Aucun de leurs visages ni de leurs travaux ne sonne réellement familier. Christian Bérard, Thérèse Debains, Eugène et Léonide Berman, Pavel Tchelitchew, Kristians Tonny… Autant de noms mystérieux regroupés sous une seule bannière, elle aussi méconnue, celle du néo-romantisme. Un mouvement d’autant plus étonnant que, contrairement au naturalisme, à l’impressionnisme et aux autres courants majeurs, il est impossible de saisir son essence en regardant simplement les tableaux de ses disciples.
Remontons dans le temps… Nous sommes en 1917.