ILLIMITÉ
À table avec… ARIELLE DOMBASLE
Elle a donné rendez-vous dans la bibliothèque de La Réserve, le palace de l’avenue Gabriel, à Paris. « Comme disait Proust, c’est un endroit où l’on ne se sent pas bousculé. On peut attendre, rêver, prendre un livre, le reposer... » À voir le personnel la saluer, on devine qu’Arielle Dombasle vient ici en habituée, traversant les espaces avec une agilité de libellule, parmi les effluves d’iris, de rose nacrée et de tubéreuse. Ce parfum, c’est le sien. « J’ai mis dix ans à le mettre au point, souffle-t-elle. Avant, je faisais un savant mélange d’iris, d’un Cuir de Russie que m’avait offert Karl Lagerfeld et d’un musc que je trouvais à New York. J’ai fait analyser cet élixir, pour recréer mon parfum absolument naturel, unique.de Roland Barthes voisinent avec les poèmes de sa grand-mère, l’album signé avec Nicolas Ker, un sachet de thé noir au coquelicot...
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