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Sam Neill

acteur, réalisateur, scénariste et producteur britanno-néo-zélandais

Sir Nigel Neill, dit Sam Neill /sæːm ˈniːl/[1], est un acteur, réalisateur, scénariste et producteur britannico-néo-zélandais, né le à Omagh, dans le Comté de Tyrone, en Irlande du Nord.

Sam Neill
Description de cette image, également commentée ci-après
Sam Neill en 2022.
Nom de naissance Nigel John Dermot Neill
Surnom Sam Neill
Naissance (77 ans)
Omagh, Irlande du Nord (Royaume-Uni)
Nationalité Drapeau du Royaume-Uni Britannique
Drapeau de la Nouvelle-Zélande Néo-zélandaise
Profession Acteur
Réalisateur
Scénariste
Producteur
Films notables Possession
Un cri dans la nuit
À la poursuite d'Octobre rouge
La Leçon de piano
Jurassic Park
L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux
Little Fish
Angel
The Hunter
Séries notables Merlin
Les Tudors
Peaky Blinders

Il est notamment connu pour avoir joué le rôle d'Alan Grant dans les 1er et 3e opus de la série de films Jurassic Park.

Il se fait d'abord remarquer dans Ma brillante carrière en 1979 et dans Possession en 1981, puis il est récompensé par un AFI Award du meilleur acteur pour Un cri dans la nuit en 1988.

Il obtient une reconnaissance critique et publique en 1993 pour ses rôles dans La Leçon de piano de Jane Campion et Jurassic Park de Steven Spielberg, ce dernier lui valant une notoriété internationale.

Il apparait aussi dans À la poursuite d'Octobre rouge en 1990, L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux en 1998 et The Hunter en 2011.

À la télévision, il joue dans les séries Merlin (1998), Les Tudors (2007) ou encore Peaky Blinders (2013-2014).

Biographie

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Enfance et formation

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Nigel John Dermot Neill est né le à Omagh, dans le comté de Tyrone en Irlande du Nord. Sa mère, Priscilla Beatrice (née Ingham), est anglaise et son père, Dermot Neill, est un officier néo-zélandais, formé à l'Académie royale militaire de Sandhurst et stationné chez les Irish Guards. Ils vivent à Armagh[2],[3],[4]. Son arrière-grand-père est le fondateur de Neill & Co à Dunedin en 1861, l'une des plus grosses sociétés d'importation d'alcool de Nouvelle-Zélande[3].

Étudiant

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En 1954, âgé de 7 ans, il déménage en Nouvelle-Zélande avec sa famille[4]. Il est alors inscrit au Christ's College de Christchurch, avant de suivre des études de littérature anglaise à l'université de Canterbury. Il étudie ensuite à l'université Victoria de Wellington d'où il sort diplômé d'un Bachelor of Arts en littérature anglaise[5].

À l'école, Nigel Neill prend le prénom Sam pour se différencier des autres Nigel et parce qu'il trouve que ce nom fait moins « ringard »[6]. Il le garde comme nom de scène.

Carrière

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Passionné par le théâtre, Sam Neill se met à jouer avec plusieurs compagnies néo-zélandaises après ses études. Il intègre ensuite la New Zealand National Film Unit (en) avec laquelle il travaille pendant six ans, réalisant des documentaires et apprenant l'écriture d'un scénario et le montage[2],[7].

Il commence sa carrière d'acteur en 1975 au cinéma dans Landfall (en) de Paul Maunder (en) puis Ashes de Barry Barclay (en). Il obtient le rôle principal de Sleeping Dogs de Roger Donaldson en 1977, puis joue dans Ma brillante carrière de Gillian Armstrong en 1979, face à Judy Davis. Avec ce dernier film, il se fait remarquer par l'acteur James Mason qui use de son influence sur les studios pour que Sam Neill joue le rôle de Damien Thorn adulte dans La Malédiction finale de Graham Baker en 1981, dernier volet de la trilogie La Malédiction[2],[7]. Cette même année, il est le rôle principal au côté d'Isabelle Adjani dans Possession d'Andrzej Żuławski. Au milieu des années 1980, il est l'un des acteurs à passer des auditions pour succéder à Roger Moore dans le rôle de James Bond. C'est finalement Timothy Dalton qui incarne l'agent 007 dans Tuer n'est pas jouer en 1987. Les essais de l'acteur sont visibles dans les bonus du DVD[8].

Il fait ses débuts à la télévision en 1976 dans la série The Sullivans (en), puis dans Young Ramsay (en) en 1980. En 1983, il joue dans la mini-série Reilly, Ace of Spies (en) et se voit nommé aux Golden Globe du meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm. En 1989, il joue le marquis de La Fayette dans le film La Révolution française. En 1991, il joue dans le téléfilm One Against the Wind de Larry Elikann pour lequel il est de nouveau nommé aux Golden Globes en tant que meilleur acteur[2],[5],[7].

 
Sam Neill en 2017.

L'acteur enchaîne les rôles sur grand écran : il est un dangereux espion du KGB dans Enigma, et un officier russe dans À la poursuite d'Octobre rouge de John McTiernan en 1990. Il est récompensé de l'Australian Film Institute Award du meilleur acteur pour son rôle du mari de Meryl Streep dans Un cri dans la nuit de Fred Schepisi en 1988. Il obtient une notoriété et une reconnaissance critique et publique en 1993 avec deux films : il interprète le paléontologue Alan Grant dans Jurassic Park de Steven Spielberg, et le mari violent d'Holly Hunter dans La Leçon de piano de Jane Campion[2],[5].

Il apparait dans la comédie romantique Sirènes de John Duigan en 1994, le film d'horreur L'Antre de la folie de John Carpenter la même année, les films de science-fiction Event Horizon, le vaisseau de l'au-delà de Paul W. S. Anderson en 1997 et L'Homme bicentenaire de Chris Columbus en 1999, et dans L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux de Robert Redford en 1999. Il retrouve le personnage du Pr Alan Grant dans Jurassic Park 3 de Joe Johnston en 2001. Dans les années 2000, il n’obtient plus de grand rôle, mais joue dans de nombreux films : Dirty Deeds (en) de David Caesar (en) en 2002, Perfect strangers (en) de Gaylene Preston en 2003, Little Fish de Rowan Woodsen 2005, Angel de François Ozon en 2007, Daybreakers de Michael et Peter Spierig en 2009, The Hunter de Daniel Nettheim en 2011[2],[5],[7].

En parallèle, dans les années 2000, Sam Neill apparaît plus souvent à la télévision. Il joue Merlin dans la mini-série du même nom en 1998 et dans sa suite L'Apprenti de Merlin en 2006. Il est nommé aux Primetime Emmy Awards et aux Golden Globes en tant que meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm. En 2007, il incarne le cardinal Thomas Wolsey, aux côtés de Jonathan Rhys-Meyers en Henri VIII, dans la première saison de la série Les Tudors, et se voit nommé au Festival de télévision de Monte-Carlo comme meilleur acteur. Il est présent dans Crusoe de 2008 à 2009, et dans Happy Town en 2010. Il joue l'agent du FBI Emerson Hauser dans Alcatraz en 2012. De 2013 à 2014, il incarne l'inspecteur Chester Campbell dans les deux premières saisons de l'acclamée Peaky Blinders[9]. Il interprète le général John MacArthur en 2015 dans And Then There Were None, adaptation du roman Dix petits nègres d'Agatha Christie.

En 2016, il forme un duo avec le jeune Julian Dennison dans la comédie d'aventure À la poursuite de Ricky Baker (Hunt for the Wilderpeople) de Taika Waititi[10]. L'année d'après, Waititi lui offre l'occasion de faire un petit tour dans l’univers cinématographique Marvel, Neil jouant un l'acteur de théâtre qui interprète Odin dans le film Thor : Ragnarok[11]. L'année suivante, il se bat avec un lapin qui lui vole les légumes de son jardin dans le film Pierre Lapin.

En 2022, il retrouve encore une fois son personnage du Dr Alan Grant dans Jurassic World : Le Monde d'après, troisième volet de la nouvelle trilogie lancée en 2015[12]. Sam Neill, qui a joué le rôle pour la dernière fois sur grand écran en 2001 dans Jurassic Park 3, fait son retour aux côtés des nouvelles stars Chris Pratt et Bryce Dallas Howard, tout en retrouvant ses partenaires d'antan, Laura Dern et Jeff Goldblum[12].

Il reprend également son rôle de l'acteur de théâtre jouant Odin dans Thor: Love and Thunder[13].

Vie privée

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Sam Neill au Festival international du film de Toronto en 2011.

Dans sa jeunesse, Sam Neill était atteint d'un fort bégaiement. Il « espérait que les gens ne lui parlent pas pour ne pas qu'il ait à répondre »[6].

En 1978, il se marie avec une actrice, Lisa Harrow. Ils divorcent en 1989. La même année, il épouse Noriko Watanabe, une maquilleuse japonaise. Ils ont deux enfants. Ils se sont néanmoins séparés en 2017[14]. Il entame en 2018 une relation avec la journaliste Laura Tingle, relation qui prend fin en février 2021[15].

En Nouvelle-Zélande, il possède depuis 1993 une propriété agricole dans le district de Central Otago, dans l'île du Sud, avec des vignes plantées en pinot noir et riesling. Son vin est vendu sous la dénomination Two Paddocks (en)[16].

En 1993, il est fait officier de l'Ordre de l'Empire britannique (OBE)[5]. En 2006, il devient un Compagnon distingué de l'Ordre du Mérite de Nouvelle-Zélande[17]. Mais en 2009, lorsque le système de chevalerie est remis en place, il refuse le titre de chevalier le considérant « juste bien trop grand, de loin »[18]. En 2002, il est fait docteur honoris causa en littérature par l'université de Canterbury[19],[20].

À 76 ans, Sam Neill a publié ses mémoires Did I Ever Tell You This ?, dans lesquels il révèle être traité pour un cancer du sang, plus exactement un lymphome angio-immunoblastique à cellules T[21].

Filmographie

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Cinéma

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Années 1970
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Années 1980
Années 1990
Années 2000
Années 2010
Années 2020

Télévision

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Téléfilms
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Séries télévisées
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Doublage

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Films d'animation
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Série d'animation
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Jeux vidéo
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Producteur

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Réalisateur

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  • 1974 : Telephone Etiquette (court métrage)
  • 2004 : The Brush-Off (téléfilm)

Scénariste

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  • 1974 : Telephone Etiquette de lui-même (court métrage)

Distinctions

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Récompenses

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Nominations

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Année Cérémonie Catégorie Œuvre
1985 Golden Globes Meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm Reilly, Ace of Spies (en)
1991 Australian Film Institute Awards Meilleur acteur Death in Brunswick (en)
1992 Golden Globes Meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm One Against the Wind
1993 Australian Film Institute Awards Meilleur acteur dans un second rôle La Leçon de piano
1998 Primetime Emmy Awards Meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm Merlin
1999 Golden Globes Meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm
2000 Australian Film Institute Awards Meilleur acteur dans un second rôle My Mother Frank (en)
2004 Australian Film Institute Awards Meilleur acteur dans une série dramatique ou une comédie Jessica l'insoumise
Meilleur réalisateur à la télévision The Brush-Off
2008 Festival de télévision de Monte-Carlo Meilleur acteur dans une série dramatique Les Tudors
2012 AACTA Awards Meilleur acteur dans un second rôle The Hunter

Voix francophones

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En version française, Sam Neill est doublé par Jacques Frantz de 1981 à 1984 dans Possession, Enigma et Le Sang des autres, puis en 1996 dans Le Don du roi. Pierre Arditi le double en 1981 dans La Malédiction finale, puis en 1989 dans La Révolution française. Hervé Bellon[22] le double régulièrement depuis 1988 dans Un cri dans la nuit, La Leçon de piano, Jurassic Park, Blanche-Neige : Le Plus Horrible des contes, Event Horizon, le vaisseau de l'au-delà, L'Homme bicentenaire et Jurassic Park 3.

En parallèle, il est doublé en 1989 par Bernard Murat dans Calme blanc, en 1990 par Michel Derain dans À la poursuite d'Octobre rouge, Michel Papineschi[23] le double entre 1992 et 1998 dans Les Aventures d'un homme invisible, Merlin et L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux, Bruno Devoldère le double en 1994 et 1995 dans Sirènes et L'Antre de la folie, Daniel Beretta le double en 1994 dans Le Livre de jungle[23] tandis que Patrick Béthune[23] est sa voix en 1996 dans Les Enfants de la Révolution.

Au milieu des années 2000, Papineschi le retrouve dans L'Apprenti de Merlin,Une place au soleil, Crusoe et Les Tudors, Jean-Yves Chatelais le double en 2003 dans La Plus Belle Victoire, François Marthouret en 2007 dans Angel[24] et de nouveau Patrick Béthune en 2008 dans Skin.

Bellon redevient sa voix régulière à partir de la fin des années 2010 avec les films Daybreakers, Je te promets et Évasion, avant de le doubler de manière systématique à partir de Thor : Ragnarok, le retrouvant notamment dans The Passenger, Pierre Lapin, Blackbird ou encore Invasion. En parallèle, il est doublé par Lionel Bourguet dans The Hunter, Samuel Labarthe dans Alcatraz[25], Hervé Jolly dans Mystères du cosmos[23], Féodor Atkine dans Peaky Blinders[23], Guy Chapellier dans Up and Down[23], Jean-Louis Faure dans Agatha Christie : Dix Petits Nègres[23], de nouveau Papineschi dans Backtrack : Les Revenants et Daniel Nicodème dans Tutankhamun.

En version québécoise, Mario Desmaraiss[26] est la voix québécoise régulière de l'acteur, le doublant notamment dans Les mémoires d'un homme invisible,L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux, L'Homme bicentenaire, Les Tudors, L'Aube des survivants, Le Vœu, Le Tombeau, Dernier arrêt ou encore Pierre Lapin. Il est également doublé par Vincent Davy[26] dans Le Livre de la jungle et Restauration, ainsi que par Guy Nadon dans Crusoé[26] et Yves Soutière dans Monde jurassique : la domination[26].

Notes et références

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  1. Prononciation en anglais néo-zélandais retranscrite selon la norme API.
  2. a b c d e et f « Biographie de Sam Neill », sur Allociné (consulté le ).
  3. a et b (en) Craig McLean, « Sam Neill on Peaky Blinders: "We can all identify with working-class crims" », sur le site du Telegraph, (consulté le ).
  4. a et b (en) « Sam Neill plays Belfast detective in BBC gangster drama », sur le site de la BBC, (consulté le ).
  5. a b c d et e (en) « Biographie de Sam Neill », sur le site du New York Times (consulté le ).
  6. a et b (en) « Interview de Sam Neill », sur le site d'ABC (consulté le ).
  7. a b c et d « Biographie de Sam Neill », sur le site de Première (consulté le ).
  8. Olivier Pallaruelo, « Ils auraient pu être James Bond... », sur Allociné, (consulté le ).
  9. « Peaky Blinders : Tom Hardy, Adrien Brody... Toutes les guests de la série depuis la saison 1 », sur allocine.fr, 125 octobre 2018 (consulté le )
  10. (en) « Review: In ‘Hunt for the Wilderpeople,’ Lighting Out for the Bush », sur nytimes.com, (consulté le )
  11. (en) « Thor: Ragnarok has some incredible unexpected cameos », sur radiotimes.com, (consulté le )
  12. a et b « Bande-annonce Jurassic World 3 : Alan Grant et les héros de Jurassic Park sont de retour ! », sur allocine.fr, (consulté le )
  13. « Thor 4 : ces caméos à ne pas rater dans Love and Thunder », sur allocine.fr, (consulté le )
  14. « PressReader.com - Digital Newspaper & Magazine Subscriptions », sur www.pressreader.com (consulté le )
  15. Alisha Buaya, « Hollywood actor Sam Neill and ABC presenter Laura Tingle 'split' », sur Mail Online, (consulté le )
  16. (en) « Message from the Proprietor », sur twopaddocks.com (consulté le ).
  17. (en) Chris Morris, « New Year Honours: Sam Neill tops bill », sur le site du New Zealand Herald, (consulté le ).
  18. (en) « Sir "just far too grand" for Neill », sur le site de l'Otago Daily Times, (consulté le ).
  19. (en) « Sam Neill Awarded Honorary LittD », sur nzine.co.nz, (consulté le ).
  20. [PDF](en) « Honorary Graduates », sur canterbury.ac.nz (consulté le ).
  21. (en) Lucy Clark, « Sam Neill on his new memoir and living with blood cancer: ‘I’m not afraid to die, but it would annoy me’ », sur The Guardian, (consulté le )
  22. « Doublages effectués par Hervé Bellon », sur AlloDoublage.com (consulté le ).
  23. a b c d e f et g « Comédiens ayant doublé Sam Neill en France », sur RS Doublage (consulté le ).
  24. « Doublage d’Angel », sur alterego75.fr (consulté le ).
  25. « Doublage d’Alcatraz », sur allodoublage.com (consulté le ).
  26. a b c et d « Comédiens ayant doublé Sam Neill au Québec », sur doublage.qc.ca (consulté le ).

Liens externes

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