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Les Lèves-et-Thoumeyragues

commune française du département de la Gironde

Les Lèves-et-Thoumeyragues est une commune française, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Les Lèves-et-Thoumeyragues
Les Lèves-et-Thoumeyragues
Les Lèves, l'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité CC du Pays Foyen
Maire
Mandat
Alain Piroux
2023-2026
Code postal 33220
Code commune 33242
Démographie
Gentilé Lévois
Population
municipale
558 hab. (2021 en évolution de −1,41 % par rapport à 2015)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 47′ 38″ nord, 0° 10′ 32″ est
Altitude Min. 30 m
Max. 126 m
Superficie 15,58 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Pineuilh
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Réolais et des Bastides
Législatives 10e circonscription de la Gironde
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Les Lèves-et-Thoumeyragues
Géolocalisation sur la carte : France
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Les Lèves-et-Thoumeyragues
Géolocalisation sur la carte : Gironde
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Les Lèves-et-Thoumeyragues
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Les Lèves-et-Thoumeyragues

Cette commune viticole se trouve dans l'appellation sainte-foy-bordeaux et bordeaux supérieur.

Géographie

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Localisation

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Les-Lèves-et-Thoumeyragues est une commune viticole de Gironde située à 7 km au sud de Sainte-Foy-la-Grande.

Elle se trouve dans l'aire d'attraction de Pineuilh, dans la zone d'emploi de Bergerac et dans le bassin de vie de Sainte-Foy-la-Grande[I 1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Saint-André-et-Appelles, Caplong, Landerrouat, Margueron, Riocaud, La Roquille, Saint-Quentin-de-Caplong et Savignac-de-Duras.

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 15,58 km2 ; son altitude varie de 30 à 126 mètres[2].

Hydrographie

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Carte hydrographique de la commune.

La commune est drainée par la Gravouse, un affluent du fleuve la Dordogne.

Le ruisseau de Billouquet parcours le sud du territoire communal et y conflue dans la Gravouse.

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

  • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,5 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 813 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1984 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[9]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records LES LEVES THOUM (33) - alt : 80 m 44° 46′ 24″ N, 0° 12′ 30″ E
Statistiques établies sur la période 1984-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1984 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1 1,3 3,1 5,3 9,2 12 13,7 13,5 10,3 8,1 3,8 1,7 6,9
Température moyenne (°C) 5,2 6,4 9 11,4 15,4 18,5 20,6 20,6 17,1 13,8 8,5 5,9 12,7
Température maximale moyenne (°C) 9,4 11,5 15 17,5 21,6 25 27,5 27,6 24 19,5 13,2 10 18,5
Record de froid (°C)
date du record
−22,4
17.01.1987
−17
09.02.12
−11,5
01.03.05
−5,3
04.04.1996
−1,5
06.05.19
1,8
06.06.1986
4,5
02.07.12
2
30.08.1986
0,4
30.09.1987
−7,1
30.10.1997
−10,3
23.11.1988
−13
17.12.01
−22,4
1987
Record de chaleur (°C)
date du record
19,2
13.01.1993
25,8
27.02.19
26,8
20.03.05
29,8
07.04.11
34
30.05.01
38,8
27.06.11
41
23.07.19
41
05.08.03
36,5
03.09.05
31,4
03.10.1985
26
07.11.15
21,7
16.12.1989
41
2019
Précipitations (mm) 73,4 62,2 59,9 79,2 75,4 54,9 50 60,6 65,4 78,5 83,9 84,3 827,7
Source : « Fiche 33242001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme

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Typologie

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Au , Les Lèves-et-Thoumeyragues est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10].

Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pineuilh, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols. 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (60,2 %), zones agricoles hétérogènes (27,5 %), forêts (6,6 %), terres arables (2,9 %), prairies (2,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

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En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 322, alors qu'il était de 325 en 2016 et de 320 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 81,8 % étaient des résidences principales, 7,4 % des résidences secondaires et 10,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,2 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements aux Les Lèves-et-Thoumeyragues en 2021 en comparaison avec celle de la Gironde et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (7,4 %) par rapport au département (8,9 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement aux Les Lèves-et-Thoumeyragues en 2021.
Typologie Les Lèves-et-Thoumeyragues[I 3] Gironde[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 81,8 84,9 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,4 8,9 9,7
Logements vacants (en %) 10,8 6,2 8,1

Voies de communication et transports

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Réseau routier

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La station de chemin de fer la plus proche est la gare de Sainte-Foy-la-Grande, desservie par des trains TER Nouvelle-Aquitaine qui effectuent des missions entre les gares de Bordeaux-Saint-Jean et de Bergerac ou Sarlat-la-Canéda.

La commune n'est pas desservie par le réseau Trans Gironde.

Risques naturels et technologiques

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Le territoire de la commune des Lèves-et-Thoumeyragues est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[18],[16].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux des Lèves-et-Thoumeyragues.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 317 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 317 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie

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Le nom des Lèves provient du mot levées évoquant l’enlèvement des pierres à moellon d’une carrière appelée les Meulières[21].

En gascon, le nom de la commune est Las Lòtjas e Tomeiragas.

Histoire

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Temps modernes

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Le Pays Foyen étant très tôt devenu un bastion protestant, la religion réformée est présente aux Lèves dès 1561 et s’y développe rapidement[21].

Révolution française et Empire

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À la Révolution française, la paroisse Saint-Pierre des Lèves forme la commune des Lèves et la paroisse Notre-Dame de Thoumeyragues la commune de Thoumeyragues. En l'an X, la commune de Thoumeyragues est rattachée à celle des Lèves qui devient Les Lèves-et-Thoumeyragues[22],[2].

L’unification des deux anciennes paroisses permet d’attribuer un édifice à chaque communauté religieuse. De ce fait, l’église de Thoumeyragues est attribuée aux catholiques et celle des Lèves aux protestants. Un nouveau temple est finalement construit en 1827, ce qui permet de rétrocéder l’église des Lèves aux catholiques[21].

Époque contemporaine

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Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Libourne du département de la Gironde[I 1].

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Sainte-Foy-la-Grande[2]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton du Réolais et des Bastides[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription de la Gironde.

Intercommunalité

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Les Lèves-et-Thoumeyragues est membre fondateur de la communauté de communes du Pays Foyen[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2002 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

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Liste des maires successifs[23]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
vers 1869 1871 M. Faucher    
1871 1896 Guillaume Faucher    
1896 1900 Albert Duvergier    
1900 1908 Simon Larribet    
1908 1945 Albert Villeneuve    
1945 1948 Louis Durand    
juin 1948 1962 Paul Guionie    
décembre 1962 1977 Henri Capoul    
mars 1977 1989 Gaëtan Reillat[24]    
mars 1989 2008 Claude Capoul[25]   Viticulteur
mars 2008 janvier 2023[26] Jean-Michel Basset   Viticulteur
Vice-président de la CC du Pays Foyen
Démissionnaire
mars 2023[27] En cours
(au 30 novembre 2023)
Alain Piroux   Agriculteur

Équipements et services publics

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Enseignement

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Les enfants de la commune sont scolarisés dans une école de trois classes[28].

Population et société

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Les habitants sont appelés les Lévois[29].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 558 habitants[Note 5], en évolution de −1,41 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3854564401 0831 0971 0351 015959973
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
959974954976961916848861930
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
902906894797754758805804782
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
676669599555503543542530548
2015 2020 2021 - - - - - -
566561558------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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  • Festival Cirque & Jazz aux Écuries, organisé par le Collectif Azul Bangor et le Poney Club de Sainte-Foy-la-Grande, dont la 12e édition a eu lieu en avril 2024[33].
  • Théâtre Lévois
  • Fête locale annuelle, fin juillet
  • Football Club Les Lèves[34].

Sports et loisirs

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Économie

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Agriculture

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Le territoire communal, essentiellement voué à la viticulture, produit des vins d'appellation sainte-foy-bordeaux et bordeaux supérieur.

La commune est le siège social de la cave coopérative Univitis.

Commerces

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  • Une boulangerie-pâtisserie ;
  • Une station essence - tabac - presse ;
  • Un salon de coiffure ;
  • Une agence postale ;
  • Un restaurant, Le Moulin des Lèves.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Les Lèves, pigeonnier au hameau des Gourds
  • Église Notre-Dame à Thoumeyragues
  • Église Saint-Pierre des Lèves
  • Château de la Beauze
  • Château de la Roche
  • Château Les Vergnes
  • Moulin à vent de La Roche
  • Moulin à eau des Lèves
  • Moulin à eau des Jourdis
  • Château La Tour de Chollet
  • Château Les Sablonnets

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. Les Lèves-et-Thoumeyragues sur Géoportail, consulté le 5 mai 2015.
  2. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  9. « Fiche du Poste 33242001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pineuilh », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Trajet vers A62 sur Maps
  15. https://www.google.com/maps/dir/33220+Les+L%C3%A8ves-et-Thoumeyragues/44.9829955,0.1539114/@44.9828096,0.1538691,19z/data=!4m9!4m8!1m5!1m1!1s0x12aabb6d6b42c201:0xa266aa02a1c26450!2m2!1d0.172358!2d44.792858!1m0!3e0?authuser=0 Trajet vers A89 sur Maps]
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune des Lèves-et-Thoumeyragues », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune des Lèves-et-Thoumeyragues », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. a b et c Guillac sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 5 mai 2015.
  22. Historique des communes, p. 30, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 6 mai 2015.
  23. « Les maires de Lèves-et-Thoumeyragues (Les) », sur francegenweb.org (consulté le ).
  24. Jean-Michel Leblanc avec Olivier Pech, « Souvenez-vous : en octobre 1984, le président François Mitterrand était en Gironde », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ) « François Mitterrand a également profité de son passage pour visiter la cave coopérative des Lèves-et-Thoumeyragues, où le maire, Gaëtan Reillat, a dû garder son discours dans sa poche, le cortège présidentiel ayant plusieurs heures de retar ».
  25. « M. CAPOUL Claude », Avis de décès, sur carnet.sudouest.fr, (consulté le ).
  26. Jean-Claude Faure, « Les Lèves-et-Thoumeyragues : le maire Jean-Michel Basset démissionne pour raison de santé », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jean-Michel Basset, le maire des Lèves-et-Thoumeyragues et vice-président de la communauté de communes du Pays Foyen, annonce son retrait de la vie politique après quarante-six ans de vie municipale et trois mandats de maire ».
  27. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  28. « Les-Lèves-et-Thoumeyragues », Les communes, sur paysfoyen.fr (consulté le ).
  29. Nom des habitants sur le site habitants.fr, consulté le 6 mai 2015.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Jean-Claude Faure, « es Lèves-et-Thoumeyragues : Cirque & Jazz aux Écuries est paré pour sa douzième édition les 12 et 13 avril », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. Football Club Les Lèves.
  35. Jean-Claude Faure, « Les Lèves-et-Thoumeyragues : un concours qualificatif pour les championnats de France poney », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).