Alain Schmitz

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Alain Schmitz, né le 27 avril 1948, est un homme politique français.

Biographie

Issue d'une longue lignée versaillaise dont on retrouve des ancêtres en 1735, il est le fils de François Schmitz (greffier en chef au tribunal de commerce de Versailles, maire-adjoint de Versailles de 1959 à 1977, conseiller général des Yvelines pour le canton de Versailles-Nord-Ouest de 1967 à 1982, conseiller Régional d'Île-de-France de 1976 à 1986) et de Christiane Jaudoin.

Formation

Après avoir effectué toute sa scolarité au Lycée Hoche de Versailles, Alain Schmitz intègre la faculté de droit de Paris. Il sort diplômé de l’Institut de Criminologie de Paris, puis obtient un doctorat en droit privé^[1].

Carrière professionnelle

Consécutivement à ses études de droit, il devient en 1972 avocat à la Cour d’Appel de Versailles avant d’être Commissaire Priseur à la Résidence de Saint-Germain-en-Laye en 1978. Par ailleurs, il continue d'exercer ladite profession^[2].

Carrière politique

Mandat de sénateur

Sénateur de mai à septembre 2004 en remplacement de Gérard Larcher nommé Ministre délégué aux Relations du travail, membre de l'UMP.

Mandat de conseiller général

Proche de Pierre Bédier et de Valérie Pécresse, conseiller général élu dans le canton de Versailles-Nord, Alain Schmitz devient, le 3 juillet 2009, président du conseil général des Yvelines face au candidat socialiste^[3]. Cette élection a lieu suite à la démission d'office de Pierre Bédier, le 22 mai 2009, par la préfète des Yvelines^[4], suite à une condamnation à six ans d'inéligibilité.

Mandat de président du conseil général des Yvelines

À l'occasion de son discours d'investiture, il fixe ses priorités: "celles qui découlent des deux grandes compétences du Conseil général, l’action sociale et l’aménagement du territoire. La solidarité sera au cœur de notre action : solidarité du département avec les Yvelinois et solidarité territoriale afin de répondre aux besoins des communes."^{[réf. nécessaire]}

Le 1er décembre 2009, il confirme que le projet de circuit de F1 de son prédécesseur Pierre Bédier est retiré car il n'était pas réalisable: "Au sein de ce projet, figure effectivement un produit d’appel, dont nous espérions la forte médiatisation, un circuit de Formule 1 pour accueillir le Grand Prix de France. Nous n’avons pas été déçus. Il a atteint son objectif en plaçant les Yvelines sous les feux de l’actualité et nous a permis de mettre la Vallée de l’Automobile et de la Mobilité Durable sur les rails."^[5]

La Vallée de l'Automobile et de la Mobilité Durable aurait été inscrite dans le projet du Grand Paris^[6].

Décorations

• Chevalier de l'ordre national du Mérite
• Chevalier des Arts et des Lettres
• Chevalier des Palmes Académiques
• Chevalier du Mérite de l'ordre de Malte

Notes et références

Liens externes

• (fr) Sa fiche sur le site du Sénat

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