Laran (commune)
Laran | |||||
Paysage dans les environs du village de Laran | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Hautes-Pyrénées | ||||
Arrondissement | Tarbes | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Trie et du Magnoac | ||||
Maire Mandat |
Jean-Luc Gales 2020-2026 |
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Code postal | 65670 | ||||
Code commune | 65261 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Laranais | ||||
Population municipale |
47 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 14′ 07″ nord, 0° 28′ 57″ est | ||||
Altitude | Min. 324 m Max. 486 m |
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Superficie | 3,44 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Lannemezan (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Coteaux | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Laran est une commune française située dans le nord-est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la région gasconne de Magnoac, située sur le plateau de Lannemezan, qui reprend une partie de l’ancien Nébouzan, qui possédait plusieurs enclaves au cœur de la province de Comminges et a évolué dans ses frontières jusqu’à plus ou moins disparaitre.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Gers, la Sole et par deux autres cours d'eau.
Laran est une commune rurale qui compte 47 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 200 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan. Ses habitants sont appelés les Laranais ou Laranaises.
Géographie
[modifier | modifier le code]D’une superficie de 834 hectares 67 ares 55, la commune est encadrée par les ruisseaux de l’Ousse (au nord), du Gers (à l’est) de Touçade (au sud).
Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Laran se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 33 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à 13 km de Trie-sur-Baïse[2], bureau centralisateur du canton des Coteaux dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lannemezan[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Gaussan (0,5 km), Caubous (1,2 km), Lassales (2,4 km), Cizos (3,0 km), Monlong (3,4 km), Monléon-Magnoac (3,5 km), Vieuzos (3,7 km), Sabarros (3,7 km).
Sur le plan historique et culturel, Laran fait partie de la région gasconne de Magnoac, située sur le plateau de Lannemezan, qui reprend une partie de l’ancien Nébouzan, qui possédait plusieurs enclaves au cœur de la province de Comminges et a évolué dans ses frontières jusqu’à plus ou moins disparaitre[4].
Les communes limitrophes sont Caubous, Gaussan, Monléon-Magnoac et Recurt.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le Ruisseau de La Sole, affluent de rive droite de la Petite Baïse, arrose la commune du sud au nord et forme la limite ouest avec la commune de Recurt.
Le Ruisseau de l'Ousse affluent de rive gauche du Gers, forme la limite nord avec la commune de Caubous.
Le Ruisseau de la Toucade affluent de rive gauche du Gers, forme la limite sud avec la commune de Gaussan.
Le Ruisseau de Bourrouville affluent du Ruisseau de la Ousse prend sa source sur la commune et coule en partie ouest du territoire.
Un canal d'irrigation provenant du Canal de la Neste traverse le village en direction du Gers au nord.
Climat
[modifier | modifier le code]Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gavarnie », sur la commune de Gaussan, mise en service en 1992[11] et qui se trouve à 1 km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 7,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 466,6 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 42 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[15], à 12,6 °C pour 1981-2010[16], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[17].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[18],[19],[20].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Laran est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,5 %), zones agricoles hétérogènes (30,8 %), forêts (26,7 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
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Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Logement
[modifier | modifier le code]En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 30[I 5].
Parmi ces logements, 73.7 % sont des résidences principales, 13.1 % des résidences secondaires 13.1 % des logements vacants.
Toponymie
[modifier | modifier le code]On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[22] qui rapporte les dénominations historiques du village :
Dénominations historiques :
- de Barono, de Barano, latin (XVe siècle, taxes d'Auch) ;
- Laran, (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).
Étymologie : peut-être nom de domaine antique nom de personnage Larus ou Hilarus et suffixe anum (domaine de Larus ou de Hilarus).
Nom occitan : Laran.
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Cette commune est desservie par la route départementale D 929 et les routes départementales D 28 et D 137.
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Laran est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Gers, la Sole. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[25]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2000 et 2009[26],[23].
Laran est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[27]
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[28].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 25 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 25 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[23].
Histoire
[modifier | modifier le code]La commune naquit au XIVe siècle, des mains laborieuses des serfs qui y éditèrent un château sur le versant oriental d’un petit coteau.
Les seigneurs du lieu appartenaient à la noble famille des de Cazaux-Laran dont les premières armoiries identifiées par Jean Larcher, étaient : « Écu d’Azur sur deux ondes d’argent surmontées d’un cygne du mesme » Ceux-ci devaient être « bien en cour » puisque leur château fut choisi en plusieurs occasions comme lieu de réunions des États du Magnoac, des États des Quatre-Vallées et des assemblées du Magnoac et d’Armagnac. Notons que ce premier blason correspond exactement à celui qu’attribue à la seigneurie de Nestier l’héraldiste M. de Neuville dans son recueil sur le Commingeois et les Quatre-Vallées. Plus tard s’y ajoutèrent, par décret de l’intendant Legendre, « quatre pointes de giron d’or mouvantes ». Au XVe siècle, la famille de Cazaux de Laran demeure en permanence dans ce château qui dominait les quartiers dits de la Coume, de la Matéte et du Bilatge.
Son dernier représentant (connu des historiens) aurait été le seigneur François-Louis de Cazaux-Laran, marié à Catherine-Charlotte-Joséphine de Saint-Jean de Pointis qui ne lui donna pas d’héritier mâle mais deux filles.
La bande d’or aux fleurs de lys d’argent ajouté à l’écu initial correspondrait à l’union précitée des de Cazaux avec les de Pointis.
Vers 1860, un curieux pigeonnier posé sur neuf piliers en pierre de taille est l'ultime vestige du château. La fête locale est célébrée à l’occasion de la Saint-Michel.
Cadastre napoléonien de Laran
[modifier | modifier le code]Le plan cadastral napoléonien de Laran est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[31].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Historique administratif
[modifier | modifier le code]Sénéchaussée d'Auch, pays des Quatre-Vallées, vallée de Magnoac, canton de Castelnau-Magnoac, chef-lieu à Magnoac (1790) puis à Castelnau-Magnoac (1801)[32].
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Laran appartient à la communauté de communes du Pays de Trie et du Magnoac créée en et qui réunit 50 communes.
La commune est également membre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac.
Services publics
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35]. En 2021, la commune comptait 47 habitants[Note 6], en évolution de −7,84 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %). |
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[38].
Économie
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 6] | 16 % | 0 % | 10 % |
Département[I 7] | 7,7 % | 9,4 % | 9,8 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 29 personnes, parmi lesquelles on compte 86,7 % d'actifs (76,7 % ayant un emploi et 10 % de chômeurs) et 13,3 % d'inactifs[Note 7],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lannemezan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 16 emplois en 2018, contre 9 en 2013 et 8 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 25, soit un indicateur de concentration d'emploi de 62,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,7 %[I 10].
Sur ces 25 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 42 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 76,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 19,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Michel de Laran.
- L’oratoire de l'Immaculée Conception.
-
L'entrée. -
Le clocher.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blasonnement :
D'azur au cygne nageant d'argent sur deux fasces ondées du même, au chef d'or chargé de deux fleurs de lys du champ.
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Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Laran sur le site de l'Insee
- Laran sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Laran ».
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lannemezan », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Laran
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Laran » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Laran » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Stephan Georg, « Distance entre Laran et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Laran et Trie-sur-Baïse », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Laran », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 341-342.
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Gavarnie - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Laran et Gaussan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Gavarnie - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Laran et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Laran », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Laran », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Laran », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
- « Les risques près de chez moi - commune de Laran », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 », sur hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le ).
- « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Laran », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Laran en 1814
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées
- « Liste des juridictions compétentes pour Laran (commune) », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).