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Cigarette

Cigarette
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Deux cigarettes blondes avec bout filtre.

La cigarette est un petit cylindre de papier rempli de feuilles de tabac hachées et traitées, avec ou sans filtre à une de ses extrémités. Une cigarette peut être soit roulée à la main, soit fabriquée en série de manière industrielle.

Son utilisation consiste à l'allumer afin qu'elle se consume pour en inhaler sa fumée par la bouche ou par le nez selon la technique dite « à l'hindouiste ». Une cigarette peut parfois ne pas contenir de tabac du tout, ou renfermer d'autres produits végétaux, y compris d'autres agents psychotropes tel le cannabis, ou des clous de girofle (kreteks indonésiennes).

Une cigarette se distingue d'un cigare par sa dimension, l'utilisation de tabac expansé, son entourage en papier et par l'éventuelle présence d'ingrédients (agents de saveurs, humectants) et/ou d'un filtre à l'une de ses extrémités. Les cigares sont habituellement composés uniquement de feuilles complètes de tabac. Un cigare ayant à peu près la taille d'une cigarette est appelé cigarillo.

La fumée de cigarette contient de nombreuses substances toxiques, dont au moins une soixantaine sont reconnues comme cancérigènes[1]. Le tabagisme provoque chaque année la mort d'environ quatre millions de personnes dans le monde[2]. Pour ces raisons, les législations sur le tabac deviennent de par le monde de plus en plus restrictives, qu'il s'agisse de la vente, des lieux de consommation ou même du design[3].

Sommaire

Histoire

Article détaillé : Tabac.

Les Amérindiens fumaient le tabac enroulé dans différentes feuilles végétales. Lors de son introduction en Espagne, la feuille de maïs devient la norme, puis le papier fin, à partir du XVIIe siècle. Le tabac roulé dans du papier était appelé papelate et est illustré dans diverses œuvres de Goya comme La Cometa, La Merienda en el Manzanares et El juego de la pelota a pala[4]

Les première cigarettes manufacturées apparaissent en Espagne vers 1825, en 1833 les paquets de cigarette sont vendus sous la dénomination cigarrillo ou cigarrito, qui dérive du mot cigarra (« cigale ») par similitude de forme et de taille avec l'insecte. Vers 1830, la cigarette est introduite en France : tabac et papier à rouler sont vendus séparément et les cigarettes préparées manuellement. En 1845, le monopole d'État est instauré pour la fabrication des cigarettes[4]. Il faudra attendre la fin du XIXe siècle[réf. nécessaire] et l'apparition de machines permettant la fabrication industrielle pour qu'elle devienne un produit de consommation courante. La distribution gratuite de tabac gris aux soldats de la troupe pendant la première guerre va généraliser la consommation.

Produit de grande consommation (XXe siècle)

« Carotte » signalant un point de vente de tabac en France

En France, en 1926, le service d'exploitation industrielle des tabacs et allumettes (SEITA) est créée pour gérer le monopole. Les bénéfices du service sont versés à la caisse autonome pour l'amortissement des emprunts d'État. La production de cigarettes passe de 10 milliards d'unités en 1923 à 19 milliards en 1940[réf. nécessaire].

Mais la consommation de tabac n'a vraiment commencé à prendre de l'ampleur que depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale avec l'arrivée des « américaines ». La cigarette filtre, inventée en Suisse dans les années 1930, se généralisera dans les marchés occidentaux dans le courant des années 1950.

En 1982, la production mondiale de cigarettes atteint 4 600 milliards d'unités[réf. nécessaire].

La fabrication des cigarettes consiste en un mélange de tabac, de papier et de colle pour le papier.

Composition

Tabacs

1. Fumée principale (inhalée) ; 2. Filtre ; 3/4. Adhésif du filtre ; 5. Encre; 6. Adhésif latéral ; 7. Fumée latérale ; 8. Filtre ; 9. Emballage du filtre ; 10. Tabac et ingrédients ; 11. Papier ; 12. Zone de combustion

Il existe en pratique deux grandes familles de cigarettes :

  • les Virginia, essentiellement composées d'un assemblage de tabac de cette variété (Virginie, du nom de l'État d'origine), et qui ne contiennent pas ou peu d'additifs. Elles constituent l'essentiel du marché dans les pays du Commonwealth ;
  • les cigarettes dites américaines (ou American blend), à base de tabac Burley, moins goûteux mais ayant une meilleure faculté d'absorption des sauces, qui donnent le goût propre à chaque marque (y compris le menthol). Ce sont les plus vendues en Amérique du Sud et Europe continentale.

Un troisième type de cigarettes, au tabac dit « Oriental », est commercialisé dans le sud et l'est méditerranéen.

Parce que le tabac est un produit agricole, les récoltes sont mélangées (souvent par répartition de récoltes successives) afin de conserver une uniformité de goût d'une année sur l'autre. Les sauces appliquées au Burley permettent d'assurer une saveur uniforme entre les lots et empêcher le dessèchement trop rapide du tabac. La soumission aux autorités de la liste des ingrédients utilisés dans la fabrication des cigarettes est obligatoire dans un nombre croissant de pays (Canada, en Thaïlande et dans l'Union européenne, voire est directement publiée par certains fabricants[5]).

En plus des additifs, les fibres de tabac sont amalgamées à des degrés divers avec la poussière de tabac produite lors du traitement et avec les nervures broyées des feuilles (tabac reconstitué et expansé).

Quelques marchés ont développés des formes locales de cigarettes : bidis en Inde, kreteks en Indonésie (contenant des clous de girofle).

Additifs

Depuis les années 1950, les fabricants d'Américan blends ont ajouté aux cigarettes une variété d'additifs destinés à caractériser leur produit (la variété Burley utilisé étant moins gouteuse que les Virginia blend), une pratique destinée à accroître ou accélérer l'apparition du phénomène de dépendance au tabac selon la plupart des acteurs anti-tabac[6]. Par exemple, selon une étude de l'ASH 1999, « des composés ammoniaqués peuvent jouer ce rôle en augmentant l’alcalinité de la fumée »[7], augmentant le ratio de nicotine-base dans la fumée, qui atteint dès lors plus rapidement le cerveau pour procurer la sensation de satisfaction du fumeur[8].

Un rapport de l'association britannique Action on Smoking and Health de 1999 relève dans certaines marques la présence d'additifs qui dilatent les bronches favorisant l'absorption de la nicotine : « Des additifs tels que le cacao peuvent être utilisés pour dilater les voies respiratoires, permettant à la fumée de pénétrer plus facilement et plus loin vers les poumons, ce qui expose l’organisme à plus de nicotine et à des niveaux plus élevés de goudrons. »

La liste des additifs retrouvés dans les cigarettes[9] inclut aussi des additifs sucrés (miel, sucre, cacao, etc.) qui, pyrolysés par la combustion de la cigarette, produiraient des IMAO [10],[11],[12]. La qualité et la quantité exacte d'IMAO que l'on peut retrouver dans une cigarette reste à déterminer, et il n'est pas dit que cela suffise pour induire un quelconque effet psychotrope.

Économie

Production

Les 5 plus importants fabricants de cigarettes en volume étaient, en 2005[13]:

Le total des ventes pour cette année s'élevant à 5 457 milliards d'unités.

Consommation

Les cigarettes sont généralement vendues en paquets de 20 à 25 unités ou à l'unité dans les pays pauvres. les paquets peuvent à leur tour être vendus en cartouches (ou cartons) de 8 à 12 unités.

  • En France, environ 13,5 millions de fumeurs sont recensés en 2007 (15 millions en 2003), parmi lesquels 16,5 % fument plus de 20 cigarettes par jour. 54,4 milliards de cigarettes ont été vendu en 2008[14], pour un montant d'environ 14 milliards d'euros (calcul effectué sur une base de 5,30 €[15] le paquet de 20 cigarettes soit 0,265 €/cigarette). Le revenu généré par les taxes sur le tabac (un paquet de cigarette est taxé par l'État français à hauteur de 80 %[16]) est d'environ 11 milliards d'euros.

Prix et taxation

De par les volumes générés, la taxation des cigarettes est l'objet d'une attention toute particulière des gouvernements soucieux de maximiser l'efficacité de la collecte de revenus et les politiques de santé publique[17]. Par rapport à d'autres produits, la variation de consommation reste cependant relativement peu élastique et toute augmentation des prix ne se traduit pas forcément par une baisse du nombre de fumeurs - une partie des consommateurs se dirigeant vers d'autres produits du tabac plus faiblement taxés (tabac à rouler par ex.), ou vers les cigarettes de contrebande.

Une grande partie du prix des cigarettes est composé de taxes gouvernementales indirectes. Celles-ci se décomposent en trois grandes catégories : droits d'accise, taxes sur les ventes (TVA par ex.) et, éventuellement, droits de douane[18]. Les droits d'accise prélevés peuvent en outre être exercés sur différents aspects de la marchandise, qu'il s'agisse du poids, du nombre ou de la valeur des cigarettes vendues. Enfin, cette imposition peut être ad valorem (un pourcentage de la valeur déclarée) ou spécifique (un montant fixe pour une quantité donnée).

Il n'existe pas réellement d'approche uniforme en matière de taxation de par le monde, ce qui conduit à de vastes différences de prix d'un pays à l'autre. Ainsi, le prix d'un paquet de cigarettes Marlboro, marque la plus vendue au monde[19], varie-t-il de un à onze dollars par paquet selon les pays que ce soit en Mongolie ou en Norvège[20].

Cigarette et santé

Article détaillé : Tabagisme.

Effets

Substances contenues dans la fumée

Des substances contenues dans la fumée de cigarette agissent sur le consommateur de tabac, mais également sur les individus se trouvant à proximité (tabagisme passif). La fumée de cigarette contient entre 3 000 et 5 000 constituants différents, dont au moins 70 (les analytes d'Hoffmann) ont été identifiés comme toxique[21] ; le chiffre réel est très probablement supérieur[22]. 40 de ces composés doivent être annuellement mesurés et rapportés à Santé Canada pour les marques vendues sur ce marché[23].

Il n'existe aucune étude démontrant une différence de toxicité entre les cigarettes avec et sans additifs.

Maladies

La consommation de cigarettes et l'apparition du cancer du poumon dans la population adulte sont étroitement corrélés.

Chez l'adulte, l'apparition du cancer du poumon[25] est, dans 95 % des cas, liée à la consommation de tabac. Celle-ci est également une cause majeure du cancer de la gorge, même si la cause précise de tel ou tel type de cancer n'a pas été identifiée. Le risque est de fait inhérent à la combustion, en particulier aux goudrons cancérigènes qui entrent dans la composition de la fumée, et ce quelle que soit sa méthode de prise (pipe, cigarettes ou cigare) ou la composition du produit consommé (tabac, herbes, avec ou sans additifs).

Fumer est particulièrement déconseillé pendant la grossesse : entre autres, les risques de fausse couche, de mortalité périnatale, de poids du nouveau né inférieur à la moyenne augmentent sensiblement, de même que les risques de mort subite du nourrisson[26].

Les risques du tabagisme sont une augmentation de la probabilité de contracter une des maladies suivantes (liste non exhaustive) :

  • La plupart des types de cancer et particulièrement du poumon[27], de la bouche, du larynx, de la gorge, du rein[28], de la vessie, du sein[29],[30], de l'estomac[31] et de l'intestin grêle ;
  • Maladies cardio-vasculaires ;
  • Maladies du poumon, y compris l'emphysème, la bronchite chronique qui aboutissent à long terme à une insuffisance respiratoire chronique ;
  • Maladies de la cavité buccale.

En France, depuis le 1er janvier 2004, certains de ces dangers sont signalés sur les paquets de cigarette par des avertissements écrits, de même que dans les autres États de l'Union : La règlementation est liée à la directive 2001/37/CE du 5 juin 2001 « relative au rapprochement des dispositions législatives, réglementaires et administratives des États membres en matière de fabrication, de présentation et de vente des produits du tabac »[32].

Effets psychotropes

La nicotine a différents effets psychotropes, comme par exemple de réduire l'appétit. Un tiers de ceux qui arrêtent de fumer prennent provisoirement de l'embonpoint. Toutefois, il existe des stratégies, basées principalement sur l'augmentation des dépenses énergétiques, pour empêcher ou limiter la prise de poids à l'arrêt de la cigarette.

La nicotine contenue dans la cigarette agit aussi, indirectement, sur le système de récompense. Elle active les récepteurs à acétylcholine, ce qui entraine la libération de dopamine. D'autres substances augmentent également la quantité de dopamine, dont certains stupéfiants tel que la cocaïne.

Mais la nicotine seule ne rend pas dépendant[33]. La cigarette a aussi un effet antidépresseur, et c'est cet effet, combiné au plaisir procuré par l'activation du système de récompense, qui va donner à la cigarette son fort pouvoir addictif. C'est pour cela aussi que l'arrêt de la cigarette provoque chez beaucoup d'individus une grande tristesse. L'effet antidépresseur est dû à l'harmane et la norharmane, résultant de la combustion du tabac. Ces deux molécules ont pour effet une inhibition des monoamines oxydases, ce qui correspond à l'effet de certains antidépresseurs.

Le pouvoir addictif de la cigarette est comparable a celui des drogues dites « dures » comme l'héroïne par exemple. La présence d'additifs contribue à renforcer encore les phénomènes de dépendance : par exemple l'ammoniaque est soupçonné de favoriser le transfert de la nicotine au cerveau en abaissant le pH de la fumée. Même chose pour la théobromine, cet extrait de cacao agirait comme bronchodilatateur, augmentant la surface d'échange dans les poumons entre l'air et le sang[34][réf. insuffisante].

Risque radioactif

Les cigarettes contiennent un élément radioactif, le polonium 210. Selon le quotidien français Libération en 2008, cette présence aurait été accrue depuis les années 1950 par l'apport de phosphates dans les cultures (apatite). Son effet sur la santé serait très réduit par rapport à celui des goudrons, mais elle renforcerait le risque de cancer du poumon. La présence de cet isotope, que l'on trouve dans d'autres produits agricoles, est publique depuis le milieu des années 1960[35], mais les cigarettiers auraient préféré taire le résultat de recherches internes n'ayant pas réussi à réduire les taux[36],[37],[38].

Cigarettes dites « légères »

Une enquête menée en 1998-1999 par Santé Canada et intitulée : « L'attitude des fumeurs à l'égard des cigarettes “légères” et “douces” »[39] montrait que :

  • 39 % des fumeurs de cigarettes régulières ayant opté pour une cigarette « légère » ou « douce » l'ont fait pour des raisons de santé et 18 % en tant que premier pas vers l'abandon.
  • 47 % des fumeurs pensent que « légère » signifie que la fumée de ces cigarettes contient moins de goudron, de nicotine et de monoxyde de carbone ; 28 % pensent que « douce » signifie que la fumée de ces cigarettes contient moins de goudron, de nicotine et de monoxyde de carbone. Lorsqu'ils sont questionnés sur ces termes ambigus, 59 % des Canadiens estiment que les termes « légère » et « douce » le sont et 38 % d'entre eux souhaitent avoir plus d'information quant à leur signification.
  • 24 % des fumeurs pensent que le fait que les fabricants étiquettent leurs produits « légères » ou « douces » correspond à une astuce publicitaire.

Les paquets de cigarettes canadiens doivent indiquer le niveau d'émission de six substances toxiques sous la forme d'un intervalle correspondant au mesures effectuées selon les normes ISO ou celles de Santé Canada (également appelée « intensive ») afin de donner une meilleure fourchette des volumes inspirés par les fumeurs.

Il semble que les fumeurs « compensent » consciemment ou inconsciemment leur façon de fumer en prenant des bouffées généralement plus profondes et plus longues ou en couvrant les orifices de ventilation du filtre afin d'inhaler suffisamment de nicotine : l'indication « légères/lights » doit donc être compris comme une indication de goût et non pas comme une mesure de moindre exposition aux toxines, qui reste sensiblement la même qu'avec des cigarettes « classiques ».

Controverse sur la méthodologie

Les militants anti-tabac contestent certaines études, affirmant que "des scientifiques indépendants ont été recrutés par les compagnies de tabac pour publier moyennant de confortables cachets des travaux rassurants."[40]. Les cigarettiers affirment que ces scientifiques restent indépendants et restent avant tout guidés par leur éthique professionnelle.

Statistiques

Pictogramme autorisation de fumer.
  • En France, comme dans la plupart des pays industrialisés, la cigarette est la principale cause évitable de maladie et de mortalité[réf. nécessaire].
  • 66 000 individus meurent de manière directe à cause du tabac chaque année en France (chiffre INSEE de 2000)[41].
  • Un fumeur sur deux décédera d’une maladie causée par la consommation de cigarettes, après, la plupart du temps, une maladie longue et douloureuse et dans un cas sur deux avant 65 ans.
  • Fumer diminue en moyenne de huit ans l’espérance de vie[réf. nécessaire].
  • Les fumeurs risquent 18 fois plus d’être victime d’un cancer du poumon que les non-fumeurs. Le risque de faire un infarctus avant 65 ans est 3 fois plus élevé chez le fumeur[réf. souhaitée].
  • 95 % des cancers du poumon sont détectés chez des fumeurs ; l'usage de cigarettes dites "légères" ou de filtres ne réduit pas le risque de manière significative[42]. Seules 13 % des individus auxquelles on diagnostique un cancer du poumon (causé par le tabac) aujourd’hui seront encore vivantes dans cinq ans[réf. souhaitée].
  • Les non-fumeurs vivant avec un fumeur augmenteraient de 26 % leur risque de cancer du poumon, de 23 % leur risque d’infarctus.
  • 85 % des fumeurs "passifs" souffrent souvent de problèmes respiratoires. [réf. souhaitée]

Média

Cinéma et télévision

Mode

Article détaillé : Fume-cigarette.

Un fume-cigarette est un accessoire de mode en forme de tube légèrement évasé, à l’extrémité duquel on insère une cigarette de manière à la fumer sans qu’elle touche aux lèvres. La personne qui l'utilise respire alors à travers l'embout du fume-cigarette. Souvent fabriqué en argent, en or, en jade, en ivoire ou en bakélite (puis remplacé par du plastique),... il était populaire chez les femmes mondaines et à la mode, du milieu des années 1910 jusqu'aux années 1970. Il s'est fait beaucoup mieux accepter chez les hommes dans les années 1930. Il est aujourd'hui un accessoire important dans la mode japonaise.

Notes et références

  1. C. J. Smith, T. A. Perfettia, R. Gargb et C. Hansch, « IARC carcinogens reported in cigarette mainstream smoke and their calculated log P values », Food and Chemical Toxicology Volume 41, Issue 6, juin 2003, p. 807-817.
  2. Tobacco Atlas, Organisation mondiale de la Santé. Consulté le 23 juillet 2010
  3. Consommateurs : les États membres approuvent les mesures prévues par la Commission pour lutter contre les incendies dus à la cigarette, Commission européenne, 29 novembre 2007. Consulté le 23 juillet 2010
  4. a et b Goodman, Jordan Elliot, Tobacco in history: the cultures of dependence, Routledge, New York, 1993, page 97, isbn : 0-415-04963-6
  5. Voir par exemple le site mis en place à cet effet par Philip Morris International (en)
  6. Selon Clive Bates, directeur de l'antenne anglaise de l'Action on smoking and health (ASH), cité sur le site de la télévision suisse romande [1]
  7. Rapport Les additifs du tabac, Clive Bates (ASH, Londres), Dr Martin Jarvis (Imperial Cancer Research Fund, Londres), Dr Gregory Connolly (Massachusetts Tobacco Control Program, Boston), 1999 Version française sur le site Stop-tabac.ch, consultée en septembre 2008.
  8. Stevenson T, Proctor RN. « The secret and soul of Marlboro: Phillip Morris and the origins, spread, and denial of nicotine freebasing. », Am J Public Health. 2008 Jul;98(7):1184-94.
  9. http://tabac-stop.net/liste_additifs_tabac.html
  10. Tabac et dépression
  11. Dépendances en tout genre
  12. The isolation of harmane and norharmane from tobacco and cigarette smoke
  13. Source : Reuters, « FACTBOX-Leading cigarette manufacturers by sales », 18 juillet 2007. Consulté le 6 décembre 2007
  14. [http://www.lefigaro.fr/actualites/2009/01/06/01001-20090106ARTFIG00560-consommation-de-tabac-le-petit-record-de-.php Consommation de tabac : le petit record de 2008], Le Figaro.fr. Mis en ligne le 7 janvier 2009, consulté le 2 juin 2009
  15. Taxes sur les cigarettes en Europe sur www.linternaute.com, Linternaute Sante. Consulté le 2 juin 2009
  16. Prix du paquet de cigarettes en Europe sur www.linternaute.com, Linternaute Sante. Consulté le 2 juin 2009
  17. Chaloupka, F. et Warner, K., The Economics of Smoking, Chapitre 29 de The Handbook of Health Economics, Volume I (2000).
  18. Frank J. Chaloupka, « Civil Society Monitoring of the Framework Convetnion on Tobacco Control; Chap. 2, Price and Tax of Tobacco Products », 2007, p. 9. Consulté le 23 juillet 2010
  19. Philip Morris International, « Nos marques ». Consulté le 23 juillet 2010
  20. Frank J. Chaloupka, « Civil Society Monitoring of the Framework Convetnion on Tobacco Control; Chap. 2, Price and Tax of Tobacco Products », 2007, p. 12. Consulté le 23 juillet 2010
  21. (en) Ingebrethsen, B.J., "Aerosol studies of cigarette smoke", Rec Advan Tob Sci (1986) 12, pp. 54-142.
  22. (en) Repace JL. Exposure to Secondhand smoke in Exposure Analysis. Ott W, Steinemann AC, Wallace LA. (eds.). Taylor and Francis. Boca Raton, Floride. 2007
  23. Santé Canada, « Rapports des fabricants de tabac:Règlements sur les rapports relatifs au tabac »
  24. Smoking & Tobacco Use - Centers for Disease Control and Prevention, U.S. Department of Health & Human Services
  25. "Smoking and Health: A Report of the Surgeon General", Office of the Surgeon General, Public Health Service, United States, 11 janvier 1964
  26. Fleming P, Blair PS. "Sudden Infant Death Syndrome and parental smoking", Early Hum Dev. 2007 Nov;83(11):721-5. Epub 2007 Sep 18
  27. American Legacy Foundation factsheet on lung cancer ; leur source (citée) est : CDC (Centers for Disease Control) The Health Consequences of Smoking: A Report of the Surgeon General. 2004.
  28. Lipworth L, Tarone RE, McLaughlin JK. The epidemiology of renal cell carcinoma. J Urol. 2006 Dec;176 (6 Pt 1):2353-8. PMID 17085101
  29. Cui Y, Miller AB, Rohan TE. Cigarette smoking and breast cancer risk: update of a prospective cohort study. Breast Cancer Res Treat. 2006 Dec;100(3):293-9. PMID 16773435
  30. Calle EE, Miracle-McMahill HL, Thun MJ, Heath CW. Cigarette smoking and risk of fatal breast cancer. Am J Epidemiol. 1994 May 15;139(10):1001-7. PMID 8178779
  31. Kuper H, Boffetta P, Adami HO. Tobacco use and cancer causation: association by tumour type. J Intern Med. 2002 Sep;252(3):206-24. PMID 12270001
  32. source : les Communautés européennes ; «Seule fait foi la version imprimée de la législation européenne telle que publiée dans les éditions papier du Journal officiel de l'Union européenne.»
  33. Pour la Science - Avril 2006
  34. www.fumercafaitdumal.ch
  35. Kelley TF, "Polonium 210 content of mainstream cigarette smoke", Science (1965) Jul 30;149:537-8
  36. Philip Morris, « Radiochemistry polonium », 15 avril 1977. Consulté le 5 septembre 2008
  37. W. Gannon, « 210Po Manuscript », 30 mai 1978. Consulté le 5 septembre 2008
  38. Monique E. Muggli, Jon O. Ebbert, Channing Robertson, et Richard D. Hurt, « Waking a Sleeping Giant: The Tobacco Industry’s Response to the Polonium-210 Issue », American Journal of Public Health 98(9):1643-1650.. Consulté le 5 septembre 2008
  39. Enquête de surveillance de l'usage du tabac au Canada 2001, 2001. Consulté le 11 janvier 2008
  40. Fumeurs si vous saviez, in Figaro Madame, 23 mai 2006, [2], basé sur le livre du Pr Gérard Dubois, "Le rideau de fumée", Le Seuil, et le film militant de Nadia Collot, "Tabac, la conspiration", 2005
  41. Tableaux de l'Economie Française édition 2006 et INSEE Première n°808
  42. Michael J Thun, David M Burns, Health impact of "reduced yield" cigarettes: a critical assessment of the epidemiological evidence, Tob Control 2001;10(Suppl 1):i4-i11 (Winter)

Annexes

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