Châtelperron
Châtelperron | |||||
Vue de l'église et du château. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Allier | ||||
Arrondissement | Vichy | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Entr'Allier Besbre et Loire | ||||
Maire Mandat |
Maria Schneider 2020-2026 |
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Code postal | 03220 | ||||
Code commune | 03067 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Châtelperronais, Châtelperronaises[1] | ||||
Population municipale |
133 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 6,4 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 23′ 59″ nord, 3° 38′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 234 m Max. 352 m |
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Superficie | 20,8 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Moulins-2 | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Allier
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | http://chatelperron.interco-abl.fr | ||||
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Châtelperron est une commune française située dans le département de l'Allier, en région administrative Auvergne-Rhône-Alpes.
Les découvertes préhistoriques qui y ont été faites lui ont valu de donner son nom à une période de la préhistoire, le Châtelperronien.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]- Longitude est : 03° 39′ 00″ (degrés-minutes-secondes)
3,65 degrés décimaux 0,063705 radians
- Latitude nord : 46° 23′ 00″ (degrés-minutes-secondes)
46,3833 degrés décimaux 0,809542 radians
Châtelperron est longée par la Besbre sur la limite occidentale de la commune et traversé par le Graveron, ruisseau qui se jette dans la Besbre en rive droite, à la pointe nord de la commune.
Ses communes limitrophes sont[2] :
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 837 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Léon à 4 km à vol d'oiseau[5], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 857,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Châtelperron est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (54,4 %), terres arables (17,2 %), zones agricoles hétérogènes (16,2 %), forêts (12,2 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]La grotte des Fées sur Châtelperron a été occupée dans un premier temps au Moustérien, puis au Châtelperronien. Elle est le site qui a fait donner le nom du village à ce faciès culturel préhistorique.
Époque gallo-romaine
[modifier | modifier le code]Toujours dans la grotte des Fées, ont été trouvées quelques objets gallo-romains.
Moyen-Âge
[modifier | modifier le code]Le premier possesseur connu de la terre de Châtelperron est Guichard de Castro Petri qui reconnaît la détenir du seigneur de Beaujeu en 1132. En 1215, Étienne, fils de Régnier de Chastel-Perron est homme lige du sire de Bourbon.
En 1220, Vilhelmus de Castro Petri ou Castropertis est seigneur de Saint-Léon, Vaumas, Liernolles et Lenax.
En 1329, Châtelperron est rattaché, par le mariage d'Isabeau de Châtelperron à Robert Dauphin de Jaligny, à la terre de Jaligny. Il le reste jusqu'au début du XVe siècle et, après avoir été quelques années propriété de Claude Montaigu, il est vendu le à Jacques Ier de Chabannes, seigneur de La Palice, pour « neuf mille trois cents écus d'or vieil ».
Temps modernes
[modifier | modifier le code]En l'an 1525, Marie de Melun d'Epinoy, dame de La Palice et dame des baronnies de Montmirail , d'Authon-du-Perche et de La Bazoche-Gouet en Perche-Gouët , veuve en 1525 du maréchal Jacques II de Chabannes de La Palice, reçoit en douaire cette seigneurie où elle se retire et décède le 10 octobre 1553 après un veuvage de 28 ans.
C'est à cette période qu'auraient été percées les fenêtres à Meneaux de l'époque renaissance supplémentaires sur la façade principale du château. A l'étage se distingue encore dans la chambre de la Maréchale, sur le linteau de la grande cheminée gothique, les armoiries de la Maison de Chabannes, ponctuée de cordelières propre aux veuves de grands dignitaires.
À l'extinction des Chabannes, le fief - avec le reste de leurs biens - va à la famille de Tournon puis, en 1571, à la famille de La Guiche. Châtelperron est vendu en 1682 ; puis de nouveau en 1685, cette fois à Gabrielle de Marmande. Après avoir été une possession d'Antoine de Charry des Gouttes, ce qui subsiste de la propriété – le château, quelques maisons du bourg et quatre domaines[N 1] – est racheté en 1803[N 2] par Jean-Baptiste Collas, qui réussit à reconstituer presque entièrement l'ancienne terre[N 3].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].
En 2021, la commune comptait 133 habitants[Note 1], en évolution de −8,28 % par rapport à 2015 (Allier : −1,97 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Église Saint-Pierre
[modifier | modifier le code]XIIe siècle : Comprise dans l'ancienne enceinte du château, elle appartenait à sa première construction. Elle se compose d'une seule nef, dont les arcades sont à plein-cintre et le mur latéral droit décoré d'arcades appliquées, et de deux chapelles latérales, de chaque côté du chœur, formant un transept de taille réduite ; celle de gauche a été entièrement reconstruite au XIXe siècle par la famille Collas de Chatelperron. Les trois autels – dont le maître-autel en marbre du pays – sont d'un travail postérieur à l'édifice. Le portail est orné d'un tympan en bâtière, de grès fin rouge, représentant en bas-relief l'Agneau pascal, entouré de motifs végétaux, posé sur une croix pattée[N 4]. Ce fronton est soutenu par six colonnes dont cinq ont été remplacées, dans la seconde partie du XXe siècle par des colonnes de grès rose, sous l'égide de Marcel Génermont, architecte des Monuments historiques et président de la Société d'émulation du Bourbonnais.
Le portail est classé monument historique depuis le . Le reste de l'église a été inscrit à l'inventaire supplémentaire le .
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Tympan.
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Nef.
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Chœur.
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Chœur : trompe-l'œil.
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Abside.
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Coupole : saint Matthieu.
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Chapelle latérale sud.
Château
[modifier | modifier le code]XIIe et XVe siècles : Ce qui reste du bâtiment d'origine est du XVe siècle. Il avait, à l'origine, la forme d'un parallélogramme flanqué de quatre tours. Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques le .
Site préhistorique de la grotte des Fées
[modifier | modifier le code]La grotte des Fées est située à environ 1 km au nord du bourg, sur la rive gauche du Graveron (03° 03’ 18”E, 46°24’42”N), à 5 ou 6 m au-dessus du niveau du ruisseau. C'est au site de la grotte des Fées (35 000 - 30 000 ans av. J.-C.) que le « castelperronien » ou « châtelperronien » doit son nom. Les résultats des fouilles ont notamment alimenté la controverse sur la cohabitation ou non entre les hommes anatomiquement modernes et les Néandertaliens.
Ce site a fait l'objet de plusieurs campagnes de fouilles aux XIXe et XIXe siècles, entamées, pour les premières, lors de la construction du chemin de fer devant relier les mines de Bert à Dompierre-sur-Besbre.
Autres
[modifier | modifier le code]- Château de Chassimpierre, XVe et XIXe siècles.
- Les Escures[N 5], maison forte, pied-à-terre de Jean II le Bon : vestiges de la chapelle (XVe siècle) et une pierre héraldique taillée aux armes de Jean Ier de Bourbon, de Jean II de Bourbon après son mariage avec Jeanne de France, fille de Charles VII, et de Charles III, connétable de Bourbon.
- Demeures des XVIIIe et XIXe siècles (Les Gondeaux, Bellevue...).
- Les carrières de marbre : leur exploitation, commencée à l'époque romaine, a duré en jusqu'en 1924. Elles étaient exploitées à ciel ouvert sur différents sites : la Grande Loge, le Colombier, le Tureau noir. Ce marbre a été utilisé pour la construction de la façade du Théâtre des Champs-Élysées. La tradition locale le dit employé pour le pavé du chœur de la cathédrale Notre-Dame de Paris et les colonnes de l'église de la Madeleine. Le monument aux morts de la commune est en marbre blanc de Châtelperron, ainsi que, dans l'église Saint-Pierre, le maître-autel et le bénitier. En 1925, avait été ouverte une carrière de porphyre noir.
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Bourg.
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Mairie.
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Monument aux morts.
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La Cure.
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Ancienne chapelle privée.
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Ancienne gare.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Henri Delporte : préhistorien, auteur de recherches sur le site de la grotte des Fées.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Écartelé d'or et de gueules. Blason des seigneurs de Châtelperron. |
Écartelé aux 1er et 4e d'or au dauphin pâmé d'azur, aux 2e et 3e de gueules au lion d'hermine, lampassé et couronné d'or. Armes présentées sur le site de la commune de Châtelperron. |
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- En Bourbonnais, le vocable « domaine » désigne une exploitation agricole.
- Jean-Baptiste Collas achète la propriété le cinquième jour complémentaire de l’an XI.
- Cette famille devient par la suite les « Collas de Chatelperron ».
- Certains ont voulu voir dans cet emblème la preuve de la présence d'une commanderie de Templiers. Une telle présence aurait été incompatible avec celle, au même endroit et à la même période, du seigneur attesté de ces terres, Vilhelmus (Guillaume) de Castro Petri.
- Les seigneurs des Escures étaient seigneurs de Pontcharraud, de La Tour-du-Bois, de Gincay, de Brulle, de Lesparre, de La Vernède, de Plaisance, de Sauzat, de La Vivère, de Marcellange, du Reray et de Prabillard.
- Notes sur la démographie
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Notes de type "Carte"
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
[modifier | modifier le code]- « Le nom des habitants du 03 - Allier - Habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
- Géoportail (consulté le 26 mai 2017).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Châtelperron et Saint-Léon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Léon », sur la commune de Saint-Léon - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Léon », sur la commune de Saint-Léon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- À l'occasion d'une promotion par laquelle « Sa Majesté a voulu donner un témoignage particulier de sa bienveillance à un certain nombre de magistrats municipaux que recommandent le long exercice de leurs fonctions et leur dévouement éprouvé aux intérêts publics. » Les neuf autres magistrats municipaux faits chevaliers de la Légion d'honneur dans le cadre de cette promotion sont : Joseph-Adolphe Meunier, maire de Lugny et membre du conseil d'arrondissement de Mâcon ; Pierre-Joseph Campionnet, maire de Gueugnon ; François Cassien Tainturier, maire de Foissy ; Benoit de Sappel, maire de L'Étoile ; Claude Prosper Garnier des Garets, maire d'Ars ; Bourgeois, membre du conseil municipal de Lyon ; Jean Marie Durieu de Lacarelle, maire de Saint-Étienne-des-Oullières ; Antoine Guicherat, maire de Fontanès ; Charles Louis du Bourg de Bozas, maire de La Fermeté. Source : Le Courrier de Saône-et-Loire, édition du 17 mars 1868.
- Liste des maires de l'Allier [PDF], sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de l'Allier, 8 avril 2014 (consulté le 26 juin 2014).
- « Liste nominative des communes de l'Allier » [PDF], sur maires-allier.fr, Association des maires et présidents d'intercommunalité de l'Allier, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- H. Delporte, F. Surmely, A. Urgal, Châtelperron : un grand gisement préhistorique de l’Allier, Moulins, Conseil général de l’Allier, 1999, 48 p.
- René Germain (dir.), Dominique Laurent, Maurice Piboule, Annie Regond et Michel Thévenet, Châteaux, fiefs, mottes, maisons fortes et manoirs en Bourbonnais, Éd. de Borée, , 684 p. (ISBN 2-84494-199-0)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :