Coisy
Coisy est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Coisy | |||||
Église, les baies du côté sud. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Amiens | ||||
Intercommunalité | CC du Territoire Nord Picardie | ||||
Maire Mandat |
Claude Deflesselle 2020-2026 |
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Code postal | 80260 | ||||
Code commune | 80202 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Coisyssiens | ||||
Population municipale |
375 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 62 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 57′ 38″ nord, 2° 19′ 42″ est | ||||
Altitude | Min. 71 m Max. 129 m |
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Superficie | 6,08 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Amiens-2 | ||||
Législatives | 4e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://www.coisymairie.fr/ | ||||
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Géographie
modifierLocalisation
modifierCommunes limitrophes
modifierLa commune de Coisy est limitée au nord par Villers-Bocage, au sud-est par Rainneville, à l'est par Cardonnette, au sud par Poulainville et au sud-ouest par Bertangles[1].
Poulainville | Villers-Bocage | Rainneville | ||
Poulainville | N | |||
O Coisy E | ||||
S | ||||
Poulainville | Cardonnette |
Description
modifierCoisy est un village picard de l'Amiénois / vallée de l'Hallue situé à 8 km au nord d'Amiens, 22 km au sud de Doullens et à 24 km à l'ouest d'Albert.
Le territoire est limité à l'est par la RD 11, qui relie Amiens à Arras, et est aisément accessible depuis la RN 25 (Amiens - Doullens)
En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no 23 (Doullens - Beauquesne - Amiens) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés[2].
Le territoire, au nord, comprend 380 ha formant un dépôt argileux épais de 3 à 7 mètres, reposant sur une couche de terre glaise qui contient de gros cailloux de couleur brune ou noirâtre. Au-dessous de cette glaise, paraît la couche de craie blanche, compacte, homogène, parsemée de nœuds avec des silex horizontaux en rognons et en plaques. À l'est, au sud et au sud-ouest, sur une étendue de 192 ha, la craie blanche proprement dite constitue les versants des collines qui ondulent cette partie du territoire[3].
Les eaux du territoire descendant vers la Somme, les vallons qu'elles ont creusés ont leur direction générale au sud ; ces dépressions sont assez nombreuses et assez profondes pour que le relief du sol de chaque côté du village soit accidenté et présente l'apparence de collines alternant avec des vallons[3].
Hydrographie
modifierLa commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].
Toute la région crayeuse de l'est-sud-ouest est essentiellement perméable ; le plateau argileux nord, l'est beaucoup moins, mais suffisamment pour absorber les eaux pluviales. Il n'y a pas de sources sur les versants et la nappe phréatique alimentait à la fin du XIXe siècle celles qui se trouvent sur la rive droite de la Somme[3]..
Dans le village, il y avait à cette époque des puits communaux (90 mètres) qui ne tarissaient jamais, et quatre mares publiques alimentées par les eaux pluviales ; ces dernières demeuraient sèches pendant l'été[3]. L'une de ces mares subsiste au XIXe siècle. Empoissonnée par hasard, on y trouve désormais carpes, poissons rouges et blancs, ainsi que Notonectes (punaises aquatiques), des gallinules poules d'eau, grenouilles vertes, Piéride du chou (papillon), canards colvert, Calopteryx virgo (libellules), Vulcains (papillon)... La flore est notamment constituée de d'Iris pseudacorus, Acer pseudoplatanoides, Epilobium hirsutum, Ranunculus acris, Cirsium arvense, Salix alba, Plantago lanceolata, Urtica dioica, Sambucus nigra, Cornus sanguinea[4].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 767 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Glisy à 10 km à vol d'oiseau[7], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Coisy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,9 %), zones urbanisées (4,8 %), prairies (0,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Habitat et logement
modifierEn 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 150, alors qu'il était de 120 en 2014 et de 113 en 2009[I 2].
Parmi ces logements, 93 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 6,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Coisy en 2019 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,7 %) inférieure à celle du département (8,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,8 % en 2014), contre 60,2 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Coisy[I 2] | Somme[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 93 | 83,2 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 0,7 | 8,3 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 6,3 | 8,5 | 8,2 |
Toponymie
modifierLe plus ancien document qui fasse mention de Coisy est une charte de Thierry, évêque d'Amiens, de l'année 1156 sous la forme Choisi ; puis sous les formes Chosi en 1246 ; Coisi en 1246 ; Coisy en 1300 ; Choisy en 1579 ; Quoissy en 1634 ; Coissy en 1707 ; Quoisy en 1710 ; Coizy en 1730 ; Croissy en 1764 ; Quoisi en 1787[15].
Histoire
modifierDeux haches en silex, l'une taillée et l'autre polie, sont les seuls objets de l'époque celtique trouvés sur le territoire.
La période gallo-romaine est matérialisée par la voie romaine d'Amiens à Arras, et par celle de Corbie à Picquigny, dite « chemin de Périot », qui est une voie secondaire.
Au hameau de Flesseroles (cité en 1156), se trouvait un prieuré relevant de l'abbaye d'Anchin.
En 1570, à la suite de l'interdiction de faire des « prêches » de l'église réformée dans la ville d'Amiens, les assemblées protestantes se tiennent « hors les murs ». En 1581 et 1583, elles sont même interdites à Allonville et Picquigny[16]. À cette époque, des assemblées du culte protestant se tiennent à Coisy. Comme dans d'autres villages du secteur, un temple réformé est édifié à partir des années 1830[17].
Les caractéristiques topographiques de la commune et sa proximité de l'agglomération d'Amiens ont amené la R.T.F. (Radiodiffusion-Télévision Française) à choisir Coisy à la fin des années 50 pour y installer un émetteur provisoire de télévision de faible puissance[18]. Il desservait Amiens et ses environs jusqu'à l'achèvement et la mise en service du grand centre émetteur régional de Bouvigny-Boyeffles (Pas-de-Calais) en 1960.
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifier- Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme.
Elle faisait partie du canton de Villers-Bocage[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
- Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Amiens-2
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de la Somme.
Intercommunalité
modifierCoisy était membre de la communauté de communes Bocage Hallue, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes du Territoire Nord Picardie, dont Coisy est désormais membre.
Toutefois, la commune souhaite dès 2019 quitter le Territoire Nord Picardie pour rejoindre la communauté d'agglomération Amiens Métropole[20],[21]. En 2022, le conseil communautaire du Territoire Nord Picardie refuse ce transfert[22].
Liste des maires
modifierÉquipements et services publics
modifierUne salle polyvalente a été aménagée en 2022 dans l'ancienne école communale, désaffectée depuis une dizaine d'années et agrandie et rénovée à cette occasion[21].
Enseignement
modifierLes enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Rainneville, Cardonnette et de Molliens-au-bois dans le cadre d'un regroupement pédagogique concentré qui se trouve à Raineville[21].
Le village accueille depuis la rentrée 2015 une école Montessori qui, en 2018, scolarise 26 enfants âgés de 2 ans et demi à 12 ans[27]
Justice, sécurité, secours et défense
modifierUn dispositif de vidéosurveillance l'espace public a été installé en 2021[21].
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].
En 2021, la commune comptait 375 habitants[Note 3], en évolution de +16,1 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Notre-Dame, construite en 1854 à l'emplacement de l'ancienne, l'église Notre-Dame est de style néo-gothique (première de ce style dans la région) édifiée suivant les plans de l'architecte Victor Delefortrie.
- Chapelle dédiée à la Vierge :
À l'entrée du village, en venant de Bertangles, elle est également de style néo-gothique et renferme trois personnages sculptés en ronde-bosse[31].
- L'ancien château, probablement édifié par la famille de Saveuse, au début du XVIIe siècle.
- L'ensemble comportait un corps de bâtiment principal orienté nord-sud et flanqué à chacune de ses ailes de deux pavillons symétriquement répartis de part et d'autre ; l'ensemble présentant, vu en plan, la forme d'un H. La façade et les pavillons du côté ouest étaient en pierre de taille, alors que les pavillons et la façade est étaient en brique. Au centre de chacune des façades, on accédait au rez-de-chaussée par un escalier en grès.
Sur la façade est, la cour était desservie par trois grandes ouvertures, dont la principale ouvrait vers l'église et le village. Un corps de garde se dressait près de cette entrée ; de l'autre côté se dressait un bâtiment commun à usage du personnel, à des écuries et des remises.
Ce château a été démoli et remplacé par un simple pavillon. Du château originel, il ne subsiste que les deux piliers encadrant l'entrée principale, la porte piétonne et des éléments du mur d'enceinte[32].
- La mairie, aménagée dans l'ancien presbytère. Le ,jardin du curé est aménagé comme parc de jeux d'enfants. L'ancienne mairie-école construite en 1884 est désormais un logement communal[21]
Personnalités liées à la commune
modifier- Charles de Gontaut-Biron, maréchal, y séjourne en 1597, avec ses troupes, pour participer avec Henri IV au siège d'Amiens occupée par les Espagnols.
- Manon Lescaut, héroïne du roman de l'abbé Antoine François Prévost d'Exiles, serait originaire de Coisy. Cette origine hypothétique, fondée sur l'existence de son patronyme à Coisy à la fin du XVIIe siècle et sur le trajet du coche d'Arras, l'amenant à Amiens, a été considérée comme suffisamment probante pour amener la municipalité à donner le nom de Manon-Lescaut à une rue de Coisy.
Seigneurie
modifierAnciens seigneurs
modifier- Arnoult de Coisi, chevalier, mort avant 1182, frère de :
- Jean de Choisi, époux de Flandrine.
- Bureau de la Rivière, chambellan et favori de Charles V, puis de Charles VI, décédé le .
- Jean de Choisi, époux de Flandrine.
- Famille de Chatillon
- Jacques de Chatillon-Dampierre, amiral de France, né vers 1365, mort à Azincourt le 25 octobre 1415, épouse Jeanne de la Rivière, fille de Bureau de La Rivière,
- Valeran Chatillon-Dampierre, décédé en 1473, époux de Jehanne de Saveuse, fille de Bon de Saveuse.
- Famille de Saveuse
- Louis de Saveuse, seigneur de Lozinghem et de Coisy,
- Josse de Saveuse, seigneur de Bougainville, Cardonnette et Coisy en 1607, 1er capitaine au régiment de Picardie en 1579, époux de Suzanne d'Acheux,
- Antoine de Saveuse, chevalier, seigneur de Coisy en 1622,
- François de Saveuse, chevalier, seigneur de Coisy en 1652,
- Louise Charlotte de Saveuse, née en 1665, épouse Philippe de Montmorency en 1694.
- François de Saveuse, chevalier, seigneur de Coisy en 1652,
- Antoine de Saveuse, chevalier, seigneur de Coisy en 1622,
- Josse de Saveuse, seigneur de Bougainville, Cardonnette et Coisy en 1607, 1er capitaine au régiment de Picardie en 1579, époux de Suzanne d'Acheux,
- Famille de Vaudémont
- Marie-Joseph de Lorraine-Elbœuf, prince de Vaudémont, colonel d'un régiment de dragons en 1785, épouse Louise de Montmorency, devenant ainsi seigneur de Coisy. Ayant émigré, ses 216 hectares 89 ares de terres et de bois de la seigneurie, sont vendus comme biens nationaux[33].
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierBibliographie
modifier- François Ansart Églises néo-gothiques du canton de Villers-Bocage in Histoire et Traditions du pays des coudriers, n° 16, p. 20 à 25.
Liens externes
modifier- « Dossier complet : Commune de Coisy (80202) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Coisy »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Eppeville » sur Géoportail.
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Coisy » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Coisy ».
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Coisy » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Coisy - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Coisy - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Somme » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
modifier- carte Cassini
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- Monographie communale de 1899, par M. Ségard. Archives départementales de la Somme : 4° 100
- Philippe Lacoche, « Les trois carpes de Coisy : Après la mare hydrocarbure Super U, le Marquis est allé pêcher dans celle, bucolique, de Coisy », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Coisy et Glisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 248 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
- Archives municipales d'Amiens BB. 46, ff.40-40v, 25 juin 1583
- Bertrand Le Boudec, Hélène Izembart, Atlas des paysages de la Somme, t. II : Six structures paysagères, Amiens, Direction régionale de l'environnement de 2007, , 320 p. (lire en ligne [PDF]), p. 105.
- Hebdomadaire Télé 59 du 17 au 25 juillet 1959 : "Caractéristiques techniques des émetteurs TV" [2]
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Benoit Delespierre, « Des tickets de sortie particulièrement salés pour les communes qui divorcent : Les communautés de communes Territoire Nord Picardie (CCTNP) et Nièvre et Somme (CCNS) réclament plus d'un million d'euros aux sept communes qui les ont quittées pour rejoindre Amiens Métropole. La préfète est appelée à trancher », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Benoit Delespierre, « Une salle polyvalente à la place de l'ancienne école de Coisy : L'ancienne école a été agrandie et transformée en salle polyvalente. Un équipement supplémentaire pour cette petite commune rurale située aux portes d'Amiens et qui demande à rejoindre Amiens Métropole sans trop y croire », Le Courrier picard, .
- Benoit Delespierre, « Coisy n'a pas son bon de sortie vers Amiens-Métropole : « Si on veut retenir Coisy, c'est qu'on l'aime beaucoup », ont expliqué les élus du Territoire Nord-Picardie au maire de Coisy. Ce dernier va demander à la préfète de trancher. Jacques Masset (de dos), maire de Rainneville a rappelé qu'il avait voulu quitter la CCTNP. Aujourd'hui premier vice-président, il est le premier à vouloir y rester », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Extrait de la fiche de M. Claude Deflesselle », sur lesbiographies.com, (consulté le ).
- Benoit Delespierre, « Le Territoire Nord-Picardie entre difficultés reconnues et euphorie proclamée : Lors des vœux, le premier vice-président Claude Deflesselles a souligné « trois années difficiles ». « Mais passionnantes », a répondu le président Laurent Somon qui a également dénoncé « la surmédiatisation du malheur », proclamé « l'euphorisme » et terminé en... chantant « La Ballade des gens heureux » », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Éric Turpin, « Portrait de maire : à Coisy, le maire se représente faute de candidats : A 72 ans, Claude Deflesselle brigue un 8e mandat aux élections municipales à Coisy dans la Somme. Dans ce village de 350 habitants proche d'Amiens, le maire sortant n'a pas trouvé de successeur. Mais son enthousiasme reste intact », France Bleu Picardie, (lire en ligne, consulté le ) « L'ancien professeur de collège est devenu maire pour la première fois en 1977. Il avait alors 29 ans. Et le village ne comptait que 180 habitants ».
- « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- Thierry Griois, « L'école Montessori de Coisy a doublé ses effectifs : L'établissement, situé au nord d'Amiens, accueille, pour sa troisième rentrée scolaire, vingt-six élèves contre treize précédemment. Et réfléchit à la création d'un collège », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 186 (ASIN B000WR15W8).
- Le château de Coisy, par Pierre Duseval. Revue N°31 "Histoire et Traditions du pays des coudriers"
- Seigneurs de Coisy, par Ulysse Pérodeau, Revue N° 36 "Histoire et Traditions du pays des coudriers" pages 40 à 45