Nothing Special   »   [go: up one dir, main page]

Aller au contenu

Château-du-Loir

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Château-du-Loir
Château-du-Loir
Église Saint-Guingalois.
Blason de Château-du-Loir
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Sarthe
Arrondissement La Flèche
Intercommunalité Communauté de communes Loir-Lucé-Bercé
Maire délégué
Mandat
François Olivier
2020-2026
Code postal 72500
Code commune 72071
Démographie
Gentilé Castélorien
Population 4 376 hab. (2020)
Densité 382 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 41′ 43″ nord, 0° 25′ 04″ est
Altitude Min. 44 m
Max. 131 m
Superficie 11,46 km2
Élections
Départementales Château-du-Loir
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Château-du-Loir
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Château-du-Loir
Géolocalisation sur la carte : Sarthe
Voir sur la carte topographique de la Sarthe
Château-du-Loir
Géolocalisation sur la carte : Sarthe
Voir sur la carte administrative de la Sarthe
Château-du-Loir

Château-du-Loir est une ancienne commune française, située dans le département de la Sarthe en région Pays de la Loire, peuplée de 4 376 habitants[Note 1]appelés les Castéloriens. Elle fait désormais partie de la commune nouvelle Montval-sur-Loir depuis le 1er octobre 2016.

La commune appartient à la province historique du Maine[1], et se situe dans le Haut-Maine.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Situation de la commune de Château-du-Loir dans le département de la Sarthe.

Château-du-Loir, commune du sud du département de la Sarthe, est située au cœur de la vallée du Loir. Le village se trouve, en distances orthodromiques, à 37,1 km au sud-est du Mans, la préfecture du département, et à 39,1 km au nord-ouest de Tours[2].

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes de Château-du-Loir
Luceau Flée
Château-du-Loir Vouvray-sur-Loir
Montabon Dissay-sous-Courcillon

Les communes limitrophes sont Luceau, Flée, Vouvray-sur-Loir, Dissay-sous-Courcillon et Montabon[3].

Axes de communication

[modifier | modifier le code]

Infrastructures routières

[modifier | modifier le code]

Château-du-Loir est traversée par la route nationale 138 (anciennement route nationale 158, aujourd'hui déclassée en RD 338. L'A 28 passe également à proximité.

Infrastructures ferroviaires

[modifier | modifier le code]

La gare de Château-du-Loir est desservie par des trains Intercités circulant entre Tours et Caen.

Durant la Révolution, la commune porte les noms de Mont-du-Loir, Mont-sur-Loir et Vau-du-Loir[4].

Aux confins de l'Anjou historique et du Maine, Château-du-Loir est situé aux limites du Maine angevin, près de la Touraine. La situation géographique privilégiée du canton attira de nombreuses convoitises tout au long de l'histoire. Les rois de France et d'Angleterre se disputèrent cette place forte, chef-lieu d'une sénéchaussée de 78 paroisses (doyenné rattaché au diocèse du Mans), jusqu'en 1789.

Cette importance était due surtout à sa situation géographique, qui lui valut d’être victime de la rivalité des couronnes de France et d’Angleterre.

- Le premier seigneur[5] connu est Aimon/Ha(i)mon le Barbu (vers 980-vers 1030), dit aussi de La Roche-Guyon, mari d'Hildeburge de Bellême sœur de l'évêque Avesgaud. Leurs enfants furent : Gervais (Ier) dit de Bellême, de Château-du-Loir ou de La Roche-Guyon (vers 1007-1067), évêque du Mans puis archevêque de Reims et régent de France pour le jeune Philippe Ier ; et Robert Brochard, sire de Château-du-Loir, né vers 1010, père lui-même de Gervais (II), aussi seigneur de Mayet et de La Cour-Aimon (Cohémon à Vouvray-sur-Loir), † vers 1095. Quand Gervais II, seigneur de Château-du-Loir, mourut sans descendance mâle vers 1095 (en fait, il avait eu un fils, Gervais, ecclésiastique, doyen du chapitre du Mans), la châtellenie de Château-du-Loir passa à sa fille Mathilde, † vers 1110, comtesse du Maine par son mariage avec Hélie de La Flèche ci-après. Puis elle fut possédée successivement par Geoffroi V le Bel dit Plantagenêt comte d'Anjou et du Maine (il descendait des anciens sires de Château-du-Loir par ses grands-parents maternels : Hélie du Maine et Mathilde de Château-du-Loir qu'on vient de rencontrer ; il mourut en 1151), et par les rois d’Angleterre dont Geoffroi fut la souche, depuis son fils Henri II jusqu’à Jean sans Terre.

- La ville fut reprise par Philippe Auguste vers 1199 et fut donnée à Guillaume des Roches, sénéchal d’Anjou, seigneur de Longué-Jumelles, de Sablé-sur-Sarthe et de La Suze, qui en 1219 fonda l’abbaye de Bonlieu. La reine Bérangère, veuve de Richard Cœur de Lion, à qui Philippe Auguste avait cédé le comté du Maine en échange de possessions sises en Normandie et qui constituaient son douaire, céda au sénéchal d'Anjou Guillaume des Roches, tous ses droits comme comtesse douairière du Maine, tant à Château-du-Loir que dans la forêt de Bercé.

- Alors que sa sœur aînée Jeanne des Roches passe Sablé à son mari Amaury Ier de Craon, Clémence des Roches, fille du sénéchal Guillaume, transmet Château-du-Loir, Mayet, Louplande et La Suze à son mari Geoffroy VI de Châteaudun. Leur fille Jeanne de Châteaudun épouse Jean de Montfort-l'Amaury, d'où Béatrice de Montfort x Robert IV de Dreux et de Braine, parents de : . Jean II de Dreux, d'où la suite des comtes de Dreux seigneurs de Château-du-Loir, le troisième fils de Jean II étant le comte Pierre de Dreux ci-dessous ; . et Jeanne de Dreux, comtesse de Braine et dame de La Suze, femme de Jean IV de Roucy, d'où : .. la suite des comtes de Roucy et de Braine ; .. et Béatrice de Roucy dame de La Suze, qui épouse Amaury III de Craon, arrière-petit-fils de Jeanne des Roches dame de Sablé et d'Amaury Ier de Craon ci-dessus.

- Justement, la branche issue de Jeanne des Roches avait gardé un sixième de Château-du-Loir, et l'héritier dans la première moitié du XIVe siècle en était un fils cadet d'Amaury III, Guillaume Ier le Grand de Craon vicomte de Châteaudun. Il échangea sa part de Château-du-Loir avec son lointain cousin Pierre Ier de Dreux fils du comte Jean II ci-dessus, contre Domart-en-Ponthieu — autre fief des Dreux venu du mariage en 1210 de Robert III de Dreux avec Aénor de St-Valery-sur-Somme — afin que le comte de Dreux puisse réunir complètement la baronnie de Château et la vendre avantageusement.

De succession en succession, Château-du-Loir va plusieurs fois à la Couronne : en mai 1337 à Philippe de Valois, qui l’achète 31 000 livres à Pierre Ier comte de Dreux ci-dessus, et la déclare baronnie « d’aussi bonne condition que le comté du Maine ». Donnée en apanage à Louis Ier, duc d’Anjou et petit-fils de Philippe VI, elle est une seconde fois réunie à la Couronne par Louis XI.

La guerre de Cent Ans n’épargnera pas la ville fortifiée qui fut pillée et détruite par les Anglais. Au XVIe siècle, Château-du-Loir reprendra un nouvel essor et deviendra un centre important, pour l’époque, de fabrication de toiles, de filatures et de tanneries.

Lors de la création de la généralité de Tours au XVIe siècle, Château-du-Loir, du fait de sa situation géographique et historique étroitement liée à l'Anjou et au Maine, devient le siège d’un gouvernement particulier avec un gouverneur et un lieutenant du roi, Château-du-Loir était avant 1789 le chef-lieu d’une sénéchaussée qui étendait sa juridiction sur 78 paroisses, d'une élection dont dépendaient 83 paroisses, d’une maîtrise des eaux, grenier à sel, recette des tailles, entrepôt de tabac qui en faisaient une des villes frontalières les plus importantes entre les provinces du Maine et de l'Anjou.

En 1790, lors de la création des départements français, la commune de Château-du-Loir, tout comme d'autres villes du nord de l'Anjou, telles que Le Lude et La Flèche, est rattachée au nouveau département de la Sarthe. Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.

Au moment de la Révolution, Château-du-Loir perdit plus de 50 % de sa population.

Avec la Révolution, Château-du-Loir marqua le pas. Même, un déclin certain s'installa, qui ne s'acheva qu'au XIXe siècle avec l'apparition du chemin de fer et la création d'un dépôt ferroviaire, rendant à Château-du-Loir et ses alentours une nouvelle vigueur économique.L'activité nouvelle permettra alors aux petites industries et aux artisans de développer leur commerce.

On ne peut parler de l’histoire de Château-du-Loir sans rappeler qu’à la période brillante de la Renaissance les hommes de lettres de la Pléiade s’y rencontraient : Ronsard de Couture, qui fut prieur de Saint-Guingalois (l’église) de 1569 à 1585, Racan de Bueil, les frères Lazarre, Antoine de Baïf de Mangé, Joachim du Bellay et même parfois Jacques Peletier du Mans.

On doit également citer, par souci de mémoire, certaines figures glorieuses ou tristement célèbres originaires de Château-du-Loir ou ayant marqué ce lieu, comme :

Siméon-François Berneux, né le 14 mai 1814 à Château-du-Loir et mort le 7 mars 1866 à Séoul en Corée. Prêtre des Missions étrangères de Paris, ordonné évêque en 1854. Il fait partie des martyrs de Corée, béatifiés le 6 octobre 1968 à Rome par Paul VI. Il est canonisé le 6 mai 1984 par Jean-Paul II.

Pierre Le Monnier, né le 6 septembre 1814 au Lude et décédé le 11 janvier 1895. Cet homme engagé, médecin des pauvres, républicain de cœur, persécuté par le régime de Napoléon III, fut déporté comme ennemi du Second Empire et emprisonné à Mostaganem (ville algérienne faisant alors partie des colonies). De retour à Château-du-Loir en 1870, après la libération des prisonniers politiques du Second Empire par la Troisième République, il devient représentant du canton au Conseil général puis en 1871 vice-président de cette assemblée, et en 1872 il est élu maire de Château-du-Loir. Par deux fois élu député de la Sarthe (circonscription de Saint-Calais ; de 1876 à 1882), il est élu sénateur en janvier 1882[6]. Durant ses différents mandats il a beaucoup œuvré pour dynamiser le canton et la région.

Pierre Loutrel, né le 5 mars 1916 à Château-du-Loir et plus connu sous le nom de « Pierrot le Fou ». Premier ennemi public français et l'un des meneurs du gang des Tractions Avant. Meurtrier opportuniste, il est successivement membre de la Gestapo française durant l’Occupation allemande de 1941 à 1944, exécuteur des basses œuvres pour les Allemands, pendant qu'il règle en même temps ses comptes avec la pègre de l’époque au profit de son propre réseau. Devenu encombrant pour la Gestapo allemande, et sentant le vent tourner, il décide de rejoindre la Résistance française en intégrant le réseau Morhange. Il fait alors parler de lui lors de l’exécution d’un officier allemand à la terrasse d'un café de Toulouse. À la Libération il rejoint le grand banditisme et se forge une réputation de « caïd ». Il forme le « gang des Tractions Avant » à bord desquelles il mène ses braquages. Il meurt en 1946 lors d’un braquage.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires[7]
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1794 Pierre Louis Grandhomme    
1794 1795 Pierre Gabeau    
1795 1796 René Houëau    
1796 1797 Jean Hervé    
1797 1816 René Houëau    
1816 1830 Thomas Tessier    
1830 1832 Esprit Gendron    
1832 1839 Pierre-Arsène Lelong   Conseiller général
1839 1852 Esprit Gendron   Conseiller général
1852 1872 Marie Olivier Cullier    
1872 1874 Pierre Le Monnier    
1874 1876 François Victor Trotin    
1876 1895 Pierre Le Monnier    
1895 1902 Emile Breteau    
1902 1904 Eugène Lespagnandelles    
1904 1914 Arthur Joly    
1914 1924 Louis Pineau Droite Conseiller général
1924 1925 Paul Guillon    
1925 1944 Gaston Perrin Radical Conseiller général
1944 1947 Abel Norguet    
1947 1953 Eugène Martin    
1953 1971 Henri Chabin    
1971 1977 Jacques Defais    
1977 1989 Marcel Boisjean UDF-Radical Conseiller général
1989 1995 François Leboucq RPR Ophtalmologiste
1995 2001 Daniel Macheton PS Enseignant
2001 2004 Marcel Goullencourt DVD Agent immobilier
2004 2008 Roland Séjourné DVD Banquier
2008 octobre 2011[8] Daniel Macheton PS Enseignant retraité

(décédé en mandat)

[9] mars 2014 Michel Auville DVG Retraité de la SNCF
mars 2014 décembre 2015 Béatrice Pavy[10] UMP-LR Comptable

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[12],[Note 2].

En 2020, la commune comptait 4 376 habitants, en évolution de −5,85 % par rapport à 2015 (Sarthe : +1,37 %, France hors Mayotte : +2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 6672 6522 8732 8573 0563 0173 0293 0583 080
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 0393 1022 9452 8772 8923 0183 6113 9034 317
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 2434 2514 2544 5314 5584 4004 4544 4724 530
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2007 2011 2016
4 7075 4365 7725 6175 4735 1484 7304 7324 631
2019 - - - - - - - -
4 551--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[4] puis Insee à partir de 2006[13].)
Histogramme de l'évolution démographique

Infrastructures

[modifier | modifier le code]

Il y a quatre écoles publiques à Château-du-Loir, deux écoles maternelles : Le Grand Douai et Laurentine-Proust, et deux écoles primaires : Le Point du Jour et Beauregard. La commune est dotée d'un collège public, le collège de Bercé. On y trouve par ailleurs deux lycées publics : le lycée Racan d'enseignement général et technologique et le lycée Maréchal-Leclerc-de-Hauteclocque d'enseignement professionnel.

L'école et collège Saint-Jean représente l'enseignement privé.

Trois grandes entreprises :

  • Amada : presses-plieuses, cisailles pour le travail de la tôle, découpe laser (anciennement Promecam, l'usine implantée en 1963 est rachetée par le Japonais Amada en 1986).
  • Aro : machines à souder électriques destinées à l'industrie automobile (acheté en 2006 par Langley Holdings plc et devient ARO Welding Technologies SAS en 2007).
  • Harman : haut-parleurs pour l'automobile (anciennement Audax, la marque a été revendue à la société AAC, Applications acoustiques de composites par Harman Becker en 2007), le groupe américain ferme le site de production en 2014 licenciant 185 employés[14].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Église Saint-Guingalois, ex-couvent des Récollets, monument inscrit le 20 avril 1967. C'est l'une des deux paroisses avant la Révolution, la première, dédiée à saint Martin, ayant été vendue comme bien national et détruite.
  • Manoir de Riablay : façades et toitures. Monument inscrit le 21 juillet 1966.
  • Hôtel Guillot de la Poterie, situé 49 rue Saint-Martin. Monument inscrit le 26 novembre 1968.
  • Logis Graslin, situé 1 rue Léon-Loiseau : façades et toitures, escalier intérieur. Monument inscrit le 18 février 1971.
  • Hôtel Maillard, situé 3 rue Jahard. Monument inscrit le 23 décembre 1997[15].
  • Maisons troglodytes, rue du Val de Loir.

Activité et manifestations

[modifier | modifier le code]

En termes d'infrastructures sportives, le territoire se dote en juillet 2011 d'un équipement aquatique moderne, « Plouf »[16],[17]. Il est équipé d'un bassin sportif de 25 m avec quatre lignes d'eau, d'un bassin d'activités et d'apprentissage de 140 m2 et d'un bassin extérieur en inox de 250 m2[18].

Les associations sportives et le public scolaire disposent de trois salles de sports et d'un dojo sur le site des Paumons.

Manifestations

[modifier | modifier le code]

Depuis 1987, se déroule à Château-du-Loir une bourse des collectionneurs qui a acquis une renommée nationale. Le nombre d'exposants dépasse la centaine, avec des collections souvent originales[19].

Depuis 2010, au début du printemps, un festival de musiques actuelles nommé Crash Test Session se déroule dans la salle municipale la Castélorienne. Plus de 300 spectateurs y découvrent des artistes locaux et des groupes de renommée nationale de styles variés (rock, reggae, électro, hip hop, punk, dub…). Cette manifestation est organisée par l'Asso Mnambule et a déjà accueilli des groupes comme Janski Beeeats, Jr Yellam, W#L#K, Centiped, Sisterhood Issue ou encore Jean Paul Dub.

Jumelages et autres relations

[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Château-du-Loir Blason
De gueules au château d'argent de trois tours couvertes d'argent, posé sur une rivière ondée d'argent et ombrée d'azur; au chef du même chargé de trois fleurs de lis d'or.
Détails
Origine 1664, adopté le 17 mars 1961.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Population municipale 2020,
  2. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 1, , p. 767
  2. « Recherche d'orthodromie depuis Château-du-Loir », sur Localisation interactive, orthodromie et navigation (consulté le ).
  3. « Château-du-Loir » sur Géoportail.
  4. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  5. « Branche de Château-du-Loir », sur Nobles ancêtres (décembre 2016).
  6. Sénat.fr
  7. « Votre service benevole d'assistance genealogique », sur francegenweb.org (consulté le ).
  8. « Ouest-france.fr - Daniel Macheton, maire de Château-du-Loir, est décédé » (consulté le ).
  9. « Un nouveau maire, Michel Auville, et deux nouvelles commissions - Château-du-Loir » (consulté le ).
  10. « De nouveaux maires et adjoints élus », Le Maine libre, (consulté le ).
  11. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  12. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  13. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 2016 2017 2018 .
  14. "Ouest-france.fr : Harman Becker à Château-du-Loir. L'usine ferme en septembre"
  15. Liste des protections du patrimoine sarthois
  16. « ESPACES - plouf » (consulté le ).
  17. « Loir & Bercé - Actualités communautaires : Visite commentée de PLOUF pour les élus du territoire » (consulté le ).
  18. « SPORTS - plouf » (consulté le ).
  19. « Ouest-france.fr - Les 25 ans de la bourse des collectionneurs ce week-end - Château-du-Loir » (consulté le ).
  20. Lucien Arréat, Art et psychologie individuelle, Paris, Félix Alcan, (lire en ligne), p. 141-158, « Observation sur une musicienne (1895-1902) »
  21. « LUCAS Blanche », sur Présence compositrices (consulté le ).
  22. « Fiche d'Angélique Roujas », sur FFF.fr (consulté le ).

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :