abord à 1 147 cm3 (63 ch) puis à 1 300 cm3 (75 ch), finalement, en 1975, la Spitfire hérita du dernier développement de ce bloc moteur 1 500 cm3 qui sera par la suite également utilisé dans la MG Midget. La GT6, une version coupé à moteur 6 cylindres de 2 litres fut présentée en 1966, elle était équipée de la suspension arrière triangulée. La Spitfire et la GT6 furent diffusées sous différentes versions de carrosserie jusqu'en 1981.

Personnalités ayant possédé ou possédant une Triumph

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  • Le producteur Johnny Starck qui offrît uneTriumph TR3 à l’occasion des 17 ans de Johnny Hallyday

Plusieurs exemplaires de la Triumph TR4 pour la police ont été mis en circulation au Royaume-Uni.

En 1979, Jean-Pierre Jaussaud remporte le titre de champion de France des voitures de production avec une Triumph Dolomite.̩

Simo Lampinen pilote finlandais de rallye automobile conduira pour Peugeot, Fiat et Triumph.

Films avec une Triumph

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Le rachat par Leyland et la fusion avec BMC

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1967 Triumph 1300

En 1961, Standard-Triumph fut racheté par Leyland Motor Corporation. La nouvelle direction supprima la marque Standard (en 1963) et compléta la gamme Triumph avec la Spitfire et la berline 2000. Une gamme de voitures de tourisme fut mise en place : Herald, 2000, et la nouvelle 1300 à traction avant présentée en 1965. En 1968, Leyland fusionna avec BMC, issu du groupe Nuffield (empire industriel fondé par William Richard Morris, lord Nuffield). Triumph se trouva donc en concurrence interne avec Rover et MG. Un nouveau modèle de sport sortit en 1970, la Stag à moteur V8 de 3 litres et une berline moyenne, la Dolomite. La Stag souffrit du manque de mise au point de son moteur et acquit une réputation de voiture à problèmes, comme la TR 7 présentée en 1975. La Dolomite donna naissance à une version sportive, la Sprint à moteur 2 litres 16 soupapes de 127 chevaux.

La chute

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1971 Triumph 1500 prototype selon Michelotti (jamais commercialisé)

Les différentes restructurations et fusions qui émaillèrent l'industrie automobile anglaise à la fin des années 1960, ainsi que les normes antipollutions et sécuritaires instaurées aux États-Unis (principal marché d'exportation et première source de revenus de l'industrie automobile anglaise), causèrent le déclin de Triumph et de la British Leyland. Le dernier modèle à porter le nom de Triumph fut une version de la Honda Ballade produite en Angleterre, l'Acclaim. Triumph disparut en 1984. Aujourd'hui, les droits d'utilisation du nom Triumph appartiennent à BMW qui avait repris Rover en 1994. BMW refusa de vendre le nom « Triumph » lors du rachat de MG Rover en 2000 par le groupe Phoenix Venture Holdings, ce qui permet d'espérer qu'un modèle sportif portant ce nom puisse à nouveau voir le jour dans le futur.

Modèle de voitures Triumph

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Avant-guerre

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Nom du modèle Moteur année
Triumph 10/20 (en) 4 cylindres en ligne
1 393 cm3 -
1923 - 1925
Triumph 13/35 (en) 4 cylindres en ligne
1 872 cm3
1927
Triumph 15/50 (en) ou Fifteen 4 cylindres en ligne
2 169 cm3
1926 - 1930
Triumph Super 7 (en) 4 cylindres en ligne
747 cm3
1928
Triumph Super 8 4 cylindres en ligne
832 cm3
1930
Triumph Super 9 (en) 4 cylindres en ligne
1 018 cm3
1932
Triumph Gloria 10 4 cylindres en ligne
1 087 cm3
1933
Triumph 12-6 Scorpion 4 cylindres en ligne
1 203 cm3
1931 - 1933
Triumph Southern Cross 4 cylindres en ligne
1 087 / 1 232 cm3
1932
Triumph Gloria Four 4 cylindres en ligne
1 232 / 1 496 cm3
1934 - 1937
Triumph Gloria Six 6 cylindres en ligne
1 476 / 1 991 cm3
1934 - 1935
Triumph Gloria 14 4 cylindres en ligne
1 496 / 1 767 cm3
1937 - 1938
Triumph Dolomite 8 8 cylindres en ligne
1 990 cm3
1934
Triumph Dolomite Vitesse 14 4 et 6 cylindres en ligne
1 767 / 1 991 cm3
1937 - 1938
Triumph Dolomite 14/60 4 et 6 cylindres en ligne
1 767 / 1 991 cm3
1937 - 1939
Triumph Dolomite Roadster 4 et 6 cylindres en ligne
1 767 / 1 991 cm3
1937 - 1939
Triumph 12 4 cylindres en ligne
1 496 cm3
1939 - 1940

Après-guerre

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Nom du modèle Moteur année
Triumph 1800 Saloon 4 cylindres en ligne
1 776 cm3
1946 - 1949
Triumph 1800 Roadster 4 cylindres en ligne
1 776 cm3
1946 - 1948
Triumph 2000 Saloon 4 cylindres en ligne
2 088 cm3
1949 - 1951
Triumph 2000 Roadster 4 cylindres en ligne
2 088 cm3
1948 - 1949
Triumph Renown 4 cylindres en ligne
2 088 cm3
1949 - 1952
Triumph Mayflower 4 cylindres en ligne
1 247 cm3
1949 - 1953
Triumph TR1 4 cylindres en ligne
2 208 cm3
1950
Triumph TR2 4 cylindres en ligne
1 991 cm3
1953 - 1955
Triumph TR3 4 cylindres en ligne
1 991 cm3
1956 - 1958
Triumph TR3A 4 cylindres en ligne
1 991 cm3
1958 - 1962
Triumph TR3B 4 cylindres en ligne
2 138 cm3
1962
Triumph Italia (en) 4 cylindres en ligne
1 991 cm3
1959 - 1962
Triumph TR4 4 cylindres en ligne
2 138 cm3
1961 - 1965
Triumph TR4A 4 cylindres en ligne
2 138 cm3
1965 - 1967
Triumph TR5 6 cylindres en ligne
2 498 cm3
1967 - 1969
Triumph TR250 6 cylindres en ligne
2 498 cm3
1967 - 1969
Triumph Dove GTR4 4 cylindres en ligne
2 138 cm3
1961 - 1964
Triumph TR6 6 cylindres en ligne
2 498 cm3
1969 - 1976
Triumph TR7 4 cylindres en ligne
1 998 cm3
1975 - 1981
Triumph TR8 (en) V8
3 528 cm3
1979 - 1981
Triumph Spitfire 4 (Spitfire Mk I) 4 cylindres en ligne
1 147 cm3
1962 - 1965
Triumph Spitfire Mk 2 4 cylindres en ligne
1 147 cm3
1965 - 1967
Triumph Spitfire Mk III 4 cylindres en ligne
1 296 cm3
1967 - 1970
Triumph Spitfire Mk IV 4 cylindres en ligne
1 296 cm3
1970 - 1974
Triumph Spitfire 1500 4 cylindres en ligne
1 493 cm3
1974 - 1980
Triumph GT6 6 cylindres en ligne
1 998 cm3
1966 - 1973
Triumph Herald 4 cylindres en ligne
948 cm3
1959 - 1964
Triumph Herald 1200 4 cylindres en ligne
1 147 cm3
1961 - 1970
Triumph Herald 12/50 4 cylindres en ligne
1 147 cm3
1963 - 1967
Triumph Herald 13/60 4 cylindres en ligne
1 296 cm3
1967 - 1971
Triumph Vitesse 6 6 cylindres en ligne
1 596 cm3
1962 - 1966
Triumph Vitesse Sports 6 (Version US de Vitesse 6) 6 cylindres en ligne
1 596 cm3
1962 - 1964
Triumph Vitesse 2-litre et Vitesse Mark 2 6 cylindres en ligne
1 998 cm3
1966 - 1971
Triumph 1300 4 cylindres en ligne
1 296 cm3
1965 - 1970
Triumph 1300 TC 4 cylindres en ligne
1 296 cm3
1967 - 1970
Triumph 1500 4 cylindres en ligne
1 493 cm3
1970 - 1973
Triumph 1500 TC 4 cylindres en ligne
1 493 cm3
1973 - 1976
Triumph Stag V8
2 997 cm3
1971 - 1977
Triumph Toledo 4 cylindres en ligne
1 296 cm3
1970 - 1978
Triumph Dolomite 1300 4 cylindres en ligne
1 296 cm3
1976 - 1980
Triumph Dolomite 1500 4 cylindres en ligne
1 493 cm3
1976 - 1980
Triumph Dolomite 1500 HL 4 cylindres en ligne
1 493 cm3
1976 - 1980
Triumph Dolomite 1850 4 cylindres en ligne
1 850 cm3
1972 - 1976
Triumph Dolomite 1850 HL 4 cylindres en ligne
1 850 cm3
1976 - 1980
Triumph Dolomite Sprint 4 cylindres en ligne
1 998 cm3
1973 - 1980
Triumph 2000 6 cylindres en ligne
1 998 cm3
1963 - 1975
Triumph 2.5 PI 6 cylindres en ligne
2 498 cm3
1968 - 1977
Triumph 2500 TC & S 6 cylindres en ligne
2 498 cm3
1974 - 1977
Triumph Acclaim (en) 4 cylindres en ligne
1 335 cm3
1981 - 1984

Notes et références

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  1. « Maison de vente aux enchères », sur FEE - Stanislas Machoïr (consulté le ).

Voir aussi

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Articles connexes

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