Arancou
Arancou est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Arancou | |||||
L'église d'Arancou. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Bayonne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays basque | ||||
Maire Mandat |
Alexandre Bordes 2020-2026 |
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Code postal | 64270 | ||||
Code commune | 64031 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Arancoï ou Arancoye | ||||
Population municipale |
178 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 34 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 26′ 41″ nord, 1° 02′ 59″ ouest | ||||
Altitude | Min. 12 m Max. 142 m |
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Superficie | 5,30 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | http://www.arancou.fr/ | ||||
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Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune d'Arancou se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 88 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 44 km de Bayonne[3], sous-préfecture, et à 18 km de Saint-Palais[4], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Peyrehorade[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Bergouey-Viellenave (2,4 km), Labastide-Villefranche (2,7 km), Saint-Dos (4,0 km), Escos (4,3 km), Castagnède (4,7 km), Auterrive (4,9 km), Oraàs (5,2 km), Saint-Pé-de-Léren (5,5 km).
Sur le plan historique et culturel, Arancou fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[6]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[7]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[8],[9]. La commune est dans le pays d’Agramont (Agaramonte), au nord de ce territoire.
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Arraute-Charritte, Bergouey-Viellenave, Came et Labastide-Villefranche.
Hydrographie
modifierLa commune est drainée par la Bidouze, le Baniou, le Lauhirasse et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 7,49 km de longueur totale[11],[Carte 1].
La Bidouze, d'une longueur totale de 82,2 km, prend sa source dans la commune d'Aussurucq et s'écoule du sud vers le nord. Elle longe la commune sur une petite partie nord-ouest et se jette dans l'Adour à Guiche, après avoir traversé 26 communes[12].
Le Baniou, d'une longueur totale de 13,6 km, prend sa source dans la commune de Came et s'écoule du sud vers le nord. Il longe la commune sur une petite partie nord et se jette dans le gave de Pau à Cauneille, après avoir traversé 8 communes[13].
Le Lauhirasse, d'une longueur totale de 19,1 km, prend sa source dans la commune d'Arbouet-Sussaute et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il longe la commune sur son flanc sud-est, constituant une limite séparative, et se jette dans la Bidouze en limite ouest du territoire communal, après avoir traversé 6 communes[14].
Climat
modifierHistoriquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[16].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 306 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[17]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bidache à 9 km à vol d'oiseau[18], est de 14,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 455,6 mm[19],[20]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[21].
Milieux naturels et biodiversité
modifierRéseau Natura 2000
modifierLe réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[23],[Carte 2] :
- « la Bidouze (cours d'eau) », d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[24] ;
- « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche », d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[25].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[26],[Carte 3] : le « réseau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » (2 867,4 ha), couvrant 30 communes dont 1 dans les Landes et 29 dans les Pyrénées-Atlantiques[27].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Arancou est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[28]. Elle est située hors unité urbaine[1] et hors attraction des villes[29],[30].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (84,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (35,5 %), terres arables (31,1 %), zones agricoles hétérogènes (19,8 %), forêts (13,6 %)[31]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Lieux-dits et hameaux
modifierQuatre quartiers composent la commune d'Arancou[32] :
- les Bordes ;
- las Taillades ;
- l'Eglise ;
- le Bois.
Quelques lieu-dits d'après les cartes IGN :
- Arranbide[10]
- Arnauchaus[10]
- Bachocq[10]
- Le Bayle[10]
- Bergerata[10]
- Camou[10]
- Chabay[10]
- Condéranne[10]
- Duc[10]
- Borde Garay[10]
- Lacoste[10]
- Lacrouts[10]
- Lagoubette[10]
- Laraillet[10]
- Larraldote[10]
- Lastaillades[10]
- Lauga[10]
- Lespiauc[10]
- le Long[10]
- Loustalet[10]
- Mongette[10]
- Mouliot[10]
- Saint-Martin[10]
- Saussa[10]
Voies de communication et transports
modifierArancou est desservie par les routes départementales D 256 et D 656.
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune d'Arancou est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Baniou, la Bidouze et le Lauhirasse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1999, 2007, 2009, 2014 et 2021[35],[33].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[36]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[37].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[38]. 86,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[39].
Toponymie
modifierAttestations anciennes
modifierLe toponyme est documenté sous les formes Arranque (1119-1136[40]), Arancoe (1119[41]), Aranchoen (XIIe siècle[41]), Arancoen (XIIIe siècle[40]), sanctus martinus de aranco (1160[41]), Arancoyen (1309[41]), Arancohen (1360[41]), Arancoey[42] et Arancoenh[42] (vers 1360[40]), Arrancoeynh[42] et Arancoinh[42] (1372[41],[40]) et Aranquoen (1403[40], titres de Came[42]), et Aranco (1584[40], aliénations du diocèse de Dax[43]).
Étymologie
modifierLe toponyme Arancou provient du basque Arran-goien que Jean-Baptiste Orpustan analyse par le basque haran 'vallée' ce qui donne ’vallée du haut’ ou ’haut de vallée’[41].
Nom en basque et en occitan gascon
modifierLe nom basque d'Arancou est Erango. Il fut normalisé par l'Académie de la langue basque le [44].
Le gentilé correspondant est erangoar, normalisé lui-aussi le [44].
Histoire
modifierPréhistoire
modifierL'industrie magdalénienne, dernière phase du Paléolithique supérieur européen, comprise entre environ 17 000 et 10 000 ans avant nos jours, est présente à la grotte Bourrouilla[46], sur le territoire d'Arancou, découverte en 1986. Plusieurs milliers de vestiges osseux d'animaux chassés y ont été répertoriés, ainsi qu'un millier d'outils en silex (lamelles à dos servant à armer des pointes de sagaies, ou à réaliser des burins et des grattoirs), et des objets en os (hameçons, lissoirs, aiguilles à chas)[47].
Histoire moderne
modifierEn 1790 Arancou faisait partie du canton de Came qui comprenait également les communes de Came, Bergouey, Sames et Viellenave.
Le , les trois communes d'Arancou, Bergouey et Viellenave-sur-Bidouze fusionnent pour former Bergouey-Arancou-Viellenave. Le , Arancou redevient indépendante alors que Bergouey et Viellenave restent associées[48].
Arancou et le Pays basque
modifierJean-Baptiste Orpustan note une mention d'Arancou en 1309 parmi une liste de paroisses payant franchise au pouvoir royal navarrais[49]. Pour la fin du Moyen Âge, Eugène Goyheneche note que « du fait du pouvoir des Gramont », la situation d'un certain nombre de paroisses voisines de Bidache – dont Arancou – est « ambigüe »[50].
En revanche, à partir de l'époque moderne, on ne trouve plus trace de relation de subordination d'Arancou à la Navarre ni même aux terres de Gramont, duché de Gramont ou principauté souveraine de Bidache. Le seigneur direct et foncier d'Arancou est le chapitre de la collégiale Saint-Jacques de Bidache ; la paroisse est située en France, dans la sénéchaussée des Lannes où elle dépend du bailliage de Hastingues[51].
Sans doute sous l'influence du découpage cantonal contemporain, Arancou est néanmoins aujourd'hui généralement incluse dans les listes de communes de Basse-Navarre[52]. Présentant le village en 2009 sur le site web de sa commune, le maire, Alexandre Bordes, ne prend pas parti et met en relief le « mélange de cultures aux racines très profondes » et la « situation du village à la frontière de la Gascogne, du Béarn, du Pays basque et de la Navarre » ; le site qualifie le village de « basco-béarnais »[53].
Politique et administration
modifierListe des maires
modifierIntercommunalité
modifierLa commune appartient à la communauté d'agglomération du Pays Basque. Elle est membre du syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques et de l'Agence publique de gestion locale[54].
Jumelages
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierLe nom des habitants est Arancoï ou Arancoye[46] (ou Erangoar[55] en basque).
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[57].
En 2021, la commune comptait 178 habitants[Note 7], en évolution de +14,84 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifierL'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Une carrière de calcaire subsiste sur la commune. Elle alimentait jusqu'en 1993 la cimenterie des Ciments de l'Adour (Italcementi Group) située alors à Boucau, par des barges descendant la Bidouze puis l'Adour. Elle est actuellement exploitée par la société GSM[60], branche granulats du même groupe cimentier en France.
Culture locale et patrimoine
modifierFêtes
modifierLes fêtes d'Arancou ont lieu le week-end suivant le [61].
Patrimoine linguistique
modifierLes deux versions de la Carte des sept provinces basques montrant la délimitation actuelle de l'euscara en dialectes, sous-dialectes et variétés dressée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte placent Arancou en dehors de l'aire bascophone.
Le Recueil de linguistique et de toponymie des Pyrénées réalisé en 1887 par Julien Sacaze nous livre pour Arancou une version en gascon, composée d'une traduction de deux textes mythologiques, ainsi que d'une liste des micro-toponymes de la commune.
Le Recueil des idiomes de la région gasconne réalisé en 1894 par le linguiste Édouard Bourciez nous livre pour Arancou une version de la parabole de l'enfant prodigue traduite en gascon.
La carte du Pays Basque français dressée en 1943 par Maurice Haulon laisse apparaître la "démarcation actuelle entre la langue basque et les dialectes romans", incluant la commune d'Arancou dans l'aire gasconophone.
Lieux et monuments
modifierPatrimoine civil
modifierLa commune présente des fermes et des maisons des XVIIe et XVIIIe siècles[62],[63] inscrites à l'Inventaire général du patrimoine culturel.
Un ensemble composé d'un puits artésien, d'un lavoir, et d'une fontaine, dépendant de la maison Garay, date de la deuxième moitié du XIXe siècle[64].
Patrimoine religieux
modifierL'église de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie du XIIIe siècle[65]. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1925[66]. Elle est située sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle (voie de Tours) offre un portail gothique. L'église est dédiée à l'Assomption de Marie. Une source la traverse souterrainement. En contrebas, on peut y découvrir un lavoir, le lavoir de Galharret.
Elle recèle une Vierge à l'Enfant dite Notre-Dame-d'Arancou[67], une stèle discoïdale[68] (provenant de Labets-Biscay) et divers mobiliers (tabernacle, bénitier et croix)[69]. Elle possède également une verrière[70] référencée par le ministère de la Culture.
Personnalités liées à la commune
modifier- Louise Balthy, artiste lyrique de la Belle Époque née à Arancou (1867-1925).
Héraldique
modifierBlasonnement :
Écartelé au 1 de sinople à un pèlerin d'argent marchant de profil tenant de la main senestre un bâton de sable, cantonné en chef de deux coquilles d'argent ;
au 2 d'azur à l'église de profil d'or, surmontée à dextre d'un clocheton croisé du même, couverte au naturel et ajourée de sable ; Commentaires : sur le blason figurent :
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Pour approfondir
modifierBibliographie
modifier- Barthélémy Bordes, Arancou, son histoire
- Le Gall O (1999) Les poissons (de la grotte du Bourrouilla) à Arancou In: Gallia préhistoire. Tome 41. pp. 129–132 ; doi : 10.3406/galip.1999.2346
Articles connexes
modifier- Basse-Navarre ;
- Communauté d'agglomération Pays basque ;
- Liste des communes des Pyrénées-Atlantiques ;
- Toponymie basque.
Liens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Hydro » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
- « Sites Natura2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Arancou », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type II sur la commune d'Arancou », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- Stephan Georg, « Distance entre Arancou et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Arancou et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Arancou et Saint-Palais », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Arancou », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
- « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
- (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- « Fiche communale d'Arancou », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « la Bidouze ».
- Sandre, « le Baniou ».
- Sandre, « le Lauhirasse ».
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Arancou et Bidache », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Arancou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200789 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Arancou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
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- « Les risques près de chez moi - commune d'Arancou », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Arancou », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
- Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », , 246 p. (ISBN 978-2-86781-396-2 et 9782867813962, BNF 40190262).
- Titres de la commune de Came - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Registres d'aliénations - ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
- Euskaltzaindia, « Nafarroa Behereko herri izendegia » [PDF], sur euskaltzaindia.eus (consulté le ).
- « Toponymes occitans »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Lo Congrès (consulté le ).
- Présentation d'Arancou sur le site municipal
- Christian Normand, président de l'association Euskarkeologia, groupe de recherches archéologiques du Pays basque, in Ouvrage collectif, Amikuze : Le Pays de Mixe, Éditions Izpegi - 1992 (ISBN 978-2-909262-05-5), page 50
- « Présentation de la commune », notice no IA64000241, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Jean-Baptiste Orpustan, « La Basse-Navarre en 1350 - IV - Le Pays de Mixe », Bulletin du Musée Basque, no 84, , p. 86-88.
- Eugène Goyheneche, Le Pays Basque, Société nouvelle d'éditions régionales et de diffusion, Pau, 1979, p. 139.
- Jean Robert, Des travaux et des jours en piémont pyrénéen : Bidache, Barenbach, Éditions Jean-Pierre Gyss, (ISBN 2-902912-42-5 (édité erroné), BNF 34872937), p. 38 et 241
- On la trouvera par exemple dans les listes toponymiques de communes basques résultant des travaux de l'Académie Euskaltzaindia : Exonymie - Euskaltzaindia.
- Alexandre Bordes, « Arancou.fr, site officiel de la commune - Le mot du maire », (consulté le ).
- Comersis, « Liste des groupements d'Arancou ».
- - Académie de la langue basque
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- La page entreprises du site de la commune
- Page événements du site communal
- « Les fermes et maisons des XVIIe et XVIIIe siècles », notice no IA64000244, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme du lieu-dit Chabay », notice no IA64000246, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Les puits, lavoir et fontaine de la maison Garay », notice no IA64000245, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- René Cuzacq, Les Églises de Viellenave et d'Arancou (Basses-Pyrénées), au berceau des Gramont,
- « L'église de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie », notice no IA64000243, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La Vierge à l'Enfant », notice no PM64000032, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, Notice no IM64002914.
- « La stèle discoïdale », notice no IM64002938, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le mobilier de l'église de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie », notice no IM64002939, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La verrière de l'église de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie », notice no IM64002913, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Guy Ascarat
- Armorial de France