@inproceedings{landragin-2005-traitement,
title = "Traitement automatique de la saillance",
author = "Landragin, Fr{\'e}d{\'e}ric",
editor = "Jardino, Mich{\`e}le",
booktitle = "Actes de la 12{\`e}me conf{\'e}rence sur le Traitement Automatique des Langues Naturelles. Articles longs",
month = jun,
year = "2005",
address = "Dourdan, France",
publisher = "ATALA",
url = "https://aclanthology.org/2005.jeptalnrecital-long.27",
pages = "261--270",
abstract = "Lorsque nous {\'e}coutons un {\'e}nonc{\'e} ou que nous lisons un texte, les ph{\'e}nom{\`e}nes de saillance accaparent notre attention sur une entit{\'e} du discours particuli{\`e}re. Cette notion de saillance comprend un grand nombre d{'}aspects, incluant des facteurs lexicaux, syntaxiques, s{\'e}mantiques, pragmatiques, ou encore cognitifs. En tant que point de d{\'e}part de l{'}interpr{\'e}tation du langage, la saillance fonctionne de pair avec la structure communicative. Dans cet article, notre but principal est de montrer comment aboutir {\`a} un mod{\`e}le computationnel de la saillance, qui soit valable aussi bien pour la saillance linguistique que pour la saillance visuelle. Pour cela, nous retenons une liste de facteurs qui contribuent {\`a} rendre saillante une entit{\'e}. Dans le cas d{'}une entit{\'e} du discours, cette approche nous permet de clarifier les rapports entre saillance et structure communicative. Nous d{\'e}finissons nos principes de primordialit{\'e} et de singularit{\'e}, puis nous passons en revue les diff{\'e}rentes m{\'e}thodes de quantification de la saillance qui sont compatibles avec ces principes. Nous illustrons alors l{'}une d{'}entre elles sur un exemple linguistique et sur un exemple visuel.",
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<title>Traitement automatique de la saillance</title>
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<title>Actes de la 12ème conférence sur le Traitement Automatique des Langues Naturelles. Articles longs</title>
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<abstract>Lorsque nous écoutons un énoncé ou que nous lisons un texte, les phénomènes de saillance accaparent notre attention sur une entité du discours particulière. Cette notion de saillance comprend un grand nombre d’aspects, incluant des facteurs lexicaux, syntaxiques, sémantiques, pragmatiques, ou encore cognitifs. En tant que point de départ de l’interprétation du langage, la saillance fonctionne de pair avec la structure communicative. Dans cet article, notre but principal est de montrer comment aboutir à un modèle computationnel de la saillance, qui soit valable aussi bien pour la saillance linguistique que pour la saillance visuelle. Pour cela, nous retenons une liste de facteurs qui contribuent à rendre saillante une entité. Dans le cas d’une entité du discours, cette approche nous permet de clarifier les rapports entre saillance et structure communicative. Nous définissons nos principes de primordialité et de singularité, puis nous passons en revue les différentes méthodes de quantification de la saillance qui sont compatibles avec ces principes. Nous illustrons alors l’une d’entre elles sur un exemple linguistique et sur un exemple visuel.</abstract>
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%T Traitement automatique de la saillance
%A Landragin, Frédéric
%Y Jardino, Michèle
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%X Lorsque nous écoutons un énoncé ou que nous lisons un texte, les phénomènes de saillance accaparent notre attention sur une entité du discours particulière. Cette notion de saillance comprend un grand nombre d’aspects, incluant des facteurs lexicaux, syntaxiques, sémantiques, pragmatiques, ou encore cognitifs. En tant que point de départ de l’interprétation du langage, la saillance fonctionne de pair avec la structure communicative. Dans cet article, notre but principal est de montrer comment aboutir à un modèle computationnel de la saillance, qui soit valable aussi bien pour la saillance linguistique que pour la saillance visuelle. Pour cela, nous retenons une liste de facteurs qui contribuent à rendre saillante une entité. Dans le cas d’une entité du discours, cette approche nous permet de clarifier les rapports entre saillance et structure communicative. Nous définissons nos principes de primordialité et de singularité, puis nous passons en revue les différentes méthodes de quantification de la saillance qui sont compatibles avec ces principes. Nous illustrons alors l’une d’entre elles sur un exemple linguistique et sur un exemple visuel.
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%P 261-270
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[Traitement automatique de la saillance](https://aclanthology.org/2005.jeptalnrecital-long.27) (Landragin, JEP/TALN/RECITAL 2005)
ACL
- Frédéric Landragin. 2005. Traitement automatique de la saillance. In Actes de la 12ème conférence sur le Traitement Automatique des Langues Naturelles. Articles longs, pages 261–270, Dourdan, France. ATALA.