Petit-Couronne
Petit-Couronne | |||||
La maison de Pierre Corneille. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Rouen | ||||
Intercommunalité | Métropole Rouen Normandie | ||||
Maire Mandat |
Joël Bigot 2020-2026 |
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Code postal | 76650 | ||||
Code commune | 76497 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Couronnais | ||||
Population municipale |
8 688 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 679 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 23′ 11″ nord, 1° 01′ 42″ est | ||||
Altitude | Min. 2 m Max. 108 m |
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Superficie | 12,8 km2 | ||||
Type | Centre urbain intermédiaire | ||||
Unité urbaine | Rouen (banlieue) |
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Aire d'attraction | Rouen (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Grand-Quevilly | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Liens | |||||
Site web | ville-petit-couronne.fr | ||||
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Petit-Couronne est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune fait partie de la Métropole Rouen Normandie.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Canteleu | Le Grand-Quevilly | |||
Val-de-la-Haye | N | Saint-Étienne-du-Rouvray | ||
O Petit-Couronne E | ||||
S | ||||
Grand-Couronne | Oissel |
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est en bordure de la Seine.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 806 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouen à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 817,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Petit-Couronne est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (47,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (44,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (23,8 %), zones urbanisées (21 %), zones agricoles hétérogènes (5,2 %), eaux continentales[Note 4] (5,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,3 %), prairies (2,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]- Autoroute de Normandie A13 Paris-Caen
- Voie rapide S3 ou « Sud III »
- Un bac permet de traverser la Seine et de rejoindre Val-de-la-Haye.
- Les bus F6 et 27 passent par la ville selon des itinéraires différenciés.
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Qualité de l'environnement
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Curtehulm, Curtehulmi, Curte hulmi vers 1025 (archives départementales de la Seine-Maritime, H 26); Curthelmi (charte de Richard II de Normandie); Corhulma entre 1032 et 1035[14], Corolme vers 1040 et 1050[15]; Coroma, Corona fin XIIe siècle[16]; Corone 1261 - 1270[17].
Il s'agit d'un type toponymique scandinave, composé de deux éléments. Le second -hulma représente vraisemblablement l’ancien scandinave holmr « petite île, ilot », trouvé fréquemment dans la toponymie normande en composition (cf. Thorholmus, ancien nom de l'île d'Oissel) ou en usage autonome (cf. les nombreux le Hom[me], le Houlme, etc.)[14]. Le premier élément Curt(e)- est obscur[14], cependant on peut le rattacher au nom de personne anglo-saxon Cort[16]. Ça ne semble pas nécessaire puisque l'ancien scandinave possède l'anthroponyme Kurt emprunté au vieux bas allemand[18] et qu'il existe par ailleurs un adjectif kurtr, kortr « court » également emprunté au germanique occidental[19], dont le -t- entre les deux -r- se serait amuï de manière précoce pour donner naissance à une forme *Corrholme (Corhulma 1032), devenu Corolme par assimilation du [h] ou [x]. Le sens global serait celui d’« îlot de Kurt ou Cort » ou plus vraisemblablement, d’« îlot peu étendu ». À l'origine, ce nom de lieu s'appliquait à une île située en face de Petit-Couronne et rattachée depuis à la commune. Au XIIe siècle, le toponyme étant devenu opaque, il est tombé dans l'attraction du français couronne[16].
Le composé Milthuit (Milquetuit ou Miqueltuit 1239 ; Miquetuit 1507 - 1612 ; Mictuit 1734) reconnu dans le nom du Bois de Milthuit, sur la commune et celle de Grand-Quevilly, est d'origine scandinave, puisqu'il contient l'élément -thuit signifiant « essart », appellatif toponymique issu de l'ancien scandinave þveit (autrement noté thveit) de même sens. Le premier élément Mil- représente vraisemblablement l'ancien scandinave mikill « grand », d'où le sens global de « grand essart »[16]. Homonymie avec Micklethwaite, Angleterre[16].
La scission entre Petit-Couronne et Grand-Couronne a dû se produire vers le XIIe siècle, vers la même époque que celle de Grand-Quevilly et Petit-Quevilly[14].
Histoire
[modifier | modifier le code]La seigneurie a appartenu à la famille Haillet qui prit le nom de Haillet de Couronne.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Lors des élections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime, la liste menée par Joël Bigot, jusqu'alors maire adjoint de Dominique Randon — qui ne se représentait pas — a été la seule liste candidate et a donc été élue au premier tour, marqué par 71,80 % d'abstention[20].
Européennes de 2024
[modifier | modifier le code]Aux élections européennes du 9 juin 2024, Jordan Bardella (Rassemblement national) arrive largement en tête et en hausse de 5 points (31,20% contre 26,77% en 2019)[21],[22],dans le sillage des 7 points gagnés au niveau national. Dans cette commune, Manon Aubry arrive deuxième (20,10% contre 10,07% en 2019)[21],[22], PS-Place publique (15,05% contre 7,57% en 2019)[21],[22], la liste de Valérie Hayer n'étant que 4e avec 8,66% (contre 15,13% en 2019)[21],[22] terminant 4e. La participation est en nette hausse, à 44,77% contre 44,86%[21],[22], toujours nettement inférieure à la moyenne nationale (52,50%).
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]La commune de Petit-Couronne entretient des accords de coopération[27] avec :
- Ahlem (Allemagne) depuis 1967
- Beccles (Angleterre) depuis 1978
- Vila Verde (Portugal) depuis 1989
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].
En 2021, la commune comptait 8 688 habitants[Note 5], en évolution de −0,62 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Sports
[modifier | modifier le code]La commune abrite le centre régional jeunesse et sport (C.R.J.S)
Économie
[modifier | modifier le code]La raffinerie de Petit-Couronne (anciennement Pétroles Jupiter) a été construite en 1929. Elle se situe entre Petit-Couronne et Grand-Couronne. Fermé en avril 2013, le site se trouve depuis 2014 être une expérience de dépollution sans équivalent. Le projet de réindustrialisation a été médiatisé lorsque le nom d'Amazon a été cité[32] comme potentiel occupant d'une partie de l'emprise.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le musée Pierre-Corneille - Maison des Champs[33].
- Le musée de la ville.
- L'église Saint-Aubin.
- Le château des Tourelles.
- Le monument aux morts dû à Alphonse Guilloux (1919).
Site classé
[modifier | modifier le code]- La Pierre d'État, menhir situé dans la forêt domaniale de Rouvray, Site classé (1931)[34]
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Pierre Corneille, écrivain, résidait dans la commune
- Jean-Baptiste Haillet de Couronne (1728-1810), érudit, y possédait le château de Couronne
- Marcelly, Marcel Jules Turmel, chanteur de Music-hall (1882-1966)
- Germaine Beaumont (1890-1983), fille de Annie de Pène, écrivaine, journaliste, née dans la commune
- Jean Boudehen, médaille d'argent aux Jeux olympiques en canoé-kayak à Tokyo en 1964. Champion du monde en descente à Macon en 1969. Né dans la commune.
Équipements culturels
[modifier | modifier le code]- La Médiathèque "Louis Aragon"
- La Compagnie Commédiamuse
- L'École Nationale de Musique et de Danse
- Le Sillon (Salle de Spectacle)
- Le Réveil Couronnais (Harmonie Couronnaise)
- Association Wertes Group
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D’azur à l’ancre de marine d’argent, aux deux flambeaux d’or passés en sautoir, brochant sur le tout, surmontés de trois têtes de lions arrachées cousues de gueules, rangées en chef, soutenues d’un filet ondé aussi d’argent[35]. |
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Détails | création : Robert Louis, adoptée par délibération du conseil municipal du 27 juin 1986. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Guy Pessiot, Histoire de l’agglomération rouennaise : la rive gauche, Rouen, éd. du P’tit Normand, , 288 p. (ISBN 978-2-906258-22-8, OCLC 463515558), p. 130-143
- Guy Pessiot, Les communes de l'agglomération de Rouen : De Maromme à Ymare, vol. 2, Rouen, Éd. des Falaises, , 512 p. (ISBN 978-2-84811-063-9), p. 356-365.
- Emmanuelle Real, Le Paysage industriel de la Basse-Seine : Haute-Normandie, Rouen, Connaissance du patrimoine en Haute-Normandie, , 264 p., broché (ISBN 978-2-910316-33-4 et 2-910316-33-5)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Ressource relative à la musique :
- Petit-Couronne sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Rouen comprend une ville-centre et 49 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Petit-Couronne et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Petit-Couronne ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 87.
- Jean Adigard des Gautries, Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite), p. 240.
- Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1), p. 65.
- (en) Joseph Reese Strayer, The Royal Domain in the Baillage of Rouen, Princeton, Princeton University Press, 1936, p. 35.
- « Kurt - Nordic Names », sur nordicnames.de (consulté le ).
- Old Norse Kurtr / kortr sur Online Etymology Dictionary (lire en anglais) « http://etymologies.net/kort »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
- « Petit-Couronne 76650 », Résultats aux municipales 2020, sur lemonde.fr (consulté le ).
- [1]
- [2]
- Victor Bernard a été maire de Bardouville de 1897 à 1919.
- « Dernier conseil municipal pour le maire Dominique Randon à Petit-Couronne : Le dernier conseil municipal de la mandature a permis d’adopter le budget primitif de la Ville, présenté par l’adjointe aux finances. Hommage a été rendu au maire qui s’en va », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- Pascale Bertrand, « Municipales 2020 : Joël Bigot, adjoint à la mairie de Petit-Couronne, aspire à devenir maire : Après quatre mandats de premier adjoint, Joël Bigot aspire à devenir maire. Histoire d’« aller au fond des choses »… Petit-Couronne. Après quatre mandats de premier adjoint, Joël Bigot aspire à devenir maire. Histoire « d’aller au fond des choses »… », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « À 64 ans, Joël Bigot tente une nouvelle aventure, devenir maire. Déjà premier adjoint - « avec trois maires différents » - il n’a qu’un pas à faire d’autant plus qu’aucune autre liste ne s’est encore déclarée à Petit-Couronne ».
- « Municipales 2020. Joël Bigot, élu maire à Petit-Couronne : Lors de la séance d’investiture, Joël Bigot a remercié ses collèges pour leur énergie et leur motivation. Petit-Couronne. Le conseil municipal d’investiture s’est tenu mercredi à huis clos au Sillon. Dominique Randon a passé le flambea », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- « Jumelage(s) de Petit-Couronne », sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures du Ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Projet d'entrepôt Amazon à Petit-Couronne : l'avis du tribunal administratif se fait attendre, parisnormandie.fr, 9 janvier 2022.
- Musée Pierre Corneille sur le site du Conseil départemental de Seine-Maritime
- « La Pierre d'État, menhir situé dans la forêt domaniale de Rouvray », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
- http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f76497 « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).