Dinsheim-sur-Bruche
Dinsheim-sur-Bruche (Dìnse en alsacien) est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Dinsheim-sur-Bruche | |
Le clocher de la mairie. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Bas-Rhin |
Arrondissement | Molsheim |
Intercommunalité | Communauté de communes de la Région de Molsheim-Mutzig |
Maire Mandat |
Marie-Reine Fischer 2020-2026 |
Code postal | 67190 |
Code commune | 67098 |
Démographie | |
Gentilé | Dinsheimois[1] |
Population municipale |
1 501 hab. (2021 ) |
Densité | 301 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 32′ 35″ nord, 7° 25′ 37″ est |
Altitude | Min. 195 m Max. 330 m |
Superficie | 4,98 km2 |
Type | Ceinture urbaine |
Unité urbaine | Molsheim (banlieue) |
Aire d'attraction | Strasbourg (partie française) (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Mutzig |
Législatives | Sixième circonscription |
Localisation | |
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Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Géographie
modifierComme son nom l'indique, Dinsheim-sur-Bruche se trouve dans la vallée de la Bruche, un affluent de l'Ill qui arrose la localité.
Hydrographie
modifierLa commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Bruche et le ruisseau Stillbach[2],[Carte 1].
La Bruche, d'une longueur de 77 km, prend sa source dans la commune de Urbeis et se jette dans l'Ill à Strasbourg, après avoir traversé 37 communes[3].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de 1 °C)[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 843 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 10,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Wangenbourg_sapc », sur la commune de Wangenbourg-Engenthal à 13 km à vol d'oiseau[6], est de 9,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 131,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 36,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16,9 °C, atteinte le [Note 2],[7],[8].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Dinsheim-sur-Bruche est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Molsheim[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant dix communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[13]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (72,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,6 %), forêts (17,1 %), cultures permanentes (14,6 %), prairies (12,4 %), zones urbanisées (11,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Histoire
modifierEn 1875, année sainte, fut érigée sur la colline du Schiebenberg (alt. 317 m) une statue de la Vierge à l’Enfant.
De 1828 à 1832, édification de l'église Saints-Simon-et-Jude. En 1834, le conseil municipal décida de faire construire un orgue de type Stiehr, le transport à Dinsheim fut effectué en décembre 1835.
En avril 1917, les autorités allemandes ont réquisitionné les tuyaux de façade de l'orgue de l'église.
Le , l'église fut victime d'un grave incendie qui détruisit presque totalement l'orgue. Il a été restauré en 1990.
Avant 2003, la commune s'appelait Dinsheim. La très grande similitude de nom avec le village de Dingsheim, dans le canton de Truchtersheim, provoquant de nombreuses confusions, il fut décidé d'ajouter l'appellation « sur-Bruche ». Cet ajout a été officialisé par le décret no 2003-736 du .
Politique et administration
modifierListe des maires
modifierAdministration municipale
modifierDinsheim-sur-Bruche est représentée par un conseil municipal de 14 membres qui gère les affaires de la commune. Cependant certaines compétences municipales ont été transférées à la communauté de communes de la région de Molsheim-Mutzig à laquelle deux élus sont délégués.
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[20].
En 2021, la commune comptait 1 501 habitants[Note 6], en évolution de +5,85 % par rapport à 2015 (Bas-Rhin : +3,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifierSur le ban de la commune présence d'une école maternelle et d'une école primaire.
Cultes
modifier- Paroisse catholique à l’église Saints-Simon-et-Jude.
- Paroisse protestante de Dorlisheim.
Sports
modifierLe S.C. Dinsheim évolue en division d'honneur depuis 2012. Après 24 journées lors de la saison 2011-2012, ils terminent premier d’Excellence A, synonyme de champion du Bas-Rhin et d'accession en D.H.
Économie et industrie
modifierDinsheim est le siège de l'usine Voltec Solar (fabrication de panneaux solaires)[23].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierNotre-Dame du Schiebenberg
modifierEn 1875, année sainte, fut érigée sur la colline du Schiebenberg (alt. 317 m) une statue de la Vierge à l'enfant. Elle a été inaugurée le . Son origine est tirée des événements de 1870 où le maire, le curé ainsi que le sacristain ont été arrêtés pour connivence avec l'ennemi par les Prussiens. Il se révèle être que la sonnerie de l'angélus qui par hasard a coïncidé avec une attaque sur Mutzig, avait été interprété comme un signal par l'état-major. Après la relaxe, la statue de la Vierge a été érigée en remerciement[24].
Église Saints-Simon-et-Jude
modifierCet édifice de style néo-classique a été érigé de 1828 à 1832. Cette église comprend un clocher semi-engagé à portique. La nef de six travées est très spacieuse tandis que le chœur polygonal est plus étroit. Sur le fronton du portail principal, un verset de l'ancien testament y est gravé en allemand : « Ce lieu n'est autre que la maison de Dieu, c'est la porte du ciel ». En 1835 fut installé un orgue de Stiehr[25], qui fut modifié en 1896 par Franz Kriess qui y installa une console mécanique indépendante. Après un grave incendie en 1987, l'église est restaurée.
Le paratonnerre situé sur le clocher est radioactif et devra être démonté prochainement[26].
Personnalités liées à la commune
modifier- Théophile Wucher (1859-1933), prêtre catholique, supérieur de l'Ordre provincial de la Société des Frères de la Miséricorde en Amérique, fondateur.
- Jacques-Émile Sontag (1869-1918), missionnaire lazariste, est premier archevêque latin de l'Archidiocèse d'Ispahan et Délégué apostolique en Perse. Il dénonce le génocide assyrien ou assyro-chaldéen perpétré par les forces ottomanes et kurdes à Ourmia-Salamas en 1915. Mgr Sontag est fusillé et meurt martyr le 31 juillet 1918. Une statue est inaugurée devant l'église en 2018 et un procès en canonisation est en cours.
- Martin Winterberger (1917-1993) est le seul Français évadé du camp de concentration de Natzweiler-Struthof.
Théophile WUCHER est né à Dinsheim-sur-Bruche en 1859, fils de François Joseph et de Marie Anne GILLMANN. Il entre à l'école apostolique des prêtres de la Miséricorde à Orléans vers 1875. Il est ordonné prêtre à Arras (Pas-de-Calais) en 1883.
En 1884, il émigre aux États-Unis d'Amérique. Il est nommé curé de la paroisse catholique franco-italienne Notre-Dame-des-Victoires à Paterson (New-Jersey). Théophile est largement soutenu par la colonie française de New-York City et maintes fois honoré. En 1891, il devient Supérieur de l'Ordre provincial de la Société des Frères de la Miséricorde aux États-Unis d'Amérique. L'année suivante, il reçoit la paroisse franco-américaine Saint-Vincent-de-Paul où il développera l'enseignement.
Il est à l'origine de nombreuses fondations : 1896 (avec Sœur Marie-Clotilde) "Jeanne-d'Arc Home[27]" (foyer temporaire pour les filles françaises séparées de leurs familles) ; 1898, Société pour la propagation de la foi. Par la suite, entre autres, création d'un asile pour les enfants, d'une maison de retraite, de deux églises (à Brooklyn et à Mornigside), édification et inauguration d'une statue dédiée à Sainte-Jeanne-d'Arc (la bénédiction du monument s'effectue en présence de l'ambassadeur de France Jean JUSSERAND et de Woodrow WILSON président des États-Unis).
Militant déterminé du retour de l'Alsace-Lorraine à la France, il participe notamment à la fondation du mémorial new-yorkais érigé en l'honneur des soldats français tombés au Champ d'honneur pendant la Première Guerre Mondiale. Théophile obtient la nationalité américaine en 1910.
Très attaché à ses origines franco-alsaciennes, il envoie des fonds pour la construction à Dinsheim-sur-Bruche du "Foyer Saint-Théophile" (géré depuis 1980 par la commune). En 1924, il participe au financement des 31 cloches du clocher de la basilique du Mont Sainte-Odile (patronne de l'Alsace). La même année, il est nommé chanoine honoraire de la cathédrale de Strasbourg. Le 30 avril 1933, Théophile célèbre à New-York City, le 50e anniversaire de son ordination ; il reçoit la bénédiction du pape Pie XI à cette occasion. Le 11 mai 1933, Sœur Marie-Clotilde relate cette journée dans une lettre envoyée à la nièce et filleule de Théophile, Amélie WUCHER épouse d'Ernest GUTLEBER de Dangolsheim : [...]"Le 30 avril l'église a été en jubilation pour fêter votre bon parrain. Il a eu toutes les honneurs possibles de notre St-Père le Pape, du cardinal de N.Y, des Monseigneurs les évêques, des prêtres, des religieux, religieuses et de tous ses amis ! L'église était bondée de monde. On a énuméré toutes les œuvres qu'il a fondées, qu'il a secourues etc." [...] On lui avait offert un banquet à l'hôtel, plus de 300 personnes y ont pris part, c'était une fête universelle"...
Le 3 mai 1933, dix jours avant son retour définitif dans son Alsace française, il meurt des suites d'une embolie pulmonaire. S'adressant à Amélie WUCHER, Sœur Marie-Clotilde explique [...]"Mardi il a dit sa dernière messe dans notre chapelle, à 10 heures il a assisté à un enterrement, dans l'après midi il a reçu les visites et a répondu à toutes les lettres de félicitations. Il était très gai au souper et à minuit il a crié au secours, il étouffait. Le docteur lui a donné deux piqûres pour le calmer et l'a emmené à l'hôpital, mais cela n'allait plus. On lui a donné les derniers sacrements de suite et à 3h du matin il a cessé de respirer et ainsi s'est terminé cette belle vie d'apôtre du Christ qui n'a vécu que pour lui"..."Nous avons prié près de sa dépouille mortelle pendant 3 jours, jour et nuit jusqu'à l'enterrement qui a eu lieu samedi à 10 h, l'église encore bondée avec ses amis. Le cardinal avec beaucoup de monsignoris, prêtres, religieux et religieuses y ont assisté. 6 voitures avec le corbillard l'ont accompagné à sa dernière demeure à l'église N.D. de Lourde ou il repose sous le maître autel"[...]. L'église Notre-Dame-de-Lourdes est détruite par un incendie en 1976, la dépouille de Théophile est déplacée l'année suivante au cimetière Saint-John à New-York City (en).
Olivier B. (07/2013)
Héraldique
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Les armes de Dinsheim-sur-Bruche se blasonnent ainsi : |
Le blason, reproduit d'après une ancienne borne du village, rappelle le flottage du bois pratiqué autrefois sur la Bruche.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Molsheim comprend deux villes-centres (Molsheim et Mutzig) et huit communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Dinsheim-sur-Bruche » sur Géoportail (consulté le 11 juin 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Le nom des habitants du 67 - Bas-Rhin - Habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Dinsheim-sur-Bruche », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « la Bruche »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Dinsheim-sur-Bruche et Wangenbourg-Engenthal », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Wangenbourg_sapc », sur la commune de Wangenbourg-Engenthal - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Wangenbourg_sapc », sur la commune de Wangenbourg-Engenthal - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Molsheim », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Dinsheim-sur-Bruche ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- [PDF] Liste des maires au 1 avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- https://www.francebleu.fr/emissions/l-eco-d-ici-en-alsace/les-difficultes-de-la-filiere-photovoltaique-lucas-weiss-pdg-de-voltec-solar-a-dinsheim-sur-bruche-7857192
- [1]
- L'orgue de Dinsheim
- « 67, Bas-Rhin – Google My Maps », sur Google My Maps (consulté le ).
- (en) « Jeanne d’Arc Residence »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Jeanne d’Arc Residence (consulté le ).
- Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur labanquedublason2.com (consulté le ).
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Jacques Baquol, L'Alsace ancienne et moderne ou Dictionnaire topographique, historique et statistique du Haut et du Bas-Rhin, Salomon, Strasbourg, 1865, p. 116-117
- Louis Schlaefli, « Aubergistes de Dinsheim, (1624-1864) », in Annuaire de la Société d'histoire et d'archéologie de Molsheim et environs, 1986, p. 35-39
- Louis Schlaefli, « Meuniers et moulins de Dinsheim sous l'ancien régime », in Annuaire de la Société d'histoire et d'archéologie de Molsheim et environs, 1996, p. 29-52