Quesques
Quesques [kɛk] est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Quesques | |||||
La rue principale. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Boulogne-sur-Mer | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Desvres-Samer | ||||
Maire Mandat |
Paul Saint Maxent 2020-2026 |
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Code postal | 62240 | ||||
Code commune | 62678 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Quesquois | ||||
Population municipale |
712 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 52 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 42′ 15″ nord, 1° 56′ 01″ est | ||||
Altitude | Min. 67 m Max. 211 m |
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Superficie | 13,73 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Boulogne-sur-Mer (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Desvres | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | quesques.fr | ||||
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La commune fait partie de la communauté de communes de Desvres - Samer qui regroupe 31 communes et compte 23 221 habitants en 2021.
Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.
Géographie
modifierLocalisation
modifierLe territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :
Géologie et relief
modifierLe territoire communal se situe en limite de la boutonnière du Boulonnais.
Les terrains les plus anciens, du Jurassique supérieur, sont dans la partie basse, humide, argileuse et vallonnée. Elle est séparée du plateau oriental sec (du Crétacé supérieur) par une cuesta (coteaux calcaires du Crétacé inférieur). Le mont de Quesques culmine en haut de cette cote à environ 195 mètres d'altitude au nord-est du village, en haut du Fond d'Escœuilles, le point culminant de la commune étant à 211 mètres au moulin de Verval.
Hydrographie
modifierLe territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
C'est dans la commune que le fleuve côtier la Liane, cours d'eau naturel de 38 km, prend sa source et se jette dans la Manche au niveau de la commune de Boulogne-sur-Mer[1].
Paysages
modifierLa commune s'inscrit dans le « paysage boulonnais » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[2].
Ce paysage qui concerne 66 communes, se délimite : au Nord, par les paysages des coteaux calaisiens et du Pays de Licques, à l’Est, par le paysage du Haut pays d’Artois, et au Sud, par les paysages Montreuillois.
Le « paysage boulonnais », constitué d'une boutonnière bordée d’une cuesta définissant un pays d’enclosure, est essentiellement un paysage bocager composé de 47 % de son sol en herbe ou en forêt et de 31 % en herbage, avec, dans le sud et l’est, trois grandes forêts, celle de Boulogne, d’Hardelot et de Desvres et, au nord, le bassin de carrière avec l'extraction de la pierre de Marquise depuis le Moyen Âge et de la pierre marbrière dont l'extraction s'est développée au XIXe siècle.
La boutonnière est formée de trois ensembles écopaysagers : le plateau calcaire d’Artois qui forme le haut Boulonnais, la boutonnière qui forme la cuvette du bas Boulonnais et la cuesta formée d’escarpements calcaires. Dans ce paysage, on distingue trois entités :
- les vastes champs ouverts du Haut Boulonnais ;
- le bocage humide dans le Bas Boulonnais ;
- la couronne de la cuesta avec son dénivelé important et son caractère boisé[3].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 993 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nielles-lès-Bléquin à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 976,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Milieux naturels et biodiversité
modifierEspaces protégés
modifierLa protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10].
Dans ce cadre, la commune fait partie de deux espaces protégés :
- le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, d’une superficie de 132 499 hectares réparties sur 154 communes, géré par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[11] ;
- la côte d Escœuilles d’une superficie de 0,506 hectare. Terrain acquis (ou assimilé) et géré par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France[12].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 3] :
- les bois Court-Haut, bois Roblin, bois Fort-taille, bois du Locquin, bois de la Longue rue et leurs lisières. Cet petit ensemble forestier marque le revers méridional de la cuesta du pays de Licques, en contact direct avec la grande dépression du Boulonnais[13] ;
- le mont de Brunembert et le coteau de Quesques. Cette ZNIEFF est constituée du mont de Brunembert qui culmine à plus de 180 m, c'est un promontoire crayeux dominant la cuvette herbagère du Bas-Boulonnais, Ce mont est prolongé par le coteau de Quesques. Elle est entaillée par un vallon boisé très profond, la Fosse de la Creuze, d'où jaillissent plusieurs sources alimentant de petits ruisseaux s’écoulant vers le bocage herbager de Quesques[14].
et quatre ZNIEFF de type 2[Note 4] :
- la boutonnière de pays de Licques. Cette ZNIEFF, de 17 830 hectares, s'étend sur 43 communes[15] ;
- le complexe bocager du Bas-Boulonnais et de la Liane. Le complexe bocager du bas-Boulonnais et de la Liane s’étend entre Saint-Martin-Boulogne et Saint-Léonard à l’ouest et Quesques et Lottinghen à l’est. Il correspond à la cuvette herbagère du bas-Boulonnais[16] ;
- la vallée du Bléquin et les vallées sèches adjacentes au ruisseau d’Acquin. Cette ZNIEFF se situe sur les marges septentrionales du Haut-Pays d’Artois, en bordure des cuestas du Boulonnais et du pays de Licques[17] ;
- la cuesta du Boulonnais entre Neufchâtel-Hardelot et Colembert. Cette ZNIEFF marque la séparation entre les terrains du Jurassiques du Bas-Boulonnais et les plateaux crayeux des hautes terres Artésiennes[18].
-
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Quesques est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle est située hors unité urbaine[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[20]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (92,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43 %), zones agricoles hétérogènes (30,2 %), prairies (12,7 %), forêts (8,2 %), zones urbanisées (6 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
modifierLa commune se situe au sud de la RN 42, à 27 km de Boulogne-sur-Mer et 30 km de Saint-Omer par la route, ces deux villes permettant l'accès aux grandes lignes du réseau ferré. L'autoroute des Anglais (A26/E15) est la plus proche, à environ 19 km par la route à l'est. L'A16/E402 est à 24 km à l'ouest. L'accès aux services peut se faire dans plusieurs pôles secondaires : Desvres est à environ 11 km, Lumbres à 16 km, Colembert à 10 km, Licques à 12 km.
Risques naturels et technologiques
modifierRisque inondation
modifierÀ la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[24].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Kessiacum (~830-857), Reseka (1078), Kesseca (1080), Kessecum (1094), Kescha (1190), Keska (XIIIe siècle), Kesce (~1420), Quesques-en-Boullenois (1477), Keske (1512)[25], Quesques (1793), Quesque puis Quesques (depuis 1801)[26].
Selon Maurits Gysseling, le nom proviendrait d'un anthroponyme gallo-romain, Cassius[27].
Histoire
modifierEntre 1790 et 1794, la commune absorbe le village voisin de Le Verval[26].
Le Verval était, avant la Révolution française, le siège d'une seigneurie[28].
Seigneurs du village
modifier- Louis Ernest de Marbais, écuyer, est en 1716, seigneur du Verval et de Caleuesle, échevin de la ville d'Arras, avocat au Parlement, député des États d'Artois à la cour de France. Il est le fils de Jean Louis de Marbais, conseiller au conseil d'Artois. Il obtient en août 1716, des lettres patentes établies à Paris le reconnaissant et le maintenant dans l'état de noblesse. Il a eu quatre enfants qui le 11 mai 1746 ont eu l'autorisation de faire lever une expédition des lettres de 1716 :
- Jean Louis Édouard de Marbais, écuyer, seigneur de Collenette, major de la brigade de Montmorency, au régiment royal des carabiniers, chevalier de Saint-Louis
- Jacques François Ernest de Marbais, écuyer, seigneur du Verval, garde du roi d'Espagne et capitaine de cavalerie par commission
- Philippe François Eugène de Marbais, écuyer, seigneur de la Tour, capitaine au régiment de Bruxelles au service du roi d'Espagne
- Demoiselle Rosalie de Marbais[28].
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement de Boulogne-sur-Mer du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
modifierLa commune est membre de la communauté de communes de Desvres - Samer.
Circonscriptions administratives
modifierLa commune est rattachée au canton de Desvres.
Circonscriptions électorales
modifierPour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
modifierListe des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].
En 2021, la commune comptait 712 habitants[Note 6], en évolution de +9,54 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierEn 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 338 hommes pour 343 femmes, soit un taux de 50,37 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Sports et loisirs
modifierEn , la commune, aidée à hauteur de 80 % par l’État, le département et l’Agence nationale du sport, inaugure un terrain multisports où il est possible de pratiquer le football, le basket-ball, le volley-ball et le tennis[40].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- L'église.
- Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
modifier- François Auguste Delengaigne (1894-1951), né au Verval, un hameau de la commune, puis domicilié et mort à Alquines, considéré comme le « plus grand mutilé de France » de la Première Guerre mondiale, est fait officier de la Légion d'honneur en 1933[41],[42],[43].
Héraldique
modifierBlason | D'or à la fasce bandée d'argent et de gueules[44]. |
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Détails | Armes attribuées d'office par les commis de Charles d'Hozier au chapitre de la collégiale de Saint-Pol, qui possédait avant la Révolution la terre de Quesques. Utilisé par la commune. |
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Sandre, « Fiche cours d'eau - Liane (E53-0020 ) » (consulté le )
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages boulonnais », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Quesques (62678) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- Joël Rochoy, « Quesques : le terrain multisport sera opérationnel à la rentrée », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Bruno Delannoy, « Le plus grand mutilé de la Première Guerre mondiale repose au cimetière d’Alquines », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « François Delengaigne (1894-1951) — Wikipasdecalais », sur wikipasdecalais.fr (consulté le ).
- « François Auguste DELENGAIGNE, le plus grand mutilé de France », sur alquines.net (consulté le ).
- « 62678 Quesques (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).