Depuis quelques années, les technologies, telle que l’internet, ont pris une place considérable dans notre vie quotidienne.
A présent, on peut presque tout faire par le biais du web, même draguer ou se faire draguer.
Que ce soit sur les chats ou les sites de rencontres, de nombreuses personnes cherchent à faire de rencontres, qu’elles soient célibataires ou non !
Certaines personnes, en couple, entretiennent des relations virtuelles avec une autre femme, ou un autre homme que le/la leur, mais ne considèrent pas pour autant être infidèles.
Pour confirmer cette tendance un site de rencontre a mené une enquête sur 2600 hommes et femmes britanniques, mariés ou tout du moins déjà en couple.
Interrogés sur leur point de vue concernant le flirt sur internet, 71% des femmes ont admis avoir déjà visité un site de rencontre juste par curiosité, histoire de voir à quoi cela ressemblait et pour s’amuser. Rien de plus selon elles, cela n’est pas de l’infidélité, les éventuels flirts virtuels ne sont pas sérieux.
Et 72% des hommes questionnés partagent l’avis des femmes, tout ce qui est virtuel n’est pas sérieux au point d’être considérés comme de l’infidélité.
Le responsable de l’enquête, Sean Wood, estime que ces chiffres sont le reflet d’une réelle évolution de la notion de fidélité et de ses limites….
Attention cependant, toutes les personnes ne réagissent pas de la même manière, et pour certaines un simple flirt virtuel est une fidélité, passible de rupture !

Vous venez de vous faire larguer par l’amour de votre vie, et depuis qu’il a prononcé les mots fatidiques vous le détestez comme jamais.
Certes on sait depuis longtemps que les histoires d’amour finissent mal en général, mais de là à ce que ça vous arrive à vous, ça jamais !
Du coup, tous les prétextes sont bons pour médire sur son compte, raconter tous ses petits secrets inavouables, et déformer la vérité pour le/la rendre aussi désagréable aux yeux des autres qu’il/elle ne l’est à vos yeux.
Pendant des semaines entières parfois, les amis, la famille ou les collègues vont entendre les quatre vérités sur son compte, car il n’y a pas à dire c’était vraiment le diable en personne.
Et certaines ruptures étant plus difficiles que d’autres, après une infidélité, une rupture pour une femme ou un homme plus jeune, un changement de préférence sexuelle, être quittée après l’annonce d’une grossesse, par exemple, on met du temps à s’en remettre, et parfois l’exutoire des amis ou des proches n’est pas suffisant on a besoin de plus pour pouvoir tourner la page.
C’est pour venir en aide à ces personnes désespérées qu’un site internet à vu le jour il y a quelques mois, qui permet à toutes les personnes ayant été quittées, de venir s’exprimer tout leur saoul sur leur rupture, leurs malheurs et surtout dire tout le bien qu’elles pensent de leur exs….
Après le site qui proposait de revendre tous les cadeaux que des personnes avaient reçu de leurs exs, le site « Why my ex sucks » (pourquoi mon ex craint), accueille les âmes esseulées, et leur permet de se soulager en racontant leurs amours malheureux et bien entendu en cassant leurs exs !
Et comme on dit qu’il n’y a pas de mal à se faire du bien, pourquoi s’en priver. Attention cependant à respecter le respect de la vie privée de votre ex, ne citez pas de nom, il serait dommage d’être en infraction pour votre ex !

Le harcèlement sexuel n’est pas un mythe il existe bel et bien, mais reste trop souvent tabou, de peur des représailles, notamment quand il a lieu au travail.
Une enquête réalisée en Hollande vient confirmer ces faits, puisque plus de 20% des célibataires (soit une personne sur cinq) avouent avoir déjà été confrontés à un harcèlement sexuel, lors d’un premier rendez-vous.
Le harcèlement peut se présenter sous différentes formes dont aucune n’est à minimiser et qui peuvent aller de l’allusion verbale, aux propositions indécentes, mais aussi aux attouchements et quand le tout dégénère, au viol.
Le plus souvent, les attouchements se manifestent par des baisers, forcés, des mains aux fesses, sur les seins, les parties intimes ou les cuisses, le tout bien entendu, sans le consentement de la victime.
Et attention, les femmes ne sont pas les seules à être victimes de harcèlement, les hommes aussi avouent avoir déjà été harcelés, que ce soit verbalement ou physiquement.
L’enquête met en avant que, au cours d’un premier rendez-vous, 14% des femmes ont déjà subits des attouchements, et un homme sur vingt confie la même chose.
Cependant, les femmes restent encore majoritairement les victimes de ces abus, et nombreuses sont celles qui avouent avoir du faire face à un homme qui leur a touché les seins, les parties intimes, ou encore a essayé d’avoir une relation sexuelle avec elles, sans leur consentement.
Le harcèlement est donc encore bien courant, mais trop peu de victimes osent en parler, surtout quand le harceleur n’a pas franchi le cap du viol. Pour les victimes, des mots crus, des allusions sexuelles, sont minimes par rapport au viol, pas besoin de porter plainte.
Il faut donc redoubler de vigilance lors d’un premier rendez-vous avec un inconnu, que ce soit professionnel ou suite à une rencontre sur internet.
Le harcèlement sexuel, ce n’est pas qu’au cinéma, et les risques sont réels.

Les experts chargés de surveiller la reproduction humaine, n’ont pas fini de trouver des menaces pour la semence masculine.
Après avoir mis la viande rouge et les anti-dépresseurs sur la sellette, c’est cette fois l’un des plus ancien moyen de transport au monde qui est pointé du doigt : le vélo.
En effet, des chercheurs de l’université de Cordoue en Espagne, viennent de révéler qu’une pratique trop intensive du cyclisme entrainerait une diminution de la fertilité masculine.
L’équipe de scientifiques s’est penchée sur le cas de 15 triathlètes espagnols, en étudiant la qualité de leur sperme, et la durée et l’intensité de leur entrainement.
L’étude démontre que plus les hommes s’entrainent longuement en vélo, plus le nombre de spermatozoïdes « anormaux » augmentait.
Sur les trois sports pratiqués par les triathlètes (course, natation, cyclisme), seul le cyclisme a permis de mettre clairement en relation entrainement intense et qualité du sperme.
Les triathlètes s’entrainant à un rythme de moins de 300km par semaine, possédaient un taux de spermatozoïdes normaux, aux alentours de 10%. Ceux le pratiquant plus intensément avait un taux chutant à 4% de spermatozoïdes normaux.
Les scientifiques expliquent ce phénomène par la compression de la selle du vélo contre les testicules, les vêtements serrés et la chaleur produite par le frottement des vêtements.
Les recherches s’orientent désormais sur des moyens de prévention et les chercheurs se sont penchés sur des molécules oxydantes (dérivées de l’oxygène) qui seraient soupçonnées d’attaquer les structures cellulaires.
Une prise d’antioxydants associée à des programmes d’entraînements axés sur une bonne récupération, pourraient permettre de ralentir le phénomène. Une possibilité de congeler le sperme des athlètes avant de débuter une carrière de haut niveau, pourrait également être mise en place.

Source : belga

Les temps changent et les mœurs avec. Ainsi, les statuts des hommes et des femmes ont changé, même si on a encore tendance à ne pas s’en rendre compte.
A présent, les femmes ne sont plus uniquement destinées à rester à la maison pour éduquer les enfants, faire le ménage, la cuisine et s’occuper de leur mari.
Les femmes sont aujourd’hui actives, même si l’égalité salariale n’est pas encore au rendez-vous.
Le problème des corvées ménagères, de l’éducation des enfants et autres joyeusetés, s’est vite posé, car en rentrant d’une journée de huit heures de travail, les femmes aussi sont fatiguées et n’ont pas envie de s’y coller.
C’est là que les « hommes modernes » ont vu le jour.
Nombreux ont été les mâles qui ont mis leur virilité en poche et se sont attelés aux tâches du quotidien afin de soulager leur chère et tendre.
A présent, voir un homme aux fourneaux, en train de repasser, de faire les courses ou encore de chercher les enfants à l’école, c’est devenue monnaie courante et plus personnes ne trouve cela étrange. Et c’est tant mieux, car après tout, il n’y a rien de dégradant là-dedans.
Le plus difficile désormais est de se répartir équitablement les tâches afin que l’entente soit durable, à l’instar de deux colocataires.
Il faut donc rendre aux hommes modernes le mérite qui leur revient, leur changement d’attitude a été bénéfique pour de nombreux couples.
Cependant, de telles mentalités ne sont pas encore la norme et de nombreux hommes gardent leur esprit « macho ». Au mieux ils aident leur compagne en estimant leur faire une fleur et en attenant de leur part une reconnaissance éternelle, au pire ils ne font rien du tout, considérant que cela reste le rôle de la femme, même si elle travaille autant qu’eux….
Alors si c’est le cas dans votre couple, et que vous en avez assez de tout faire seule, vous pouvez toujours faire appel à un « homme de ménage », qui après tout, est une femme de ménage comme les autres…

Encore une idée reçue qui vient d’être mise à mal par les résultats d’une enquête menée par le groupe Philips.
L’étude, menée sur 3000 couples britanniques ayant une relation de long terme, révèle que les couples les plus en phase sexuellement et qui éprouvent le plus de plaisir lors de leurs rapports, sont ceux qui sont ensemble depuis quatre ans et deux mois !
Les participants à l’étude, interrogés sur leurs pratiques et leurs sensations, témoignent que pour deux tiers d’entre eux, plus une relation devient intime, meilleur est le sexe. Certains vont même plus loin puisqu’une personne sur vingt estime que le sexe serait encore meilleur après plus de 15 ans de vie commune.
Selon Simone Bienne, experte en sexologie, l’étude prouve que le sexe n’est pas seulement considéré comme un simple acte physique, les sentiments, tels que l’amour, la confiance, la complicité, influent énormément sur la qualité d’un rapport sexuel : « Il y a plein de critères qui entrent en compte pour une bonne partie de jambes en l'air. L'émotionnel, le mental, le spirituel et le physique sont stimulants. Plus vous êtes proche de votre partenaire, plus vous le connaissez, plus vous vous stimulez mutuellement ».
On peut alors légitimement se demander pourquoi les couples font moins l’amour avec le temps, si celui-ci est meilleur ?
Là encore, Simone Bienne intervient en précisant que « Au début d'une relation, le corps produit une sorte de cocktail d'amour chimique […] On réagit alors comme des lapins. Après 18 mois à ce rythme, ça disparait mais ça veut dire que vous devez savoir comment vous stimuler. C'est là que vous commencez à voir le sexe comme quelque chose de plus important, émotionnellement et physiquement ».
Mme Bienne poursuit son analyse en expliquant que la sécurité connue d’un couple qui dure dans le temps, permet cette osmose sexuelle « C'est l'amour inconditionnel d'une longue relation qui nous enlève toutes nos inhibitions et nous permet de vraiment profiter du sexe. Il y a beaucoup d'études qui montrent que les couples de 40, 50, 60 ans sont plus heureux sous la couette qu'ils ne l'étaient à 20 ans. Tout est une question de sécurité ».
Ainsi, rien ne vaudrait la qualité d’un rapport amoureux avec un partenaire de longue date, pas même la passion fulgurante avec une aventure d’un soir, selon Simone Bienne « Si quelqu'un ne connaît pas votre code postal, comment voulez-vous qu'il sache où sont vos zones érogènes? […]Même si ça peut être intense, ça ne sera jamais aussi bien qu'avec un
partenaire de longue date ».

Les sextoys ont le vent en poupe depuis quelques années, pour le plus grand bonheur de nombreux couples, même si leur accès n’a pas toujours été des plus facile.
Dans un premier temps uniquement accessibles dans des sex-shops, les gadgets sexuels ont ensuite fait leur apparition en pharmacie, par le biais de la marque de préservatif Durex.
Et à présent, c’est la grande marque Philips qui a décidé de commercialiser son jouet érotique.
Le gadget de Philips se présente en trois versions, l’une pour les femmes, une autre pour les hommes et un troisième pour le couple, mais les trois sont vendus dans l’optique d’un usage à deux, afin de réveiller la passion au sein du couple si besoin était.
L’appareil destiné aux hommes se concentrera sur leur zone sensible du périnée, la version femme sera adaptée à la zone du clitoris et pourra être utilisé sous l’eau.
Les trois versions porteront les noms de : « masseur chaud », « masseur intime et chaud » et « double masseur intime ».
Actuellement déjà vendus en Grande-Bretagne, les sextoys devraient envahir les rayons des magasins d’électroménager français sous peu. En Grande-Bretagne, le prix de vente du jouet est à partir de 110€.
Avec une telle généralisation, il sera plus facile et moins intimidant d’acheter un sextoy, comme l’explique la sexologue britannique Paula Hall « Les sex-shops intimident encore de nombreuses personnes et ont les assimilent encore souvent à la pornographie. Pourtant de nombreux couples ont envie de tester ce genre de produits afin d'épicer leur vie sexuelle ».
Le joujou de chez Phillips se présente sous un format aux courbes et couleurs élégantes discrètes, de quoi lui assurer un franc succès !

De nos jours, l’âge n’est plus un obstacle qui effraye les personnes souhaitant divorcer ou se remarier. En effet, nombreuses sont les personnes de cinquante, soixante ou même soixante-dix ans, qui annoncent à leurs proches qu’elles vont se séparer, maintenant que les enfants sont grands, ou au contraire vont se remarier.
C’est dans cette optique, et complètement décomplexé, qu’un homme saoudien de 97 ans a décidé de se marier avec son amour de jeunesse, et ce après avoir déjà été marié deux fois.
La dame que Mohammed Eid d'al-Noairija convoite est elle âgée de 90 ans, et les deux tourtereaux se connaissent depuis plus de quatre-vingts ans !
Pourquoi un mariage si tardif vous direz-vous. Et bien quand il était jeune homme, Mohammed avait demandé la main de sa dulcinée, mais celle-ci lui avait été refusée car sa famille l’avait déjà promise à un autre homme. Pendant que la femme de sa vie connaissait six mariages successifs, dont deux rompus suite aux décès des maris, et quatre suite à un divorce car elle ne pouvait pas enfanter, Mohammed lui s’est marié deux fois, et deux fois il s’est retrouvé veuf.
Bien décidé à ne pas rester seul, Mohammed s’est mis en tête de retrouver son premier amour, et s’est vite rendu compte que sa belle était toujours vivante et célibataire !
Ni une, ni deux, notre Don Juan a refait sa demande, et cette fois plus rien ne s’opposait à leur union.
Les deux amoureux ont subit les tests de santé nécessaires avant tout mariage en Arabie, et suite à cela, ils se sont empressés de signer un contrat de mariage. Il faut dire qu’ils avaient du temps à rattraper.
Une grande fête était prévue, réunissant amis proches (et surtout encore en vie), et famille, qui s’avère être très nombreuse puisque Mohammed est père et grand-père de 42 enfants !

En Inde, comme dans de nombreux pays, le Sida fait des ravages et en 2007, l’ONU recensait plus de 5,7 millions de séropositifs, soit plus qu’en Afrique ! Ce chiffre a ensuite été ramené à 2,5 millions, suite aux protestations de New Delhi. Les personnes contaminées se retrouvent mises en marge de la société et n’ont que peu d’espoir de pouvoir se marier un jour. En effet, les discriminations sont nombreuses, tant au niveau des familles qui rejettent la personne malade, les médecins qui refusent de soigner et des écoles qui ferment leurs portes aux enfants atteints du VIH.
Pour aider les personnes séropositives à trouver un compagnon, l’Agence matrimoniale du Gujarat a décidé de se spécialiser dans les mariages de couples infectés par le VIH. L’Agence a donc ouvert une première association caritative en 2005, et huit autres organismes identiques ont depuis vu le jour dans tout le pays.
Ces associations ont déjà permis plus de 300 unions, permettant aux porteurs de la maladie, de ne pas vivre isolés et sans amour, évitant même pour certains, de se suicider en raison de la honte qu’ils peuvent ressentir.
Pour bénéficier des services de l’agence, les candidats au mariage doivent fournir un historique de leur santé, de leur vie familiale et de leur statut social, chaque dossier doit être « clair comme de l’eau de roche avant le mariage », comme l’explique le responsable de l’association, Rasik Bhua. Mr Bhua précise également, que contrairement aux mariages arrangés qui sont monnaie courante en Inde, ces mariages séropositifs sont longuement réfléchis et suivi. Il est en effet primordial que chaque partenaire sache à quoi il s’expose en acceptant de partager la maladie de l’autre et tout ce qui en découle.
L’initiative de l’agence matrimoniale est vivement encouragée par l’ONU et devrait l’être également par le gouvernement puisqu’elle peut permettre d’enrayer le développement du virus. En effet, ces mariages entre séropositifs permettraient d’éviter les mariages forcés par les familles, qui veulent éviter le déshonneur, et bien souvent mentent sur l’état de santé de la personne contaminée, qui va à son tour infecter son conjoint qui était peut-être sain.

Nos modes de vie actuels pèsent souvent lourdement sur notre organisme et notre santé, et la semence masculine n’est pas épargnée puisqu’au cours de la dernière décennie, la qualité du sperme a déjà fortement chuté.
Des chercheurs se sont penchés sur ce qui pouvait altérer le sperme et son efficacité. Ils ont démontré que consommer trop de viande rouge était mauvais pour les spermatozoïdes. D’après une étude menée sur 61 sujets masculins, la graisse et la viande rendraient les spermatozoïdes moins vivaces, alors que la consommation de fruits et de légumes, rendrait ces derniers plus rapides.
Des scientifiques ont également souhaité mesurer l’impact de la prise d’antidépresseurs sur le sperme et ont mené des études sur 35 hommes. Ils ont mis en évidence que les antidépresseurs amenuisaient la fertilité masculine. De plus, des recherches approfondies ont révélé que dans la moitié des échantillons de spermes récoltés sur les candidats, des lésions ADN apparaissaient sur les spermatozoïdes. La raison serait que les antidépresseurs entrainent un ralentissement du déplacement des spermatozoïdes, rendant le cheminement plus long et ainsi, ils parviendraient plus « vieux » et « endommagés » à l’ovule.
Les scientifiques ont aussi déclaré que chez les jeunes sujets, la vie sexuelle pouvait être perturbée et la moitié des jeunes volontaires connaissait des troubles de l’éjaculation.
Pas de panique cependant, les problèmes disparaissent sous un mois après l’arrêt du traitement.